Poste adapté au CNED

Neige a écrit:Guermantes, Edith, quel genre de matériel vous a donné le CNED ?

Désolée, je ne travaille pas au CNED, tu dois confondre... J'ai posé une question sur l'offre "devenez auteur numérique" et je ne connais le CNED que comme parent.

Excuse-moi Edith. Je viens de relire et j'ai confondu avec Broior

Neige a écrit:Guermantes, Edith, quel genre de matériel vous a donné le CNED ?

Bon courage Amandine.

Bonjour Neige,

Le CNED ne fournit plus rien, ce sont maintenant les rectorats qui s'en chargent: ton rectorat actuel, pas celui dont dépend le site du CNED dans lequel tu seras affecté.

Le rectorat te fournit un pc, et il peut te fournir un pc portable un fauteuil mais tous ses aménagements supplémentaires sont sur demande du médecin de la prévention. C'est pc "pour tous" et plus, sur demande.

Cela, est en théorie. En pratique, cela change beaucoup selon les académies. Certains attendent encore à Noël leur matériel.

voilà, je n'en sais pas plus, car moi j'ai fait le choix d'utiliser mon matériel personnel. Je suis depuis longtemps beaucoup chez moi, donc depuis longtemps très bien équipée en informatique et je préfère être celle qui choisit avec quoi je travaille (ordinateur, logiciels, anti-virus, etc,...)

Bon courage!

Neige a écrit:Excuse-moi Edith. Je viens de relire et j'ai confondu avec Broior

aucun problème, ça m'arrive aussi...

Merci Guermantes pour ces renseignements

Si j'ai la chance d'avoir un poste CNED, je pense que j'utiliserai aussi mon propre ordinateur. A moins que celui fourni par le Rectorat soit beaucoup mieux

Bonjour,
Je reviens sur ce sujet:

Periwinkle a écrit:

EdithW a écrit:À votre connaissance, est-ce qu’un enseignant titulaire du privé peut prétendre (en suivant tout le processus) aux postes du CNED ou sont-ils réservés aux fonctionnaires?

Difficile de trouver une réponse bien claire et nette à cette question... Sans vouloir te décourager, une amie, ex-enseignante titulaire dans le privé désormais en invalidité, m'a dit qu'on ne lui a pas accordé cette possibilité, bien qu'elle l'ait demandé. Après, les choses ne sont pas immuables (c'était il y a déjà plusieurs années) et il existe peut-être des subtilités dans les statuts (je crois que selon le mode de recrutement - par concours ou par une autre voie - tu es ou non assimilée fonctionnaire... cela fait-il une différence?), voire des différences importantes dans l'interprétation des textes en fonction des académies - sans compter que la situation de santé de chacun pèse probablement dans les décisions d'octroi ou de refus.

Bref, le plus simple serait peut-être pour toi de t'adresser soit à un référent handicap ou assistant social de ton rectorat, soit à un syndicat.

Tiens-nous au courant du résultat de ta démarche, cela pourrait aider d'autres personnes par la suite!

car il me semble avoir trouvé ici [https://www.education.gouv.fr/handicap-tous-concernes-99935] la réponse officielle et définitive à la question posée par EdithW:

L'affectation sur poste adapté
Ce dispositif est destiné aux personnels enseignants, d'éducation et d'orientation du premier et du second degrés exerçant dans les établissements d'enseignement scolaire public.

Merci! On ne peut plus clair! Mais pour être «  auteur » c’est ouvert aux personnels du privé.

Oui. Les postes adaptés, c'est tout à fait spécifique aux personnels dont l'état de santé est provisoirement ou définitivement incompatible avec un travail, disons, "standard" dans un établissement scolaire. Il me semble d'ailleurs que le terme précédemment utilisé pour désigner les postes adaptés était "réemploi"...
Les "auteurs", par contre, font acte de candidature à un poste et sont recrutés. Comme dans une entreprise privée, et avec les mêmes risques.

Les "auteurs" ne sont même pas, tous, enseignants...

Est ce que j’en ai marre ce soir...? OUI!

