Neo défi lecture 2020 - Ici, on papote !

Dorine a écrit:Question : est-ce que  La Ferme des animaux de G. Orwell peut avoir sa place dans ce défi? Je n'ai lu que des extraits et il faut que je le lise en entier pour pouvoir le proposer à mes élèves. Alors, si je peux faire d'une pierre deux coups...

A priori ça rentre dans plusieurs:

27. Un livre dans lequel se produit une métamorphose. celle des cochons

31. Fin d'un monde. celui de la ferme

37. Un livre qui évoque l'idée de bonheur. vision utopique des premiers temps

43. Une histoire dans l'histoire / l’Histoire. le communisme derrière la fiction

Pour mon troisième défi ("transmettre"), j'ai lu L' Âme du monde de Frédéric Lenoir, un philosophe et historien des religions. Sept sages venus des quatre coins du monde et représentant tous les courants spirituels se sentent appelés à Toulanka, un monastère perdu des montagnes tibétaines. Pressentant une catastrophe imminente, ils décident de délivrer les clés de la sagesse universelle à deux jeunes adolescents.
Avec ce livre, je suis sortie de ma zone de confort. J'ai eu l'impression de lire un ouvrage de développement personnel ou une succession de proverbes issus de biscuits chinois avalés à la chaîne. Certaines phrases condamnant le consumérisme ou le repli sur soi ont certes provoqué ma réflexion mais la lecture ne m'a pas touchée.
Bilan: je suis prisonnière de mes pensées matérialistes et peine à m'ouvrir à l'âme du monde. Sceptiques, s'abstenir...

gregforever a écrit:

Dorine a écrit:Question : est-ce que  La Ferme des animaux de G. Orwell peut avoir sa place dans ce défi? Je n'ai lu que des extraits et il faut que je le lise en entier pour pouvoir le proposer à mes élèves. Alors, si je peux faire d'une pierre deux coups...

A priori ça rentre dans plusieurs:

27. Un livre dans lequel se produit une métamorphose. celle des cochons

31. Fin d'un monde. celui de la ferme

37. Un livre qui évoque l'idée de bonheur. vision utopique des premiers temps

43. Une histoire dans l'histoire / l’Histoire. le communisme derrière la fiction

Merci beaucoup! Ça sera donc mon troisième défi et en plus, je n'avais rien pour le 31 et le 37. Je lirai La tresse plus tard.

défi 43 - une histoire dans l'histoire : John Fairfax Reconnu coupable , pour les anglophones Summary Justice
Je viens de finir ce livre, pris à la bibliothèque samedi, et je m'aperçois qu'il va tout à fait pour cet item. Je l'avais choisi à cause d'une mention intrigante dans la biographie de l'auteur, qui fut d'abord religieux avant de devenir avocat puis d'écrire des romans policiers ; en fait c'est un autre qui était sur le présentoir, mais comme il s'agissait d'une série je suis allée chercher celui-ci qui est le premier.
Le héros a été condamné pour un meurtre qu'il se défend d'avoir commis, mais qu'il finit par avouer pour pouvoir obtenir un jour une libération conditionnelle ; en prison il étudie le droit, sorti il s'inscrit au barreau (je ne divulgache rien, il s'agit des dix premières pages). C'est le récit de sa première affaire, un procès pour meurtre où sa cliente prétend être innocente. Et parallèlement, le récit de l'enquête menée par son assistante sur son affaire à lui...
Polar de qualité (qui a eu le Prix du Masque de l'année), mon regret est de n'avoir pas pris l'autre livre, le premier que j'avais eu en main, j'espère que je le trouverai encore sur le présentoir jeudi

Jenny a écrit:Femmes fortes pour les Brontë ?

Oui, à mon avis.

Pour cet item j'ai pris le récit d'une exploratrice victorienne.

