- RogerMartinBon génie
Rien ne m'étonne plus avec cette réforme. 980 euros pour 12h/semaine, ça ferait l'heure de cours à 20 euros nets environ. Je suis curieuse de voir ce qui sera versé aux M2 MEEF non fonctionnaires et non lauréats du moindre concours. Actuellement, "1 616 euros bruts mensuels durant les 3 premiers mois de l'année de stage. 1 741 euros bruts mensuels durant les 9 derniers mois de l'année de stage".
En revanche c'est bizarre, j'avais noté 12h/semaine lors de réunions d'info et là je vois sur des sites de syndicats qu'il est question de tiers temps -- 6h/semaine c'est très peu lourd, et hélas cela peut justifier une paie tout à fait minable.
En revanche c'est bizarre, j'avais noté 12h/semaine lors de réunions d'info et là je vois sur des sites de syndicats qu'il est question de tiers temps -- 6h/semaine c'est très peu lourd, et hélas cela peut justifier une paie tout à fait minable.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Le “truc”, c'est que tout dépendra des volumes horaires à couvrir — ce dont nul n'a la moindre idée (pas même, à mon avis, les rectorats)… De plus, il n'aura échappé à personne que le grand absent de la discussion, c'est la possibilité d'instaurer un système de bourses d'études (quitte à les faire “valoir” par échange avec un engagement de X années). Mais, évidemment non: ça serait beaucoup trop équitable!
Et donc quoi qu'il en soit c'est une dégradation considérable des conditions d'accès au métier. Car, encore une fois, ça fait une année de moins dans la carrière quoi qu'il arrive — et par temps de réforme des retraites, ça n'est à mes yeux pas un “détail”. Et donc, ça ajoute une année de financement d'études en plus des précédentes: ce qui ne sera pas une mince affaire pour un grand nombre d'étudiants. Ça contribuera donc à démolir encore un peu plus ce qu'il restait d'ascenseur social (car, si, si, il y en avait encore un petit peu).
Et donc quoi qu'il en soit c'est une dégradation considérable des conditions d'accès au métier. Car, encore une fois, ça fait une année de moins dans la carrière quoi qu'il arrive — et par temps de réforme des retraites, ça n'est à mes yeux pas un “détail”. Et donc, ça ajoute une année de financement d'études en plus des précédentes: ce qui ne sera pas une mince affaire pour un grand nombre d'étudiants. Ça contribuera donc à démolir encore un peu plus ce qu'il restait d'ascenseur social (car, si, si, il y en avait encore un petit peu).
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Si tu vales valeo.
- JulieBioRhoneNiveau 4
Je prends peur à vous lire !
J’ai déjà le M2 donc je vais faire tout ce que je peux pour réussir le concours à la session printemps 2021 (si c’est possible de passer le concours actuel, une dernière fois...) et échapper un peu à tout ça....
Et ils disent que tout ceci va augmenter l’attractivité du métier.... dans beaucoup de filières scientifiques (ailleurs je ne sais pas) ça ne se bouscule vraiment pas pour devenir enseignant et ce qui se prépare n’aide absolument pas !!!
J’ai déjà le M2 donc je vais faire tout ce que je peux pour réussir le concours à la session printemps 2021 (si c’est possible de passer le concours actuel, une dernière fois...) et échapper un peu à tout ça....
Et ils disent que tout ceci va augmenter l’attractivité du métier.... dans beaucoup de filières scientifiques (ailleurs je ne sais pas) ça ne se bouscule vraiment pas pour devenir enseignant et ce qui se prépare n’aide absolument pas !!!