18h30, je reçois un mail me demandant de signer électroniquement le contrat pour l’occupation thérapeutique et on me joint le livret d’accueil du dispositif.
Je lis avant de signer et la, je tombe encore de haut!
On m’avait vendu l’occupation thérapeutique comme une sorte de test pour savoir si le CNED en PACD pouvait me convenir donc je devais corriger des copies de chez moi.
Le médecin de prévention m’a dit 10 copies maximum par semaine.
La semaine dernière j’apprends que c’est 7h minimum mais qu’on peut commencer par palier le temps de s’adapter donc peut être 3h/semaine pour débuter et augmenter petit à petit.
Déjà, je tombe de haut. Il y a un fossé entre 10 copies et 7h!

Puis ds ce fameux livret, on parle de « stage, de tuteur, de prise en main d’une classe, de préparation de séances et de séquences, de vie d’établissement... ». C’est quoi ce bazar?!
C’est typiquement ce que je ne peux pas faire!! Je peux pas aller au collège donc c’est pas pour me retrouver au fond d’une classe à prendre des notes!!
Et je fais comment avec mes soins quotidiens?! Il est où le protocole de continuité de soins?!

J’ai envoyé un mail mais évidemment vu l’heure, je n’ai pas eu de réponse.
Ce soir je suis révoltée contre ce système qui m’écrase, me stresse...

Mail en fin de matinée... on m’a (encore) envoyée des mauvais documents.
J’en peux plus de ce stress permanent que m’impose le retour à l’emploi...

Je ne suis d'aucune aide, chère Marcelle, vu que je ne connais pas du tout ce concept "d'occupation thérapeutique" mais je suis de tout coeur avec toi

Bonsoir Marcelle, c'est un véritable parcours du combattant.... ils testent ta résistance tant physique, que psychologique et nerveuse. J'ai toujours dit que la bienveillance dont on nous demande d'appliquer est à sens unique....
Garde courage

Je finis par me demander si effectivement on ne teste pas ma résistance physique et mentale.
À 17h on m’appelle pour un entretien téléphonique, la immédiatement!
J’étais au parc avec mon fils, seule. J’ai dit que je ne pouvais pas. J’ai eu l’impression que mon refus a saoulé la dame au téléphone. Je lui ai proposé demain à 9h (le temps d’aller à l’hôpital) mais clairement j’ai senti qu’il fallait que je sois à leur disposition totale quand ils décident de m’appeler.
Quitte à interrompre mes soins.
Quitte à mettre sur pause la vie de famille.

Ça me gonfle ce manque d’empathie et de compréhension.

Courage Marcelle. J'espère que ca se passera bien. Malheureusement l'empathie est une qualité qui se perd dans notre ministère.

Hier matin, la dame du CNED m’appelle pour mettre en place l’occupation thérapeutique. Déjà elle devait m’appeler entre 9h et 9h30 et elle m’appelle passe cet horaire alors que je lui avais dit que j’allais au CHU.
J’ai donc fait cette conversation sur le parvis de l’hôpital en envoyant des textos à mon Ortho pour lui dire que j’étais là mais que j’étais au téléphone devant le bâtiment!
La dame m’explique comment fonctionne le CNED, le type d’élèves, la notation, la façon de travailler etc... Je l’ai joué ultra motivée car elle m’a dit que ça pèserait pour la commission d’attribution du poste en PACD.
Elle m’a inscrite en formation sur un lundi et un mardi (je dois donc annuler mes 3 soins ces jours la, je suis ravie!) de 9h30 à 17h (il faut donc que je mette mon petit à la garderie... ça me fait des frais en plus!) et pour ma fatigabilité, je balise un peu.
Je lui explique que je n’ai eu que des infos discordantes depuis des mois et que j’ai besoin d’être rassurée.
Je lui raconte qu’on m’avait dit que c’était acquis que j’avais le poste en PACD pour la rentrée prochaine mais que d’après mes recherches, c’était impossible. Elle me dit qu’effectivement, je passais en commission au rectorat et que s’il y avait un poste en arts plastiques, je pouvais l’obtenir.
Je raccroche au bout de 45 min de conversation et j’étais chiffonnée. D’un côté, le CRB me dit que j’ai déjà le poste, le CNED me dit que non...
(Et je vous épargne la longue discussion sur la date de mon entrée au CNED selon la date de fin de mon CLM...).