Pour ma part, j'ai suivi les conseils donnés ici même avec Les Crimes de l'amour, de Sade. Mais je ne suis pas sûre que cela rentre dans la catégorie "roman du XVIIIe" puisqu'il s'agit de cinq récits relativement courts, que l'auteur lui-même a sous-titrés "historiettes cruelles et tragiques". Cette oeuvre est-elle considérée comme un roman ? Sinon, je le mettrais dans l'item "auteur qui a été emprisonné". De toute façon, je vais relire Les Liaisons dangereuses : ça fait longtemps, ça me fera plaisir, et en faisant des recherches pour l'entrée "livre traduit du néerlandais", j'ai découvert une écrivaine qui paraît assez célèbre, Haasse, qui a écrit une suite au roman de Laclos, intitulée Une liaison dangereuse. Cela m'attire évidemment. Il y a deux ans, je m'étais jetée sur la BD (très sympathique) qui imaginait l'enfance de Valmont. J'ai eu moins de chance l'an dernier quand j'ai lu La Toile, roman remarqué qui se donnait comme une projection dans la société contemporaine du roman de Laclos : j'ai trouvé ça à peu près sans intérêt. Ben oui, au XXIe siècle, coucher à droite et à gauche, ça n'a plus beaucoup d'enjeu... J'espère que l'oeuvre de Haasse sera une bonne surprise.

En attendant, j'enchaîne avec l'item "Nature writing" pour lequel j'ai sélectionné Légendes d'automne, de Jim Harrison, dont le roman Dalva est une des oeuvres les plus marquantes que j'aie lues.

Qu'as-tu pensé des histoires dans Les Crimes de l'amour. Je me rappelle avoir passé un bon moment mais sans forcément que ces histoires ne marquent ma mémoire.

Troisième défi avec le livre du jour : 39. Un livre dont le titre comporte un terme familier ou un gros mot - Chahdortt Djavann, Les Pu-tes voilées n'iront jamais au paradis !
=> peut aussi convenir pour le défi sur femmes fortes.

Volo' a écrit:Qu'as-tu pensé des histoires dans Les Crimes de l'amour. Je me rappelle avoir passé un bon moment mais sans forcément que ces histoires ne marquent ma mémoire.

C'est agréable à lire mais je ne pense pas non plus que cela me marquera beaucoup. Je m'amuse beaucoup de la façon dont Sade met en scène ses libertins, place dans leur bouche des tirades entières développant ses idées, pour envelopper tout ça d'une fin faussement morale - ah ! mais voyez comme d'aussi noirs personnages sont punis par la Providence, surtout, ne croyez pas un mot de ce que j'ai développé sur des pages et des pages. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le personnage de la soeur de Saint-Prât, dans Florville et Courval, qui ne s'attache qu'à jouir de la vie, sans se départir de sa générosité (elle n'a rien de ces méchants si prisés de Sade) et meurt sans regrets dans un lit de roses. Les histoires sont assez rocambolesques et plaisantes à lire - et la langue du XVIIIe est toujours un enchantement. Bref, un bon moment. Merci pour la découverte.

Volo' a écrit:Qu'as-tu pensé des histoires dans Les Crimes de l'amour. Je me rappelle avoir passé un bon moment mais sans forcément que ces histoires ne marquent ma mémoire.

Troisième défi avec le livre du jour : 39. Un livre dont le titre comporte un terme familier ou un gros mot - Chahdortt Djavann, Les Pu-tes voilées n'iront jamais au paradis !
=> peut aussi convenir pour le défi sur femmes fortes.

Quelques points sur l'auteure pour commencer. Elle est née en Iran et a fait ses études en France, elle écrit en Français. À l'EHESS, son mémoire d'anthropologie concerne l'endoctrinement religieux en Iran par le biais des manuels scolaires (vaste programme !).
Le livre en question ici mêle fiction et documentaire. Elle narre le parcours de deux jeunes adolescentes (enfants ?) qui, au fil de leur vie, deviennent prostituées. Et en parallèle sont introduits des monologues de prostituées qui ont été assassinées par le régime iranien en raison de leur métier de prostituée. L'auteure intervient directement dans la partie de pure fiction. L'écriture est particulièrement critique envers la religion islamique, le régime iranien et surtout l'hypocrisie tissée. De nombreux passages défendent également les conditions des femmes.

Convient aussi pour :
- 6. Un livre dont le titre est à la forme négative.
- 17. Un livre d'un auteur iranien

nicole 86 a écrit:

Agrippina furiosa a écrit:Petite question, pour tout le monde, mais plus particulièrement pour Nicole : quelqu'un a-t-il lu "La chambre de Mariana" de A. Appelfeld ? Je l'ai trouvé ce matin en allant poser des bouquins à la boîte à livres de mon village ... avec aussi un gros bouquin de Quai Voltaire "Lettres choisies de la famille Brontë" ! Je me suis dit que la journée commençait sacrément bien

Non je ne l'ai pas lu bien qu'il figure au catalogue de ma médiathèque,  mais deux livres d'Appelfeld sont dans mon projet pour le défi 2020 :
A la médiathèque L'amour soudain pour le roman d'amour,
A acheter Badenheim 1939 pour la fin d'un monde.

