- StorkNiveau 4
Dame Jouanne a écrit:Je pense qu'il va falloir apprendre à fournir une quantité de travail à la hauteur de ce qu'on est payé. Si vraiment tous les enseignants arrêtaient de chercher à pallier à toutes les insuffisances du système EN on verrait vraiment à quel point ce système ne tient encore que par la bonne volonté de la base.
Mais alors là + 1000 ! Et celles (oui parce que c’est quand même souvent le fait des femmes, désolé) qui achètent du matos pour la classe sur leurs deniers perso ? Pour reprendre l’expression d’une célèbre intellectuelle française : « Non mais allô quoi ??!! »
- trompettemarineMonarque
Il y a aussi des hommes ! Nous sommes tous embarqués.
- User20159Esprit éclairé
Fournitures perso' ainsi que pour les élèves : 400 balles par an.
Mais en fait sinon je ne peux pas bosser correctement, je suis en collège REP+.
Mais en fait sinon je ne peux pas bosser correctement, je suis en collège REP+.
- A TuinVénérable
trompettemarine a écrit:Tu ne m'as pas choquée, Tuin.
La difficulté à sortir la tête de l'eau d'un établissement qui dysfonctionne est réelle. Ce management détruit peu à peu de l'intérieur si personne n'aide à faire ce pas de côté ou s'il n'y a pas de solidarité. En quinze ans, j'ai vu à quel point elle disparaissait. Je vois des collègues en larmes qu'on laisse seuls. Quand cela m'est parfois arrivé il y a plus de vingt ans, j'étais toujours été aidée par les collègues.
Ce management nous isole. Nous sommes sommés tous les mois de nous adapter et de répondre à des injonctions contradictoires. J'ai connu les mails d'un cde envoyés pendant la nuit. Cela se reproduirait, je garderais tout.
J'ai oublié le nom de l'auteur, mais je conseille l'ouvrage appelé "la médiocratie" qui explique bien ce qui se joue.
Aujourd'hui, avec l'aide de mon mari, le souvenir de ce que m'a dit mon psychiatre, le désir que j'ai de voir grandir ma fille, et l'âge aidant, je parviens enfin à ne penser qu'à mes cours et mes élèves. Je mets mon cerveau sur "off" lors des réunions ou des formations ineptes.
Mais j'ai bien compris que le but de ce ministère était de supprimer le fonctionnariat des enseignants.
Ça m'est arrivé aussi à mes débuts, et on m'a bien laissée me débrouiller toute seule.
Ce que j'ai appris c'est qu'il faut être autosuffisant dans ce métier.
Je fais ce que j'ai envie. Si je n'ai pas envie parce que ce n'est pas obligé, je ne fais pas. Cela simplifie beaucoup les choses !
Je me fais plaisir en préparant mes cours, j'adore me plonger dans les recherches et préparer des contenus chouettes. Les élèves sentent si on aime préparer ses cours ou si on s'en fiche.
Après pour le reste, il faut se ménager ! Si ça ne fait pas besoin, si on n'a pas envie, on ne fait pas. Garder ce qui plaît, faire le mort ou envoyer promener pour le reste !
- Fires of PompeiiGuide spirituel
gauvain31 a écrit:trompettemarine a écrit:Voici le message reçu de la part du rectorat. Ils ont même osé la couleur Orange. Cela m'a fait frémir. J'espère que cela restera des mots et qu'on ne vivra pas ce qu'ont vécu les salariés de France-télécom.
Tout dépendra des collègues. S'il restent passifs et/ou divisés comme ils le sont depuis des années alors oui, nous vivrons un France Telecom bis. Ou les transformations qu'a vécu la Poste ( embauche massive de contractuels). Comme dit plus haut , ce langage managérial me fait penser aussi à un plan social (dans l'EN on appelle ça des "réformes" ). Il y a certains termes dont il faut se méfier. Notamment le mot "agilité" (= dégradation des conditions de travail) ou "accompagnés"(--> vers la sortie)
Mais je suis pessimiste, la profession ne réagira pas. J'espère me tromper.
Je partage le pessimisme.
Ce qui s'est passé cette année dans le collège (que je quitte en fin d'année) me le confirme.
J'ai observé le mécanisme suivant devant une direction aux méthodes douteuses et illégales
- Spoiler:
- 1- la majorité s'offusque silencieusement.
2- quelques éléments dénoncent ces premiers excès de la direction en rappelant posément le droit et les statuts.