- rmarie79Niveau 3
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Ce qui indique clairement le report du concours après la deuxième année…
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- rmarie79Niveau 3
Pour ceux comme moi qui rentre en septembre, je n'ai pas compris ça
- epekeina.tes.ousiasModérateur
rmarie79 a écrit:Pour ceux comme moi qui rentre en septembre, je n'ai pas compris ça
Ce sont les mystères de “l'année de transition”: je n'ai entendue annoncer nulle part la suppression de l'actuel concours pour 20-21 — il y aura probablement “tuilage” (d'une part des M1 passant l'ancienne mouture, de l'autre les titulaires d'un master pouvant passer les deux)…
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- rmarie79Niveau 3
Oui il est écrit assez clairement que ceux entrant en M1 en septembre, passait le concours en avril 2021. Par contre ceux entrant en M1 en 2021 le passeront en fin de m2. Enfin c'est ce que j'ai compris.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Donc ça n'a toujours pas changé depuis la dernière fois que j'en ai eu des informations… Théoriquement, ça aurait dû avoir lieu cette année (dernière session de l'ancien concours), mais, comme je l'ai dit le retard sur le retard retardé est tel qu'on n'a toujours pas la moindre idée des contenus précis de la réforme… Ce qui n'a d'ailleurs pas empêché, dans mon U., qu'on soit tout de même contraint de pondre de nouvelles maquettes (elles-mêmes retardées par la pandémie!)…
Mais pas grave, ça change pas grand-chose: ça n'est pas plus difficile de pondre une maquette avec que sans informations!
Mais pas grave, ça change pas grand-chose: ça n'est pas plus difficile de pondre une maquette avec que sans informations!
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- rmarie79Niveau 3
Bonsoir, est-ce-que une personne saurait (a peu près) le nombre d'heure dispensées par semaine en M1 MEEF second degré ? (si certains ont été en meef doc ça serait encore mieux) ? Merci, Marie
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Variable selon les INSPE et les volumes sont en général par semestre, sans certitude d'avoir une grande régularité — chez moi c'est ~200h/semestre.
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- rmarie79Niveau 3
Une dame au téléphone m'avait dit que les cours pouvaient aller du lundi au vendredi de 9h a 16h/16h30 mais je pense pas que ça sera ça tous les jours, ça me semble beaucoup sinon... ?
- epekeina.tes.ousiasModérateur
rmarie79 a écrit:Une dame au téléphone m'avait dit que les cours pouvaient aller du lundi au vendredi de 9h a 16h/16h30 mais je pense pas que ça sera ça tous les jours, ça me semble beaucoup sinon... ?
Ça dépend essentiellement de la répartition et du volume des stages, et des possibilités pour inscrire l'EdT — en docu, je ne pense pas qu'il y ait trop de problème de dispo, car en général les effectifs ne sont pas élevés. Tout dépend aussi de la méthode employée. Là, visiblement, ça ressemble à un EdT 3h le matin + 3h l'apr.-m. — pour ma part, je préfère les EdT par cours de 2h à par cours de 3h, car, avec ces derniers, on perd 2h/jour de possibilité et ça multiplie les journées pour rien…
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- rmarie79Niveau 3
Dacc, oui je pense aussi que c'est 3h matin 3h aprem (à peu près), on devrait être 30 nornalement
- NLM76Grand Maître
Ouais enfin, c'est "très peu lourd"... C'est ce qu'on avait — et même 4 à 6 heures ! — quand j'ai passé le CAPES. Et nous n'avions plus de concours à préparer.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- rmarie79Niveau 3
Oui ça me semble lourd car a la fac en licence j'étais habituée à avoir des "trous" dans mon EDT, pas compris ta dernière phrase tu parles de quand tu as passé le CAPES et après tu dis que y avait pas le concours à préparé ?
- SmeraldaNiveau 5
En effet la réforme n'est pas joyeuse, limite on dirait un capes interne ! Après pleins de questions se bousculent. Prenons l'exemple du CAPES externe d'histoire géographie, actuellement il y a 6 questions au programme pour 2 épreuves écrites disciplinaires. Puis les épreuves orales, il faut connaître les programmes du secondaire par coeur.
