- dryadeNiveau 8
Halybel a écrit:
Autant je suis d'accord avec toi sur l'apathie des collègues, autant il faut aussi souligner que le discours de certains syndicalistes fait peur.
On a fait un droit de retrait de 2 jours et voir dans la presse une grosse tête du snes venir dire que le droit de retrait ne sert à rien et qu'il faut négocier (alors qu'on a obtenu ce que l'ont voulait) me fait de plus en plus dire que certains préfèrent garder leurs petits privilèges. M'enfin c'est peut être un cas isolé mais ça fait deux trois fois que je lis ça...
OOoooh oui !
- DicloniaExpert
sandoval a écrit:Nous n'étions que trois grévistes mardi...
comme chez nous... :|
- HalybelÉrudit
kiddy a écrit:Catalunya a écrit:Nous commençons les demi-classes lundi dans notre bahut. En espagnol, cela nous pose problème car nous avons des mélanges de classes différentes. Et ce que nous redoutions arriva.
J'ai 3 groupes de secondes de 23, 24 et 26 élèves. Les classes ont été séparées ainsi : 9 et 14, 5 et 19, 3 et 23 :| :|
Je te trouve bien égoïste, tu n’es que prof de lycée, ce n’est pas une mission divine. On est face à une pandémie et tu nous parle de tes groupes qui ne sont pas à ta convenance, mon/ma pauvre...si tu étais contre les demi groupes pour des raisons économiques au moins ça se tiendrait.
Il y en a qui, encore, réponde à Catalunya ?
Vous êtes bien courageux.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- DicloniaExpert
On peut aussi éviter de citer les messages incommodants...
- EnaecoVénérable
Vous vous sentez vraiment en sécurité avec des demi-groupes ?
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
- ProvenceEnchanteur
Catalunya a écrit:Nous commençons les demi-classes lundi dans notre bahut. En espagnol, cela nous pose problème car nous avons des mélanges de classes différentes. Et ce que nous redoutions arriva.
J'ai 3 groupes de secondes de 23, 24 et 26 élèves. Les classes ont été séparées ainsi : 9 et 14, 5 et 19, 3 et 23 :| :|
C'est effectivement franchement malcommode. Est-il encore possible de modifier les groupes?
- DicloniaExpert
En attendant, dans une même classe, plusieurs absents dont 4 élèves pour suspicion de covid... de plus en plus de collègues patraques, absents... de plus en plus de cas dans les familles, quand j'écoute les élèves... si je passe à travers, si je ne ramène rien à la maison, je m'estimerai bénie... et on nous a redonné des superbes masques... sérieux ?
- JennyMédiateur
Enaeco a écrit:Vous vous sentez vraiment en sécurité avec des demi-groupes ?
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
Ca permet au moins de respecter les distances, de désengorger la cantine et les couloirs.
- keroGrand sage
Enaeco a écrit:Vous vous sentez vraiment en sécurité avec des demi-groupes ?
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
Le risque de contamination augmente de manière exponentielle, en fonction du nombre de personnes présentes dans une pièce.
Je ne saurais pas quantifier, mais passer aux demi-groupes représente une réduction du risque conséquente.
Bien évidemment, le risque zéro n'existe pas.
- ysabelDevin
Catalunya a écrit:Nous commençons les demi-classes lundi dans notre bahut. En espagnol, cela nous pose problème car nous avons des mélanges de classes différentes. Et ce que nous redoutions arriva.
J'ai 3 groupes de secondes de 23, 24 et 26 élèves. Les classes ont été séparées ainsi : 9 et 14, 5 et 19, 3 et 23 :| :|
En seconde, j'ai un groupe de 3 et un de 18 pour la même classe.
les 4 heures cette semaine furent un vrai plaisir nous 4 : des élèves qui participent, qui posent plein de questions dont un élève que je n'avais pas encore entendu depuis septembre.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- EnaecoVénérable
kero a écrit:Enaeco a écrit:Vous vous sentez vraiment en sécurité avec des demi-groupes ?
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
Le risque de contamination augmente de manière exponentielle, en fonction du nombre de personnes présentes dans une pièce.
Je ne saurais pas quantifier, mais passer aux demi-groupes représente une réduction du risque conséquente.
Bien évidemment, le risque zéro n'existe pas.
Je suis d'accord avec ce modèle.
Encore faudrait-il savoir à quel moment nos élèves se contaminent entre eux.
