- adumbrateNiveau 10
Aphrodissia a écrit:Je ne crois pas, non.adumbrate a écrit:Petite question : pour le n°33, peut-on faire passer un livre primé par les lecteurs d'un site internet (babelio) ?
Ok. Merci pour ta réponse.
Doit-on toujours poster un message pour faire un bilan rapide de la lecture ?
- AudreyOracle
Ergo a écrit:
Sinon, dans un style différent quand on discutait post-ap, ils m'ont conseillé Le mur invisible (1963) de Marlen Haushofer mais de ce que je comprends, celui-là pourrait plutôt aller dans « Femmes fortes ».
- Le résumé de l'éditeur:
Une catastrophe sans doute planétaire mais dont l’origine chimique ou nucléaire restera indéfinie va bouleverser l’existence d’une femme ordinaire. Elle se retrouve soudain séparée du reste du monde par un mur invisible au-delà duquel toute vie semble s’être pétrifiée durant la nuit. Le roman le plus célèbre et le plus émouvant de Marlen Haushofer.
J'ai lu Le Mur invisible, et je l'ai même fait acheter pour nos 3e... C'est ma grosse claque de l'an dernier. A mon sens, ce n'est pas de la science-fiction. Ce roman est centré sur la survie d'une femme seule dans la nature, et les animaux y prennent une place essentielle. Il n'y aucun questionnement sur la cause de ce mur invisible.
Faut que j'aille éplucher ce que c'est, mais ça pourrait ptêt rentrer dans l'item nature writing...
- ThalieGrand sage
J'ai lu ce roman vers la vingtaine, il m'a beaucoup marquée.
- *Ombre*Grand sage
gregforever a écrit:Ha tu me diras ce que tu en as pensé, j'ai été un peu déçue sur ce dernier volume et je n'ai guère apprécié la fin....
Bon, eh bien, volume plié. Bilan : moi aussi, je suis déçue. En fait, je ne suis même pas sûre d'avoir bien compris la fin, tant c'était embrouillé.
- attention spoiler:
Elle fait quoi, Ophélie ? Elle part rejoindre son bien-aimé dans les limbes de l'inter-monde ? Le délivrer ? Et puis, sérieux, c'est quoi, cette idée, de balancer Elizabeth comme Dieu ? Un personnage redouté, que servent tant de conspirateurs infichus de la reconnaître ? J'ai trouvé ça complètement tiré par les cheveux, à se demander si l'auteur y avait réfléchi en amont.
Et puis j'ai regretté que tant de personnages si habilement développés dans le tome 2 soient à ce point sous-exploités (Archibald, Bérénilde, Gaëlle...). Bref, une fin ratée selon moi. C'est dommage, une belle saga qui se termine un peu en eau de boudin. Mon volume préféré restera le 2e.
Je pense faire entrer ce titre dans le défi 20, livre qui parle d'écriture(s), puisqu'il est question de langues perdues, de peuples sans écriture, de livres indéchiffrables et de code à réinventer. Mais il peut convenir aussi pour les défis 28 (femmes fortes) et 27 (métamorphoses) puisqu'un des personnages ne cesse de changer d'apparence.
- gregforeverGrand sage
Je contente que tu partages cette vision; je n'avais pas développé pour ne pas spoiler mais en effet les deux points que tu soulèves sont ceux qui m'ont dérangé.... en plus je déteste
- Spoiler:
- les fins ouvertes
- EloahExpert spécialisé
Je ne connais pas du tout M. Haushofer, vous m'intriguez ... !
Je pense commencer par le défi 22 avec un roman jeunesse que ma fille m'a offert : The wicked deep, de Shea Ernshaw, la légende de trois sœurs accusées de sorcellerie et tuées en 1822 qui, depuis, reviennent se venger chaque année en tuant de jeunes hommes. La couverture est superbe ! https://www.rageot.fr/sites/default/files/images/livres/couv/9782700259384-001-T.jpeg
Pour le livre d'entretiens (défi 2) je me demande si je peux lire Eloge de la folie d'Alexandre Jollien qui imagine un entretien entre lui-même et Socrate : qu'en pensez-vous ? Ce livre est sur ma PAL depuis un petit moment !