Avec la nouvelle réforme du CAPES, vous pensez qu'il va y avoir moins de questions à réviser. Est ce que les étudiants auront le temps de préparer leurs cours + réviser des questions disciplinaires + plus connaître tous les programmes scolaires + tout le système éducatif + le mémoire en fin de master 2 = c'est un travail colossal c'est infaisable !!!!
En plus pour la parité histoire & géographie, ça va être le combat !
Une réforme assez bancale que je trouve pire que la précédente.
Avec la nouvelle réforme du CAPES, vous pensez qu'il va y avoir moins de questions à réviser. Est ce que les étudiants auront le temps de préparer leurs cours + réviser des questions disciplinaires + plus connaître tous les programmes scolaires + tout le système éducatif + le mémoire en fin de master 2 = c'est un travail colossal c'est infaisable !!!!
En plus pour la parité histoire & géographie, ça va être le combat !
Une réforme assez bancale que je trouve pire que la précédente.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
La question de savoir quel sera le contenu des épreuves des concours, à mon avis, n'est pas tranchée. Dans le premier degré, ça sera la volonté du prince, mais je doute qu'on y change grand-chose. Dans le second degré, je pense que, dans les hauteurs, le vent souffle à de gros changements, en particulier pour le CAPES (qui reste à “primariser”): mais encore faudrait-il qu'inspections et universitaires y souscrivent (ce qui n'est pas gagné, même côté inspections, où les tensions sont vives). Autrement dit, je ne suis pas du tout certain qu'il y ait des changements massifs d'ici la fin du quinquennat.
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- NLM76Grand Maître
Il s'agit d'assurer 4 à 6 heures de cours en collège ou en lycée.rmarie79 a écrit:Oui ça me semble lourd car à la fac en licence j'étais habituée à avoir des "trous" dans mon EDT, pas compris ta dernière phrase tu parles de quand tu as passé le CAPES et après tu dis que y avait pas le concours à préparer ?
On avait le droit de présenter le concours avec une licence. Quatre ans après le bac, on pouvait obtenir le concours et devenir stagiaire. A bac +4, on avait le concours, et on était stagiaire "6 heures", çàd 6 heures max.
Après trente ans de "revalorisation" du métier, vous pouvez admirer les progrès !
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- epekeina.tes.ousiasModérateur
Tu es donc passé par le CPR — je finissais par me demander si on n'avait pas tous disparu… Cela étant dit, à part en 89 par le statut de PE (et encore, ça se discute), je ne me souviens pas d'avoir assisté à une revalorisation quelconque…
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- JayKewNiveau 9
Moi aussi, j’ai connu le CPR. C’était la dernière année, en 1990, il y a trente ans, juste avant qu’ils mettent en place les IUFM.
En effet, un stage en responsabilité de 4-6 heures (j’avais 2 classes en lycée sous la responsabilité), puis un stage d’observation dans l’autre cycle (le collège, pour moi, donc), et des cours de formation. Pas de mémoire à produire. Une inspection de titularisation en fin d’année, sur la base d’un cours dans chacun des deux cycles.
C’était perfectible, mais pas mal, en fait. Par rapport à ce qui ce fait maintenant. C’était humain et faisable, en tout cas.
Et j’avais passé le concours à l’issue de ma Licence, à Bac + 3.
En effet, un stage en responsabilité de 4-6 heures (j’avais 2 classes en lycée sous la responsabilité), puis un stage d’observation dans l’autre cycle (le collège, pour moi, donc), et des cours de formation. Pas de mémoire à produire. Une inspection de titularisation en fin d’année, sur la base d’un cours dans chacun des deux cycles.
C’était perfectible, mais pas mal, en fait. Par rapport à ce qui ce fait maintenant. C’était humain et faisable, en tout cas.
Et j’avais passé le concours à l’issue de ma Licence, à Bac + 3.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
JayKew a écrit:Moi aussi, j’ai connu le CPR. C’était la dernière année, en 1990, il y a trente ans, juste avant qu’ils mettent en place les IUFM.
