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- User17095Érudit
Oui mais justement : si on est dans une situation comme celle que tu décris, le sachant, il est hasardeux d'aller passer des coups de fil chez le CPE.
- DalvaVénérable
C'est vrai, et je pense que c'est bien le problème soulevé au départ : si on avait dit au collègue "Allez-y, emmenez vos élèves, nous nous occupons de celui-là qui vient de donner un coup.", le collègue n'en serait pas là.
Là, on lui a demandé de temporiser, d'appeler, d'attendre, de voir... Bref, on ne lui a pas dit de gérer sa sortie pendant que quelqu'un d'autre gérait le problème. S'il y a un problème d'organisation, il n'est pas du côté du professeur.
(Si ça avait été moi, il y a fort à parier que je ne serais pas partie avec l'élève, c'est-à-dire pas du tout si on me l'avait imposé. Mais bon, c'est facile de parler à la place des autres.)
Là, on lui a demandé de temporiser, d'appeler, d'attendre, de voir... Bref, on ne lui a pas dit de gérer sa sortie pendant que quelqu'un d'autre gérait le problème. S'il y a un problème d'organisation, il n'est pas du côté du professeur.
(Si ça avait été moi, il y a fort à parier que je ne serais pas partie avec l'élève, c'est-à-dire pas du tout si on me l'avait imposé. Mais bon, c'est facile de parler à la place des autres.)
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