- blancoNiveau 6
Cerastes : tu viens de mettre les mots sur le ressenti de mes amis : plus de valeurs accordées à nos métiers et une vague sensation d’apparaître inutile ou de trop... Ils étaient perplexes !
- CerastesNiveau 2
Le malaise est là mais beaucoup de collègues ne parviennent pas encore à voir que leur dévouement participe à leur déclassement.
Pour moi tout devient plus clair, et je me sens bien con de ne pas avoir compris (vraiment) cette réalité du marché du travail avant.
Travail = pognon. Pour plus de pognon (de quoi vivre dans des conditions décentes, ce qui n'est objectivement pas mon cas aujourd'hui) -> devenir malhonnête ou acquérir des compétences techniques recherchées, car profitables. Je vais explorer la deuxième option, pour ne pas sombrer dans le nihilisme absolu.
Le reste c'est du flan. La prétendue noblesse de mon travail, dont tout le monde se fout, je m'en balance. Je ferai du bénévolat quand j'aurai de quoi vivre correctement.
Pour moi tout devient plus clair, et je me sens bien con de ne pas avoir compris (vraiment) cette réalité du marché du travail avant.
Travail = pognon. Pour plus de pognon (de quoi vivre dans des conditions décentes, ce qui n'est objectivement pas mon cas aujourd'hui) -> devenir malhonnête ou acquérir des compétences techniques recherchées, car profitables. Je vais explorer la deuxième option, pour ne pas sombrer dans le nihilisme absolu.
Le reste c'est du flan. La prétendue noblesse de mon travail, dont tout le monde se fout, je m'en balance. Je ferai du bénévolat quand j'aurai de quoi vivre correctement.
- William FosterExpert
Cerastes a écrit:Pour plus de pognon -> devenir malhonnête ou acquérir des compétences techniques recherchées, car profitables.
Attention, ceci est parfois faux : on cherche des profs de maths. :|
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- CerastesNiveau 2
Parce que les étudiants en maths ont des débouchés plus intéressants.
Peut-être qu'à l'avenir on proposera des salaires plus attractifs aux profs de maths / d'info / de matière techniques utiles dans le privé s'ils viennent vraiment à manquer (dans les écoles de riches).
Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
Peut-être qu'à l'avenir on proposera des salaires plus attractifs aux profs de maths / d'info / de matière techniques utiles dans le privé s'ils viennent vraiment à manquer (dans les écoles de riches).
Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
- William FosterExpert
Je suis tristement de ton avis.Cerastes a écrit:Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
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Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- muonNiveau 6
j'en viens à ne même plus plaindre ceux qui entrent dans le métier: ils savent à quoi s'attendre en pleine conscience, tant pour les conditions de travail, le peu de reconnaissance, le salaire faible, les retraites de misère à venir...William Foster a écrit:Je suis tristement de ton avis.Cerastes a écrit:Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
- Tonio KrögerNiveau 8
muon a écrit:
j'en viens à ne même plus plaindre ceux qui entrent dans le métier: ils savent à quoi s'attendre en pleine conscience, tant pour les conditions de travail, le peu de reconnaissance, le salaire faible, les retraites de misère à venir...
J'en suis. Dès le départ j'ai tout fait pour minimiser ces aspects délétères : j'ai passé l'agrégation directement ; je fais le minimum (à savoir uniquement ce qui est bon pour l'enseignement que je dispense aux élèves) ; je reste TZR pour ne pas avoir à m'impliquer dans un établissement et conserver une forme de liberté ; je fais des vacations à la fac pour gagner un peu plus d'argent (même si là aussi le prolétariat s'installe pour ceux qui n'ont que ça) et respirer intellectuellement.
Mais comme tu dis, je suis entré dans le métier dépourvu de la moindre illusion.
