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- EmeraldiaÉrudit
Un grand merci ! J’ai reçu ce livre cet après-midi et veux rattraper mon retard en commençant tout de suite. J’arrive à deviner le sens de certains mots mais pas tous évidemment. J’y retourne
- FiatLuxFidèle du forum
Si ça peut te rassurer, Emeraldia, je trouve l'oeuvre vraiment violente. Ce n'est pas tant la compréhension des mots que la somme colossale des références antiques (et je m'estime pourtant très calée dans le domaine), de la postérité des pièces et des notes imbuvables qui font le triple de chaque pièce. On parle beaucoup de Corbière mais Garnier est pour moi l'auteur le plus dangereux au programme de cette année.
- EmeraldiaÉrudit
Sans aucune prétention, je suis beaucoup plus à l’aise avec Corbière qu’avec Garnier.
Merci beaucoup pour ta réponse
Merci beaucoup pour ta réponse
- yukiko80Niveau 3
Pareil que vous, c'est l'oeuvre que je redoute le plus.
Je commence seulement la lecture (dernier livre que je n'ai pas encore lu - je suis complètement en retard sur mon programme) et j'ai beaucoup de mal à savoir comment lire les notes tant elles sont denses : en même temps que la pièce mais ça va interrompre ma lecture sans cesse ou après ? Je vais peut-être faire acte par acte lire un acte, les notes sur l'acte puis le suivant etc..
Je commence seulement la lecture (dernier livre que je n'ai pas encore lu - je suis complètement en retard sur mon programme) et j'ai beaucoup de mal à savoir comment lire les notes tant elles sont denses : en même temps que la pièce mais ça va interrompre ma lecture sans cesse ou après ? Je vais peut-être faire acte par acte lire un acte, les notes sur l'acte puis le suivant etc..
- FiatLuxFidèle du forum
Mes propos vont sans doute choquer mais je n'ai pas lu les notes pendant que je lisais la pièce et je le ferai seulement si j'ai le temps. Je trouve la plupart (parce que j'y ai quand même jeté un œil) vraiment inutiles en plus d'alourdir cruellement la lecture. Les professeurs du PAF où je suis inscrite n'ont cessé de répéter que l'agrégation est un concours d'efficacité. Je n'ai pas l'impression d'être efficace en perdant mon temps sur ça. Les notes de l'édition de Corbière me semblent bien plus indispensables, par exemple.
- yukiko80Niveau 3
Merci pour ton avis, je crois que je vais essayer de lire la pièce sans les notes sinon je ne serai pas pleinement dans ma lecture.
Oui, pour le coup, pour Corbière elles sont précieuses et utiles, ainsi que le lexique !
Je suis bien embêtée pour le PAF : les inscriptions fermaient hier, je suis inscrite, là n'est pas le problème, mais j'ai vu sur le planning de la fac que les cours PAF commençaient demain... or on n'a pas encore les ordres de mission, forcément ! Je ne sais qui appeler en premier, rectorat ou fac.
Oui, pour le coup, pour Corbière elles sont précieuses et utiles, ainsi que le lexique !
Je suis bien embêtée pour le PAF : les inscriptions fermaient hier, je suis inscrite, là n'est pas le problème, mais j'ai vu sur le planning de la fac que les cours PAF commençaient demain... or on n'a pas encore les ordres de mission, forcément ! Je ne sais qui appeler en premier, rectorat ou fac.
- Euterpe03Niveau 5
@Fiatlux : ce n’est pas choquant. J’aurais fait de même l’an dernier car j’ai manqué de temps. Cette année, je me suis mieux organisée et je tiens quand même à dire qu’elles sont utiles pour une lecture plus fine du texte qui peut être très utile pour l’oral. Il est vrai qu’il faut être vraiment efficace ce n’est pas évident. Bon courage
- DeliaEsprit éclairé
HS, à propos des notes :
J'ai eu à mon programme d'agrégation les Regrets de Du Bellay, édition de référence Garnier, annotée par une pointure (dont j'ai oublié le nom). Dans un des sonnets, le poète se voit ruiné, obligé de rentrer sur le buffle. Grande perplexité de l'éditeur qui suppose... qui ne voit pas que le cuir de buffle, particulièrement solide (les buffleteries) servit à faire des bottes : rentrer sur le buffle, c'est rentrer à pied, sur ses bottes, tout bêtement !