3- la direction s'en offusque et leur balance qu'ils abusent, après ce qui st arrivé à S. Paty (aucun rapport), pour décrédibiliser ces enseignants qui rappellent le droit.
4 - en parallèle, la majorité des collègues, qui s'est offusquée silencieusement, en vient à faire des reproches à la minorité qui a rappelé le droit.
5 - la minorité se trouve pourtant exposée et on s'adresse à elle quand les soucis, que cette minorité avait prévus et dont elle avait avertis la majorité, arrivent.
6 - la majorité se résigne et la minorité qui s'est exposée a été lâchée par ses collègues en plus de subir elle aussi les méthodes de la direction en question. On conseille à cette minorité de "prendre du recul", et de se résigner comme la majorité (!).
Les gens, en tout cas d'après mon expérience, trouvent plus confortable de se résigner et fustigent même les collègues qui ne le font pas.
_________________
Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- HORAHabitué du forum
Les inspecteurs des travaux finis débarquent. Comme prévu, les conclusions sont qu'il en faut en faire plus pour pas un rond supplémentaire.
http://www.fo-snfolc.fr/com-snfolc-20212805-evaluation-etablissements/
Quant au Grenelle, ça va faire très mal.
Alors qu’ils sont déjà la porte ouverte aux pressions extérieures (associations, entreprises, collectivités territoriales…) et à l’inéquité, les projets d’établissement seraient érigés en totem. Dans le cadre de ces projets, seraient désignés des professeurs et CPE référents aux fonctions mixtes d’Inspection et de direction au sein d’un bassin géographique. Véritable hiérarchie intermédiaire dépassant les limites de l’établissement, ils auraient pour mission de faire travailler gratuitement leurs collègues sur le suivi des élèves, l’orientation ou encore l’harmonisation du contrôle continu. [...]
Et comme si ça ne suffisait pas, comme dans le Lot et la Somme, les services rectoraux dédiés au remplacement seront sous-traités au privé dès janvier 2022… De sacrées économies budgétaires à la clé.
Un management à la France-Télécom pour mettre au pas les personnels
On ne peut s’empêcher de voir dans les mesures ministérielles un fonctionnement de type PIAL élargi à tous les personnels. Serait instaurée une hiérarchie intermédiaire locale disposant d’un pouvoir d’Inspection et/ou de Direction au sein de collectifs pédagogiques, en lien avec une RH de proximité elle-même soumise à la DRH de chaque académie. « Cadres académiques » inféodés à un fonctionnement « en mode projet », et « RH de proximité » locales doivent prendre le pas sur les prérogatives hiérarchiques des chefs d’établissement. L’«accompagnement des professeurs » est un doux euphémisme : injonctions, pressions, injustices, seront organisées et aggravées par ce management digne d’une entreprise privée et dont chacun connaît les conséquences.
http://www.fo-snfolc.fr/com-snfolc-20210528-grenelle/
http://www.fo-snfolc.fr/com-snfolc-20212805-evaluation-etablissements/
Quant au Grenelle, ça va faire très mal.
Alors qu’ils sont déjà la porte ouverte aux pressions extérieures (associations, entreprises, collectivités territoriales…) et à l’inéquité, les projets d’établissement seraient érigés en totem. Dans le cadre de ces projets, seraient désignés des professeurs et CPE référents aux fonctions mixtes d’Inspection et de direction au sein d’un bassin géographique. Véritable hiérarchie intermédiaire dépassant les limites de l’établissement, ils auraient pour mission de faire travailler gratuitement leurs collègues sur le suivi des élèves, l’orientation ou encore l’harmonisation du contrôle continu. [...]
Et comme si ça ne suffisait pas, comme dans le Lot et la Somme, les services rectoraux dédiés au remplacement seront sous-traités au privé dès janvier 2022… De sacrées économies budgétaires à la clé.
Un management à la France-Télécom pour mettre au pas les personnels
On ne peut s’empêcher de voir dans les mesures ministérielles un fonctionnement de type PIAL élargi à tous les personnels. Serait instaurée une hiérarchie intermédiaire locale disposant d’un pouvoir d’Inspection et/ou de Direction au sein de collectifs pédagogiques, en lien avec une RH de proximité elle-même soumise à la DRH de chaque académie. « Cadres académiques » inféodés à un fonctionnement « en mode projet », et « RH de proximité » locales doivent prendre le pas sur les prérogatives hiérarchiques des chefs d’établissement. L’«accompagnement des professeurs » est un doux euphémisme : injonctions, pressions, injustices, seront organisées et aggravées par ce management digne d’une entreprise privée et dont chacun connaît les conséquences.
http://www.fo-snfolc.fr/com-snfolc-20210528-grenelle/
- StorkNiveau 4
Ha@_x a écrit:Fournitures perso' ainsi que pour les élèves : 400 balles par an.