- William FosterExpert
muon a écrit:j'en viens à ne même plus plaindre ceux qui entrent dans le métier: ils savent à quoi s'attendre en pleine conscience, tant pour les conditions de travail, le peu de reconnaissance, le salaire faible, les retraites de misère à venir...William Foster a écrit:Je suis tristement de ton avis.Cerastes a écrit:Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
Je ne pense pas que tu puisses te rendre compte de ce qu'est devenu l'enseignement sans avoir quelqu'un dans la place, ou y avoir soi-même pataugé un peu.
Je serai donc moins dur que toi envers les nouveaux entrants... Même si je déconseille les concours aux gens sérieux (alors que je les conseille vivement aux gens qui aiment bien cracher sur nous).
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
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Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- CerastesNiveau 2
Pour ma part je savais que je ne serai pas riche en m'engageant dans l'enseignement.
Ce que je n'avais pas compris, étant fils d'une certifiée ayant bénéficié d'un train de vie encore acceptable, c'est que je serai carrément pauvre dans un département très cher. Aujourd'hui je me rends compte de ce que sera ma vie si je ne change pas de métier... et je suis prêt à tous les sacrifices (travailler 70 heures par semaine et abandonner quasiment toute vie sociale, si besoin démissionner et dormir chez mes parents ou dans ma voiture) pour en changer.
Donc effectivement, j'invite les candidats au CRPE à réfléchir à la vie qu'ils pensent / espèrent / veulent mener en passant le concours.
Ce que je n'avais pas compris, étant fils d'une certifiée ayant bénéficié d'un train de vie encore acceptable, c'est que je serai carrément pauvre dans un département très cher. Aujourd'hui je me rends compte de ce que sera ma vie si je ne change pas de métier... et je suis prêt à tous les sacrifices (travailler 70 heures par semaine et abandonner quasiment toute vie sociale, si besoin démissionner et dormir chez mes parents ou dans ma voiture) pour en changer.
Donc effectivement, j'invite les candidats au CRPE à réfléchir à la vie qu'ils pensent / espèrent / veulent mener en passant le concours.
- MathadorEmpereur
Cela existe encore ? En dehors de ceux qui veulent s'assurer de rester dans leur académie après le CAPES ou l'agrégation ?Cerastes a écrit:Donc effectivement, j'invite les candidats au CRPE à réfléchir à la vie qu'ils pensent / espèrent / veulent mener en passant le concours.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- CerastesNiveau 2
Eh oui. Il en arrive même tous les ans du privé avec de gros diplômes bankables. A ce stade ça n'a plus aucun sens pour moi mais c'est tout à leur honneur (j'espère qu'ils garderont la foi, ils en auront besoin...)
- muonNiveau 6
Dans mon bahut, arrivent comme contractuelles beaucoup de femmes aux diplômes bankables, mais qui veulent élever leurs enfants nés ou à naitre en faisant à côté un boulot d'appoint, pendant que le conjoint assure le gros des revenus.Cerastes a écrit:Eh oui. Il en arrive même tous les ans du privé avec de gros diplômes bankables. A ce stade ça n'a plus aucun sens pour moi mais c'est tout à leur honneur (j'espère qu'ils garderont la foi, ils en auront besoin...)
Ça fait cliché je sais, mais c'est pas rare, et contribue aussi à mon avis à l'image d'un métier qu'il n'est pas besoin de revaloriser
- CerastesNiveau 2
C'est une partie des troupes mais pas la totalité. Certains sacrifient réellement leur niveau de vie (réel ou potentiel). Est-ce qu'ils mesurent réellement la portée de ce sacrifice (et savent ce que sera réellement leur métier) ? Je ne suis pas sûr...
- CeladonDemi-dieu
Assez peu d'idées pertinentes ici sauf peut-être :
jamais?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=b30b83e002-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-b30b83e002-114243049&mc_cid=b30b83e002&mc_eid=578ce2297b
La fin de l'article est assez gerbante.
