- HarkonnenNiveau 2
Deuxième défi validé, le 41 (un livre dont le titre contient un nom de pays ou de continent), avec Argentine de Joël Houssin, livre acheté au hasard pendant la dernière promo sur les Folio SF –je sais, je suis un odieux consumériste qui mérite d'être battu avec un tuyau à gaz jusqu'à ce que mort s'ensuive– et qui depuis traînait sur une étagère.
C'est une histoire de science-fiction aux faux airs de Mad Max. Tout se passe dans une ville au beau milieu du désert, aussi paumée que ses habitants, sur laquelle essaient vainement de régner un paquet de caïds divers et variés. L'auteur, avec une écriture âpre et assez crue, parvient peu à peu à transformer l'espace en temps, les distances immenses en heures qui se suivent et se ressemblent. J'en ai presque oublié la sensation de déjà-vu qui m'a habité tout du long.
Somme toute, une petite lecture sympathique même si elle ne me laissera pas un souvenir impérissable.
C'est une histoire de science-fiction aux faux airs de Mad Max. Tout se passe dans une ville au beau milieu du désert, aussi paumée que ses habitants, sur laquelle essaient vainement de régner un paquet de caïds divers et variés. L'auteur, avec une écriture âpre et assez crue, parvient peu à peu à transformer l'espace en temps, les distances immenses en heures qui se suivent et se ressemblent. J'en ai presque oublié la sensation de déjà-vu qui m'a habité tout du long.
Somme toute, une petite lecture sympathique même si elle ne me laissera pas un souvenir impérissable.
- Agrippina furiosaFidèle du forum
Bonsoir !
Départ du défi 2020 le 27/12 pour ma part, avec un livre qui peut remplir le défi 20 (un livre qui parle d'écriture), 21 (Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné), 25 (un livre qui fait peur), 27 (un livre dans lequel se produit une métamorphose), 45 (un jeu de mots ou une figure de style dans le titre) et 47 (un livre choisi pour son titre intrigant). Ouf !
Je le case, peut-être provisoirement (mais ce défi me semblait bien galère, donc je pense qu'il va y rester !), pour le défi n°45. J'ai donc attaqué ce nouveau défi avec "L'Homme coquillage" de Asli Erdogan. Cette jolie métaphore désigne en fait Tony, un caribéen à la peau d'ébène, petit, laid, édenté et couvert de cicatrices. Il est surnommé ainsi car il déambule devant les riches hôtels deux énormes coquillages à la main, espérant les vendre aux touristes pour gagner sa vie. La narratrice, une jeune physicienne turque assez torturée, il faut l'admettre, débarque sur la petite île de Sainte Croix, avec un plein fourgon de physiciens tous aussi inintéressants les uns que les autres pour elle. Elle se sent à part, reste à l'écart, suit à peine les séminaires et n'hésite pas à se mettre à dos le grand ponte qui dirige l'ensemble et a droit de vie ou de mort sur la future carrière de tous. En errant sur la plage, elle croise le regard de Tony et se sent immédiatement comme envoutée par cet homme qui lit en elle comme dans un livre ouvert. Elle le suit, allant à l'encontre de la plus élémentaire prudence, dans cet endroit terriblement dangereux une fois la nuit venue, morte de peur, mais incapable de résister dans un endroit désert. Et là, alors qu'elle s'attend -et cherche ?- à être violée et tuée, une discussion commence ... au fil des jours, et des conversations avec l'Homme coquillage, elle lâche prise et se raconte comme elle ne l'a jamais fait. On comprend alors son goût pour la mise en danger de soi, sa peur omniprésente de tout et son indifférence au monde, aux hommes ... Une histoire d'amour pas ordinaire, qui marque et change ses protagonistes. J'ai bien aimé, je l'ai lu presque d'une seule traite, mais il n'est pas toujours simple de suivre les méandres de l'esprit de la narratrice. Néanmoins une jolie découverte.