Mais en fait sinon je ne peux pas bosser correctement, je suis en collège REP+.
Soit le montant brut de la prime brute mensuelle de la secrétaire de ton inspecteur...
- Cléopatra2Guide spirituel
FoP, c'est pareil dans mon lycée. C'est moi qui suis très exposée. Si ça ne posait pas de souci avec le chef précédent, ça se passe mal avec l'actuel.
- CeladonDemi-dieu
J'imagine que chacun peut d'ores et déjà se douter de qui sera "choisi "dans son bahut pour ces tâches de supervision à fortes contraintes ajoutées...
- MathadorEmpereur
HORA a écrit:Les inspecteurs des travaux finis débarquent. Comme prévu, les conclusions sont qu'il en faut en faire plus pour pas un rond supplémentaire.
http://www.fo-snfolc.fr/com-snfolc-20212805-evaluation-etablissements/
Une fois de plus, on copie chez les voisins en ne récupérant que ce qui est nuisible.
Au R-U, Ofsted évite d'être juge et partie en dépendant directement de Westminster.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- AscagneGrand sage
Sur la feuille de route RH de l'Académie de Créteil j'ai bien aimé p. 10 l'idée du "sentiment d'appartenance à l'Académie de Créteil". Je me demande ce qu'ils entendent exactement par là.
- TangledingGrand Maître
Il y a près de dix ans, nous avions une cheffe d'établissement très proactive. Son grand truc était le "sentiment d'appartenance à l'établissement". C'était censé être développé chez les élèves, selon sa vision du projet d'établissement.
Mais au fond pourquoi se limiter aux élèves ?
Un anneau pour les gouverner tous, et dans les ténèbres les lier...
Voilà tout ce que m'évoque ce sentiment d'appartenance.
Mais au fond pourquoi se limiter aux élèves ?
Un anneau pour les gouverner tous, et dans les ténèbres les lier...
Voilà tout ce que m'évoque ce sentiment d'appartenance.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- TFSFidèle du forum
Fires of Pompeii a écrit:gauvain31 a écrit:trompettemarine a écrit:Voici le message reçu de la part du rectorat. Ils ont même osé la couleur Orange. Cela m'a fait frémir. J'espère que cela restera des mots et qu'on ne vivra pas ce qu'ont vécu les salariés de France-télécom.
Tout dépendra des collègues. S'il restent passifs et/ou divisés comme ils le sont depuis des années alors oui, nous vivrons un France Telecom bis. Ou les transformations qu'a vécu la Poste ( embauche massive de contractuels). Comme dit plus haut , ce langage managérial me fait penser aussi à un plan social (dans l'EN on appelle ça des "réformes" ). Il y a certains termes dont il faut se méfier. Notamment le mot "agilité" (= dégradation des conditions de travail) ou "accompagnés"(--> vers la sortie)
Mais je suis pessimiste, la profession ne réagira pas. J'espère me tromper.
Je partage le pessimisme.
Ce qui s'est passé cette année dans le collège (que je quitte en fin d'année) me le confirme.
J'ai observé le mécanisme suivant devant une direction aux méthodes douteuses et illégales
- Spoiler:
1- la majorité s'offusque silencieusement.
2- quelques éléments dénoncent ces premiers excès de la direction en rappelant posément le droit et les statuts.
3- la direction s'en offusque et leur balance qu'ils abusent, après ce qui st arrivé à S. Paty (aucun rapport), pour décrédibiliser ces enseignants qui rappellent le droit.
4 - en parallèle, la majorité des collègues, qui s'est offusquée silencieusement, en vient à faire des reproches à la minorité qui a rappelé le droit.
5 - la minorité se trouve pourtant exposée et on s'adresse à elle quand les soucis, que cette minorité avait prévus et dont elle avait avertis la majorité, arrivent.
6 - la majorité se résigne et la minorité qui s'est exposée a été lâchée par ses collègues en plus de subir elle aussi les méthodes de la direction en question. On conseille à cette minorité de "prendre du recul", et de se résigner comme la majorité (!).
Les gens, en tout cas d'après mon expérience, trouvent plus confortable de se résigner et fustigent même les collègues qui ne le font pas.
