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- MehitabelVénérable
virgere a écrit:Pour juxtalinéaire, Aphrodissia a tout bien dit.
Pour la problématique, je ne fais que répéter ce qui nous a été dit en formation (entre les "on ne sait pas"), mais ce que tu dis semble logique. Et nous imaginions déjà les paraphrases "(dans) le texte y dit que..."
Sans compter que pour l'entretien, il est interdit (le mot a été écrit et prononcé) de revenir sur l'étude de texte de la 1re partie, que c'est l'élève qui présente l'œuvre qu'il a choisie, cette œuvre pouvant être une cursive ou une intégrale.
30 descriptifs par classe, donc. Et 15 jours pour lire les œuvres choisies par le candidat.
A l'écrit, 3 sujets par type d'exercice, chacun portant sur une œuvre différente (puisque choix entre 3 œuvres). Les correcteurs sont donc censés connaître parfaitement les 12 œuvres au programmes pour pouvoir corriger toutes les dissertations.
Mais c'était déjà le cas auparavant. On devait enchaîner sur l'entretien et ne pas revenir sur le travail de l'élève en première partie.
Je ne vois pas bien en quoi c'est différent d'avant où on recevait aussi les descriptifs entre 0 jour et 3 semaines avant l'examen et que les collègues avaient choisi des oeuvres en toute liberté, que nous ne connaissions pas du tout peut être pour certaines.
Sur les 12 oeuvres, combien sont totalement inconnues ? Personnellement dans la liste, mis à part Montaigne que je maîtrise mal, je sais de quoi parlent ces oeuvres, leur contexte d'écriture, et je suis bien persuadée que j'en sais plus qu'un élève de 1ère qui fait de la littérature depuis 2 ans.
Ne plus avoir de corpus et d'écriture d'invention enlève un énorme poids.
- ysabelDevin
Isidoria a écrit:J’avoue ne pas trop comprendre votre inquiétude sur la lecture d’œuvres pour les oraux. Je n’ai jamais tout lu, mais j’ai fait des recherches sur certaines œuvres, car à l’étranger on n’a pas forcément l’oeuvre en question au CDI et qu’il n’y a pas forcément de librairie qui l’ont. On a donc généralement accès à l’œuvre la veille des oraux à l’arrivée dans le pays où un petit colis avec descriptifs et œuvres nous attend à l’hôtel. Autant dire qu’on ne lit pas tout en une nuit.
Je m’estime largement qualifiée pour demander à l’élève de me résumer l’oeuvre et lui poser une question qui m’oterait un doute éventuel. Pour l'écrit, je compte lire toutes les œuvres et me renseigner un peu, neo est un bon spot d’approvisionnement en raisonnements, questionnements et autres. Ce n’est qu’une dissertation de bac, pas l’agreg.
Moi aussu, mais la différence réside dans la forme de l'entretien. Jusqu'à cette année, pour les LC, quelques questions dessus et c'était bon or là, tout l'entretien va porter dessus.
Mehitabel a écrit:virgere a écrit:Pour juxtalinéaire, Aphrodissia a tout bien dit.
Pour la problématique, je ne fais que répéter ce qui nous a été dit en formation (entre les "on ne sait pas"), mais ce que tu dis semble logique. Et nous imaginions déjà les paraphrases "(dans) le texte y dit que..."
Sans compter que pour l'entretien, il est interdit (le mot a été écrit et prononcé) de revenir sur l'étude de texte de la 1re partie, que c'est l'élève qui présente l'œuvre qu'il a choisie, cette œuvre pouvant être une cursive ou une intégrale.
30 descriptifs par classe, donc. Et 15 jours pour lire les œuvres choisies par le candidat.
A l'écrit, 3 sujets par type d'exercice, chacun portant sur une œuvre différente (puisque choix entre 3 œuvres). Les correcteurs sont donc censés connaître parfaitement les 12 œuvres au programmes pour pouvoir corriger toutes les dissertations.
Mais c'était déjà le cas auparavant. On devait enchaîner sur l'entretien et ne pas revenir sur le travail de l'élève en première partie.
Mehitabel a écrit:
Je ne vois pas bien en quoi c'est différent d'avant où on recevait aussi les descriptifs entre 0 jour et 3 semaines avant l'examen et que les collègues avaient choisi des oeuvres en toute liberté, que nous ne connaissions pas du tout peut être pour certaines.
Sur les 12 oeuvres, combien sont totalement inconnues ? Personnellement dans la liste, mis à part Montaigne que je maîtrise mal, je sais de quoi parlent ces oeuvres, leur contexte d'écriture, et je suis bien persuadée que j'en sais plus qu'un élève de 1ère qui fait de la littérature depuis 2 ans.