Départ du défi 2020 le 27/12 pour ma part, avec un livre qui peut remplir le défi 20 (un livre qui parle d'écriture), 21 (Un livre dont l'auteur est / a été emprisonné), 25 (un livre qui fait peur), 27 (un livre dans lequel se produit une métamorphose), 45 (un jeu de mots ou une figure de style dans le titre) et 47 (un livre choisi pour son titre intrigant). Ouf !
Je le case, peut-être provisoirement (mais ce défi me semblait bien galère, donc je pense qu'il va y rester !), pour le défi n°45. J'ai donc attaqué ce nouveau défi avec "L'Homme coquillage" de Asli Erdogan. Cette jolie métaphore désigne en fait Tony, un caribéen à la peau d'ébène, petit, laid, édenté et couvert de cicatrices. Il est surnommé ainsi car il déambule devant les riches hôtels deux énormes coquillages à la main, espérant les vendre aux touristes pour gagner sa vie. La narratrice, une jeune physicienne turque assez torturée, il faut l'admettre, débarque sur la petite île de Sainte Croix, avec un plein fourgon de physiciens tous aussi inintéressants les uns que les autres pour elle. Elle se sent à part, reste à l'écart, suit à peine les séminaires et n'hésite pas à se mettre à dos le grand ponte qui dirige l'ensemble et a droit de vie ou de mort sur la future carrière de tous. En errant sur la plage, elle croise le regard de Tony et se sent immédiatement comme envoutée par cet homme qui lit en elle comme dans un livre ouvert. Elle le suit, allant à l'encontre de la plus élémentaire prudence, dans cet endroit terriblement dangereux une fois la nuit venue, morte de peur, mais incapable de résister dans un endroit désert. Et là, alors qu'elle s'attend -et cherche ?- à être violée et tuée, une discussion commence ... au fil des jours, et des conversations avec l'Homme coquillage, elle lâche prise et se raconte comme elle ne l'a jamais fait. On comprend alors son goût pour la mise en danger de soi, sa peur omniprésente de tout et son indifférence au monde, aux hommes ... Une histoire d'amour pas ordinaire, qui marque et change ses protagonistes. J'ai bien aimé, je l'ai lu presque d'une seule traite, mais il n'est pas toujours simple de suivre les méandres de l'esprit de la narratrice. Néanmoins une jolie découverte.
- *Ombre*Grand sage
Oudemia a écrit:Défi 6, titre à la forme négative : François Cheng L'éternité n'est pas de trop
Je suis allée hier à la bibliothèque, avec la liste du défi à la main, il était sur un présentoir, et hop
Excellent choix, c'est un livre magnifique que j'ai lu presque d'une traite, mais qui mérite d'être repris et savouré. La lecture est très facile, mais il y a beaucoup sous cette simplicité apparente d'une histoire amoureuse à la fin de la dynastie Ming (et comme je suis bon public, j'ai pris le prologue au sérieux mais j'ai un doute...).
Merci pour l'idée, Oudemia. Je me demandais ce que j'allais bien pouvoir prendre pour cette entrée, mes premières recherches n'ayant rien donné de très concluant. (Pour info, Michel Bussi a beaucoup donné dans les titres à la forme négative...)
- PointàlaligneExpert
19. Un livre écrit par une femme du Maghreb : Pierre sang papier ou cendre de Maïssa Bey, découverte grâce à un Néo que je remercie, Karim. Deux personnages symboliques, "L'enfant" et "Madame Lafrance", traversent cent trente-deux ans de colonisation et croisent à l'occasion Albert (Camus), Kateb (Yacine)... Le titre est un vers du poème "Liberté" de Paul Eluard. Le style est souvent poétique. Un bien beau livre, qui invite à la relecture.
- ValorNiveau 9
Elle a également écrit Surtout ne te retourne pas, un livre dont le titre contient une négationPointàlaligne a écrit:19. Un livre écrit par une femme du Maghreb : Pierre sang papier ou cendre de Maïssa Bey, découverte grâce à un Néo que je remercie, Karim. Deux personnages symboliques, "L'enfant" et "Madame Lafrance", traversent cent trente-deux ans de colonisation et croisent à l'occasion Albert (Camus), Kateb (Yacine)... Le titre est un vers du poème "Liberté" de Paul Eluard. Le style est souvent poétique. Un bien beau livre, qui invite à la relecture.
