- ValorNiveau 9
Oh oui! Quand les temps seront meilleurs, ça va être razzia chez les libraires (et je crois qu'ils auront bien besoin de notre soutien)!Jenny a écrit:Il vient de sortir.
J’attends la réouverture de ma librairie pour m’en prendre d’autres.
- ValorNiveau 9
Non, j'en suis également, et, pour une fois, je m'en félicite. Ma plus grande angoisse est de n'avoir plus rien à lire.Jenny a écrit:Suis-je la seule à avoir une pile monstrueuse de livres non lus ? :oups:
- JennyMédiateur
Valor a écrit:Oh oui! Quand les temps seront meilleurs, ça va être razzia chez les libraires (et je crois qu'ils auront bien besoin de notre soutien)!Jenny a écrit:Il vient de sortir.
J’attends la réouverture de ma librairie pour m’en prendre d’autres.
J'ai trouvé un truc sympa sur instagram : écrire une liste avec un livre par semaine de confinement et transmettre la liste à une librairie à la
Moi aussi, je suis soulagée, en plus, j'ai plein de choix.
- nicole 86Expert spécialisé
Valor a écrit:Non, j'en suis également, et, pour une fois, je m'en félicite. Ma plus grande angoisse est de n'avoir plus rien à lire.Jenny a écrit:Suis-je la seule à avoir une pile monstrueuse de livres non lus ? :oups:
L'impossibilité d'avoir accès à la BU et aux livres d'étude provoque une vraie angoisse par contre pour la lecture de loisirs, je goûte la relecture autant que la découverte.
- JennyMédiateur
Oui, j'ai le même problème et je n'ai pas été à la BU à temps pour prendre quelques livres.
- *Ombre*Grand sage
Jenny a écrit:Suis-je la seule à avoir une pile monstrueuse de livres non lus ? :oups:
Non, Jenny, j'en ai pas mal aussi, mais même comme ça, il va devenir difficile de répondre aux catégories du défi : dans ma PAL, pas d'auteur de langue allemande, pas d'autrice du Maghreb, pas de littérature iranienne, a priori pas de livre qui fait peur... J'ai de quoi lire, mais pas pour le défi. C'est pourquoi je le mets temporairement de côté. Je pense que Salammbô sera ma dernière lecture défi avant le déconfinement.
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
merci Jenny pour l'idée, j'aime beaucoup Mishima et ce que tu dis du livre donne envie de le lire. Je le demanderai à mon libraire dès que possible.
Je ne manque toujours pas de lecture et heureusement, mais tout ne rentrera sans doute pas dans le défi (m'étonnerait que je possède des livres traduits du néerlandais sans le savoir). A contrario, je pourrais valider certains items plusieurs fois.
Pour le défi n°49 "un livre dont le titre mentionne une partie du corps" j'ai lu et aimé Les os des filles de Line PAPIN. J'hésite à remercier Lulu, je croyais lui avoir piqué toute sa liste, mais mes derniers déboires me font douter En tout cas, ce livre a déjà été commenté ici et je ne l'aurais pas connu sans l'un ou l'une d'entre vous. La narratrice franco-vietnamienne raconte certes son histoire, mais aussi et surtout celle de Hanoï, du Vietnam, de sa grand-mère... un beau récit où elle se parle à elle-même, d'elle-même, des autres aussi, de l'enfance enfuie, du déracinement à l'adolescence et de deux cultures bien éloignées. Merci pour la découverte. (Sinon j'aurais lu Le Cerveau de Kennedy d'Henning Mankell, ce qui arrivera aussi si le confinement se prolonge, oserais-je dire que je le souhaite ?)
merci Jenny pour l'idée, j'aime beaucoup Mishima et ce que tu dis du livre donne envie de le lire. Je le demanderai à mon libraire dès que possible.
Je ne manque toujours pas de lecture et heureusement, mais tout ne rentrera sans doute pas dans le défi (m'étonnerait que je possède des livres traduits du néerlandais sans le savoir). A contrario, je pourrais valider certains items plusieurs fois.
Pour le défi n°49 "un livre dont le titre mentionne une partie du corps" j'ai lu et aimé Les os des filles de Line PAPIN. J'hésite à remercier Lulu, je croyais lui avoir piqué toute sa liste, mais mes derniers déboires me font douter En tout cas, ce livre a déjà été commenté ici et je ne l'aurais pas connu sans l'un ou l'une d'entre vous. La narratrice franco-vietnamienne raconte certes son histoire, mais aussi et surtout celle de Hanoï, du Vietnam, de sa grand-mère... un beau récit où elle se parle à elle-même, d'elle-même, des autres aussi, de l'enfance enfuie, du déracinement à l'adolescence et de deux cultures bien éloignées. Merci pour la découverte. (Sinon j'aurais lu Le Cerveau de Kennedy d'Henning Mankell, ce qui arrivera aussi si le confinement se prolonge, oserais-je dire que je le souhaite ?)
