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- ProvençalLeGauloisExpert
1. Ce n'est pas le professeur qui décide si un élève arrête ou non une option, c'est le chef d'établissement.
2. Si vous contactez la DSDEN, ils vont vous renvoyer vers le chef d'établissement.
3. Si vous êtes réellement professeur, ce dont personnellement je doute, vous devriez savoir comment est pris en compte le latin pour le DNB.
2. Si vous contactez la DSDEN, ils vont vous renvoyer vers le chef d'établissement.
3. Si vous êtes réellement professeur, ce dont personnellement je doute, vous devriez savoir comment est pris en compte le latin pour le DNB.
- marjoDoyen
La remarque sur les vacances de Noël me conduit aussi à douter du fait que cette personne soit bien professeur.
- pseudo-intelloSage
Exact. Ça comment toujours par le latin et les arts plastiques (et/ou musique) : l'élève n'a pas envie. Si les parents disent que c'est pas grave, et suppriment le problème non en aidant leur enfant à mûrir et se reprendre, doit, l'année suivante, on entends les autres professeurs signaler que machin n'en g... plus une.Provence a écrit:En théorie, il a plus de temps. Mais je parle d'expérience, de ce que j'ai observé. Un élève à qui on en demande moins... en fait moins. Tant mieux pour tes élèves si l'arrêt de l'allemand leur permet de progresser dans les autres matières.
Là-dessus, les matières " " "pas importantes " " " (j'ai mis les triples guillemets) sont souvent un excellent signal d'avertissement pour prendre le problème en main.
A chaque fois que les parents d'élèves sont parvenus à faire arrêter le latin à Junior, l'année suivante, j'ai rigolé.
Soit Vernon travaille dans le collège des Bisounours, soit il y a e la mauvaise foi dans l'air.
Sauf qu'à partir du moment où la sélection est hard-core, et dans l'optique plus qu'improbable que le fils de Douliloula souhaiterait intégrer ces prestigieux établissements, ne pas avoir de ligne "latin" sur le bulletin est déjà handicapant, en soi (et en avoir une au premier trimestre puis plus par la suite, laissera une impression franchement négative).Vernon a écrit:Si l'élève en question demande une orientation sélective ou un excellent lycée (type LLG ou H4), il va bien falloir fournir des bulletins. Là encore, ce n'est pas si compliqué à comprendre.
Prof de français et prof de latin, je confirme que si le jeune homme dont il est question est si mauvais en grammaire et conjugaison latines, c'est qu'il y a des choses à revoir (autant saisir sa chance de le faire) en français... et en espagnol, pour les conjugaisons. La ressemblance est vraiment très prononcée.
Il faut savoir qu'il y a plein de "faux bons" élèves en français, parce que dans pas mal de classes, si on notait selon les niveaux réels des élèves, on aurait des problèmes.
Enfin moi, j'essaie de noter à peu près honnêtement (sans trop exiger ni trop peu), et j'ai même pas 8 de moyenne de classe (dans une classe faible d'une académie repoussoir, ceci dit).
Il y a cependant un point soulevé par Douliloula qui m'intrigue réellement : l'appréciation de la prof de latin est effectivement étrange. Soit c'est faux et elle a juste écrit ça pour être gentille (les notes sont mauvaises mais c'est pas sa faute, il galère), soit il y a effectivement matière à discuter avec l'enseignant pour dissiper les malentendus.
- DalvaVénérable
Oui, c'est davantage cela (ainsi que la sortie sur le fait qu'en tant que prof, on n'imposerait pas à un élève de continuer une matière qui lui nuirait) qui me fait douter. Quand on enseigne au lycée, on n'a aucune raison particulière de s'intéresser à la façon dont s'obtient le brevet dans les détails.marjolie.june a écrit:La remarque sur les vacances de Noël me conduit aussi à douter du fait que cette personne soit bien professeur.
Ceci étant, je pense plutôt à un troll : arrêt d'une option + scolarité à domicile + message insultant complètement hallucinant face à la contradiction...
- ElaïnaDevin
pseudo-intello a écrit:
Il y a cependant un point soulevé par Douliloula qui m'intrigue réellement : l'appréciation de la prof de latin est effectivement étrange. Soit c'est faux et elle a juste écrit ça pour être gentille (les notes sont mauvaises mais c'est pas sa faute, il galère), soit il y a effectivement matière à discuter avec l'enseignant pour dissiper les malentendus.