L’après midi, je devais appeler la dame du CRB mais mon fils ayant refusé de faire la sieste et étant d’une humeur de chien, j’ai préféré lui envoyer un mail avec mes questions.
Manque de pot, elle me rappelle 10 min après.
Je lui réponds donc avec un gosse me hurlant dans les oreilles (ce qui me fatigue ++ cognitivement). Et on parle de l’attribution du PACD et elle me dit qu’elle n’avait jamais dit que c’était acquis!
Ok... donc, est ce que c’est moi qui a mal compris ou est ce elle qui s’est plantée?...
Elle me dit que C’est soumis à avis médical et qu’effectivement je cochais toutes les cases pour entrer au CNED, mais c’etait selon les postes.
La commission se tient en avril donc fin avril début mai je serai fixée.
Je lui demande donc ce qu’il se passe si j’ai pas le PACD.
Elle me dit que je repartirai en occupation thérapeutique jusqu’à l’année prochaine.
La, mon sang ne fait qu’un tour!!
Je lui explique que non, je ne ferai pas l’OT bénévolement car moi j’ai besoin de remplir mon frigo et que je suis en fin de droit dans quelques mois.
Elle me dit donc que je partirai en mi temps thérapeutique. Chose que je ne peux absolument pas faire car même 9h, devant élèves je ne pourrai pas tenir vu mon élocution, mon écrit et ma lecture.
Elle me dit de ne pas stresser si tôt...
ça a le fin de m’énerver! Je lui explique que mon foyer ne peut pas vivre avec le salaire de mon conjoint (1400€), un loyer de 950€ et que j’ai un petit garçon de 3 ans qui a besoin de vivre décemment!! Et que depuis 2 ans, je perds l’équivalent de 400€/mois sur mon salaire de base depuis la 2e année de mon CLM.
Elle me sort son laïus sur les offres de la MGEN (forcément puisque le CRB dépend d’eux) sauf que visiblement elle ne connaît pas la réalité!
Puis « mais pourquoi vous avez jamais demandé le CLD?! »
Je lui ai déjà dit 3 fois que la neurologie ne rentrait pas dans le cadre du CLD!!
Elle conclue l’appel de manière bienveillante (car je dois reconnaître que c’est une dame très gentille et disponible) mais moi j’étais au 36e dessous.

Résultat, j’ai craqué et j’ai pleuré comme une c*** devant mon fils qui ne comprenait pas ce qui se passait. J’ai du le faire flipper car mon maquillage avait dégouliné, je ressemblais aux mecs de Kiss!
J’ai ensuite debriefe avec ma mère car j’avais besoin de vider mon sac mais j’étais épuisée moralement et physiquement.

C'est vraiment dur pour toi Marcelle. Mon frère est passé par là et effectivement c'est compliqué de leur faire comprendre qu'on a tout simplement besoin de travailler pour nourrir sa famille. Tu n'en es plus à choisir une offre MGEN, que diable ! J'espère vraiment que tu obtiendras ce poste.

J’espère aussi mais ce qui me fait halluciner c’est la disparité des démarches entre les diverses académies et le fait que visiblement ces gens ne sont pas formés pour répondre à des situations extraordinaires comme la mienne. Peut être que gérer des personnes en fin de carrière mais des profs comme moi qui se retrouvent handicapés comme moi dans la trentaine, ça les dépasse visiblement.

J’attends qu’ils osent me demander comment ça se fait que j’ai pas d’économies pour pouvoir vivre sans salaire, car je sens que ça sera la prochaine étape dans l’humiliation.

Punaise... ce qui me vient est hors-charte... Tout mon soutien, encore une fois, Marcelle !!

Merci pour votre soutien.
Je poste désormais plus pour aider des potentiels demandeurs de PACD ds l’académie de Bordeaux que pour obtenir de l’aide. Je pense que si d’autres ont besoin d’infos, ils verront combien il est important de bien s’accrocher et savoir à quelles portes frapper.

Mais sincèrement, je finis par me dire que j’ai pas fait de dépression suite à mon avc mais que la, ça commence à devenir très très compliqué pour mes nerfs toutes ces angoisses.