Je vis actuellement exactement ce que tu décris dans ton qpoiler, sauf que, chance, pour l'instant la majorité n'a pas encore lâché les combattants du front que mes camarades représentants et moi sommes encore... mais on a quand même bien l'impression d'être la dernière ligne sans aucune relève à l'horizon...
Cela dure depuis 2 ans et demi... et je ne sais pas du tout combien de temps nous parviendrons à tenir...
- VinZTDoyen
Tangleding a écrit:Il y a près de dix ans, nous avions une cheffe d'établissement très proactive. Son grand truc était le "sentiment d'appartenance à l'établissement". C'était censé être développé chez les élèves, selon sa vision du projet d'établissement.
Mais au fond pourquoi se limiter aux élèves ?
Un anneau pour les gouverner tous, et dans les ténèbres les lier...
Voilà tout ce que m'évoque ce sentiment d'appartenance.
Ça n'a déjà pas grand sens pour les personnels qui viennent — chose inouïe — pour travailler, mais alors pour des élèves qui y passent trois ans l'intérêt m'échappe.
À moins de flatuler plus haut que son derrière et de prétendre que son établissement c'est Oxford, alors qu'en fait il s'agit du collège Evelyne Dhéliat de Fouzydon-le-petit.
Qu'on améliore les conditions de travail, c'est une chose, mais le côté corporate m'agace un peu …
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
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« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- LefterisEsprit sacré
Ridicule en effet, on est là par la combinaison de nos points, de nos domiciles, on n'a strictement aucune attache avec un établissement.C'est un lieu de travail, et rien d'autre, on aurait pu être ailleurs. Tout au plus pourrait-on avoir un "sentiment d'appartenance" à l'EN comme institution, et encore.VinZT a écrit:
Ça n'a déjà pas grand sens pour les personnels qui viennent — chose inouïe — pour travailler, mais alors pour des élèves qui y passent trois ans l'intérêt m'échappe.
À moins de flatuler plus haut que son derrière et de prétendre que son établissement c'est Oxford, alors qu'en fait il s'agit du collège Evelyne Dhéliat de Fouzydon-le-petit.
Qu'on améliore les conditions de travail, c'est une chose, mais le côté corporate m'agace un peu …
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- keroGrand sage
Le paradoxe ultime consistant à vouloir développer le sentiment d'appartenance à l'établissement tout en rendant les personnels aussi mobiles que possible.
- TangledingGrand Maître
En l'espèce nous n'appartenons pas à l'EN, nous effectuons notre service d'enseignement comme fonctionnaires du service public de l'éducation nationale.
La nuance me semble d'importance.
La nuance me semble d'importance.
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- CasparProphète
Ce côté "sentiment d'appartenance" me semble tout droit venu de nos amis d'Outre-Manche et Outre-Atlantique, ce n'est pas quelque chose qui est très présent en France
- Fesseur ProGuide spirituel
L'esprit corporate...
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Pourvu que ça dure...
- Dame JouanneÉrudit
Mais pourquoi prennent-ils de l'étranger toutes les idées les plus pourries et oublient soigneusement les autres???
- MarxouHabitué du forum
kero a écrit:Le paradoxe ultime consistant à vouloir développer le sentiment d'appartenance à l'établissement tout en rendant les personnels aussi mobiles que possible.
Certes...L'EN et sa logique
- CeladonDemi-dieu
Quelles autres, par exemple ?Dame Jouanne a écrit:Mais pourquoi prennent-ils de l'étranger toutes les idées les plus pourries et oublient soigneusement les autres???
- MathadorEmpereur
Rendre les inspections indépendantes du ministère employeur, comme au R-U ?
Mieux payer les enseignants, comme dans un certain nombre de pays de l'OCDE ?
Mieux payer les enseignants, comme dans un certain nombre de pays de l'OCDE ?
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- CasparProphète
Fesseur Pro a écrit:L'esprit corporate...
Ce n'est pas vraiment économique je pense, plutôt une façon de voir son alma mater.
- BaldredSage
Le dernier numéro des cahiers de l'IFé sur des thèmes évoqués ici : Privatisée, marchandisée, l'école archipel
http://veille-et-analyses.ens-lyon.fr/DA-Veille/137-mai-2021.pdf
http://veille-et-analyses.ens-lyon.fr/DA-Veille/137-mai-2021.pdf
- Ajonc35Sage
Nicole Ferroni ce matin y consacre son billet d'humeur ou d'humour.
- Réforme de l'évaluation : les recommandations explosives du Conseil Sup. des Programmes !
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- [Le café] Les recommandations de JM Blanquer pour l'enseignement du français
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