Personnellement je pense que l'appréciation semble indiquer deux possibilités
- soit l'élève est réellement excellent par ailleurs, et donc qu'il ne fiche ostensiblement rien en cours de latin (et donc lacunes en effet impossible à combler)
- soit il a de très très grosses difficultés (ce qui pose la question des excellentes notes évoquées par ailleurs).
Mais bon puisqu'il faut que je me soigne, je vais y retourner.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- NitaEmpereur
Eh, bien, moi, je ne suis pas surprise des difficultés de maîtrise de la langue de cet élève. Il y a d'autres lacunes qui n'ont pas été comblées (la présentation, entre autres).
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A clean house is a sign of a broken computer.
- V.SullivanNiveau 4
musa a écrit:J'interviens dans ce débat chaud bouillant Là où se situe le malentendu à mon avis, c'est que tu parles V. Sullivan, d'un élève "en grande difficulté". Or, je pense que Provence considère qu'on peut difficilement (voire que cette situation relève de la science fiction), dans le système actuel, être brillant dans les autres matières et en grande difficulté en latin. Pour avoir moi-même une certaine expérience dans le domaine, je partage entièrement le point de vue de Provence, j'avoue comme disent les jeunes.
J'entends tes arguments. Cependant, je ne comprends pas comment peut-on être aussi catégorique (et péremptoire dans le cas de Provence) sur une situation de ce genre.
Comment peut-on être aussi définitif sur quelque chose d'aussi mouvant que la scolarité d'un élève ? Les belles théories édictées et les oukases pédagogiques tombent car il n'y a rien de plus fluctuant qu'un élève : sur la base de quoi (si ce n'est une expérience personnelle) s'autorise-t-on à émettre des jugements définitifs sur ce que doit être théoriquement la scolarité d'un élève ?
Mettre les gens (que l'on ne connaît pas, à fortiori) dans des petites cases parce qu'on a eu une expérience non généralisable, ça n'a pas de sens.
Pour reprendre l'analogie : "un élève excellent partout sauf en latin, ça n'existe pas", eh bien je suis navré mais il suffit d'un contre-exemple pour casser la belle théorie. Sauf à dire, évidemment que vous connaissez tous les élèves de France.
Fires of Pompeii a écrit:Ce qui gêne l'élève aussi, c'est que le latin met le doigt sur une grammaire non acquise en français.
On n'en sait rien. Personne n'a eu accès aux bulletins de l'élève en question.
Je ne vous permets pas.pseudo-intello a écrit: Soit Vernon travaille dans le collège des bisounours, soit il y a e la mauvaise foi dans l'air
C'est dingue ça, de nos jours on peine à concevoir que la normalité existe si bien qu'elle devient suspecte voire une preuve de naïveté.
Eh bien oui, c'est fou ça ! Mais mes élèves, lorsqu'ils sont dispensés d'une matière, ce qui peut arriver à l'occasion mettent à profit le temps libre dégagé pour bosser les autres matières et progressent ainsi. Ca peut paraître dingue. Non que je bosse chez les bisounours, mais je ne tiens pas à longueur de fil, des propos tels que "Si on en demande moins à des élèves, ils en font moins", phrase lourde de mépris pour, ça doit sans doute jouer d'avoir des profs qui croient en eux.
- Fires of PompeiiGuide spirituel
V. Sullivan, un élève qui ne s'en sort pas en grammaire latine a FORCEMENT des problèmes en grammaire française (et ces problèmes ne seront pas toujours visibles sur le bulletin, selon que le professeur fait et évalue la grammaire, selon les coefs qu'il met, mais aussi parfois selon le degré d'approfondissement qui est décidé). C'est aussi simple que 1 + 1 font 2.
Je me permets d'ajouter que "croire en un élève", c'est aussi lui faire confiance pour assumer son boulot. Sinon c'est le prendre pour un c*n.
Je me permets d'ajouter que "croire en un élève", c'est aussi lui faire confiance pour assumer son boulot. Sinon c'est le prendre pour un c*n.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- DalvaVénérable
Je me demande de quelle autre matière que l'EPS pour raison médicale on peut être dispensé en collège.