Donc, ne pas faire aveuglément confiance aux notes et annotateurs.
...et bon courage !
J'ai eu à mon programme d'agrégation les Regrets de Du Bellay, édition de référence Garnier, annotée par une pointure (dont j'ai oublié le nom). Dans un des sonnets, le poète se voit ruiné, obligé de rentrer sur le buffle. Grande perplexité de l'éditeur qui suppose... qui ne voit pas que le cuir de buffle, particulièrement solide (les buffleteries) servit à faire des bottes : rentrer sur le buffle, c'est rentrer à pied, sur ses bottes, tout bêtement !
Donc, ne pas faire aveuglément confiance aux notes et annotateurs.
...et bon courage !
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- BlackMailExpert
De mon côté, j'ai décidé que ma première lecture se ferait sans les allers-retours incessants aux deux index, qui cassaient ma compréhension du texte. Je finis Corbière (plus que quelques poèmes) et je continue Garnier (dont je n'ai lu que la préface et quelques pages !).
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- Spoiler:
I'm watching you.
- AsterNiveau 6
Bonjour à tous,
J'ai plusieurs questions à partager avec vous :
1. Que pouvons-nous savoir de la scène théâtrale au XVI ? Encore un espace à mansions ? Vers un lieu unique ? Bref, quelle scène ont pu avoir sous les yeux les contemporains de Garnier ?
2. De même, en ce qui concerne les mouvements des personnages, leur présence ou absence sur scène : les nombreux blancs du texte à ce sujet doivent-ils être compris comme autant d'évidences pour la représentation théâtrale de l'époque ? Signalent-ils simplement que Garnier, bien qu'homme de théâtre en ce qu'il travaille à produire un spectaculaire, reste homme de discours plus que dramaturge ? Il est vrai que nous sommes pleins de la clarté raisonnable, vraisemblable, de la dramaturgie classique. Qu'est-ce qu'il nous est permis d'imaginer comme représentation, non pas aujourd'hui, mais contemporaine de Garnier ?
3. Question de vocabulaire cette fois : Quelle définition le XVIème siècle donne-t-il du monologue, du soliloque, de la tirade ? J'ai l'impression que l'éditeur critique de nos pièces n'emploie pas ces mots de manière convaincante : pourquoi "tirade" d'Hippolyte en I, pourquoi "monologue" de Phèdre en II ?
4. Sur "l'aveu" de Phèdre à sa nourrice en II : les premières paroles de cette dernière ne suggèrent-elles pas qu'elle connaît déjà la nature du tourment de sa maîtresse et que son savoir est antérieur à celui du spectateur ? ll entre de l'exaspération dans ces paroles il me semble : "Ne verrai-je jamais hors de votre pensée / Cruelle s'affligeant, cette amour insensée ?" (v. 467-468) Quant à Phèdre, les paroles qu'elle prononce aux vers 463 à 465 pourraient s'expliquer par le caractère du personnage, en état de ressassement passionnel.
Voilà, j'espère que ces pistes de réflexion vous semblent pertinentes et utiles pour travailler l'oeuvre !
Au plaisir d'échanger
J'ai plusieurs questions à partager avec vous :
1. Que pouvons-nous savoir de la scène théâtrale au XVI ? Encore un espace à mansions ? Vers un lieu unique ? Bref, quelle scène ont pu avoir sous les yeux les contemporains de Garnier ?
2. De même, en ce qui concerne les mouvements des personnages, leur présence ou absence sur scène : les nombreux blancs du texte à ce sujet doivent-ils être compris comme autant d'évidences pour la représentation théâtrale de l'époque ? Signalent-ils simplement que Garnier, bien qu'homme de théâtre en ce qu'il travaille à produire un spectaculaire, reste homme de discours plus que dramaturge ? Il est vrai que nous sommes pleins de la clarté raisonnable, vraisemblable, de la dramaturgie classique. Qu'est-ce qu'il nous est permis d'imaginer comme représentation, non pas aujourd'hui, mais contemporaine de Garnier ?
3. Question de vocabulaire cette fois : Quelle définition le XVIème siècle donne-t-il du monologue, du soliloque, de la tirade ? J'ai l'impression que l'éditeur critique de nos pièces n'emploie pas ces mots de manière convaincante : pourquoi "tirade" d'Hippolyte en I, pourquoi "monologue" de Phèdre en II ?