Je pense commencer par le défi 22 avec un roman jeunesse que ma fille m'a offert : The wicked deep, de Shea Ernshaw, la légende de trois sœurs accusées de sorcellerie et tuées en 1822 qui, depuis, reviennent se venger chaque année en tuant de jeunes hommes. La couverture est superbe ! https://www.rageot.fr/sites/default/files/images/livres/couv/9782700259384-001-T.jpeg
Pour le livre d'entretiens (défi 2) je me demande si je peux lire Eloge de la folie d'Alexandre Jollien qui imagine un entretien entre lui-même et Socrate : qu'en pensez-vous ? Ce livre est sur ma PAL depuis un petit moment !
- nicole 86Expert spécialisé
Le livre d Alexandre Jollien est : "L'éloge de la faiblesse "
Je dirais : joli détournement de la consigne !
Je dirais : joli détournement de la consigne !
- EloahExpert spécialisé
Oui, bien sûr, merci de corriger mon erreur, Nicole !
- Volo'Neoprof expérimenté
Sur les premières lectures qui s'annoncent, à la vue des cadeaux de Noël, deux livres a priori :
- Frère d'âme, de Diop ; à voir où il se mettrait. J'ai déjà une idée, à voir à la lecture si cela se confirme.
- L'art de perdre, de Zeniter. J'ai vu qu'Écusette l'a lu au précédent défi. Côté fin du monde ou encore transmettre, on peut être dans les clous.
J'ai également commencé ce matin Opération âme errante (Wandering Soul) de Richard Powers, l'auteur de L'Arbre-monde (The Overstory), où il est également question d'héritage et de plongée dans le passé. À voir quand je l'aurai fini puisque c'est une somme, comme l'autre ouvrage.
- Frère d'âme, de Diop ; à voir où il se mettrait. J'ai déjà une idée, à voir à la lecture si cela se confirme.
- L'art de perdre, de Zeniter. J'ai vu qu'Écusette l'a lu au précédent défi. Côté fin du monde ou encore transmettre, on peut être dans les clous.
J'ai également commencé ce matin Opération âme errante (Wandering Soul) de Richard Powers, l'auteur de L'Arbre-monde (The Overstory), où il est également question d'héritage et de plongée dans le passé. À voir quand je l'aurai fini puisque c'est une somme, comme l'autre ouvrage.
- JennyMédiateur
Ca te plaît, Opération âme errante ? Je ne suis pas arrivée au bout.
- adumbrateNiveau 10
Comme c'était indiqué qu'on pouvait commencer avant, je me suis lancée le 25/12 (je profite des vacances pour lire, parce qu'en période scolaire, j'ai vraiment du mal). Et puis comme les lectures que j'avais en attente semblent rentrer dans le cadre du défi...
- 32. Un livre avec des cartes : La Mémoire de Babel (tome III de la Passe-miroir) : j'ai été tentée par ce que j'en ai lu sur ce forum. Autant j'ai dévoré les volumes I et II, autant j'ai eu plus de mal à accrocher à la première moitié, même si ça reste intéressant. J'espère quand même mettre la main sur le dernier volume rapidement.
- 47. Un livre choisi pour son titre intriguant : Une Sirène à Paris, Mathias Malzieu : il était sur un des présentoirs de la bibliothèque, et le titre m'a en effet intriguée (et comme j'avais aimé les premiers ouvrages de l'auteur, même si je les ai lus il y a longtemps, je n'ai pas hésité).