- V.SullivanNiveau 4
Dalva a écrit:Je me demande de quelle autre matière que l'EPS pour raison médicale on peut être dispensé en collège.
Oh, il en existe plein. Notamment en langue (pour parler de ce que je connais), pour des problèmes de surdité, notamment.
- RubikNiveau 10
J'ai un élève de troisième qui vient d'être dispensé de tout sauf anglais et français (matières qui lui plaisent, et encore pas toutes les heures) à cause de graves problèmes psy...
- ProvenceEnchanteur
Tu te permets pourtant beaucoup de choses... Ce doit être l'effet miroir.V.Sullivan a écrit:
Je ne vous permets pas.
Une matière? Mais laquelle? Je n'ai jamais vu de collégien dispensé d'allemand en cours de route. Pourtant, pour bien des élèves, cette discipline se révèle frustrante. Que faire? Comment aider ces malheureux?Eh bien oui, c'est fou ça ! Mais mes élèves, lorsqu'ils sont dispensés d'une matière, ce qui peut arriver à l'occasion mettent à profit le temps libre dégagé pour bosser les autres matières et progressent ainsi.
Ecoute, je veux bien être patiente, mais, pour le mépris, je te conseille de te relire, ici et sur d'autres fils. Je ne crois pas que tu travailles chez les bisounours. Je crois seulement que tu te fiches du monde.des propos tels que "Si on en demande moins à des élèves, ils en font moins", phrase lourde de mépris pour, ça doit sans doute jouer d'avoir des profs qui croient en eux.
- ProvenceEnchanteur
Rubik a écrit:J'ai un élève de troisième qui vient d'être dispensé de tout sauf anglais et français (matières qui lui plaisent, et encore pas toutes les heures) à cause de graves problèmes psy...
C'est dans le cadre d'un PAI, j'imagine; c'est assez différent du cas de l'élève qui soupire parce qu'il a du mal dans la matière étudiée.
- RubikNiveau 10
Oui bien sûr, je voulais juste répondre à Dalva qui se demandait si on pouvait être dispensé d'autre chose que d'EPS.
- V.SullivanNiveau 4
Provence a écrit:Tu te permets pourtant beaucoup de choses... Ce doit être l'effet miroir.V.Sullivan a écrit:
Je ne vous permets pas.
Oui, alors ce que je peux dire à d'autres membres, notamment sur des familiarités inconvenantes dont j'ai été la cible, ne te regarde absolument pas. tu seras bien gentille de ne pas t'en mêler.
Provence a écrit:Une matière? Mais laquelle? Je n'ai jamais vu de collégien dispensé d'allemand en cours de route. Pourtant, pour bien des élèves, cette discipline se révèle frustrante. Que faire? Comment aider ces malheureux?
Et donc ? Parce-que tu n'en as jamais vu alors ça n'existe pas ? Drôle de raisonnement...
Provence a écrit:Ecoute, je veux bien être patiente, mais, pour le mépris, je te conseille de te relire, ici et sur d'autres fils. Je ne crois pas que tu travailles chez les bisounours. Je crois seulement que tu te fiches du monde.
Effectivement, ma patience contrairement à la stupidité crasse de ton propos a des limites.
Pour le reste, inutile de me répondre, tu vas bientôt passer dans mes ignorés. Je ne perds pas de temps avec les cuistres et les malappris.
- DalvaVénérable
Est-on vraiment en train de comparer un élève dispensé d'une matière (ou de plusieurs) à cause d'un handicap, et qui peut donc tout aussi bien être sérieux, paresseux, brillant, à l'aise, en difficulté ou moyennement à l'aise, quel que soit le nombre de matières qu'il doit suivre, et un élève qui est ce qu'il est et qui deviendrait miraculeusement plus travailleur, plus sérieux, plus brillant, plus à l'aise dans toutes les matières pour peu qu'on veuille bien le dispenser d'une matière dans laquelle il n'a pas l'heur de réussir, soit par manque de travail, soit par manque de sérieux, soit par manque d'aisance ?V.Sullivan a écrit:Dalva a écrit:Je me demande de quelle autre matière que l'EPS pour raison médicale on peut être dispensé en collège.