4. Sur "l'aveu" de Phèdre à sa nourrice en II : les premières paroles de cette dernière ne suggèrent-elles pas qu'elle connaît déjà la nature du tourment de sa maîtresse et que son savoir est antérieur à celui du spectateur ? ll entre de l'exaspération dans ces paroles il me semble : "Ne verrai-je jamais hors de votre pensée / Cruelle s'affligeant, cette amour insensée ?" (v. 467-468) Quant à Phèdre, les paroles qu'elle prononce aux vers 463 à 465 pourraient s'expliquer par le caractère du personnage, en état de ressassement passionnel.
Voilà, j'espère que ces pistes de réflexion vous semblent pertinentes et utiles pour travailler l'oeuvre !
Au plaisir d'échanger
- ernyaFidèle du forum
1. Je cois qu'on a très peu d'éléments sur la représentation de l'époque. A mon avis on a des décors simultanés avec les Enfers et le palais, la forêt pour la première pièce et des ruines et le tombeau pour la 2e pièce. C'est ce que dit le critique de notre édition, il me semble.
2. On est au début de la normalisation du texte de théâtre (pas vraiment de scènes encore) donc difficile de savoir. Faut tenter de se fier aux didascalies internes.
3. Aucune idée.
4. Effectivement, à la différence de Racine, on n'a pas d'aveu à la nourrice. La nourrice sait déjà tout et de toute façon les vers 467-468 sont assez clairs sur le sujet. L'approche n'est pas la même que chez Racine car la parole n'est pas dramatisée ici. On tourne même après au débat rhétorique sur la fidélité conjugale. Le spectateur connaît de toute façon déjà l'histoire et tout est plié dès le monologue protatique d'Egée.
2. On est au début de la normalisation du texte de théâtre (pas vraiment de scènes encore) donc difficile de savoir. Faut tenter de se fier aux didascalies internes.
3. Aucune idée.
4. Effectivement, à la différence de Racine, on n'a pas d'aveu à la nourrice. La nourrice sait déjà tout et de toute façon les vers 467-468 sont assez clairs sur le sujet. L'approche n'est pas la même que chez Racine car la parole n'est pas dramatisée ici. On tourne même après au débat rhétorique sur la fidélité conjugale. Le spectateur connaît de toute façon déjà l'histoire et tout est plié dès le monologue protatique d'Egée.
- ernyaFidèle du forum
Bonjour tout le monde. Je suis à la recherche d'articles critiques pour m'aider à analyser les oeuvres de Garnier. Pour le moment, j'ai déjà regardé :
- "le vers de théâtre au seizième siècle" de Lestringant
- "le suicide dans les tragédies de Garnier" de Liénard
- "la tragédie des vaincus" de Mantero
"Hippolyte de Garnier, tremblés de la représentation dans le miroir des cruautés" de Le Blanc
Avez-vous d'autres choses à me suggérer ?
- "le vers de théâtre au seizième siècle" de Lestringant
- "le suicide dans les tragédies de Garnier" de Liénard
- "la tragédie des vaincus" de Mantero
"Hippolyte de Garnier, tremblés de la représentation dans le miroir des cruautés" de Le Blanc
Avez-vous d'autres choses à me suggérer ?
- l'amoureuseNiveau 4
Hello,
je viens de glisser dans la box un article de Buron.
je viens de glisser dans la box un article de Buron.
- ernyaFidèle du forum
@l'amoureuse : Merci ! Je vais aller voir ça.
- AsterNiveau 6
Aster a écrit:Bonjour à tous,
J'ai plusieurs questions à partager avec vous :
1. Que pouvons-nous savoir de la scène théâtrale au XVI ? Encore un espace à mansions ? Vers un lieu unique ? Bref, quelle scène ont pu avoir sous les yeux les contemporains de Garnier ?
2. De même, en ce qui concerne les mouvements des personnages, leur présence ou absence sur scène : les nombreux blancs du texte à ce sujet doivent-ils être compris comme autant d'évidences pour la représentation théâtrale de l'époque ? Signalent-ils simplement que Garnier, bien qu'homme de théâtre en ce qu'il travaille à produire un spectaculaire, reste homme de discours plus que dramaturge ? Il est vrai que nous sommes pleins de la clarté raisonnable, vraisemblable, de la dramaturgie classique. Qu'est-ce qu'il nous est permis d'imaginer comme représentation, non pas aujourd'hui, mais contemporaine de Garnier ?