Dégraisser le mammouth ?Démonstration est donc faite qu’un système éducatif peut beaucoup mieux fonctionner qu’en France avec beaucoup moins de technostructure pour l’encadrer…
(...) Progressivement, se dégage donc une évidence : l’école publique en France est plombée par sa sur-administration, cette armée de fonctionnaires occupée dans d’innombrables cascades de bureaux aux lugubres enfilades de portes. (...) Ces cascades se comptent par dizaines : il y a celles de la rue de Grenelle et de ses satellites, puis celles des rectorats, puis celles des inspections académiques, sans compter les plus petites enfilades dans les agences comptables et les établissements eux-mêmes. Ils sont près de 30 000 à brasser ainsi de l’air dans une multitude de procédures mystérieuses.
On ajoutera à ce chiffre, sur lequel l’Éducation nationale reste très discrète, environ 250 000 personnels non-enseignants. En tout, ce sont près de 280 000 fonctionnaires qui aident les 870 000 enseignants officiels. Une paille !
https://www.contrepoints.org/2020/01/06/361702-salaire-des-enseignants-ces-chiffres-favorables-que-les-profs-ne-citent-Mais alors que le salaire des enseignants représente 63 % de la dépense éducative dans l’OCDE, il n’en représente que 58 % en France, soit un différentiel de 5 points. En matière de pourcentage de salaire accordé aux non-enseignants, la France est championne mondiale après les États-Unis et l’Estonie.
Ce chiffre devrait interroger fortement. En effet, 22 % de la dépense éducative sont absorbés, pompés pourrait-on dire, par le salaire des non-enseignants. La moyenne de l’OCDE est à 15 %. Autrement dit, la part que la France consacre à salarier ces mystérieuses personnes, qui coûtent tout de même plus de 10 milliards d’euros par an, est supérieure de 50 % à ce que font les autres pays industrialisés.
Au pif, on pourrait se dire qu’il y a là un gisement intéressant d’économies à réaliser. On ne s’étonnera donc que pas la page « chiffre-clés » du site de l’Éducation nationale (réalisée par quelques-uns de ces non-enseignants) en masque scrupuleusement l’existence.
jamais?utm_source=Newsletter+Contrepoints&utm_campaign=b30b83e002-Newsletter_auto_Mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_865f2d37b0-b30b83e002-114243049&mc_cid=b30b83e002&mc_eid=578ce2297b
La fin de l'article est assez gerbante.
- e-WandererGrand sage
C'est encore pire dans le supérieur : dans mon université, les enseignants-chercheurs représentent moins d'un emploi sur deux.
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« Profitons du temps qui nous reste avant la définitive invasion de la grande muflerie du Nouveau Monde » (Huysmans)
- Tonio KrögerNiveau 8
Une idée du calendrier de négociation dans les prochaines semaines ?
- RuthvenGuide spirituel
Des bisous de la part du ministre :
https://twitter.com/jmblanquer/status/1214094593035251712
"Nous sommes à l’aube d’une revalorisation historique des rémunérations des professeurs et des personnels de l’Éducation nationale.
Nous moderniserons la vie au travail pour le bien-être et la réussite de tous grâce à la concertation des prochains mois.
Pour l’avenir de notre pays"
Cette rhétorique provoque instantanément un haut-le-coeur ...
https://twitter.com/jmblanquer/status/1214094593035251712
"Nous sommes à l’aube d’une revalorisation historique des rémunérations des professeurs et des personnels de l’Éducation nationale.
Nous moderniserons la vie au travail pour le bien-être et la réussite de tous grâce à la concertation des prochains mois.
Pour l’avenir de notre pays"
Cette rhétorique provoque instantanément un haut-le-coeur ...
- CeladonDemi-dieu
Préparez-vous à demander un bureau pour chaque enseignant dans chaque établissement car vous allez être assignés à résidence pro du matin au soir. Bon courage.
- ProtonExpert
Vous êtes durs avec Blanquer. On va peut-être pouvoir se payer un croissant et des chouquettes en plus du café le matin avec 1000 centimes d'augmentation
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Celadon a écrit:Préparez-vous à demander un bureau pour chaque enseignant dans chaque établissement car vous allez être assignés à résidence pro du matin au soir. Bon courage.
Ca n'arrivera pas.