- JennyMédiateur
Solution de secours pour l'auteur iranien : Zulma poste des nouvelles quotidiennement dont une de Zoya Pirzad.
https://www.zulma.fr/?utm_source=Une+nouvelle+pour+échapper+aux+nouvelles&utm_campaign=a6f0d3ecea-EMAIL_CAMPAIGN_2020_03_17_10_08_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_5498f45174-a6f0d3ecea-97038349
Pour Mishima, je pensais me commander la Mer de la fertilité qui réunit les 4 tomes. Vous avez d'autres conseils ? Je ne l'avais étrangement jamais lu auparavant.
Je suis contente que ça vous tente, c'est un de mes grands coups de coeur de ces dernières semaines.
https://www.zulma.fr/?utm_source=Une+nouvelle+pour+échapper+aux+nouvelles&utm_campaign=a6f0d3ecea-EMAIL_CAMPAIGN_2020_03_17_10_08_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_5498f45174-a6f0d3ecea-97038349
Pour Mishima, je pensais me commander la Mer de la fertilité qui réunit les 4 tomes. Vous avez d'autres conseils ? Je ne l'avais étrangement jamais lu auparavant.
Je suis contente que ça vous tente, c'est un de mes grands coups de coeur de ces dernières semaines.
- CarabasVénérable
J'ai un souvenir extra de Pavillon d'Or, une réflexion sur la beauté.Jenny a écrit:Solution de secours pour l'auteur iranien : Zulma poste des nouvelles quotidiennement dont une de Zoya Pirzad.
https://www.zulma.fr/?utm_source=Une+nouvelle+pour+échapper+aux+nouvelles&utm_campaign=a6f0d3ecea-EMAIL_CAMPAIGN_2020_03_17_10_08_COPY_01&utm_medium=email&utm_term=0_5498f45174-a6f0d3ecea-97038349
Pour Mishima, je pensais me commander la Mer de la fertilité qui réunit les 4 tomes. Vous avez d'autres conseils ? Je ne l'avais étrangement jamais lu auparavant.
Je suis contente que ça vous tente, c'est un de mes grands coups de coeur de ces dernières semaines.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- celitianSage
Pour l'auteur iranien, je suis en train de finir Vivre et mentir à Téhéran de Ramita Navai. Ce livre présente 8 portraits de Téhéranais, j'aime beaucoup l'écriture et j'apprends beaucoup sur l'histoire politique de ce pays (bon faut dire que je ne connaissais pas grand chose).
- lulucastagnetteEmpereur
Adren, oui c'est bien moi cette fois ! Ravie que ça t'ait plu.
Jenny, j'ai une grosse PAL également (mi-emprunts à la bibli, mi-achats) mais les défis qu'il me reste sont très précis (partie du corps, nom de membre de la famille, avec des cartes...) si bien que plus rien ne va rentrer. Je suis en train de lire Despentes (jamais lu auparavant) et ça ne rentre dans aucun défi.
Jenny, j'ai une grosse PAL également (mi-emprunts à la bibli, mi-achats) mais les défis qu'il me reste sont très précis (partie du corps, nom de membre de la famille, avec des cartes...) si bien que plus rien ne va rentrer. Je suis en train de lire Despentes (jamais lu auparavant) et ça ne rentre dans aucun défi.
- AdrenFidèle du forum
Lulu, ce sont à peu près les défis pour lesquels j'ai des doubles dėjà remplis, mais d'autres titres d'avance.
- TremereNiveau 9
Adren a écrit:Tremere, Chien-Loup, c'est grâce à toi, excuses et remerciements
Aucun problème ! Ravie que ça t'ait plu
Grâce à Liskaya, j'ai lu Bad Girl de Nancy Huston, que j'ai classé dans le défi 22.Un livre en français dont le titre est écrit dans une autre langue. C'est une autrice que j'aime énormément. J'avais commencé par lire ses romans mais ça fait le deuxième ouvrage plus autobiographique que je lis d'elle et c'est toujours un grand plaisir. Elle s'adresse à elle-même, à l'état de fœtus, et essaie de comprendre comment ce qui sera sa vie et ses choix littéraires trouvent leur source dans l'histoire de ses aïeux et celle de sa conception. Quand vous êtes une enfant non désirée dans un couple mal assorti, vous ne rappelez votre existence que pour montrer à vos parents combien vos talents remarquables vous rendent digne d'être aimée : "Oui, tu le découvriras toi-même : il est possible d'être omnidoué à condition d'être extrêmement anxieux".