Est-ce au sein même de la salle de classe ? Par quel mode de transmission ? Ca, on ne le sait pas.
Les chiffres que tu as toi-même donnés (pas de diminution des cas chez les 0-19ans quand ça diminue dans les autres tranches) malgré le passage de deux semaines de vacances me laissent dubitatif.
Tant mieux si ça peut rassurer les collègues très anxieux. J'estime que c'est une bonne mesure (malgré les désagréments bien réels des groupes aussi déséquilibrés comme il y en a chez Catalunya et comme on en trouve également dans mon établissement) même si on ne peut pas quantifier son efficacité.
- tt1724Niveau 5
kero a écrit:Enaeco a écrit:Vous vous sentez vraiment en sécurité avec des demi-groupes ?
A lire les commentaires, j'ai l'impression que classe entière = suicide collectif et demi-classe = risque éliminé. Je grossis le trait mais, de mon ressenti, pas tant que ça.
Le risque de contamination augmente de manière exponentielle, en fonction du nombre de personnes présentes dans une pièce.
Je ne saurais pas quantifier, mais passer aux demi-groupes représente une réduction du risque conséquente.
Bien évidemment, le risque zéro n'existe pas.
C'est ce que j'ai pu lire aussi.
L'avantage du demi-groupe c'est également de pouvoir améliorer la distanciation physique. Ce qui n'exclut pas de continuer les autres gestes barrières comme l"hygiène des mains et surtout l'aération "régulière" (10 min par heure? 20 min toutes les 2h?) qui permet d'évacuer le virus qui présent sous forme d'aérosol (si un cas covid est présent...mais vu qu'il y a des personnes asymptomatiques mieux vaut partir du fait que le virus peut être présent).
Un autre avantage sanitaire d'un demi-groupe, c'est que dans le cas d'un suivi sanitaire, les cas contacts sont plus faciles à suivre puisque leur nombre est divisé par 2. En théorie, on pourrait donc plus facilement tracer tester et isoler. C'est le principe de la bulle de sécurité (en principe avec un effectif plus faible 6 à 10 personnes), la sécurité n'est pas pour ceux de la bulle mais pour le reste de la société car une bulle contaminée de faible effectif est plus simple à isoler.
- Fesseur ProGuide spirituel
C'est un des avantages collatéral des demi-classes.ysabel a écrit:Catalunya a écrit:Nous commençons les demi-classes lundi dans notre bahut. En espagnol, cela nous pose problème car nous avons des mélanges de classes différentes. Et ce que nous redoutions arriva.
J'ai 3 groupes de secondes de 23, 24 et 26 élèves. Les classes ont été séparées ainsi : 9 et 14, 5 et 19, 3 et 23 :| :|
En seconde, j'ai un groupe de 3 et un de 18 pour la même classe.
les 4 heures cette semaine furent un vrai plaisir nous 4 : des élèves qui participent, qui posent plein de questions dont un élève que je n'avais pas encore entendu depuis septembre.
On découvre des élèves qu'on n'aurait jamais entendus dans une classe "normale".
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Pourvu que ça dure...
- ElietteNiveau 9
Mon fils en seconde (ils font un jour sur deux) apprécie : bus pas bondé, cantine aérée, passage rapide sans bousculade. On pourrait d’ailleurs se remettre en question sur la vie qu’on leur impose en temps normal...
En revanche, ça va que j’étais là pour le pousser à se mettre au boulot le premier jour, ça n’est pas un inné chez lui...
En revanche, ça va que j’étais là pour le pousser à se mettre au boulot le premier jour, ça n’est pas un inné chez lui...
- BoubouleDoyen
Bouboule a écrit:Halybel a écrit:Bouboule a écrit:uneodyssée a écrit:
Pas forcément : ils peuvent s'isoler chez eux en se disant malades, mais à aucun moment ils ne sont obligés de dire qu'il s'agit du covid. L'ÉN est sûrement de bonne foi quand elle collecte les données : elle prend ce qu'on lui donne. En revanche, fanfaronner avec sans tenir compte des chiffres du voisin de la Santé, ça manque un peu de sérieux.
Je croyais que l'ARS demandait aux positifs les cas contact et transmettait au lycée les noms de ceux qui devaient être isolés (enfin, c'est comme ça chez moi, d'où ma naïveté qui consiste à évaluer le nombre de cas parmi mes élèves en me fiant à ces données).
