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- Hermione0908Modérateur
Voici ma remarque générale : "La problématisation mérite d’être approfondie. En revanche, la séquence et la présentation qui en sont faites sont convaincantes d’un point de vue à la fois didactique et méthodologique (rédaction de ce type de partie)"
C'est mon éternel problème depuis quoi... la classe de 1re ? La problématisation.
De ce qui ressort des remarques au fil de mon travail, il faut que je sois plus précise dans ce que j'énonce, que je ne me contente pas d'être trop descriptive mais que je justifie ce que je propose. Néanmoins, il y a pas mal de positif dans les remarques, je suis surprise, c'est peut-être le métier qui rentre (enfin !).
C'est mon éternel problème depuis quoi... la classe de 1re ? La problématisation.
De ce qui ressort des remarques au fil de mon travail, il faut que je sois plus précise dans ce que j'énonce, que je ne me contente pas d'être trop descriptive mais que je justifie ce que je propose. Néanmoins, il y a pas mal de positif dans les remarques, je suis surprise, c'est peut-être le métier qui rentre (enfin !).
- FiatLuxFidèle du forum
Je la trouve un peu abusée, la remarque de ta prof, Aster ...
- AsterNiveau 6
Bonjour Fiat Lux,
Je suis frustrée de ce commentaire parce que je me suis engagée et que j'ai pris des "risques" - justifiés, parce que j'avais plein d'éléments d'analyse au brouillon, pour appuyer mes propositions de lecture -, et que la prof a été frileuse. Elle n'a même pas commenté ma proposition de lecture du sonnet de Louise Labé. Du coup j'aurai sans doute la même appréciation pour le deuxième corpus, celui sur le théâtre, pour lequel mon travail rendu est très succinct lui aussi. Le véritable retour sera avec le devoir du 6 novembre, qui est demandé intégralement rédigé. Mais j'ai tant besoin d'encouragement ! Comme beaucoup d'entre nous sans doute. Allez, je retourne avec Hitch...
Je suis frustrée de ce commentaire parce que je me suis engagée et que j'ai pris des "risques" - justifiés, parce que j'avais plein d'éléments d'analyse au brouillon, pour appuyer mes propositions de lecture -, et que la prof a été frileuse. Elle n'a même pas commenté ma proposition de lecture du sonnet de Louise Labé. Du coup j'aurai sans doute la même appréciation pour le deuxième corpus, celui sur le théâtre, pour lequel mon travail rendu est très succinct lui aussi. Le véritable retour sera avec le devoir du 6 novembre, qui est demandé intégralement rédigé. Mais j'ai tant besoin d'encouragement ! Comme beaucoup d'entre nous sans doute. Allez, je retourne avec Hitch...
- AsterNiveau 6
Bon : je viens d'écouter la première heure de la correction. Je ne sais pas ce que vous en pensez moi j'ai l'impression que c'est très hésitant, très léger.
Les commentaires sur les textes sont quasi inexistants, et le sonnet 3 ne contiendrait pas de pointe ! Alors qu'il y a syllepse sur "son oeil"...
Bon allez, avançons, positivons ! :helips2:
Les commentaires sur les textes sont quasi inexistants, et le sonnet 3 ne contiendrait pas de pointe ! Alors qu'il y a syllepse sur "son oeil"...
Bon allez, avançons, positivons ! :helips2:
- SaloumHabitué du forum
Aux candidats qui préparent avec Sévigné (mais j'accueille tous les avis, au point où j'en suis, ça ne peut pas faire de mal) : êtes-vous comme moi débordés par les cours ? Je n'arrive pas à mener de front l'écoute ou la lecture des cours et la lecture/relecture des œuvres. Or le temps passe et ça commence à m'inquiéter. J'ai peur qu'une seule lecture additionnée des cours ne suffise pas pour maîtriser les œuvres.