Côté aïeux ça donne : une arrière-grand-mère teutonne sorcière qui hurle à la lune, un arrière-grand-père bon à rien, des enfants qui ont vécu dans une misère poisseuse : de l'autre côté, une grand-mère, fille de magistrat qui s'est déclassée en épousant le grand-père misérable. Bien, bien, bien. Je ne dis rien des parents, vous devenez déjà qu'ils sont dignes de figurer dans le roman. Mais finalement, tant mieux. Car tout ça, ça en fait de la matière pour un écrivain :
"Les gens te demanderont souvent pourquoi la famille est ton thème romanesque de prédilection, et tu les regarderas, perplexe. Y en a-t-il d'autres ? Y a-t-il quelque chose d'intéressant chez les humains, hormis le fait que, pour de bonnes ou mauvaises raisons, intensifiées par des pulsions animales aussi inconscientes qu'irrésistibles, ils copulent, font des enfants, s'efforcent de donner à ceux-ci une éducation meilleure que celle qu'ils ont reçue, échouent, vieillissent et meurent après avoir regardé leurs enfants grandir et partir trouver leurs propres partenaires et démarrer leur propre famille comme s'ils allaient refaire le monde à neuf, tout cela sur fond de grincement de dents, de tourmentes politiques, de conflits religieux, de rivalités fraternelles, de scènes d'inceste et de viol et de meurtre et de guerre et de prostitution, émaillé çà et là par un pique-nique familial dans une foire agricole ? De quoi d'autre un roman pourrait-il bien parler ?"
Convient aussi pour 3. Transmettre (ou Hériter), 9. Un roman sur le thème de l'abandon, 20. Un livre qui parle d'écriture(s), 24. Un livre dont le titre ne contient aucun E., 28. Femmes fortes, et sans doute d'autres.
Liskaya, si tu as aimé Bad Girl je te conseille Lèvres de pierre dont j'avais dû parler dans le défi 2019 car il me semble que c'est la suite. On y retrouve en tout cas notre chère Dorrit, mais cette fois-ci jeune fille puis jeune femme, en Amérique, puis en France.
Je suis maintenant en train de lire Walden, pour le défi Nature Writing. C'est dense mais il y a des pépites. Thoreau aurait été un contributeur du tonnerre sur ce fil. Une petite citation ? D'accord :
Henry Thoreau a écrit:"Ils lisent la cent-millième histoire de Zébulon et Sephronia, apprennent que ces amants s'aimaient comme nuls autres avant eux, mais que le cours de leur idylle fut loin d'être paisible -- il cascadait, tourbillonnait, sombrait puis se ressaisissait, toujours tumultueux ; ils apprennent comment un malheureux qui eût mieux fait de ne jamais dépasser le beffroi dut grimper tout en haut d'un clocher ; et comment après l'avoir inutilement mené là-haut, notre joyeux romancier fait sonner les cloches pour que le monde entier s'assemble et entende comment -- Oh mon Dieu ! -- ensuite, il en est descendu ! En ce qui me concerne, je tiens que l'on gagnerait à métamorphoser en girouettes tous les héros aspirant à une place dans l'universel romanesque, comme jadis on inscrivait les héros dans les constellations, pour les laisser tourner et tourner sur place jusqu'à ce qu'ils soient rouillés, sans jamais leur permettre de descendre pour pour venir enquiquiner les honnêtes gens avec leurs bouffonneries".
- PointàlaligneExpert
Pour le défi n°42 (un titre qui intrigue), j'ai sorti de ma PAL Sur les Ossements des morts, d'Olga Tokarczuk. Une série de crimes inexpliqués dans un village polonais perdu près de la frontière avec la Tchéquie est raconté par une femme vieillissante, qui a sa propre théorie : les animaux se vengeraient-ils ? Le ton est à la fois grave et léger, le récit n'est pas dénué d'humour. (La narratrice a d'autres théories, par exemple l'autisme testostéronique, qui affecte les hommes d'âge moyen : ils perdent leurs compétences sociales et s'intéressent aux documentaires sur la Seconde Guerre Mondiale et aux biographies des célébrités). Une lecture très agréable.
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
cette fois-ci, je n'ai piqué l'idée à personne (je crois d'ailleurs que mon sac de médiathèque est vide ou presque), pour le défi n°42 (livre dont le thème est une sport) Une partie de badminton d'Olivier ADAM. Bon. Il n'est pas du tout question de sport mais beaucoup... d'écriture ! Le personnage principal, Paul est un écrivain qui n'écrit plus. A quarante-cinq ans, sa vie part à vau-l'eau depuis qu'il a dû quitter Paris avec sa famille pour vivre en Bretagne où les loyers sont moins exorbitants. Sa lycéenne de fille en veut à ses parents pour ce déménagement, son fils n'aime que le surf et jouer à FIFA sur sa console, sa femme le trompe certainement et il apprend que ses parents ne lui ont peut-être pas tout dit sur les membres de sa famille... L'explication du titre est donnée dans un dialogue entre Paul et sa fille et viendrait des parole d'une chanson d'Alain Chamfort "Exister quel sport de rue/Sûr c'est pas du badminton" (que je ne connais pas). Je ne sais pas si ce titre valide ce défi. Une bonne lecture de confinement, j'aurais peut-être tardé davantage à l'ouvrir sinon.