L'ARS est débordé. Cela fait bien longtemps qu'elle ne suit plus les cas contact...
Je vais enquêter ;-)
(La semaine dernière, c'est vrai que nous avons anticipé nous-mêmes, il ne m'est pas venu à l'idée de vérifier si l'ARS était intervenue.)
Après enquête, les cas contacts sont contactés par l'ARS qui leur demande de faire un test et leur envoie des consignes. Mais pas de suite apparemment.
- HalybelÉrudit
Bouboule a écrit:Bouboule a écrit:Halybel a écrit:Bouboule a écrit:
Je croyais que l'ARS demandait aux positifs les cas contact et transmettait au lycée les noms de ceux qui devaient être isolés (enfin, c'est comme ça chez moi, d'où ma naïveté qui consiste à évaluer le nombre de cas parmi mes élèves en me fiant à ces données).
L'ARS est débordé. Cela fait bien longtemps qu'elle ne suit plus les cas contact...
Je vais enquêter ;-)
(La semaine dernière, c'est vrai que nous avons anticipé nous-mêmes, il ne m'est pas venu à l'idée de vérifier si l'ARS était intervenue.)
Après enquête, les cas contacts sont contactés par l'ARS qui leur demande de faire un test et leur envoie des consignes. Mais pas de suite apparemment.
Ma fille a vu sa crèche fermer une semaine, donc plusieurs cas covid. Personne, et je dis bien personne ne m'a appelé. Ma fille ne porte pas de masque et moi non plus.
Parfois il s'écoule une semaine ou deux entre la découverte d'un cas et la remontée... Bref l'ars est complètement dépassé. Plusieurs amis positifs ont dû appeler eux même leurs cas contacts car ni la secu ni l'ars ne les a contacté...
A Marseille d'ailleurs, les auxiliaire de puériculture prennent un rapport si jamais elles sont cas contact... Une honte.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- TangledingGrand Maître
Voici les infos qu'on a eues en CA pour le protocole ministériel de signalement des cas contact /cas positifs :
- Si un élève est positif, seul les élèves immédiatement proches à la cantine sont considérés comme cas contact. L'EPS n'est pas prise en considération. Et les cours avec masques et déplacements encore moins.
- Quand un parent est positif, ils attendent 7 jours d'isolement avant de tester l'enfant/les enfants (sic!). En gros ils considèrent que c'est forcément l'adulte qui peut transmettre à l'élève. (et si c'était l'inverse ? macache). Si l'élève était testé positif au moment om l'adulte est identifié positif, ils seraient censés tracer les cas contatcs de l'enfant également, mais ainsi ils ne le font pas. Ca permet sans potentiellement de réduire les cas contacts de façon intéressante (et potentiellement de ne pas identifier de chaînes de contamination)
- Si un élève est positif, seul les élèves immédiatement proches à la cantine sont considérés comme cas contact. L'EPS n'est pas prise en considération. Et les cours avec masques et déplacements encore moins.
- Quand un parent est positif, ils attendent 7 jours d'isolement avant de tester l'enfant/les enfants (sic!). En gros ils considèrent que c'est forcément l'adulte qui peut transmettre à l'élève. (et si c'était l'inverse ? macache). Si l'élève était testé positif au moment om l'adulte est identifié positif, ils seraient censés tracer les cas contatcs de l'enfant également, mais ainsi ils ne le font pas. Ca permet sans potentiellement de réduire les cas contacts de façon intéressante (et potentiellement de ne pas identifier de chaînes de contamination)
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
Point et grille.
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- EnglishTidsearNiveau 9
Ma fille est en 2nde : 3 camarades de classe testés positifs cette semaine, et un 4ieme cas non officialisé. Ma fille a mangé à la cantine avec l'un d'entre eux lundi. Mais tout va bien, la vie scolaire au téléphone voulait qu'elle aille en cours quand même, son absence ne serait pas justifiée. Le lycée ne la considère pas cas contact. Ben moi si. Elle reste à la maison en attendant la mise en place des demi groupes. Et le resultat du test qu'elle fera lundi.
- ForsterÉrudit
Ma propre expérience : j'ai été testé positif en début de semaine, l'assurance maladie m'a contacté avant même le labo et mon médecin. Les personnes cas contact avec moi l'ont été dans l'après-midi. Ils ont été très efficaces. Deux étant des collègues ils ont été contactés directement au lycée.