J'ai passé un moment plaisant. L'histoire se suit bien (la rencontre d'un héros rêveur avec une sirène), même si ce qui fait tout l'intérêt du livre, en tout cas pour moi, c'est le côté "poético-décalé" de l'écriture de Mathias Malzieu, dont j'appréciais déjà les images qui surgissent ça et là, quand, jeune encore, j'écoutais en boucle Dionysos. J'ai bien aimé, en particulier, l'évocation de la crue.
Sinon, c'est sans doute une question bête, mais ça correspond à quoi le "nature writing" du n° 11 ?
- 32. Un livre avec des cartes : La Mémoire de Babel (tome III de la Passe-miroir) : j'ai été tentée par ce que j'en ai lu sur ce forum. Autant j'ai dévoré les volumes I et II, autant j'ai eu plus de mal à accrocher à la première moitié, même si ça reste intéressant. J'espère quand même mettre la main sur le dernier volume rapidement.
- 47. Un livre choisi pour son titre intriguant : Une Sirène à Paris, Mathias Malzieu : il était sur un des présentoirs de la bibliothèque, et le titre m'a en effet intriguée (et comme j'avais aimé les premiers ouvrages de l'auteur, même si je les ai lus il y a longtemps, je n'ai pas hésité).
J'ai passé un moment plaisant. L'histoire se suit bien (la rencontre d'un héros rêveur avec une sirène), même si ce qui fait tout l'intérêt du livre, en tout cas pour moi, c'est le côté "poético-décalé" de l'écriture de Mathias Malzieu, dont j'appréciais déjà les images qui surgissent ça et là, quand, jeune encore, j'écoutais en boucle Dionysos. J'ai bien aimé, en particulier, l'évocation de la crue.
Sinon, c'est sans doute une question bête, mais ça correspond à quoi le "nature writing" du n° 11 ?
- AmaliahEmpereur
Pour "Femmes fortes", je viens de relire Sissi jeune fille et Sissi impératrice dans la version années 50 que j'ai empruntés à la bibliothèque de mes parents. Relecture délicieusement nostalgique de mes émois d'enfance, une vraie madeleine de Proust! Entre Sissi et sa belle-mère, on est servi en femmes fortes.
Et comme on part quelques petits jours à Vienne, je pense lire Le Monde d'hier pour "Fin d'un monde".
Et j'ai sur ma Kindle Le Mur invisible dont vous venez de parler et Fuck America.
Et comme on part quelques petits jours à Vienne, je pense lire Le Monde d'hier pour "Fin d'un monde".
Et j'ai sur ma Kindle Le Mur invisible dont vous venez de parler et Fuck America.
- Volo'Neoprof expérimenté
Jenny a écrit:Ca te plaît, Opération âme errante ? Je ne suis pas arrivée au bout.
Je ne me prononce pas encore, Jenny. Je suis dans le même état d'esprit que pour L'Arbre-monde, où le début (soit la centaine de pages) est une plongée dans un univers qui nous mène dans des sens multiples. Je reviendrai dessus plus tard. Si je m'étais écouté pour son autre ouvrage, je me serais arrêté parce que j'avais du mal avec son écriture et les points de vue multiples sur quarante pages pour revenir deux cents pages plus loin au personnage de base. Finalement j'ai absolument adoré et c'est l'une de mes meilleures lectures de 2019. A voir d'ici la fin des vacances.
Pour le nature writing, je l'ai compris comme toute lecture se rapprochant du transcendalisme donc à piocher dans les "récits de nature". Dans les connus tu as Krakauer avec Into The wild. Je pensais me rapprocher de Whitman, de mon côté. J'ai beaucoup aimé ses poésies.
Pour le nature writing, je l'ai compris comme toute lecture se rapprochant du transcendalisme donc à piocher dans les "récits de nature". Dans les connus tu as Krakauer avec Into The wild. Je pensais me rapprocher de Whitman, de mon côté. J'ai beaucoup aimé ses poésies.
- PoupoutchModérateur
Quelques petites questions sur certains défis :
- Pour le livre traduit du néerlandais, j'en ai un en cours mais en VO. Je peux le compter ? (j'entends bien que c'est dommage, car peu pourraient le lire, mais... J'ai déjà le beaucoup d'auteurs néerlandais et on n'en traduit pas tant que cela.)