- ernyaFidèle du forum
Si ça peut te rassurer, je commence aussi à être débordée. Pas tellement par l'arrivée des cours car je fais des choix (je n'ai absolument ni écouté ni lu les cours pour le cinéma et la comparée, j'essaye de m'y mettre pendant les vacances qui arrivent). Mais oui, suivre ou ficher des cours prend du temps, temps que je ne passe pas sur les oeuvres même si je me force à lire au moins 20 min tous les jours. Et autant je suis contente de moi pour la didactique (je prends 1 à 2h pour réfléchir à chaque sujet donné par le prof avant d'écouter la correction), autant je sais que le travail sur les oeuvres n'est pas du tout optimal. Mais à un moment donné, il n'a plus assez d'heures dans la journée parce qu'il faut bien aller au boulot, faire le ménage et les courses, etc.
Avez-vous des exercices particuliers sur les oeuvres (hormis rendre des dissertations) dans vos formations respectives ?
Avez-vous des exercices particuliers sur les oeuvres (hormis rendre des dissertations) dans vos formations respectives ?
- FiatLuxFidèle du forum
J'avais entendu de nombreuses fois que les cours de Sévigné étaient trop denses.
De notre côté, nos formateurs ont déployé beaucoup d'énergie pour la didactique mais peu pour la dissertation sur auteur. En plus d'un concours blanc nous aurons un sujet à problématiser avec une correction/méthodologie donnée en présentiel. Nous sommes encouragés à connaître les oeuvres parfaitement.
De notre côté, nos formateurs ont déployé beaucoup d'énergie pour la didactique mais peu pour la dissertation sur auteur. En plus d'un concours blanc nous aurons un sujet à problématiser avec une correction/méthodologie donnée en présentiel. Nous sommes encouragés à connaître les oeuvres parfaitement.
- TziporaExpert
Je suis un peu débordée aussi et comme Ernya, je laisse complètement de côté la comparée et le cinéma (que je ne lirai même pas pendant les vacances). Je me concentre sur l'écrit exclusivement, tant pis.
Je fais par cycle : j'ai fini Scarron avant l'été donc je n'y reviens pas pour le moment. Là, je vais lire d'un coup tous les cours sur Garnier (je n'ai fiché que la 1re séance pour le moment) en vue de la dissert. Je fais Cendrars petit à petit car je n'aime pas du tout donc je me prescris des doses homéopathiques (j'adore le prof par contre, ça aide). J'ai bien bossé Corbière en septembre, mais je suis à la bourre pour les cours. Et je garde Voltaire pour novembre.
Parfois j'hésite à lire simplement le cours et/ou à l'écouter aussi. Pour Cendrars et la dida, j'aime bien écouter le cours en plus (les profs me motivent). Pour les autres, j'ai peur de perdre du temps à faire les deux...
Je fais par cycle : j'ai fini Scarron avant l'été donc je n'y reviens pas pour le moment. Là, je vais lire d'un coup tous les cours sur Garnier (je n'ai fiché que la 1re séance pour le moment) en vue de la dissert. Je fais Cendrars petit à petit car je n'aime pas du tout donc je me prescris des doses homéopathiques (j'adore le prof par contre, ça aide). J'ai bien bossé Corbière en septembre, mais je suis à la bourre pour les cours. Et je garde Voltaire pour novembre.
Parfois j'hésite à lire simplement le cours et/ou à l'écouter aussi. Pour Cendrars et la dida, j'aime bien écouter le cours en plus (les profs me motivent). Pour les autres, j'ai peur de perdre du temps à faire les deux...
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Mon blog lecture : www.la-tete-ailleurs.over-blog.fr
- SaloumHabitué du forum
Tzipora a écrit:Je suis un peu débordée aussi et comme Ernya, je laisse complètement de côté la comparée et le cinéma (que je ne lirai même pas pendant les vacances). Je me concentre sur l'écrit exclusivement, tant pis.
Je fais par cycle : j'ai fini Scarron avant l'été donc je n'y reviens pas pour le moment. Là, je vais lire d'un coup tous les cours sur Garnier (je n'ai fiché que la 1re séance pour le moment) en vue de la dissert. Je fais Cendrars petit à petit car je n'aime pas du tout donc je me prescris des doses homéopathiques (j'adore le prof par contre, ça aide). J'ai bien bossé Corbière en septembre, mais je suis à la bourre pour les cours. Et je garde Voltaire pour novembre.