Ne plus avoir de corpus et d'écriture d'invention enlève un énorme poids.
Tout à fait. D'ailleurs c'était un motif de contestation. (ce que j'ai fait pour les filles de Chéri car l'examinatrice a passé presque les 10 minutes d'entretien à revenir sur le texte).
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- yranohHabitué du forum
On pouvait revenir sur le texte si l'élève n'avait pas compris le sens littéral. Ça m'est arrivé une fois, sur "Comme un chevreuil", où l'élève avait fait des remarques de détail assez brillantes mais n'avait pas vu que c'était le poète qui était comparé au chevreuil. Ce n'était pas très judicieux de ma part, parce qu'il était assez déstabilisé pour la suite de l'entretien.
- ysabelDevin
yranoh a écrit:On pouvait revenir sur le texte si l'élève n'avait pas compris le sens littéral. Ça m'est arrivé une fois, sur "Comme un chevreuil", où l'élève avait fait des remarques de détail assez brillantes mais n'avait pas vu que c'était le poète qui était comparé au chevreuil. Ce n'était pas très judicieux de ma part, parce qu'il était assez déstabilisé pour la suite de l'entretien.
Pas dans le texte officiel des épreuves.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- IsidoriaDoyen
A propos de texte officiel, savez-vous ce que dit le texte à propos de l'élève qui ne parlerait que 4 minutes par exemple, pendant l'exposé?
On en discutait tout à l'heure avec une collègue et nous n'étions pas d'accord, pour moi, l'on peut inviter l'élève à ajouter quelque chose, ce qu'il souhaite, pour les temps restant, puis on doit lui demander s'il accepte que l'on passe à l'entretien. Pour ma collègue, on lui donne une piste d'analyse par une nouvelle question.
Savez-vous ce qu'il en est? J'ajoute le texte que j'ai trouvé: BO 6 Octobre 2011
On en discutait tout à l'heure avec une collègue et nous n'étions pas d'accord, pour moi, l'on peut inviter l'élève à ajouter quelque chose, ce qu'il souhaite, pour les temps restant, puis on doit lui demander s'il accepte que l'on passe à l'entretien. Pour ma collègue, on lui donne une piste d'analyse par une nouvelle question.
Savez-vous ce qu'il en est? J'ajoute le texte que j'ai trouvé: BO 6 Octobre 2011
- yranohHabitué du forum
ysabel a écrit:
Pas dans le texte officiel des épreuves.
si
"L'examinateur n'intervient que de façon très exceptionnelle :
pendant la durée de l'exposé, seulement si le propos du candidat tourne court ;
à la fin de cet exposé, s'il juge indispensable de vérifier la compréhension littérale du texte par le candidat. "
Edit. Isidoria, j'ai répondu en même temps à ta question !
- MehitabelVénérable
yranoh a écrit:ysabel a écrit:
Pas dans le texte officiel des épreuves.
si
"L'examinateur n'intervient que de façon très exceptionnelle :
pendant la durée de l'exposé, seulement si le propos du candidat tourne court ;
à la fin de cet exposé, s'il juge indispensable de vérifier la compréhension littérale du texte par le candidat. "
Edit. Isidoria, j'ai répondu en même temps à ta question !
Il me semble au contraire que le texte dit très clairement qu'il ne faut pas y revenir, sauf à situation exceptionnelle et qui demande justification. Si le candidat tourne court sur ce texte, il vaut mieux utiliser l'entretien pour savoir si c'est le cas de tous les textes/oeuvres de l'objet d'étude ou si c'est "juste" une impasse, non ?
- yranohHabitué du forum
Il me semble que la situation que j'ai décrite, et ce que j'ai dit en général, correspond au deuxième point : on revient sur le texte pour vérifier la compréhension littérale. Il m'a semblé que le candidat n'avait pas compris le sens littéral de la phrase qui constituait le texte ("Comme un chevreuil... Ainsi j'allais"), et j'ai vérifié (mais c'est déstabilisant pour le candidat).
Si le candidat tourne court, je comprends qu'on peut, par exemple, lui poser une question ouverte, le rassurer, pour le relancer un peu.
Si le candidat tourne court, je comprends qu'on peut, par exemple, lui poser une question ouverte, le rassurer, pour le relancer un peu.
- IsidoriaDoyen
Heureusement que le bac change alors puisque visiblement nous ne sommes pas d’accord. Les seules questions que je pose en revenant sur le texte, sont pouvez-vous me redire à quel siècle vivait Voltaire, à un élève qui m’aurait dit xxe par exemple. Ou à quel courant participe Camus à un élève qui m’aurait dit Lumières, ou encore comment appelle-t-on les lignes d’un poème à un élève qui aurait justement dit ligne au lieu de vers. Mais rien sur le sens ni l’analyse.
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