cette fois-ci, je n'ai piqué l'idée à personne (je crois d'ailleurs que mon sac de médiathèque est vide ou presque), pour le défi n°42 (livre dont le thème est une sport) Une partie de badminton d'Olivier ADAM. Bon. Il n'est pas du tout question de sport mais beaucoup... d'écriture ! Le personnage principal, Paul est un écrivain qui n'écrit plus. A quarante-cinq ans, sa vie part à vau-l'eau depuis qu'il a dû quitter Paris avec sa famille pour vivre en Bretagne où les loyers sont moins exorbitants. Sa lycéenne de fille en veut à ses parents pour ce déménagement, son fils n'aime que le surf et jouer à FIFA sur sa console, sa femme le trompe certainement et il apprend que ses parents ne lui ont peut-être pas tout dit sur les membres de sa famille... L'explication du titre est donnée dans un dialogue entre Paul et sa fille et viendrait des parole d'une chanson d'Alain Chamfort "Exister quel sport de rue/Sûr c'est pas du badminton" (que je ne connais pas). Je ne sais pas si ce titre valide ce défi. Une bonne lecture de confinement, j'aurais peut-être tardé davantage à l'ouvrir sinon.
- Volo'Neoprof expérimenté
Je vais prendre le défi 30 de manière très littérale.
30. Silence - Michelle Perrot, Les femmes ou les silences de l’histoire
Dans cet ouvrage, Michelle Perrot revient sur la question qu’elle a déjà étudiée « Peut-on faire l’histoire des femmes ? Quelle histoire ont les femmes ? ». L’ouvrage brosse plusieurs thématiques : la question des sources (ou traces dans le sillage de Farge), la place des témoignes et revient ensuite sur des thématiques habituelles comme les femmes au travail, les femmes et le civique. L’intérêt ici est, pour moi, la dernière partie qui pose les derniers débats de l’historiographie et plus généralement de société sur les femmes.
Pour ceux qui suivent les articles de Michelle Perrot, il n’y a pas grand chose de neuf puisqu’elle reprend ses articles (c’est une compilation). Par contre, l’introduction est très intéressante puisqu’elle pose les dernières avancées. Et la dernière partie vient questionner le particularisme français (dans la lignée de Ozouf), les travaux de Foucault ou encore les questions de société.
L’ouvrage est assez inégal dans ses parties : la première sur les filles de Marx m’a notamment bien fait suer, mais c’est un plaisir de retrouver Perrot sur les questions du travail et du gynécée.
C’est une compilation qui a au moins le mérite d’un projet : celui de brosser une histoire des femmes sur le XIXème siècle !
Dans cet ouvrage, Michelle Perrot revient sur la question qu’elle a déjà étudiée « Peut-on faire l’histoire des femmes ? Quelle histoire ont les femmes ? ». L’ouvrage brosse plusieurs thématiques : la question des sources (ou traces dans le sillage de Farge), la place des témoignes et revient ensuite sur des thématiques habituelles comme les femmes au travail, les femmes et le civique. L’intérêt ici est, pour moi, la dernière partie qui pose les derniers débats de l’historiographie et plus généralement de société sur les femmes.
Pour ceux qui suivent les articles de Michelle Perrot, il n’y a pas grand chose de neuf puisqu’elle reprend ses articles (c’est une compilation). Par contre, l’introduction est très intéressante puisqu’elle pose les dernières avancées. Et la dernière partie vient questionner le particularisme français (dans la lignée de Ozouf), les travaux de Foucault ou encore les questions de société.
L’ouvrage est assez inégal dans ses parties : la première sur les filles de Marx m’a notamment bien fait suer, mais c’est un plaisir de retrouver Perrot sur les questions du travail et du gynécée.
C’est une compilation qui a au moins le mérite d’un projet : celui de brosser une histoire des femmes sur le XIXème siècle !
- JennyMédiateur
Pour le défi 7, un livre qui comporte des photographies, j'ai lu François Dosse - Pierre Vidal-Naquet, Une vie.
C'est une biographie dense de l'historien de la Grèce antique. Son itinéraire d'intellectuel engagé, notamment son combat contre la torture en Algérie, m'a intéressée et son côté déconnecté de la vie matérielle m'a parfois fait rire. Quelques longueurs et répétitions cependant.
Pour le défi 34, Nourriture(s), j'ai choisi cette BD de Franckie Alarcon - L'art du sushi.
De très belles pages, agréable à lire et très instructif. Beaucoup d'éléments sur la pêche, la découpe du poisson, des rencontres avec des maîtres sushis, la fabrication du saké et du soja. Vraiment un beau livre pour les amateurs du Japon, que je relirai avec plaisir.