La Chambre de Mariana est une sorte de prolongement d'Histoire d'une vie (si tu l'as lu). Le garçon (plus ou moins un double d'Appelfeld) raconte sa cachette chez Mariana, une prostituée, pendant la guerre. Il se laisse encore bercer, et happer, par des souvenirs de ses proches, des visions qui illuminent son quotidien, mais il y a quelque chose de sulfureux dans ce roman-là (le garçon se rapproche de Mariana).
Badenheim 1939 se déroule dans une tout autre ambiance, très fin de siècle, et cruelle pour les personnages qui ne veulent pas croire que l'Allemagne dont ils admirent la culture les a trahis. C'est assez différent de ce que fait Appelfeld d'habitude.
Si tu as beaucoup aimé Le garçon qui ne voulait pas dormir, son dernier livre traduit en français, Des jours d'une stupéfiante clarté, devrait te plaire.

Valor a écrit:

Volo' a écrit:Qu'as-tu pensé des histoires dans Les Crimes de l'amour. Je me rappelle avoir passé un bon moment mais sans forcément que ces histoires ne marquent ma mémoire.

Troisième défi avec le livre du jour : 39. Un livre dont le titre comporte un terme familier ou un gros mot - Chahdortt Djavann, Les Pu-tes voilées n'iront jamais au paradis !
=> peut aussi convenir pour le défi sur femmes fortes.

Quelques points sur l'auteure pour commencer. Elle est née en Iran et a fait ses études en France, elle écrit en Français. À l'EHESS, son mémoire d'anthropologie concerne l'endoctrinement religieux en Iran par le biais des manuels scolaires (vaste programme !).
Le livre en question ici mêle fiction et documentaire. Elle narre le parcours de deux jeunes adolescentes (enfants ?) qui, au fil de leur vie, deviennent prostituées. Et en parallèle sont introduits des monologues de prostituées qui ont été assassinées par le régime iranien en raison de leur métier de prostituée. L'auteure intervient directement dans la partie de pure fiction. L'écriture est particulièrement critique envers la religion islamique, le régime iranien et surtout l'hypocrisie tissée. De nombreux passages défendent également les conditions des femmes.

Convient aussi pour :
- 6. Un livre dont le titre est à la forme négative.
- 17. Un livre d'un auteur iranien

Ah ! Oui j’oubliais pour le 6. Par contre si elle est née en Iran, elle a la nationalité française et écrit en français. De plus, dans ses entretiens elle explique qu’il lui serait impossible d’écrire en persan. Donc pour moi, elle ne convient pas pour le 17 !

Volo' a écrit:

Valor a écrit:

Volo' a écrit:Qu'as-tu pensé des histoires dans Les Crimes de l'amour. Je me rappelle avoir passé un bon moment mais sans forcément que ces histoires ne marquent ma mémoire.

Troisième défi avec le livre du jour : 39. Un livre dont le titre comporte un terme familier ou un gros mot - Chahdortt Djavann, Les Pu-tes voilées n'iront jamais au paradis !
=> peut aussi convenir pour le défi sur femmes fortes.

Quelques points sur l'auteure pour commencer. Elle est née en Iran et a fait ses études en France, elle écrit en Français. À l'EHESS, son mémoire d'anthropologie concerne l'endoctrinement religieux en Iran par le biais des manuels scolaires (vaste programme !).
Le livre en question ici mêle fiction et documentaire. Elle narre le parcours de deux jeunes adolescentes (enfants ?) qui, au fil de leur vie, deviennent prostituées. Et en parallèle sont introduits des monologues de prostituées qui ont été assassinées par le régime iranien en raison de leur métier de prostituée. L'auteure intervient directement dans la partie de pure fiction. L'écriture est particulièrement critique envers la religion islamique, le régime iranien et surtout l'hypocrisie tissée. De nombreux passages défendent également les conditions des femmes.