Voilà, j'espère que ces pistes de réflexion vous semblent pertinentes et utiles pour travailler l'oeuvre !
Au plaisir d'échanger
ernya a écrit:1. Je cois qu'on a très peu d'éléments sur la représentation de l'époque. A mon avis on a des décors simultanés avec les Enfers et le palais, la forêt pour la première pièce et des ruines et le tombeau pour la 2e pièce. C'est ce que dit le critique de notre édition, il me semble.
2. On est au début de la normalisation du texte de théâtre (pas vraiment de scènes encore) donc difficile de savoir. Faut tenter de se fier aux didascalies internes.
Bonjour à tous,
Je lis les derniers messages concernant Garnier sur un le fil "Agrègue LM 2020" et reviens donc vers vous : pourriez-vous m'aider à avancer dans la réflexion sur ces questions de mises en scènes théâtrales au XVI, et de mouvements de personnages ? Notre prof d'UB semble botter en touche...
Merci ! :lecteur:
- AllianceNiveau 9
Aster a écrit:isocèle a écrit:Suivant les bons conseils d'ernya, je poste les sujets proposés par Sisyphe dans les fils dédiés :
Sujet de dissertation (Garnier) :
Commentez, illustrez et discutez cette citation :
« Il n’est sans doute pas d'œuvre de la Renaissance dont le sens
politique soit plus évidemment marqué que le théâtre tragique de Robert
Garnier. »
Frank Lestringant, « Pour une lecture politique du théâtre de Robert
Garnier : le commentaire d’André Thevet en 1584 », Mélanges Enea Balmas,
p. 405.
Bonjour à tous,
Voici ma modeste contribution, à bientôt d'échanger !
- Spoiler:
« Il n’est sans doute pas d'œuvre de la Renaissance dont le sens politique soit plus évidemment marqué que le théâtre tragique de Robert Garnier. »
Frank Lestringant, « Pour une lecture politique du théâtre de Robert Garnier : le commentaire d’André Thevet en 1584 », Mélanges Enea Balmas, p. 405.
A. Analyse.
• Sens = différencier invitation à la réflexion et adresse d’un message. Penser aussi aux sens physiques, au tra-vail des émotions (esthétique de la violence)
• Politique : Cité. Collectif. Actualité de Garnier et contemporains. Royauté politique. Perte du sens ?
• Evident : penser aussi au sens étymologique, donné à voir, en lien avec le spectacle et le spectaculaire.
• Théâtre tragique : un genre – une écriture – des effets. Emotions. Terreur pitié. Pathétique. Mort. Dénouement. Catharsis.
Thèse de F. Lestringant : Les tragédies de Garnier ont un sens politique évident.
Il va donc falloir discuter :
- le degré, ou l’importance du politique,
- l’univocité d’un message, d’un sens, ou l’invitation à la réflexion citoyenne humaniste,
- le degré de sens, que les sens servent ou mettent à mal ?
B. Problématique.
Le sens premier, évident, et partant la valeur des tragédies de Garnier ne sont-ils à chercher que du côté du politique ? C’est-à-dire en dehors de l’œuvre elle-même, dont le sens évident viendrait d’abord de sa référentialité ?
C. Plan.
I. Un théâtre tragique marqué par la politique (dimension politique du théâtre de Garnier).
a. Sujets et thèmes des pièces, rapports entre sujets et thèmes (concurrence) / Histoire du temps : guerre de religions. Lien évident pour public fin XVI. Voir aussi la Dédicace de La Troade.
b. Présence d’un chœur Citoyens, collectivité liés à la polis.
c. Présence de développements moraux qui s’offrent comme autant d’invitations à conduire une ré-flexion politique.
II. Mais Garnier est d’abord homme de théâtre et poète, dont le travail est propre à susciter d’abord un plaisir, une émotion esthétique, tragique, un plaisir des sens.
a. Dramaturgie et composition
b. Lyrisme des chœurs
c. Travail de l’alexandrin
III. En fait le théâtre tragique de Garnier choisit d’abord de « marquer », de donner à Voir (étymologie de « évident » : scène, corps), à sentir, pour donner à réfléchir le politique. Il semble même que le travail des sens mette à mal l’univocité d’un sens, d’un message politique.
a. les didascalies foisonnantes.
b. Récits tableaux – autre scène – théâtre dans le théâtre. Vision.
b. Goût du macabre, violence sur scène, le corps obscène qui ne laissent pas de place à la réflexion poli-tique le temps de la représentation, ou traduisent une perte du sens politique. Poétique de l’excès, insou-tenable.