Un aperçu en image :
C'est une biographie dense de l'historien de la Grèce antique. Son itinéraire d'intellectuel engagé, notamment son combat contre la torture en Algérie, m'a intéressée et son côté déconnecté de la vie matérielle m'a parfois fait rire. Quelques longueurs et répétitions cependant.
Pour le défi 34, Nourriture(s), j'ai choisi cette BD de Franckie Alarcon - L'art du sushi.
De très belles pages, agréable à lire et très instructif. Beaucoup d'éléments sur la pêche, la découpe du poisson, des rencontres avec des maîtres sushis, la fabrication du saké et du soja. Vraiment un beau livre pour les amateurs du Japon, que je relirai avec plaisir.
Un aperçu en image :
- RyuzakiNiveau 9
Défi 48, Un roman d'amour : La duchesse de Langeais, Balzac
Les relations difficiles entre un général trop idéaliste et une duchesse trop coquette.
Dans ce roman on trouve, entre autres :
De très longues digressions, au point qu'on sent parfois que le récit n'est pour Balzac qu'un prétexte pour dire ce qu'il a à dire sur la société de son temps, notamment sur la noblesse.
Quelques scènes très romanesques, avec enlèvement et menaces de torture, qui détonnent dans un cadre plutôt ordinaire.
Une vision de la femme plutôt négative, coquette et manipulatrice tant qu'elle n'a pas été subjuguée par un homme fort (Balzac l'a écrit après un chagrin d'amour apparemment).
Une fin très rapide, expédiée en quelques pages.
Dans l'ensemble, ce n'est pas un livre que j'ai trouvé particulièrement marquant. Les protagonistes sont bien peu attachants, et leur relation m'a laissé indifférent.
Verdict : à lire à la rigueur
Balzac a écrit:Or, la duchesse et Montriveau se ressemblaient en ce point qu'ils étaient également inexperts en amour. Elle en connaissait très peu la théorie, elle en ignorait la pratique, ne sentait rien et réfléchissait à tout. Montriveau connaissait peu de pratique, ignorait la théorie et sentait trop pour réfléchir.
Les relations difficiles entre un général trop idéaliste et une duchesse trop coquette.
Dans ce roman on trouve, entre autres :
De très longues digressions, au point qu'on sent parfois que le récit n'est pour Balzac qu'un prétexte pour dire ce qu'il a à dire sur la société de son temps, notamment sur la noblesse.
Quelques scènes très romanesques, avec enlèvement et menaces de torture, qui détonnent dans un cadre plutôt ordinaire.
Une vision de la femme plutôt négative, coquette et manipulatrice tant qu'elle n'a pas été subjuguée par un homme fort (Balzac l'a écrit après un chagrin d'amour apparemment).
Une fin très rapide, expédiée en quelques pages.
Dans l'ensemble, ce n'est pas un livre que j'ai trouvé particulièrement marquant. Les protagonistes sont bien peu attachants, et leur relation m'a laissé indifférent.
Verdict : à lire à la rigueur
- AdrenFidèle du forum
Bonjour à tous,
un livre qui fait rire ou sourire (défi n°26) : La minute antique de Christophe ONO-DIT-BIOT. Les mythes antiques revisités par l'actualité. Parfois un peu tiré par les cheveux, mais j'ai l'humour assez solide pour aimer. On y retrouve les dieux antiques dans des récits rappelant furieusement une actualité pas si lointaine (Si Macron est Jupiter, alors Mélenchon est Typhon, par exemple), légendes et sources antiques à l'appui.
un roman d'amour (défi n°48), Le discours de Fabrice CARO que vous êtes nombreux à avoir choisi pour le livre qui fait rire. Je le classe dans l'histoire d'amour (terminée) entre Adrien le narrateur et Sonia qui avait "besoin d'une pause". Le temps d'un dîner familial pendant lequel son beau-frère lui demande de prononcer un discours pour le mariage de sa soeur, le narrateur fait état de ses pensées, de son histoire d'amour avec Sonia qu'il espère inachevée, de ce futur discours qu'il ne veut pas prononcer, de ses souvenirs d'enfance (le fameux porte-serviettes), le tout avec beaucoup d'humour, il est vrai.
un livre qui fait rire ou sourire (défi n°26) : La minute antique de Christophe ONO-DIT-BIOT. Les mythes antiques revisités par l'actualité. Parfois un peu tiré par les cheveux, mais j'ai l'humour assez solide pour aimer. On y retrouve les dieux antiques dans des récits rappelant furieusement une actualité pas si lointaine (Si Macron est Jupiter, alors Mélenchon est Typhon, par exemple), légendes et sources antiques à l'appui.
un roman d'amour (défi n°48), Le discours de Fabrice CARO que vous êtes nombreux à avoir choisi pour le livre qui fait rire. Je le classe dans l'histoire d'amour (terminée) entre Adrien le narrateur et Sonia qui avait "besoin d'une pause". Le temps d'un dîner familial pendant lequel son beau-frère lui demande de prononcer un discours pour le mariage de sa soeur, le narrateur fait état de ses pensées, de son histoire d'amour avec Sonia qu'il espère inachevée, de ce futur discours qu'il ne veut pas prononcer, de ses souvenirs d'enfance (le fameux porte-serviettes), le tout avec beaucoup d'humour, il est vrai.