Convient aussi pour :
- 6. Un livre dont le titre est à la forme négative.
- 17. Un livre d'un auteur iranien

Ah ! Oui j’oubliais pour le 6. Par contre si elle est née en Iran, elle a la nationalité française et écrit en français. De plus, dans ses entretiens elle explique qu’il lui serait impossible d’écrire en persan. Donc pour moi, elle ne convient pas pour le 17 !

Effectivement. Il faut donc voir, pour cet item, si l'on prend en compte la nationalité ou le pays d'origine, ou si les deux sont recevables.

Nadejda a écrit:

nicole 86 a écrit:

Agrippina furiosa a écrit:Petite question, pour tout le monde, mais plus particulièrement pour Nicole : quelqu'un a-t-il lu "La chambre de Mariana" de A. Appelfeld ? Je l'ai trouvé ce matin en allant poser des bouquins à la boîte à livres de mon village ... avec aussi un gros bouquin de Quai Voltaire "Lettres choisies de la famille Brontë" ! Je me suis dit que la journée commençait sacrément bien

Non je ne l'ai pas lu bien qu'il figure au catalogue de ma médiathèque,  mais deux livres d'Appelfeld sont dans mon projet pour le défi 2020 :
A la médiathèque L'amour soudain pour le roman d'amour,
A acheter Badenheim 1939 pour la fin d'un monde.

La Chambre de Mariana est une sorte de prolongement d'Histoire d'une vie (si tu l'as lu). Le garçon (plus ou moins un double d'Appelfeld) raconte sa cachette chez Mariana, une prostituée, pendant la guerre. Il se laisse encore bercer, et happer, par des souvenirs de ses proches, des visions qui illuminent son quotidien, mais il y a quelque chose de sulfureux dans ce roman-là (le garçon se rapproche de Mariana).
Badenheim 1939 se déroule dans une tout autre ambiance, très fin de siècle, et cruelle pour les personnages qui ne veulent pas croire que l'Allemagne dont ils admirent la culture les a trahis. C'est assez différent de ce que fait Appelfeld d'habitude.
Si tu as beaucoup aimé Le garçon qui ne voulait pas dormir, son dernier livre traduit en français, Des jours d'une stupéfiante clarté, devrait te plaire.

Merci pour ces retours de lectures
Je pense que, inconsciemment, c'est le côté sulfureux qui m'a tenu éloignée de La chambre de Mariana alors que j'ai acheté mais pas encore lu Histoire d'une vie

J'ai préféré Le garçon qui ne voulait pas dormir pour  le rapport à l'écriture de l'hébreu de la Bible comme élément de construction du héros.

Badenheim 1939 a été l'objet d'un échange avec Philip Roth (que je n'ai jamais lu) dans Pourquoi j'écris et c'est aussi la raison pour laquelle j'ai envie de découvrir une autre facette de l'auteur que j'ai sans doute approchée dans Les eaux tumultueuses

Ombre, finalement tu as renoncé à Louvet et à son Faublas ?
Et puisque tu n'as pas lu Le diable amoureux, ce serait l'occasion !

Oudemia a écrit:Ombre, finalement tu as renoncé à Louvet et à son Faublas ?

Oui, des aventures picaresques me tentaient moins que le divin marquis.

Et puisque tu n'as pas lu Le diable amoureux, ce serait l'occasion !

Oui, je le ferai sans doute, d'autant que cela semble bien court : cela n'empêche pas de relire Les Liaisons par ailleurs.

Je fais une modification : La Tempête des Échos correspondra en fait pour moi à l'item 20 (Un livre qui parle d'écriture(s), ce qui me permet de compléter le 27 (un livre dans lequel se produit une métamorphose) avec La Horde du Contrevent d'Alain Damnasio.
Roman de SF mâtiné de fantasy, il raconte le périple d'un groupe (la horde) pour remonter jusqu'au bout du monde, nommé l'Extrême-Amont, en affrontant le vent.
J'avais déjà essayé de lire ce livre et je l'avais lâché au bout d'une vingtaine de pages. Je suis contente d'avoir renouvelé ma tentative : passé une bonne cinquantaine de pages, le livre m'a énormément intéressée et j'ai eu du mal à m'arrêter dans ma lecture. La fin est réussie (bien qu'un peu attendue), mais je me suis surtout attachée à cette horde solidaire et aux éléments complémentaires. Vraiment une bonne lecture.
- Pour l'item 8. Un roman dont la trame se déroule sur plusieurs années. Agnès Grey, Emily Brontë.
Agnès, pauvre jeune fille, s'engage comme gouvernante pour gagner un peu d'argent. On suit ses infortunes (elle ne tombe vraiment pas sur des enfants faciles à instruire) jusqu'à ce qu'elle rencontre l'amour.
C'est un roman que j'ai trouvé loin d'être inoubliable. J'aurais sans doute préféré un souffle romanesque plus fort, à l'image de ce qu'on trouve dans les autres romans des sœurs Brontë que j'ai lus.