- SimonellaNiveau 7
Nous avons commencé les demi-groupes cette semaine. J'ai choisi l'enseignement synchrone (j'ouvre la classe virtuelle, le groupe présent et le groupe resté à la maison suivent le cours en même temps). Je n'ai donc aucun travail supplémentaire. Cela m'angoissait terriblement. Pour rien, en fait. C'est facile dans la mesure où mes élèves sont travailleurs et disciplinés. Ce doit être nettement plus difficile s'il faut gérer en même temps la discipline. Impossible, même.
- TivinouDoyen
Tu utilises la classe virtuelle du Cned ou jitsi?Simonella a écrit:Nous avons commencé les demi-groupes cette semaine. J'ai choisi l'enseignement synchrone (j'ouvre la classe virtuelle, le groupe présent et le groupe resté à la maison suivent le cours en même temps). Je n'ai donc aucun travail supplémentaire. Cela m'angoissait terriblement. Pour rien, en fait. C'est facile dans la mesure où mes élèves sont travailleurs et disciplinés. Ce doit être nettement plus difficile s'il faut gérer en même temps la discipline. Impossible, même.
- Pontorson50Fidèle du forum
Une question à propos de l'attentisme en apparence invraisemblable du ministère devant la contagion chez nous (deux mois sans rien tester en gros) : à partir du moment où nous enseignants, sommes testés massivement, comment faire pour ne pas avoir de graves problèmes de fonctionnement, y compris sanitaires?
Admettons que 10% des profs soient déclarés positifs, (taux actuel autour de 17), ils doivent tous être isolés au moins une semaine, ce qui engendre forcément des difficultés internes, notamment des regroupements ponctuels d'élèves en étude (à supposer que les surveillants soient tous négatifs!).
D'autant que ces tests doivent évidemment se renouveler chaque semaine donc chaque semaine, on retrouve probablement de nouveaux contaminés et ainsi de suite.
On peut alors comprendre qu'il ne soit pas forcément très opportun de nous détecter afin paradoxalement d'éviter des dysfonctionnements sanitaires?
Admettons que 10% des profs soient déclarés positifs, (taux actuel autour de 17), ils doivent tous être isolés au moins une semaine, ce qui engendre forcément des difficultés internes, notamment des regroupements ponctuels d'élèves en étude (à supposer que les surveillants soient tous négatifs!).
D'autant que ces tests doivent évidemment se renouveler chaque semaine donc chaque semaine, on retrouve probablement de nouveaux contaminés et ainsi de suite.
On peut alors comprendre qu'il ne soit pas forcément très opportun de nous détecter afin paradoxalement d'éviter des dysfonctionnements sanitaires?
- JacqGuide spirituel
Enfin, ces tests, je ne sais pas à quoi ils serviront. Ils ne peuvent que prendre une photographie à un instant T. Le lendemain on peut être contaminé.
- HalybelÉrudit
Pontorson50 a écrit:Une question à propos de l'attentisme en apparence invraisemblable du ministère devant la contagion chez nous (deux mois sans rien tester en gros) : à partir du moment où nous enseignants, sommes testés massivement, comment faire pour ne pas avoir de graves problèmes de fonctionnement, y compris sanitaires?
Admettons que 10% des profs soient déclarés positifs, (taux actuel autour de 17), ils doivent tous être isolés au moins une semaine, ce qui engendre forcément des difficultés internes, notamment des regroupements ponctuels d'élèves en étude (à supposer que les surveillants soient tous négatifs!).
D'autant que ces tests doivent évidemment se renouveler chaque semaine donc chaque semaine, on retrouve probablement de nouveaux contaminés et ainsi de suite.
On peut alors comprendre qu'il ne soit pas forcément très opportun de nous détecter afin paradoxalement d'éviter des dysfonctionnements sanitaires?
As tu écouté Blanquer ? Il a dit service civique, recrutement d'aed et de remplaçants. Tout va bien, aie confiance.
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Je soigne ma dyslexie pardon si elle ressort trop parfois.
Le téléphone ne m’aide pas.
- Pontorson50Fidèle du forum
Jacq a écrit:Enfin, ces tests, je ne sais pas à quoi ils serviront. Ils ne peuvent que prendre une photographie à un instant T. Le lendemain on peut être contaminé.
Exact, c'est pour ça que je n'y suis pas encore allé.
- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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