Parfois j'hésite à lire simplement le cours et/ou à l'écouter aussi. Pour Cendrars et la dida, j'aime bien écouter le cours en plus (les profs me motivent). Pour les autres, j'ai peur de perdre du temps à faire les deux...
Je ne suis pas revenue sur Scarron non plus depuis la dissertation de cet été, et je n'ai rien fait sur Hitchcock (juste regardé le film cet été).
Par contre, j'ai suivi les cours de comparée (mais j'ai 3 cours en retard !)
Même sentiment à l'égard de Cendrars : quelle corvée ! Heureusement que les cours sont passionnants !
Je me contente d'écouter les cours en prenant des notes, mais il va bien falloir que je fiche tout ça un jour
Bon, je vais m'astreindre à lire les œuvres un peu chaque jour, tant pis si je prends du retard sur les cours...
- ernyaFidèle du forum
Je ne pense pas ce que ça vaille le coup d'écouter et de lire les cours. Mieux vaut choisir le support qui vous convient le mieux (j'écoute la didactique et je parcours rapidement la correction tapée pour les documents supplémentaires, j'écoute Voltaire car elle dit des trucs qu'elle ne met pas dans ses polys. Je ne fais que lire tout le reste et tant pis si le cours écrit se fait tardif, je l'attends).
J'aurais aimé que les profs nous donnent des conseils pour s'approprier les oeuvres. Travailler des sujets de leçon ? Lire tous les jours ?
J'aurais aimé que les profs nous donnent des conseils pour s'approprier les oeuvres. Travailler des sujets de leçon ? Lire tous les jours ?
- SaloumHabitué du forum
Travailler des sujets de leçon est vraiment très formateur, je pense. Mais encore faut-il pouvoir se motiver seul pour le faire sans correction/exposé oral à la clé.
- ChlidéNiveau 9
Retour d’experience: j’ai préparé deux fois ll’externe il y a longtemps avec sevigne plus les cours de la fac. J’etais étudiante alors et compilais compilais et entassais les cours. J’ai passé l’admissibilité mais me suis plantée aux oraux.
L’annee dernière, ayant peur d’abandonner en cours de route je n’ai investi dans aucune formation. Notre PAF préparait seulement à La didactique. Pour chaque auteur, j’ai lu le mercredi matin à la biblio universitaire des intro du bouquin cle repéré dans les biblio, quelques trucs ici et là, les atlandes de façon incomplète et des articles de Persee. Et ça a suffi. J’ai eu 13,5 en dissert et 12 en leçon sans m’etre de nouveau entraînée depuis 13 ans. Finalement cette espèce de gavage ne m’avait pas réussi. Ayant peu, surtout sur Marivaux dont j’avais laissé de côté l’approfondissèment peu à peu, alors j’ai dû me faire confiance.
On m’avait dit aussi qu’une œuvre se résume à 4 ou 5 problématiques. Ça m’a aidée.
Puis j’ai travaillé les œuvres en lecture active toujours. La première pendant l’ete en annotant le livre et marquer quelques titres de Lecons. Ensuite pendant l’annee j’avais toujours 2 cahiers: un pour le résumé /citation et un pour les titres de ces leçons inventées que je remplissais peu à peu.
Faites vous confiance. Lisez ce qu’il faut savoir d’zssentiel mais le plus clair de votre temps lisez et relisez, écoutez aussi. Le gavage n’est pas nécessaire. Le recul critique l’est. Et surtout surtout surtout, d’apres les copies qui ont pu m’etre envoyées, l’entraînement. Savoir lire et travailler un sujet est primordial. J’ai lu des copies qui avaient de bien meilleures connaissances sur les pièces que moi, des citations, des critiques. Mais pas la bonne démarche d’analyse d’un sujet de dissertation. Ça ne pardonne pas.