Bonjour,
D’abord Marcelle, je t’exprime tout mon soutien. Au fur et à mesure de ma lecture du fil de discussion, je constate que l’accès à un poste adapté est un fouillis inextricable au niveau des démarches administratives !
Je viens de lire sur un site d’un syndicat que « le traitement des postes adaptés est académique et non national ». Or, j’avais compris à vous lire que c’était l’inverse puisqu’on pouvait être affecté dans une autre académie que celle d’origine. Mais peut-être ai-je manqué un épisode ?
Outre les méandres administratifs, il me vient des interrogations d’ordre plus pratique voire terre à terre. Quand on a eu la chance d’obtenir un poste adapté, j’ai retenu qu’on travaillait 35h avec des réunions, des corrections (le plus gros du travail) et un peu de tutorat. Mais :
1- Le temps de travail est-il conciliable avec des soins ou des rdv médicaux ? Autrement dit, est-on contraint de se connecter de 9h à 17h ou libre de gérer son temps ? Serait-ce mal perçu par exemple d’étaler les corrections et de corriger le week-end ou la nuit pour combler les insomnies ? Existe-il un système de pointeuse ?
2- Dans la même idée, doit-on rester joignable dans la journée ? Le CNED peut-il nous appeler pour contrôler notre présence et/ou notre travail ?
3- Quel est l’objet et la durée des réunions hebdomadaires ? Ont-elles pour but de diffuser des informations administratives ou pédagogiques ? Ou simplement des consignes de travail ?
4- Existe-il un « annuaire » des collègues intervenant sur un même niveau de correction par exemple ou pour communiquer avec les concepteurs du sujet ? Ou sommes-nous réellement « isolés » ?
5- Quels sont nos interlocuteurs privilégiés ?
6- Comment sont complétés les bulletins des élèves ? Existe-il des conseils de classe en vidéoconférence ?
7- Qui est notre supérieur hiérarchique ? Le directeur du Cned ?
8- Peut-on contacter l’IPR en cas de doute sur le déroulement des épreuves par exemple même s’il ne nous connait pas comme en présentiel ?
9- Est-on formé pour les réformes et la mise en place des nouveaux référentiels (réforme du bac par exemple) comme on pourrait en bénéficier avec le PAF académique ? Ou doit-on se débrouiller à trouver l’info sur le Net ?
10- Dispose-t-on d’une carte professionnelle pour bénéficier d’une réduction chez les éditeurs ? Même si l’on n’est plus concepteurs des cours et seulement correcteurs, il est toujours intéressant de vois comment sont construits les exercices et les synthèses des différents chapitres traités …
Voilà quelques questions qui me tarabustent. J’espère que certains d’entre vous m’aideront à trouver des réponses claires car, comme l’a souligné Neige je crois, ce forum est bien le seul endroit où l’on puisse trouver des réponses concrètes !

Bonjour Amandine,

Tu as raison, c'est la contradiction: les postes adaptés dépendent absolument d'une décision rectorale MAIS ensuite une fois que tu as ton PA et que ce PA est une nomination au CNED, tu peux être nommée sur n'importe quel site du CNED.
J'essaie de répondre à tes questions, quand je sais/peux:
1°) Force est de constater d'après nos divers témoignages que la charge de travail n'est pas la même pour tous. Il semblerait que les collègues des matières littéraires et les PE ont une charge de travail plus importante que les collègues des matières scientifiques.
Tu corriges en revanche quand tu veux , tu as 5 jours ouvrés pour rendre une copie, c'est ta seule obligation pour les copies. En revanche tu as une heure par semaine bloquée par la réunion hebdomadaire à laquelle tu dois impérativement être. Mais si exceptionnellement ça tombe au même moment qu'un rdv médical tu fournis un justificatif et il n'y aura pas de problème. En revanche les raisons du type "je dois aller chercher mes enfants à l'école" ou "c'est mon heure de yoga" ne sont pas acceptées (personnellement, je trouve ça assez normal)
tu dois de la même façon être présente aux réunions de formation qui te seront imposées en début de ta 1ère année.