Quelques idées en vrac : le rôle de consolation du choeur, notamment dans la Troade (idée de souffrance collective...) et pour ce qui est d'Hippolyte, quelle lecture politique (sans tomber dans le travers de l'analyser seulement sous cet angle mais l'idée que les Enfers affleurent dans le monde des vivants comme pour signifier que la période est troublée (contexte très proche du massacre de la Saint Barthélémy...). Mais je suppose que je n'apporte pas grand chose, cela devait être contenu dans tes idées !
- AsterNiveau 6
Bonsoir Alliance,
Je te remercie pour les idées liées à cette première dissertation, mais je ne suis pas certaine que l'on se comprenne. J'ai fait remonter un post sur les possibilités de "mise en scène" et "scénographies", et "mouvements de personnages"...
Je te remercie pour les idées liées à cette première dissertation, mais je ne suis pas certaine que l'on se comprenne. J'ai fait remonter un post sur les possibilités de "mise en scène" et "scénographies", et "mouvements de personnages"...
- calistaNiveau 8
Bonsoir,
Petite question : dans Hippolyte, où se situe la pièce, Athènes, Trézène? J'avoue que j'ai un doute...
Merci d'avance.
Petite question : dans Hippolyte, où se situe la pièce, Athènes, Trézène? J'avoue que j'ai un doute...
Merci d'avance.
- *Penthésilée*Niveau 5
C'est Athènes. Trézènes, c'est chez Racine il me semble.
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"Moderation is a fatal thing. Nothing succeeds like excess." Oscar Wilde
- calistaNiveau 8
Merci, oui, j'ai dû confondre, d'où mon doute... Merci, merci!
- Hermione0908Modérateur
Voici les captations de la journée d'étude qui a eu lieu à Bordeaux.
Nous avons eu un cours avec Nina Hugot, qui a fait une des communications de cette journée d'étude, et c'était passionnant. Elle est également intervenue à la journée d'étude à la Sorbonne Nouvelle.
https://centre-montaigne.huma-num.fr/activites-du-centre-montaigne/les-manifestations-du-centre-montaigne/journ%C3%A9es-d-agr%C3%A9gation.html
Nous avons eu un cours avec Nina Hugot, qui a fait une des communications de cette journée d'étude, et c'était passionnant. Elle est également intervenue à la journée d'étude à la Sorbonne Nouvelle.
https://centre-montaigne.huma-num.fr/activites-du-centre-montaigne/les-manifestations-du-centre-montaigne/journ%C3%A9es-d-agr%C3%A9gation.html
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- l'amoureuseNiveau 4
Bonsoir,
Je me pose plusieurs questions sur Neptune. Peut-être pourriez-vous me guider?
Thésée évoque trois souhaits qu'il peut lui demander. Pourquoi?
Par ailleurs, j'ai lu que Neptune était parfois considéré comme le père de Thésée et non Egée, croyez-vous que ce soit le cas dans notre tragédie? J'aurais tendance à répondre négativement car Hippolyte parle d'Egée comme s'il s'agissait de son grand-père... mais j'ai un doute!
Bonne soirée
Je me pose plusieurs questions sur Neptune. Peut-être pourriez-vous me guider?
Thésée évoque trois souhaits qu'il peut lui demander. Pourquoi?
Par ailleurs, j'ai lu que Neptune était parfois considéré comme le père de Thésée et non Egée, croyez-vous que ce soit le cas dans notre tragédie? J'aurais tendance à répondre négativement car Hippolyte parle d'Egée comme s'il s'agissait de son grand-père... mais j'ai un doute!
Bonne soirée
- isocèleNiveau 7
Dans la mythologie le doute est permis (https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9s%C3%A9e ) mais dans notre tragédie, outre que Neptune lui octroie trois vœux -peut-être en souvenir de sa nuit d'amour avec Ethra, je ne pense pas qu'il faille fouiller davantage.
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