- DanskaProphète
Ca m'étonnerait : j'ai eu le temps de le lire entièrement, et à l'en croire il faut prévoir des dédoublements un peu partout (maths, SES, SVT...). Impossible de financer tout ça.
- CleroliDoyen
il ne classe pas toutes les demandes de dédoublement sur le même pied d'égalité non plus. Certaines recommandations sont des vœux pieux qui ne trompent pas alors que d'autres sont plus précises.Danska a écrit:Ca m'étonnerait : j'ai eu le temps de le lire entièrement, et à l'en croire il faut prévoir des dédoublements un peu partout (maths, SES, SVT...). Impossible de financer tout ça.
Je cite : en SES "Dans le nouveau cadre, des dédoublements pourraient notamment faciliter la préparation aux épreuves
communes et terminales, ainsi que l’acquisition des méthodes et l’appropriation des contenus" et en Math :"Proposition d’organisation
3h en classe entière + 1h dédoublée en salle équipée".
- lisa81Habitué du forum
Danska a écrit:Ca m'étonnerait : j'ai eu le temps de le lire entièrement, et à l'en croire il faut prévoir des dédoublements un peu partout (maths, SES, SVT...). Impossible de financer tout ça.
Effectivement. D'autant que ces dédoublements sont prévus dans des salles équipées, ce qui signifie pour moi ( mais j'ai peut être mal compris ) équipées d'un ordinateur pour deux élèves. Actuellement dans mon lycée ce serait impossible.
- BoubouleDoyen
"proposer l’enseignement de SNT aux professeurs de SII volontaires pour effectuer un complément de service hors de leur lycée d’origine"
"Dans ce dernier cas une annualisation des services doit être envisagée"
"a minima en binôme, voire en équipe plus large"
Ou comment plomber des enseignements parce qu'on ne connaît pas les réalités du terrain.
J'aime beaucoup la notion de "compagnonnage" ; si je suis l'enseignant expérimenté, j'ai sûrement envie de perdre du temps et de l'énergie pour rien...
"Dans ce dernier cas une annualisation des services doit être envisagée"
"a minima en binôme, voire en équipe plus large"
Ou comment plomber des enseignements parce qu'on ne connaît pas les réalités du terrain.
J'aime beaucoup la notion de "compagnonnage" ; si je suis l'enseignant expérimenté, j'ai sûrement envie de perdre du temps et de l'énergie pour rien...
- CleroliDoyen
C'est beau le progrèsBouboule a écrit:
"proposer l’enseignement de SNT aux professeurs de SII volontaires pour effectuer un complément de service hors de leur lycée d’origine"
"Dans ce dernier cas une annualisation des services doit être envisagée"
"a minima en binôme, voire en équipe plus large"
Ou comment plomber des enseignements parce qu'on en connaît pas les réalités du terrain.
J'aime beaucoup la notion de "compagnonnage" ; si je suis l'enseignant expérimenté, j'ai sûrement envie de perdre du temps et de l'énergie pour rien...
- GuiguesNiveau 8
A propos de la spé géopolitique il est précisé qu'une certification complémentaire n'est pas demandée, or ce n'est pas ce qu'a indiqué l'inspecteur de SES dans mon académie lors de la présentation de la réforme (la certification ne concernerait que les profs de SES).
- VinZTDoyen
document a écrit:
La philosophie générale du nouveau programme de mathématiques de 2nde est dans l'axe de l'évolution de l'enseignement des mathématiques depuis plusieurs années, avec un accent plus fort mis sur le calcul, le raisonnement, la démonstration et la promotion de l'erreur.
la première partie graissée n'est pas de nature à me rassurer, quant à la deuxième …
je ne comprends absolument pas : on encourage les élèves à se tromper ou on les récompense pour l'avoir fait ?
le même a écrit:
L’utilisation d’une salle équipée d’ordinateurs en réseau, de superficie suffisante, est régulièrement nécessaire pour assurer une bonne qualité d’enseignement. Les salles devront également être équipées d’objets technologiques connectés et devront permettre de développer toutes les situations pédagogiques (travail en groupe, exposé, miniprojet, ...), ainsi que la mise en place d’une organisation de la salle agencée en pour ilots pour le travail collaboratif
Une cafetière connectée, ça compte ?
Mazette ! Rien que ça ! Moi qui pensait qu'on enseignait pour apprendre des trucs … quel benêt je fais.décidément, que du bonheur a écrit:
Enseignement scientifique
Cet enseignement de tronc commun doit rassembler tout type d’élèves, indépendamment des enseignements de spécialités choisis. En effet, il vise à réduire la fracture entre les élèves non attirés par les sciences et les élèves qui en ont le goût, à l’image de celle existant dans la société : les sciences y sont souvent perçues comme réservées à des « initiés ». Maintenir ces deux types de population dans la classe est important pour aller contre cette représentation et créer le dialogue nécessaire pour faire face aux questions sociétales et environnementales actuelles.
Bon, je m'arrête là pour aujourd'hui, sinon je vais encore devoir sombrer dans l'alcoolisme …
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- BoubouleDoyen
VinZT a écrit:document a écrit:
La philosophie générale du nouveau programme de mathématiques de 2nde est dans l'axe de l'évolution de l'enseignement des mathématiques depuis plusieurs années, avec un accent plus fort mis sur le calcul, le raisonnement, la démonstration et la promotion de l'erreur.
la première partie graissée n'est pas de nature à me rassurer, quant à la deuxième …
je ne comprends absolument pas : on encourage les élèves à se tromper ou on les récompense pour l'avoir fait ?