- LaverdureEmpereur
J'ai commencé aussi par une lecture simple de vacances : un "Agatha Raisin" (Agatha Raisin and the Dead Ringer) qui peut convenir pour le défi de la couverture bariolée/colorée (surtout pour l'édition anglaise) ou bien le défi pour le livre qui fait rire/sourire (le personnage principal récurrent se met souvent dans des situations qui prêtent à rire). Pour le moment, un village est en effervescence suite à la visite d'un évêque (surtout le groupe de sonneurs de cloches et les sœurs jumelles dévotes grenouilles de bénitiers) et, à l'occasion d'une cérémonie religieuse particulière, on découvre un cadavre qu'on identifie comme celui d'un policier pas toujours très professionnel.
Je vais essayer d'adopter la bonne résolution de limiter le plus possible les lectures casées dans deux défis (ou plus) à la fois
Je vais essayer d'adopter la bonne résolution de limiter le plus possible les lectures casées dans deux défis (ou plus) à la fois
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- PointàlaligneExpert
Valor a écrit:Elle a également écrit Surtout ne te retourne pas, un livre dont le titre contient une négationPointàlaligne a écrit:19. Un livre écrit par une femme du Maghreb : Pierre sang papier ou cendre de Maïssa Bey, découverte grâce à un Néo que je remercie, Karim. Deux personnages symboliques, "L'enfant" et "Madame Lafrance", traversent cent trente-deux ans de colonisation et croisent à l'occasion Albert (Camus), Kateb (Yacine)... Le titre est un vers du poème "Liberté" de Paul Eluard. Le style est souvent poétique. Un bien beau livre, qui invite à la relecture.
Merci Valor ! Je me mets en quête tout de suite...
- EloahExpert spécialisé
Défi 24 (un livre dont le titre ne comporte pas de E) validé avec un polar dévoré en deux jours et que je vous conseille : Sauf d'Hervé Commère : un brocanteur de 48 ans se voit remettre un vieil album photos dans lequel il reconnaît le manoir de son enfance ainsi que son père et lui même, sa mère étant la photographe. Sauf que ses parents sont morts dans l'incendie de ce manoir quand il avait 6 ans. Sauf que la dernière photo a été prise un mois après l'incendie ...
J'ai vraiment été happée par la montée du suspense dans la première partie car des rebondissements auxquels on ne s'attend pas se succèdent et créent une certaine tension. La résolution se fait par pallier et, même si la vérité est assez énorme, tout se tient. Une excellente lecture de vacances, d'un auteur que je ne connaissais pas (livre reçu à Noël) !
J'ai vraiment été happée par la montée du suspense dans la première partie car des rebondissements auxquels on ne s'attend pas se succèdent et créent une certaine tension. La résolution se fait par pallier et, même si la vérité est assez énorme, tout se tient. Une excellente lecture de vacances, d'un auteur que je ne connaissais pas (livre reçu à Noël) !
- gregforeverGrand sage
Eloah a écrit:Défi 24 (un livre dont le titre ne comporte pas de E) validé avec un polar dévoré en deux jours et que je vous conseille : Sauf d'Hervé Commère : un brocanteur de 48 ans se voit remettre un vieil album photos dans lequel il reconnaît le manoir de son enfance ainsi que son père et lui même, sa mère étant la photographe. Sauf que ses parents sont morts dans l'incendie de ce manoir quand il avait 6 ans. Sauf que la dernière photo a été prise un mois après l'incendie ...
J'ai vraiment été happée par la montée du suspense dans la première partie car des rebondissements auxquels on ne s'attend pas se succèdent et créent une certaine tension. La résolution se fait par pallier et, même si la vérité est assez énorme, tout se tient. Une excellente lecture de vacances, d'un auteur que je ne connaissais pas (livre reçu à Noël) !
Le résumé que tu en fais a l'air très tentant!