En effet, un stage en responsabilité de 4-6 heures (j’avais 2 classes en lycée sous la responsabilité), puis un stage d’observation dans l’autre cycle (le collège, pour moi, donc), et des cours de formation. Pas de mémoire à produire. Une inspection de titularisation en fin d’année, sur la base d’un cours dans chacun des deux cycles.
C’était perfectible, mais pas mal, en fait. Par rapport à ce qui ce fait maintenant. C’était humain et faisable, en tout cas.
Et j’avais passé le concours à l’issue de ma Licence, à Bac + 3.
Oui, j'ai aussi connu ça, au début des années 80. Évidemment sans stage en collège vu qu'on n'y enseigne pas ma discipline — mais avec un (mini) stage en École Normale… Je ne suis, en revanche, pas du tout persuadé des bienfaits de cette année. Mis à part l'allègement horaire très fort, qui permettait de prendre la mesure de la difficulté, en gros rien de tout ce qu'on m'a proposé n'a servi à quoi que ce soit — à part les discussions avec les collègues, tant stagiaires que titulaires…
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- JayKewNiveau 9
Ce n’était pas forcément plus efficace en termes de contenus de formation, je suis bien d’accord, mais au moins ce n’était pas ce marathon impossible et inhumain auquel les stagiaires sont désormais soumis, c’est ce que je voulais dire.
Et je trouve par ailleurs qu’il y avait un peu plus de bienveillance, ou en tout cas moins de malveillance.
Et je trouve par ailleurs qu’il y avait un peu plus de bienveillance, ou en tout cas moins de malveillance.
- epekeina.tes.ousiasModérateur
JayKew a écrit:Ce n’était pas forcément plus efficace en termes de contenus de formation, je suis bien d’accord, mais au moins ce n’était pas ce marathon impossible et inhumain auquel les stagiaires sont désormais soumis, c’est ce que je voulais dire.
Et je trouve par ailleurs qu’il y avait un peu plus de bienveillance, ou en tout cas moins de malveillance.
Je suis assez d'accord. La “mastérisation” a entraîné — mécaniquement — une hausse dans le temps de présence: c'est qu'il faut “entrer dans le LMD”, délivrer des ECTS, etc. etc. Mais si possible en CM, et sinon en TD (car ça coûte moins cher!). S'y ajoute l'effet de “public captif” qui “n'a pas le choix” (ce qui, pour ma part, me semble totalement contradictoire avec ce que l'on devrait attendre d'un prof, mais parfaitement cohérent avec le raidissement des rapports hiérarchiques, qui va croissant depuis 20/25 ans). Et je passe aussi sur les injonctions, multiples, changeantes et contradictoires qui sont faites par “l'État employeur”, et qui ne font rien pour permettre la souplesse qui serait nécessaire quand on pond un diplôme!
Mais il y a aussi un “désir de formation”, qui est très présent chez les étudiants et les stagiaires. Je ne veux pas forcément dire par là que ce “désir” soit illégitime, mais j'ai bien du mal à me déprendre de l'idée qu'il s'agit, au moins en partie, de quelque chose comme une illusion. Lorsque je discute de leurs difficultés avec mes stagiaires (du premier degré), à l'occasion d'un cours, il m'arrive souvent de leur dire que “je ne sais pas”… Par ex. “comment préparer la classe quand on a trois élèves à “besoins spéciaux”?” — pour être allé (souvent) voir ce qu'il en est “sur le terrain”, je reconnais volontiers que, s'il y a des solutions miracles, j'en ignore tout!