- stenchMonarque
Graisse-Boulons a écrit:Celadon a écrit:Préparez-vous à demander un bureau pour chaque enseignant dans chaque établissement car vous allez être assignés à résidence pro du matin au soir. Bon courage.
Ca n'arrivera pas.
C'est sûr : on n'aura pas de bureau.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- CeladonDemi-dieu
Mais vous aurez tout le reste, plaignez-vous...
- VinZTDoyen
Ruthven a écrit:Des bisous de la part du ministre :
https://twitter.com/jmblanquer/status/1214094593035251712
"Nous sommes à l’aube d’une revalorisation historique des rémunérations des professeurs et des personnels de l’Éducation nationale.
Nous moderniserons la vie au travail pour le bien-être et la réussite de tous grâce à la concertation des prochains mois.
Pour l’avenir de notre pays"
Les réactions à ce fil twitter sont hilarantes …
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
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- LefterisEsprit sacré
C'était déjà une idée de l'OCDE et de la droite (Châtel l'avait sortie) , payer plus les scientifiques que les autres. Globalement, je suis d'accord, il ne faut pas devenir enseignant, c'est mauvais coups sur mauvais coups.Chaque année en amène son lot. Il ne faut pas être littéraire non plus, c'est signer sa condamnation. Nous sommes dans ma famille deux de la même génération enseignants en lettres classiques ou modernes, et nous avons exactement le même discours : évitez les études de lettres. Ca nous peine, mais nous ne pouvons encourager personne dans cette voie. D'ailleurs nous sommes entendus, les facs de lettres se vident, les préparations aux concours encore plus.Cerastes a écrit:Parce que les étudiants en maths ont des débouchés plus intéressants.
Peut-être qu'à l'avenir on proposera des salaires plus attractifs aux profs de maths / d'info / de matière techniques utiles dans le privé s'ils viennent vraiment à manquer (dans les écoles de riches).
Pour les PE (et la majorité des littéraires) aucun espoir n'est permis, à mon avis.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- bernardoFidèle du forum
les voeux du ministre (sur nos messageries académiques) :
https://www.youtube.com/watch?v=9Wg8PEelYb4&feature=youtu.be
à 3' :
https://www.youtube.com/watch?v=9Wg8PEelYb4&feature=youtu.be
à 3' :
Blanquer a écrit:Ce qui est très important c'est de replacer le professeur au centre de la société française. Une société qui va bien est une société qui croit en son école, une société qui va bien est une société qui respecte ses professeurs, ce qui passe par des améliorations des rémunérations mais plus généralement par une considération de nous tous vis à vis des professeurs et de tous ceux qui travaillent pour l'éducation.
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- Dame JouanneÉrudit
J'ai de vieux souvenirs, peut-être inexacts, d'un rapport de la cours des compte d'il y a quelques années où c'était justement un argument pour justifier nos bas salaires : c'est un emploi très féminisé donc forcément un deuxième salaire dans un couple, pas la peine de l'augmenter...muon a écrit:Dans mon bahut, arrivent comme contractuelles beaucoup de femmes aux diplômes bankables, mais qui veulent élever leurs enfants nés ou à naitre en faisant à côté un boulot d'appoint, pendant que le conjoint assure le gros des revenus.Cerastes a écrit:Eh oui. Il en arrive même tous les ans du privé avec de gros diplômes bankables. A ce stade ça n'a plus aucun sens pour moi mais c'est tout à leur honneur (j'espère qu'ils garderont la foi, ils en auront besoin...)
Ça fait cliché je sais, mais c'est pas rare, et contribue aussi à mon avis à l'image d'un métier qu'il n'est pas besoin de revaloriser
- Blanquer : il faut augmenter les salaires des enseignants
- Eric Charbonnier (OCDE) : "Il faut augmenter de 30% le salaire des enseignants en education priortaire"
- IFRAP : Les solutions d'Agnès Verdier-Molinié pour l'éducation.
- Martine Aubry veut augmenter le salaire des enseignants.
- Revalorisation salaires enseignants ???
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