- pour le livre sur l'abandon, l'abandon d'un animal, ça fonctionne hein ?
- Pour le livre traduit du néerlandais, j'en ai un en cours mais en VO. Je peux le compter ? (j'entends bien que c'est dommage, car peu pourraient le lire, mais... J'ai déjà le beaucoup d'auteurs néerlandais et on n'en traduit pas tant que cela.)
- pour le livre sur l'abandon, l'abandon d'un animal, ça fonctionne hein ?
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- PointàlaligneExpert
Poupoutch a écrit:Quelques petites questions sur certains défis :
- Pour le livre traduit du néerlandais, j'en ai un en cours mais en VO. Je peux le compter ? (j'entends bien que c'est dommage, car peu pourraient le lire, mais... J'ai déjà le beaucoup d'auteurs néerlandais et on n'en traduit pas tant que cela.)
- pour le livre sur l'abandon, l'abandon d'un animal, ça fonctionne hein ?
Je dirais que :
-oui
-et oui.
J'entame le défi avec l'effrayante Cosmologie des monstres de Shaun Hamill, qui peut être un "livre qui fait peur" mais que je vais caser en livre contenant une métamorphose, à cause de scènes traumatisantes que je ne spoilerai pas. C'est un livre que les fans de Lovecraft aimeront, et ceux qui ne le connaissent pas apprendront à prononcer chtulu. Mais c'est aussi davantage qu'un livre d'horreur, plus qu'un livre d'hommage au genre et plus qu'un livre à la structure narrative travaillée. Je conseille sa lecture (en plein jour)...
- meevadeborahNiveau 8
J'ai commencé aussi, par une lecture que je me devais de faire dans le cadre de masse critique pour Babelio : Toutes blessent, la dernière tue de Karine Giebel.
Ce livre peut convenir aux défis 8, 9, 13, 28 et 29.
Je le place pour le moment sur le défi 28.
Mon avis sur le livre :
Pour ma part, je m'interroge sur le défi "L'or et la boue", mais je n'ai pas encore remonté le fil pour voir s'il y a des précisions sur le sujet.
Ce livre peut convenir aux défis 8, 9, 13, 28 et 29.
Je le place pour le moment sur le défi 28.
Mon avis sur le livre :
Terriblement efficace !
Un livre coup de poing, qui en effet déborde de violence ; de bons sentiments il n’y en a presque pas. Impossible de développer sur l’intrigue, ou sur les personnages, au risque d’en dévoiler trop et de gâcher le suspense, puissant ici.
Il y a bien un moment où je me suis dit : « encore, elle en fait un peu trop là, inutile d’en rajouter ». Et puis je me suis rappelée qu’à entendre les « grands » faits divers bien sordides, on en concluait bien souvent que la vérité dépasse la fiction. Alors pourquoi pas, après tout ? Surtout que tout reste cohérent.
Terriblement efficace pour faire réfléchir à quelques faits de société, même si ce n’est pas son but premier, ici l’esclavage moderne et la violence dans les relations familiales et conjugales. Karine Giebel prend la peine de situer son intrigue dans un contexte bien réaliste. Un bémol cependant, une histoire annexe, qui à mon sens est en trop, même si elle ajoute à l’atmosphère poisse, qui participe du sentiment d’angoisse qui nous envahit.
Terriblement efficace pour nous tenir en haleine, avec une construction narrative assez originale, bien qu’un peu déroutante de prime abord : plusieurs histoires se côtoient avant de se rejoindre, on passe d’un point de vue interne, avec plusieurs narrateurs, à un point de vue externe, voire à un point de vue omniscient. Le temps de la narration varie d’ailleurs, alternant présent et passé. Et aucune fausse note selon moi concernant les descriptions et les dialogues.