- VioletEmpereur
Je ne viens plus aussi souvent sur Néo qu'avant, et je ne lis donc pas tout, mais j'avais lu ici des critiques positives pour Né d'aucune femme.
J'ai adoré ce roman, même s'il est très dur et parfois sordide. Il m'a marquée. Une belle découverte.
Merci à celles qui en avaient parlé !
Je viens de commencer Le Bal des folles, et même si je n'en suis qu'au début, j'ai un gros coup de coeur pour ce roman. Très bien écrit, et captivant.
Je me suis forcée à arrêter de lire pour le déguster et le faire un peu durer
J'ai adoré ce roman, même s'il est très dur et parfois sordide. Il m'a marquée. Une belle découverte.
Merci à celles qui en avaient parlé !
Je viens de commencer Le Bal des folles, et même si je n'en suis qu'au début, j'ai un gros coup de coeur pour ce roman. Très bien écrit, et captivant.
Je me suis forcée à arrêter de lire pour le déguster et le faire un peu durer
- SeiGrand Maître
Défi transmettre/hériter : Psychanalyse des contes de fées – Bruno Bettelheim
Je n'avais finalement jamais lu in extenso cet essai important.
Parce que la grille de lecture est celle, très cadrée, de la psychanalyse (pas de surprise, vu le titre), l'ensemble est très cohérent, et stimulant à bien des égards. J’en connaissais l’essentiel, mais lire vraiment l’essai m’a permis de bien avoir en tête la pensée de Bettelheim et d’affiner certaines analyses un peu grossières sur les relations entre les contes et la psychanalyse. L'essai dévoile la profondeur et la richesse des contes, tout en montrant bien leurs spécificités. Bettelheim exclut de la catégorie des contes de fées certains contes de Perrault, par exemple, trop pensés, raffinés par un homme de la cour pour offrir autant de promesses à l’inconscient que les contes ruminés et peaufinés par la transmission orale jusqu’à dégager leur charpente inconsciente commune.
J'ai eu beaucoup de plaisir à redécouvrir des contes qui m'ont beaucoup parlé petite fille.
Toutefois, j'ai aussi trouvé la grille de lecture un peu pesante car au fond l’analyse repose sur des dogmes psychanalytiques (et du temps a passé depuis la parution de l'ouvrage !). Une fois qu'on a compris la dynamique d’ensemble, l’impression de révélation est moindre. Mon côté littéraire préfère d’autres analyses sur le sujet, comme celles de Sermain, par exemple.
L’appareil critique se composait d’une foule d’articles contemporains de la parution de l’essai. Bettelheim s’en était pris plein les dents !
Défi "Un livre qui parle d'écriture" : Fabuler la fin du monde, Jean-Paul Engélibert
Essai stimulant sur les écritures contemporaines (romans essentiellement, mais aussi séries télévisées ou fictions de cinéma) de l'apocalypse. Engélibert dresse un panorama d'œuvres actuelles sur le sujet, en assumant le caractère disparate du corpus et en privilégiant celles qui offrent vraiment une apocalypse rendant caduque notre époque (il exclut donc de l'analyse nombre fictions hollywoodiennes où la catastrophe n'est somme toute qu'un prétexte pour que tout redevienne comme avant). Il ancre son propos à partir d'une réflexion sur l'anthropocène, et il opte pour le XIXe siècle (et la révolution industrielle) quand il s'agit de donner une date de naissance à cette ère, en montrant bien que les récits d'apocalypse nés à cette époque ont un propos qui rend compte non seulement de l'époque de la révolution industrielle, mais également de notre époque. Cela lui permet de développer tout au long de l'essai une réflexion sur une apocalypse qui serait non plus imminente, mais immanente. Plus que de préparer à une apocalypse à venir, les œuvres nous invitent à considérer que nous vivons l'apocalypse. L'auteur s'appuie également sur les recherches actuelles sur l'évolution du climat et la création de nouveaux modèles sociétaux.
Dès lors, Engélibert voit une dimension politique sur les œuvres qui l'occupent : loin de sombrer dans la nostalgie d'un passé disparu, elles proposent de nouveaux modèles sociétaux, non pas à suivre tels quels (elles n'ont pas un but moral), mais plutôt en ce qu'elles ouvrent les possibles et redéfinissent un nouvel espace mythique. Elles sont donc actives. Engélibert s'interroge aussi sur "ce qu'il reste" quand il ne reste plus rien, et dégage de ces différentes fictions une réflexion sur la parole, l'art, l'amour, et, finalement, l'ineffable.