- LaverdureEmpereur
gregforever a écrit:Eloah a écrit:Défi 24 (un livre dont le titre ne comporte pas de E) validé avec un polar dévoré en deux jours et que je vous conseille : Sauf d'Hervé Commère : un brocanteur de 48 ans se voit remettre un vieil album photos dans lequel il reconnaît le manoir de son enfance ainsi que son père et lui même, sa mère étant la photographe. Sauf que ses parents sont morts dans l'incendie de ce manoir quand il avait 6 ans. Sauf que la dernière photo a été prise un mois après l'incendie ...
J'ai vraiment été happée par la montée du suspense dans la première partie car des rebondissements auxquels on ne s'attend pas se succèdent et créent une certaine tension. La résolution se fait par pallier et, même si la vérité est assez énorme, tout se tient. Une excellente lecture de vacances, d'un auteur que je ne connaissais pas (livre reçu à Noël) !
Le résumé que tu en fais a l'air très tentant!
Tout à fait ! Je sens que je vais te prendre l'idée
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- AudreyOracle
J'ai une question: on peut lire des bd ou romans graphiques pour ce défi ou cela ne concerne que les romans? Je n'ai pas l'intention de ne lire que des BD, mais il se trouve que j'en lis quand même très souvent, et des plutôt denses...
- Calypso64Niveau 10
Pour le défi 2019, j'ai répondu par deux défis avec des bd et un défi avec un roman graphique donc pour moi c'est ok.
- Volo'Neoprof expérimenté
Jenny a écrit:Ca te plaît, Opération âme errante ? Je ne suis pas arrivée au bout.
Je reviens sur ta question Jenny, en validant le défi 43. Une histoire dans l'histoire / l’Histoire avec Richard Powers, Opération âme errante.
4e a écrit:Richard Kraft est interne en chirurgie pédiatrique au Carver Hospital, à Los Angeles. Au cœur de cette mégalopole, qui a renoncé à l'idée même de service public, la pression est permanente. Maladie du corps social, maladie du corps physique : tout est sur le point de se défaire, de voler en éclats. Dans cette atmosphère explosive, Richard et sa collègue thérapeute Linda essaient de soigner un groupe d'enfants malades, des enfants qui semblent en savoir plus long qu'eux sur l'âme humaine et recèlent tous des secrets étonnants. À leur contact, la thérapie peut basculer dans l'enquête, et l'Amérique révéler ses failles les plus noires.
Très honnêtement, Jenny, je comprends la déception et le fait de ne pas être arrivée au bout. J'ai moi-même dû reprendre des passages à plusieurs reprises. L'écriture de Powers est tout aussi élitiste que dans L'Arbre-Monde. Le problème c'est que Powers nous plonge dans un dédale, aux côtés de Kraft, et qu'il est difficile de mettre les éléments bout à bout. J'ai compris de nombreux éléments de l'histoire en seconde partie de livre. L'idée de reprendre les contes et légendes pour, au départ, occuper les enfants du service est absolument intéressante puisque Powers tisse ces contes à la vie de Kraft - d'où les histoires dans l'histoire.
Je suis déçu que le personnage de Linda ne soit pas plus développé, néanmoins. Cela reste pour moi une très bonne lecture de laquelle je ne sors pas indemne. Il est moins puissant que l'autre ouvrage que je cite. Et j'ai été surpris par le dernier chapitre. Il ne faut pas que ça devienne une habitude ! (comme pour David Diop)
Je suis déçu que le personnage de Linda ne soit pas plus développé, néanmoins. Cela reste pour moi une très bonne lecture de laquelle je ne sors pas indemne. Il est moins puissant que l'autre ouvrage que je cite. Et j'ai été surpris par le dernier chapitre. Il ne faut pas que ça devienne une habitude ! (comme pour David Diop)
- JennyMédiateur
Merci ! Je le reprendrais peut être un jour alors.
J’avais beaucoup aimé Le temps où nous chantions, La chambre aux échos et Générosité (beaucoup moins Orfeo et Le dilemme du prisonnier, qui ne m’ont pas laissé un grand souvenir).