L’annee dernière, ayant peur d’abandonner en cours de route je n’ai investi dans aucune formation. Notre PAF préparait seulement à La didactique. Pour chaque auteur, j’ai lu le mercredi matin à la biblio universitaire des intro du bouquin cle repéré dans les biblio, quelques trucs ici et là, les atlandes de façon incomplète et des articles de Persee. Et ça a suffi. J’ai eu 13,5 en dissert et 12 en leçon sans m’etre de nouveau entraînée depuis 13 ans. Finalement cette espèce de gavage ne m’avait pas réussi. Ayant peu, surtout sur Marivaux dont j’avais laissé de côté l’approfondissèment peu à peu, alors j’ai dû me faire confiance.
On m’avait dit aussi qu’une œuvre se résume à 4 ou 5 problématiques. Ça m’a aidée.
Puis j’ai travaillé les œuvres en lecture active toujours. La première pendant l’ete en annotant le livre et marquer quelques titres de Lecons. Ensuite pendant l’annee j’avais toujours 2 cahiers: un pour le résumé /citation et un pour les titres de ces leçons inventées que je remplissais peu à peu.
Faites vous confiance. Lisez ce qu’il faut savoir d’zssentiel mais le plus clair de votre temps lisez et relisez, écoutez aussi. Le gavage n’est pas nécessaire. Le recul critique l’est. Et surtout surtout surtout, d’apres les copies qui ont pu m’etre envoyées, l’entraînement. Savoir lire et travailler un sujet est primordial. J’ai lu des copies qui avaient de bien meilleures connaissances sur les pièces que moi, des citations, des critiques. Mais pas la bonne démarche d’analyse d’un sujet de dissertation. Ça ne pardonne pas.
- SaloumHabitué du forum
Merci Chlidé pour ton retour. Tu confirmes ce que j'ai déjà entendu ici et là. Je ne voudrais pas me laisser piéger par les deux miroirs aux alouettes que peuvent être le congé de formation et l'excellence (mais l'extrême densité) des cours Sévigné. Je vais donner la priorité aux œuvres et aux entraînements.
- InhumaineNiveau 8
Moi je commence à me préparer pour la dissert sur oeuvre avec des explications de texte. J'essaie d'en faire une par semaine, et je demande aux profs de la fac de les corriger s'iels le veulent bien. Ca me semble essentiel pour avoir des exemples précis le jour J ET développés.
- FiatLuxFidèle du forum
Question qui paraîtra peut-être stupide : peut-on, quelle que soit l'épreuve, faire une référence (pas tout un argumentaire) à un auteur qui n'est pas français ou doit-on nous limiter uniquement à la littérature française ?
- AsterNiveau 6
Bonjour Fiatlux,
Oui nous pouvons convoquer un auteur étranger, à la condition d'en convoquer un autre ou d'autres du domaine français, et à la condition que la référence soit pertinente et lisible pour les correcteurs : il ne s'agit pas de parler d'un écrivain méconnu. Une collègue en arts plastiques a été recalée de nombreuses fois à l'oral pour avoir mis le jury dans l'embarras, donnant l'impression qu'elle en savait plus qu'eux. Elle les entraînait sur un chemin où ils ne pouvaient évaluer la pertinence de son propos.
C'est mon avis, d'autres collègues penseront peut-être différemment.
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https://www.neoprofs.org/viewtopic.php?t=127025
Oui nous pouvons convoquer un auteur étranger, à la condition d'en convoquer un autre ou d'autres du domaine français, et à la condition que la référence soit pertinente et lisible pour les correcteurs : il ne s'agit pas de parler d'un écrivain méconnu. Une collègue en arts plastiques a été recalée de nombreuses fois à l'oral pour avoir mis le jury dans l'embarras, donnant l'impression qu'elle en savait plus qu'eux. Elle les entraînait sur un chemin où ils ne pouvaient évaluer la pertinence de son propos.
C'est mon avis, d'autres collègues penseront peut-être différemment.
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https://www.neoprofs.org/viewtopic.php?t=127025
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