Bon, ben moi je me suis plongée avant hier dans Déracinée, de Naomi Novik, et j'adore! Il devrait pouvoir rentrer dans plusieurs catégories, femmes fortes, prix donné par des lecteurs/magazines...
C'est un roman de fantasy qui captive dès le premier chapitre.
Agnieszka vit en lisière d'une forêt maudite, le Bois, et seul un personnage nommé le Dragon, un grand sorcier, assure la protection des villageois. Tous les 10 ans, il se présente au village et réclame son tribut: une jeune fille de 17 ans, dotée de nombreux talents et qualités, qu'il emmène avec lui. Quand elles achèvent cette période de 10 ans à son service, elles retrouvent leur liberté, mais aucune d'elles ne revient dans son village. Elles ont tellement été changées par leur expérience dans la Tour que la vie d'avant ne leur convient plus, mais un mystère total plane sur ce qu'elles ont vécu durant ces dix années. Kasia, meilleure amie d'Agnieszka, a tout pour elle, et se prépare depuis son plus jeune âge à servir le Dragon, tant il est évident qu'elle sera choisie, contrairement à Agnieszka, maladroite et souillon.
Des ressemblances avec l'héroïne de la Passe-Miroir, un Dragon qui évoque à la fois Thorn et Severus Rogue, mais dès le premier chapitre, j'ai vraiment trouvé un autre souffle littéraire que dans la saga de Dabos. Les personnages sont bien campés, le récit est dynamique, et je sens qu'on va de plus en plus plonger dans le folklore slave (mais j'attends de voir, je suis au quart du roman...).

Ca donne envie, Audrey ! Je note.

Je l'ai lu l'an dernier, je n'en dis pas plus !

Oudemia a écrit:Je l'ai lu l'an dernier, je n'en dis pas plus  !

Et alors la suite est aussi bien que ce que je lis pour le moment? ;-)

C'est à toi de voir (je ne me souviens pas d'un côté folklore slave...).

Ah ! Chouette, Audrey, merci pour cette piste. Au fait, tu as fini la série des Passe-Miroir ? (Je crois me souvenir que tu avais beaucoup apprécié toi aussi.) Qu'as-tu pensé du dernier volume ?

*Ombre* a écrit:Ah ! Chouette, Audrey, merci pour cette piste. Au fait, tu as fini la série des Passe-Miroir ? (Je crois me souvenir que tu avais beaucoup apprécié toi aussi.) Qu'as-tu pensé du dernier volume ?

Je suis dans le 2... j'ai du chemin encore! Je suis une adepte des lectures multiples en parallèle... ;-)

Tu as de la chance : le 2e volume est mon préféré. Enjoy !

Audrey a écrit:J'ai une question: on peut lire des bd ou romans graphiques pour ce défi ou cela ne concerne que les romans? Je n'ai pas l'intention de ne lire que des BD, mais il se trouve que j'en lis quand même très souvent, et des plutôt denses...

Je rebondis sur la question d'Audrey : pour moi un livre, ça peut être un roman bien évidemment mais aussi un recueil de nouvelles, un roman graphique, une bande dessinée, un album, un manga ... non ?

Eloah a écrit:

Audrey a écrit:J'ai une question: on peut lire des bd ou romans graphiques pour ce défi ou cela ne concerne que les romans? Je n'ai pas l'intention de ne lire que des BD, mais il se trouve que j'en lis quand même très souvent, et des plutôt denses...

Je rebondis sur la question d'Audrey : pour moi un livre, ça peut être un roman bien évidemment mais aussi un recueil de nouvelles, un roman graphique, une bande dessinée, un album, un manga ... non ?

J'ajouterais un récit, une biographie ou un essai sauf bien sûr lorsque le libellé mentionne explicitement qu'il s'agit d'un roman.