J’avais beaucoup aimé Le temps où nous chantions, La chambre aux échos et Générosité (beaucoup moins Orfeo et Le dilemme du prisonnier, qui ne m’ont pas laissé un grand souvenir).
- Volo'Neoprof expérimenté
Je n'ai lu que ces deux ouvrages de lui. Il est certain que j'en lirai d'autres plus tard ! Il reste difficile à suivre avec les très nombreuses références culturelles et le vocabulaire précis qu'il utilise.
- sylvie57Fidèle du forum
Pour le défi 3 (transmettre ou hériter), je conseille le joueur de billes de Cecelia Ahern ( The marble collector en VO). Je l'ai lu en VO donc je ne peux pas juger de la traduction. En tout cas, ce roman est émouvant et traite aussi de la relation père-fille !
- DorineHabitué du forum
Deuxième défi terminé : le n°1, La Peur de Stefan Zweig. C'est un recueil de 6 nouvelles, toutes différentes les unes des autres, que je recommande. Mes préférées : "La Peur", "Révélation inattendu d'un métier" et "Leporella". En revanche, je n'ai pas aimé "La femme et le paysage".
Quelques indications sur la première, "La Peur" :
La peur est le sentiment qui s'empare d'Irène Wagner, une bourgeoise qui trompe son mari, qui va être harcelée par une femme qui la surprend alors qu'elle sort de l'appartement de son amant...
Quelques indications sur la première, "La Peur" :
La peur est le sentiment qui s'empare d'Irène Wagner, une bourgeoise qui trompe son mari, qui va être harcelée par une femme qui la surprend alors qu'elle sort de l'appartement de son amant...
- DorineHabitué du forum
Oups! Je corrige tout de suite. J'ai pourtant le livre sous les yeux mais tout est au ralenti en ce moment.
- DorineHabitué du forum
Question : est-ce que La Ferme des animaux de G. Orwell peut avoir sa place dans ce défi? Je n'ai lu que des extraits et il faut que je le lise en entier pour pouvoir le proposer à mes élèves. Alors, si je peux faire d'une pierre deux coups...
- Agrippina furiosaFidèle du forum
Petite question, pour tout le monde, mais plus particulièrement pour Nicole : quelqu'un a-t-il lu "La chambre de Mariana" de A. Appelfeld ? Je l'ai trouvé ce matin en allant poser des bouquins à la boîte à livres de mon village ... avec aussi un gros bouquin de Quai Voltaire "Lettres choisies de la famille Brontë" ! Je me suis dit que la journée commençait sacrément bien
- nicole 86Expert spécialisé
Agrippina furiosa a écrit:Petite question, pour tout le monde, mais plus particulièrement pour Nicole : quelqu'un a-t-il lu "La chambre de Mariana" de A. Appelfeld ? Je l'ai trouvé ce matin en allant poser des bouquins à la boîte à livres de mon village ... avec aussi un gros bouquin de Quai Voltaire "Lettres choisies de la famille Brontë" ! Je me suis dit que la journée commençait sacrément bien
Non je ne l'ai pas lu bien qu'il figure au catalogue de ma médiathèque, mais deux livres d'Appelfeld sont dans mon projet pour le défi 2020 :
A la médiathèque L'amour soudain pour le roman d'amour,
A acheter Badenheim 1939 pour la fin d'un monde.
Edit : les lettres choisies ça ne doit pas rentrer dans le défi mais cela m'aurait tentée aussi !
Je te souhaite une belle découverte ! Tu nous diras ?
- gregforeverGrand sage
Dorine a écrit:Question : est-ce que La Ferme des animaux de G. Orwell peut avoir sa place dans ce défi? Je n'ai lu que des extraits et il faut que je le lise en entier pour pouvoir le proposer à mes élèves. Alors, si je peux faire d'une pierre deux coups...
A priori ça rentre dans plusieurs:
27. Un livre dans lequel se produit une métamorphose. celle des cochons
31. Fin d'un monde. celui de la ferme
37. Un livre qui évoque l'idée de bonheur. vision utopique des premiers temps
43. Une histoire dans l'histoire / l’Histoire. le communisme derrière la fiction
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