Défi "Fin d'un monde" : Des anges mineurs, Antoine Volodine
Sur les "conseils" de l'essai d'Engélibert, je découvre Volodine et sa puissance poétique.
Il ne reste rien. Une poignée d'êtres humains subsiste, qui se nourrissent de mouettes ou d'autres êtres humains, ainsi qu'une logorrhée, troublante et trouée, constituée de différents "narrats" aux narrateurs nommés, mais insaisissables. On comprend peu à peu en quoi consiste le fil conducteur qui les relie, mais on ne perçoit jamais parfaitement à quel point ils appartiennent au rêve ou à la réalité. La solitude devient la pierre de touche de l'ensemble. Tout s'effiloche au fil de la lecture qui nous force à perdre de vue la notion même de centre. Pas étonnant, dès lors, qu'un des enjeux fuyants du roman consiste en la quête de vieilles immortelles qui s'efforce coûte que coûte d'anéantir le capitalisme pour rétablir le communisme.
Et là, je lis la trilogie MaddAdam, de Margareth Atwood, mais j'attends d'avoir terminé le dernier tome (que je commence juste) pour en parler ! (mes lectures tombent à pic : la trilogie raconte la destruction de l'humanité à cause d'un mauvais virus ^^)
Je n'avais finalement jamais lu in extenso cet essai important.
Parce que la grille de lecture est celle, très cadrée, de la psychanalyse (pas de surprise, vu le titre), l'ensemble est très cohérent, et stimulant à bien des égards. J’en connaissais l’essentiel, mais lire vraiment l’essai m’a permis de bien avoir en tête la pensée de Bettelheim et d’affiner certaines analyses un peu grossières sur les relations entre les contes et la psychanalyse. L'essai dévoile la profondeur et la richesse des contes, tout en montrant bien leurs spécificités. Bettelheim exclut de la catégorie des contes de fées certains contes de Perrault, par exemple, trop pensés, raffinés par un homme de la cour pour offrir autant de promesses à l’inconscient que les contes ruminés et peaufinés par la transmission orale jusqu’à dégager leur charpente inconsciente commune.
J'ai eu beaucoup de plaisir à redécouvrir des contes qui m'ont beaucoup parlé petite fille.
Toutefois, j'ai aussi trouvé la grille de lecture un peu pesante car au fond l’analyse repose sur des dogmes psychanalytiques (et du temps a passé depuis la parution de l'ouvrage !). Une fois qu'on a compris la dynamique d’ensemble, l’impression de révélation est moindre. Mon côté littéraire préfère d’autres analyses sur le sujet, comme celles de Sermain, par exemple.
L’appareil critique se composait d’une foule d’articles contemporains de la parution de l’essai. Bettelheim s’en était pris plein les dents !
Défi "Un livre qui parle d'écriture" : Fabuler la fin du monde, Jean-Paul Engélibert
Essai stimulant sur les écritures contemporaines (romans essentiellement, mais aussi séries télévisées ou fictions de cinéma) de l'apocalypse. Engélibert dresse un panorama d'œuvres actuelles sur le sujet, en assumant le caractère disparate du corpus et en privilégiant celles qui offrent vraiment une apocalypse rendant caduque notre époque (il exclut donc de l'analyse nombre fictions hollywoodiennes où la catastrophe n'est somme toute qu'un prétexte pour que tout redevienne comme avant). Il ancre son propos à partir d'une réflexion sur l'anthropocène, et il opte pour le XIXe siècle (et la révolution industrielle) quand il s'agit de donner une date de naissance à cette ère, en montrant bien que les récits d'apocalypse nés à cette époque ont un propos qui rend compte non seulement de l'époque de la révolution industrielle, mais également de notre époque. Cela lui permet de développer tout au long de l'essai une réflexion sur une apocalypse qui serait non plus imminente, mais immanente. Plus que de préparer à une apocalypse à venir, les œuvres nous invitent à considérer que nous vivons l'apocalypse. L'auteur s'appuie également sur les recherches actuelles sur l'évolution du climat et la création de nouveaux modèles sociétaux.
Dès lors, Engélibert voit une dimension politique sur les œuvres qui l'occupent : loin de sombrer dans la nostalgie d'un passé disparu, elles proposent de nouveaux modèles sociétaux, non pas à suivre tels quels (elles n'ont pas un but moral), mais plutôt en ce qu'elles ouvrent les possibles et redéfinissent un nouvel espace mythique. Elles sont donc actives. Engélibert s'interroge aussi sur "ce qu'il reste" quand il ne reste plus rien, et dégage de ces différentes fictions une réflexion sur la parole, l'art, l'amour, et, finalement, l'ineffable.
Défi "Fin d'un monde" : Des anges mineurs, Antoine Volodine
Sur les "conseils" de l'essai d'Engélibert, je découvre Volodine et sa puissance poétique.