Oh, il en existe plein. Notamment en langue (pour parler de ce que je connais), pour des problèmes de surdité, notamment.
C'est insultant pour l'élève malade ou porteur d'un handicap à qui l'on dit, somme toute, qu'il n'a aucun mérite à bien travailler dans certaines matières, parce qu'il est dispensé des autres.
Et cela, vous vous le permettez sérieusement ?V.Sullivan a écrit:Provence a écrit:Tu te permets pourtant beaucoup de choses... Ce doit être l'effet miroir.V.Sullivan a écrit:
Je ne vous permets pas.
Oui, alors ce que je peux dire à d'autres membres, notamment sur des familiarités inconvenantes dont j'ai été la cible, ne te regarde absolument pas. tu seras bien gentille de ne pas t'en mêler.Provence a écrit:Une matière? Mais laquelle? Je n'ai jamais vu de collégien dispensé d'allemand en cours de route. Pourtant, pour bien des élèves, cette discipline se révèle frustrante. Que faire? Comment aider ces malheureux?
Et donc ? Parce-que tu n'en as jamais vu alors ça n'existe pas ? Drôle de raisonnement...Provence a écrit:Ecoute, je veux bien être patiente, mais, pour le mépris, je te conseille de te relire, ici et sur d'autres fils. Je ne crois pas que tu travailles chez les bisounours. Je crois seulement que tu te fiches du monde.
Effectivement, ma patience contrairement à la stupidité crasse de ton propos a des limites.
Pour le reste, inutile de me répondre, tu vas bientôt passer dans mes ignorés. Je ne perds pas de temps avec les cuistres et les malappris.
Navrée de le relever alors que ça ne m'est pas adressé, mais je me vois contrainte de lire ces propos insultants (comme les précédents ici et ailleurs) si je veux pouvoir suivre les échanges sur ce fil.
- V.SullivanNiveau 4
Dalva a écrit:Est-on vraiment en train de comparer un élève dispensé d'une matière (ou de plusieurs) à cause d'un handicap, et qui peut donc tout aussi bien être sérieux, paresseux, brillant, à l'aise, en difficulté ou moyennement à l'aise, quel que soit le nombre de matières qu'il doit suivre, et un élève qui est ce qu'il est et qui deviendrait miraculeusement plus travailleur, plus sérieux, plus brillant, plus à l'aise dans toutes les matières pour peu qu'on veuille bien le dispenser d'une matière dans laquelle il n'a pas l'heur de réussir, soit par manque de travail, soit par manque de sérieux, soit par manque d'aisance ?V.Sullivan a écrit:Dalva a écrit:Je me demande de quelle autre matière que l'EPS pour raison médicale on peut être dispensé en collège.
Oh, il en existe plein. Notamment en langue (pour parler de ce que je connais), pour des problèmes de surdité, notamment.
C'est insultant pour l'élève malade ou porteur d'un handicap à qui l'on dit, somme toute, qu'il n'a aucun mérite à bien travailler dans certaines matières, parce qu'il est dispensé des autres.
Je ne compare rien du tout. Je me contentais uniquement de répondre à votre question. Vous vous demandiez, de quelles autres matières un élève pouvait être dispensé autre que l'EPS, je vous ai répondu, ni plus ni moins.
Le reste, ce sont uniquement vos extrapolations farfelues.
Dalva a écrit:Et cela, vous vous le permettez sérieusement ?
Navrée de le relever alors que ça ne m'est pas adressé, mais je me vois contrainte de lire ces propos insultants (comme les précédents ici et ailleurs) si je veux pouvoir suivre les échanges sur ce fil.
Oh, vous m'en voyez navré.
- henrietteMédiateur
V.Sullivan étant provisoirement indisponible, merci de ne plus commenter ses propos et de revenir au sujet du topic.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- pseudo-intelloSage
On disait, ce me semble, d'une, qu'il n'y avait pas lieu d'arrêter le latin, et de deux, que les interrogations de Doulioula quant à l'apparente contradiction entre les propos du prof et l'appréciation du bulletin méritait peut-être une entrevue (courtoise et constructive ).
- henrietteMédiateur
Voilà, merci beaucoup pseudo-intello.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
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