N.B. Je continue à croire que la “pédagogie”, ça s'apprend essentiellement sur place et en quelques années (et non en 1 an!), qu'on peut suggérer un certain nombre de pistes, aider à apercevoir certaines erreurs (la plus courante, qui est aussi la plus simple, consistant, pour ce que je constate, en une espèce d'hésitation sur le fait de donner des ordres, qui tantôt porte à une forme d'“agressivité” inutile autant que nocive, tantôt à ne pas en donner du tout). Mais c'est le prétexte à accumuler des cours relativement inutiles. Si le “besoin” existe (mais qui le définit?), beaucoup pensent que “la réponse doit exister” (alors que l'existence d'un problème n'implique nullement la disponibilité de la réponse!). En l'occurrence, l'institution me paraît se décharger facilement de dysfonctionnements et de difficultés systémiques sur une “formation” censée devoir répondre à des problèmes sur lesquels il est douteux qu'elle puisse avoir, en réalité, quelque effet. De sorte qu'il est assez facile, selon la position que l'on occupe, d'imputer la faute sur tel ou tel aspect de la réalité (en général: les IUFMESPEINSPE font un bouc émissaire tout à fait consensuel).
De ce point de vue, ce qu'il faut tout de même avoir en tête, c'est le fait qu'une véritable alternance coûte (coûterait!) extrêmement cher. D'une part, parce que cela conduirait, si on la pratiquait, à multiplier les lieux de stage (or, entre 1990 et 2010, on a assisté, dans le premier degré à une décrue continue des durées de stage dans les 2 années consacrées à la “formation”). Et de l'autre, parce que si l'on voulait travailler de façon efficace, il faudrait le faire en tout petits groupes, sur des points très précis (donc, au moins pour le premier degré, avec 2 ou 3 formateurs) et sans viser des “contenus spécifiques” décidés à l'avance (donc fort difficiles à “créditer en ECTS”)… Et ce, sans compter les luttes infinies entre formations, inspections et “terrain”…
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- alanneFidèle du forum
Il y a certains formateurs qui discréditent totalement la formation !
EX: faire de la patte à modeler avec des bac pro, un prof de philo qui nous parle des droits des enseignants (il n'avait aucune formation en droit, nous aurions préféré une personne d'un syndicat ou de l’autonome de solidarité .....), faire des affiches sur tous les sujets ( oui , comme au BAFA au moins une fois/ semaine (souvent deux).
J'aurais préféré , comment poser ma voix ? Comment se présenter à la rentrée ? Comment utiliser Ecole Direct , E lyco ou autres ...
EX: faire de la patte à modeler avec des bac pro, un prof de philo qui nous parle des droits des enseignants (il n'avait aucune formation en droit, nous aurions préféré une personne d'un syndicat ou de l’autonome de solidarité .....), faire des affiches sur tous les sujets ( oui , comme au BAFA au moins une fois/ semaine (souvent deux).
J'aurais préféré , comment poser ma voix ? Comment se présenter à la rentrée ? Comment utiliser Ecole Direct , E lyco ou autres ...
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Wait and see
- epekeina.tes.ousiasModérateur
alanne a écrit:Il y a certains formateurs qui discréditent totalement la formation !
EX: faire de la patte à modeler avec des bac pro, un prof de philo qui nous parle des droits des enseignants (il n'avait aucune formation en droit, nous aurions préféré une personne d'un syndicat ou de l’autonome de solidarité .....), faire des affiches sur tous les sujets ( oui , comme au BAFA au moins une fois/ semaine (souvent deux).
Ma foi, ça aurait pu être… pire! Le prof de philo a au moins préféré parler des droits plutôt que des devoirs. Ce type de “cours” (parfois appelé “connaissance du système éducatif”) fait partie des injonctions étatiques (je le sais d'autant mieux que je “devrais” le faire, mais le refuse, bien sûr, depuis toujours).
Les autres machins me paraissent aussi typiques du n'importe quoi actuel…
J'aurais préféré , comment poser ma voix ? Comment se présenter à la rentrée ? Comment utiliser Ecole Direct , E lyco ou autres ...
Autant utiliser école direct etc. ne me paraît pas inutile, autant “poser sa voix” et “se présenter à la rentrée”…… Bref…
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