Il ne reste rien. Une poignée d'êtres humains subsiste, qui se nourrissent de mouettes ou d'autres êtres humains, ainsi qu'une logorrhée, troublante et trouée, constituée de différents "narrats" aux narrateurs nommés, mais insaisissables. On comprend peu à peu en quoi consiste le fil conducteur qui les relie, mais on ne perçoit jamais parfaitement à quel point ils appartiennent au rêve ou à la réalité. La solitude devient la pierre de touche de l'ensemble. Tout s'effiloche au fil de la lecture qui nous force à perdre de vue la notion même de centre. Pas étonnant, dès lors, qu'un des enjeux fuyants du roman consiste en la quête de vieilles immortelles qui s'efforce coûte que coûte d'anéantir le capitalisme pour rétablir le communisme.
Et là, je lis la trilogie MaddAdam, de Margareth Atwood, mais j'attends d'avoir terminé le dernier tome (que je commence juste) pour en parler ! (mes lectures tombent à pic : la trilogie raconte la destruction de l'humanité à cause d'un mauvais virus ^^)
- TremereNiveau 9
Bonjour,
Pour le défi 11. Nature Writing, j'ai lu Walden de Henry Thoreau.
L'auteur se construit une maison dans les bois, à côté de l'étang de Walden et y reste deux ans. Il n'est pas tout à fait solitaire car il reçoit assez souvent des visiteurs, mais cet isolement est l'occasion d'une immersion dans la nature, d'un regard attentif sur les bois environnants, les bêtes qui le peuplent, et bien sûr de réflexions sur la civilisation vue à travers l’œil de Thoreau, qui m'a ravie avec ses réflexions géniales teintées d'une misanthropie amusante.
Une citation que je ne peux m'empêcher de relier à ce que nous vivons actuellement : "Si je devais passer mes jours confinés dans le recoin d'un galetas, comme une araignée, le monde me serait tout aussi grand tant que je pourrais avoir mes pensées avec moi."
Malheureusement, on n'est pas tous capables d'avoir des pensées aussi profondes que lui
Convient aussi pour le défi 21. Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné puisque Thoreau a refusé de payer ses impôts, pour protester contre l'esclavage en vigueur dans l'état où il vivait.
Pour le défi 11. Nature Writing, j'ai lu Walden de Henry Thoreau.
L'auteur se construit une maison dans les bois, à côté de l'étang de Walden et y reste deux ans. Il n'est pas tout à fait solitaire car il reçoit assez souvent des visiteurs, mais cet isolement est l'occasion d'une immersion dans la nature, d'un regard attentif sur les bois environnants, les bêtes qui le peuplent, et bien sûr de réflexions sur la civilisation vue à travers l’œil de Thoreau, qui m'a ravie avec ses réflexions géniales teintées d'une misanthropie amusante.
Une citation que je ne peux m'empêcher de relier à ce que nous vivons actuellement : "Si je devais passer mes jours confinés dans le recoin d'un galetas, comme une araignée, le monde me serait tout aussi grand tant que je pourrais avoir mes pensées avec moi."
Malheureusement, on n'est pas tous capables d'avoir des pensées aussi profondes que lui
Convient aussi pour le défi 21. Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné puisque Thoreau a refusé de payer ses impôts, pour protester contre l'esclavage en vigueur dans l'état où il vivait.
- AsarteLilithBon génie
Le Fils de l'étoile, Marcus Malte. Nouvelle intriguante et glaçante, envoyée par les éditions Zulma dans leur newsletter spéciale confinement.
"
Avec Le Fils de l’étoile, Marcus Malte nous emmène dans un château du Touquet que l’on dit hanté. Parmi les adolescents qui viennent y passer quelques jours en colonie de vacances, Mestrel est seul et désemparé. Il trouve du réconfort auprès de François, un garçon bien énigmatique… Pendant ce temps, des incidents surviennent. Des disparitions et du sang."
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Avec Le Fils de l’étoile, Marcus Malte nous emmène dans un château du Touquet que l’on dit hanté. Parmi les adolescents qui viennent y passer quelques jours en colonie de vacances, Mestrel est seul et désemparé. Il trouve du réconfort auprès de François, un garçon bien énigmatique… Pendant ce temps, des incidents surviennent. Des disparitions et du sang."
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Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- JennyMédiateur
Marcus Malte
Tu as lu Le garçon, AL ? C'est un des romans qui m'a le plus marquée ces dernières années.
Tu as lu Le garçon, AL ? C'est un des romans qui m'a le plus marquée ces dernières années.
- AsarteLilithBon génie
Pas du tout ! Je ne connaissais pas cet auteur. Merci du conseil lecture !
Connais- tu cette nouvelle ? J'ai été soufflée. On oscille entre roman fantastique et polar. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Les nouvelles Zulma sont plutôt bien !
Connais- tu cette nouvelle ? J'ai été soufflée. On oscille entre roman fantastique et polar. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Les nouvelles Zulma sont plutôt bien !
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