Sinon, tu fais ce que tu veux, quand tu veux, du moment que tu rendes tes copies en 5 jours ouvrés

2°) sur le papier, oui, dans les faits, non, ça n'arrive jamais. Il faut bien comprendre que le CNED comme tout autre service en ce moment, croule sous le travail, ils ont donc vraiment autre chose à faire qu'à essayer de te joindre, "juste" pour voir si tu réponds si un message plus ou moins urgent doit t'être transmis, il est communiqué par courriel

3°) 1h. Leur thème est très varié, ce n'est pas toi qui le choisis, les thèmes sont du genre "l'argumentation" ou "les consignes" ou "gérer les fraudes", etc,... sur le papier c'est intéressant, dans les faits, rarement :/ parce que ce sont des réunions interdisciplinaires (or on n'a pas les mêmes consignes en maths et en lettres par exemple, ni les mêmes particularités) et parce qu'il faut le dire aussi, le résultat de nos réflexions ne sert de fait pas à grand-chose....exactement comme si on ce genre de réunions en présentiel

4°) non, aucun annuaire. Là aussi il faut bien intégrer que pour 200 profs nommés, il y a des milliers de vacataires. Donc pour 20 profs de lettres nommés, avec qui on peut communiquer par exemple, il y a 100 vacataires qui "tournent" et avec lesquels on a aucun contact et réciproquement; Donc il faut bien intégrer que tout travail "en commun" qu'on pourrait faire "entre nommés" est une goutte d'eau comparée à l'océan de vacataires qui travaillent, par force, seuls.

En revanche, tu verras, via les réunions hebdomadaires, via le tutorat, tu te fais des collègues amis tu n'es pas isolée si tu ne souhaites pas l'être

5°) Les chefs du service des enseignants à distance (SEAD); On n'a pas de "chef" par discipline, on a des "chefs" d'enseignants. Enfin, encore une fois je parle du site que je connais (Rennes)

6°) Tu reçois en son temps, des bulletins à remplir avec un choix de réponses très variées mais pré déterminées. on n'assiste à aucun conseil de classe. Je ne sais pas s'il y en a. Là aussi il faut bien comprendre qu'on ne "suit" pas une classe, on peut corriger 1 élève 3 fois, comme on peut corriger une seule fois, un élève...

7°) le responsable du SEAD. Encore une fois c'est un supérieur administratif, on n'a aucun supérieur pédagogique
8°) je ne sais pas, je ne l'ai pas tenté. Moins je parle aux IPR, mieux je me porte (en gros^^)
9°) non. Là non plus personnellement je ne m'en plains pas, je suis incapable de me déplacer et de passer une journée en formation. Mais des collègues le regrettent, ce que je comprends très bien , bien sûr
10°) Je ne sais pas, je n'ai pas demandé :/

J'espère t'avoir aidée un petit peu
Bon courage!

MERCI Guertmantes !
Tes réponses sont toujours très concises. Cela aide à découvrir un "nouveau métier" (car méthode de travail très différentes) et à se projeter.
Je reviens sur l'aspect administratif et la RQTH. J'ai bien compris qu'elle était indispensable pour un PA, elle constitue donc un avantage au niveau professionnel pour adapter ses conditions de travail à sa situation de santé.
Mais, dans la vis quotidienne, ne constitue-t-elle pas un frein ? En matière d'obtention de crédit par exemple ?
Quand on est inscrit à la MDPH, je suppose qu'on est "catalogué" pour tout, non ?

Bonjour Amandine,
Je viens apporter mon grain de sel à la réponse de Guermantes.
Concernant la compatibilité de la charge de travail avec les rdv médicaux, il se trouve que c'est LA bonne question. Dans ma matière (anglais) de nombreux collègues ne parviennent pas à gérer les deux même s'ils bénéficient d'un allègement.
Pour ma part, j'ai une charge complète de 50 copies.
J'y arrive mais je travaille non stop du lundi au vendredi, 8h par jour. Je n'ai pas de soins médicaux réguliers, heureusement, car ce ne serait pas possible. Certains collègues sont vraiment en difficulté sur ce plan. Les postes adaptés ne sont pas adaptés à toutes les situations...
Ceci dit, tout dépend aussi de la rapidité de correction: un temps plein dans ma matière, c'est faisable mais lourd.
Autre point, la rqth ne te bloque en rien, je pense.
C'est plutôt le 100% de la sécu qui peut pénaliser.
Bon courage à toi,
Roxanne

Voilà le témoignage de Roxanne (coucou!) montre que c'est bien différent selon les matières.

Pour la RQTH et les crédits, j'avoue que je ne sais pas :/

bonjour Roxane,
merci pour ta contribution.
En quoi la déclaration en ALD à la sécu est-il pénalisant ? Les organismes comme les banques ou toute autre administration ont accès à ce genre d'information ?