Malgré les quelques points moins positifs, je laisse toutes ses étoiles à ce livre que je n’ai pas beaucoup lâché, même en cette période de fêtes, avant de l’avoir fini. J’avais lu De force, de Karine Giebel, que j’avais peu aimé ; celui-ci m’a beaucoup plus convaincue.
Merci à Babelio d’organiser masse critique et aux éditions Belfond d’y participer.
Pour ma part, je m'interroge sur le défi "L'or et la boue", mais je n'ai pas encore remonté le fil pour voir s'il y a des précisions sur le sujet.
- JennyMédiateur
Volo : je suis curieuse parce que c’est un écrivain que j’aime beaucoup d’habitude.
- DorineHabitué du forum
Pour le 26, "un livre qui fait rire ou sourire", je recommande Le discours de Fabrice Caro, paru en 2018. Il se lit vite et ça détend vraiment.
- CryptoprofNiveau 4
Bonjour à tous !
Je termine Sens dessus dessous de Milena Agus dont j'avais aimé Le mal de pierre l'an dernier… J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque avant de m'inscrire au défi, aussi je me demande s'il y entre. Le titre peut comporter un jeu de mots car il est questions des sens en ébullition des habitants d'un immeuble et de la relation de la dame du rez de chaussée avec l'occupant du deuxième étage… Il est aussi question d'écriture car tout cela permet à la jeune fille du premier de se lancer dans l'écriture en prose et d'exercer son regard d'écrivain… Quelqu'un l'a-t-il lu ?
Je termine Sens dessus dessous de Milena Agus dont j'avais aimé Le mal de pierre l'an dernier… J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque avant de m'inscrire au défi, aussi je me demande s'il y entre. Le titre peut comporter un jeu de mots car il est questions des sens en ébullition des habitants d'un immeuble et de la relation de la dame du rez de chaussée avec l'occupant du deuxième étage… Il est aussi question d'écriture car tout cela permet à la jeune fille du premier de se lancer dans l'écriture en prose et d'exercer son regard d'écrivain… Quelqu'un l'a-t-il lu ?
- NasopiBon génie
Je viens de terminer La faim de Knut Hamsun pour "un livre qui parle d'écriture(s)" : le narrateur, après un premier article publié, nourrit l'espoir de gagner sa vie en écrivant, ce qu'il ne parvient pas à faire car aucun autre de ses textes n'est accepté. Ce roman de la fin du XIXe siècle est le récit de la lente déchéance physique et mentale du personnage principal qui sombre peu à peu dans la misère la plus noire, rongé par la faim.
_________________
"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Calypso64Niveau 10
Dorine a écrit:Qu'est-ce qui t'a déçu ? L'histoire, l'écriture? Je ne l'ai pas lu, je ne peux pas vraiment en parler mais des collègues me l'ont recommandé.Calypso64 a écrit:Oh que oui ! Même si personnellement je m'attendais à un livre plus puissant
Désolée pour la réponse tardive....
Plusieurs raisons : 1. On m'en avait dit beaucoup de bien donc parfois plus de risques d'être déçu.... 2. Je n'ai pas trop aimé le style d'écriture (alors que je n'y connais rien, c'est juste du ressenti). 3. l'histoire de Smita et sa fille est vraiment captivante, les deux autres sont beaucoup moins fouillées, pour Giulia ça passe, pour Sarah je n'ai pas accroché.
Après cela reste dans l'ensemble une bonne lecture que je relirai à l'occasion et qui peut aussi corresponde au défi 10. Un roman dont l'histoire se déroule sur plusieurs continents.
- PointàlaligneExpert
Pour le n°43, "Une histoire dans l'histoire/l'Histoire", j'ai lu Un Paysage de cendres, d'Elisabeth Gille. Il s'agit de la plus jeune des deux filles d'Irène Némirovsky. Elle a échappé avec sa soeur à la déportation et à la mort en se cachant dans une institution religieuse. Elle a été ensuite recueillie par une famille amie après la guerre. On peut reconnaître ce parcours dans l'errance de Léa Lévy, l'héroïne du Paysage de cendres. La grande sœur dans la vraie vie est remplacée par une amie de deux ans plus âgée, dont la famille recueille Léa comme une deuxième fille à la Libération.
Ce livre peut convenir pour le défi 50 ("Un roman dont les héroïnes sont sœurs", ici il s'agit de sœurs de cœur, car les parents de son amie se voient refuser l'autorisation d'adopter Léa tant que ses parents disparus ne seront pas considérés comme officiellement morts, ce qui lui laisse le temps d'atteindre la majorité) ; et également pour le n°33 "Un livre primé par les lecteurs d'un journal ou d'une revue" (Grand Prix des lectrices de Elle 1997). Certains le considéreront aussi comme un "livre qui fait peur" : le "paysage de cendres" s'empare de l'enfant au fur et à mesure qu'elle comprend ce que sont devenus ses parents, notamment lors d'une scène très dure à l'Hôtel Lutétia.
Ce livre peut convenir pour le défi 50 ("Un roman dont les héroïnes sont sœurs", ici il s'agit de sœurs de cœur, car les parents de son amie se voient refuser l'autorisation d'adopter Léa tant que ses parents disparus ne seront pas considérés comme officiellement morts, ce qui lui laisse le temps d'atteindre la majorité) ; et également pour le n°33 "Un livre primé par les lecteurs d'un journal ou d'une revue" (Grand Prix des lectrices de Elle 1997). Certains le considéreront aussi comme un "livre qui fait peur" : le "paysage de cendres" s'empare de l'enfant au fur et à mesure qu'elle comprend ce que sont devenus ses parents, notamment lors d'une scène très dure à l'Hôtel Lutétia.
- TremereNiveau 9
Calypso64 a écrit:Dorine a écrit:Qu'est-ce qui t'a déçu ? L'histoire, l'écriture? Je ne l'ai pas lu, je ne peux pas vraiment en parler mais des collègues me l'ont recommandé.Calypso64 a écrit:Oh que oui ! Même si personnellement je m'attendais à un livre plus puissant
Désolée pour la réponse tardive....
Plusieurs raisons : 1. On m'en avait dit beaucoup de bien donc parfois plus de risques d'être déçu.... 2. Je n'ai pas trop aimé le style d'écriture (alors que je n'y connais rien, c'est juste du ressenti). 3. l'histoire de Smita et sa fille est vraiment captivante, les deux autres sont beaucoup moins fouillées, pour Giulia ça passe, pour Sarah je n'ai pas accroché.
Après cela reste dans l'ensemble une bonne lecture que je relirai à l'occasion et qui peut aussi corresponde au défi 10. Un roman dont l'histoire se déroule sur plusieurs continents.
Sur ce coup-là, j'ai exactement le même sentiment que toi Calypso
J'aurais pu écrire ton message ! Un livre clairement survendu.
- IlianaGrand sage
*Ombre* pour Sade, il y a La Philosophie dans le boudoir qui me vient en tête.
En ce qui concerne l'item 50, c'est forcément un roman, ou ça peut être une nouvelle ?
Je pense aux Deux Soeurs de Zweig, que j'ai dans ma bibliothèque (en folio à 2 euros, c'est vraiment court).
En ce qui concerne l'item 50, c'est forcément un roman, ou ça peut être une nouvelle ?
Je pense aux Deux Soeurs de Zweig, que j'ai dans ma bibliothèque (en folio à 2 euros, c'est vraiment court).
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Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- MathadorEmpereur
En tout cas, tu peux remplir le défi n°1 avec.Iliana a écrit:En ce qui concerne l'item 50, c'est forcément un roman, ou ça peut être une nouvelle ?
Je pense aux Deux Soeurs de Zweig, que j'ai dans ma bibliothèque (en folio à 2 euros, c'est vraiment court).
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
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