Avant, c'était faux, c'était faux et ça valait 0.
Depuis quelques temps, c'est faux mais il y a quelque chose donc on promeut l'initiative.
Et donc, on ne va pas s'arrêter en si bon chemin.
Et donc, à bac+1, ils ne comprendront toujours pas pourquoi ça fait zéro ("mais monsieur, certes j'ai écrit que ln (ab) égale ln(a).ln(b), mais quand même j'ai pensé qu'il fallait prendre le ln parce qu'il avait une propriété particulière" ; "oui mais désormais, la bienveillance, c'est fini, c'est l'horrible mur sélectif de parcoursup").
- PrezboGrand Maître
Avant toute analyse sur le fond des enseignements : je note que le document évoque à plusieurs reprises les "projets pédagogiques d'équipe", le "plan de formation envisagé par l’équipe disciplinaire", l'interdisciplinarité, et même "l'annualisation du temps de travail" pour l'enseignement scientifique.
On retrouve ce genre de conception, après rapide survol, dans les programmes de maths et de SNT.
J'ai le sentiment que ceux qui attendaient de la réforme Blanquer un retour à la confiance en les enseignants et à l'autonomie des professeurs vont en être pour leurs frais.
On retrouve ce genre de conception, après rapide survol, dans les programmes de maths et de SNT.
J'ai le sentiment que ceux qui attendaient de la réforme Blanquer un retour à la confiance en les enseignants et à l'autonomie des professeurs vont en être pour leurs frais.
- MoonchildSage
Prezbo a écrit:Avant toute analyse sur le fond des enseignements : je note que le document évoque à plusieurs reprises les "projets pédagogiques d'équipe", le "plan de formation envisagé par l’équipe disciplinaire", l'interdisciplinarité, et même "l'annualisation du temps de travail" pour l'enseignement scientifique.
On retrouve ce genre de conception, après rapide survol, dans les programmes de maths et de SNT.
J'ai le sentiment que ceux qui attendaient de la réforme Blanquer un retour à la confiance en les enseignants et à l'autonomie des professeurs vont en être pour leurs frais.
Dans le fond ça ne pouvait pas se profiler autrement : les contenus sont, sur le papier, plus chargés et plus ambitieux qu'auparavant, les horaires disciplinaires n'ont pas augmenté et les élèves entrant au lycée auront un niveau toujours aussi faible ; les méthodes d'enseignement efficaces demandant du temps et une construction progressive des notions, elles sont alors inapplicables avec de telles contraintes et, si on essayait de les (re)mettre en place, l'incohérence structurelle de la réforme serait très vite flagrante. La seule solution officielle est d'entretenir l'écran de fumée en poursuivant la promotion de toutes ces pratiques nébuleuses qui sont depuis vingt ans présentées comme des innovations pédagogiques et auxquelles on persiste à prêter des vertus magiques en dépit de l'évidence de leur nocivité. Sans compter qu'il y a sans doute aussi une question de compromis avec le lobby pédagogiste qui n'a certainement pas disparu du jour au lendemain.
Quant à l'autonomie telle qu'elle est conçue dans cette réforme, elle consistera au niveau des établissements à demander aux équipes d'adapter localement des programmes irréalistes en fonction du public et de la lettre de mission confiée au CDE par le Rectorat.
Sinon, concernant les maths, on peut lire dans ce document :
Le thème « Algorithmique et programmation » est une part importante de ce programme dans la continuité de l’initiation réalisée au cycle 4.
Le recours au langage de programmation Python est explicitement cité dans le programme où de nombreux exemples d’algorithmes sont mis en avant.
Plus généralement, l’utilisation régulière d’outils numériques et logiciels permettant d’expérimenter, de simuler, de visualiser, de calculer, de mettre en oeuvre des algorithmes est promue comme moyen de changer profondément la nature de l’enseignement des mathématiques.
L'illusion technologique a encore de beaux jours devant elle.
Rendez-vous dans une dizaine d'années quand on se demandera une fois de plus comment enrayer la chute du niveau des étudiants scientifiques.
- PrezboGrand Maître
Moonchild a écrit:Prezbo a écrit:Avant toute analyse sur le fond des enseignements : je note que le document évoque à plusieurs reprises les "projets pédagogiques d'équipe", le "plan de formation envisagé par l’équipe disciplinaire", l'interdisciplinarité, et même "l'annualisation du temps de travail" pour l'enseignement scientifique.
On retrouve ce genre de conception, après rapide survol, dans les programmes de maths et de SNT.
J'ai le sentiment que ceux qui attendaient de la réforme Blanquer un retour à la confiance en les enseignants et à l'autonomie des professeurs vont en être pour leurs frais.
Dans le fond ça ne pouvait pas se profiler autrement : les contenus sont, sur le papier, plus chargés et plus ambitieux qu'auparavant, les horaires disciplinaires n'ont pas augmenté et les élèves entrant au lycée auront un niveau toujours aussi faible ; les méthodes d'enseignement efficaces demandant du temps et une construction progressive des notions, elles sont alors inapplicables avec de telles contraintes et, si on essayait de les (re)mettre en place, l'incohérence structurelle de la réforme serait très vite flagrante. La seule solution officielle est d'entretenir l'écran de fumée en poursuivant la promotion de toutes ces pratiques nébuleuses qui sont depuis vingt ans présentées comme des innovations pédagogiques et auxquelles on persiste à prêter des vertus magiques en dépit de l'évidence de leur nocivité. Sans compter qu'il y a sans doute aussi une question de compromis avec le lobby pédagogiste qui n'a certainement pas disparu du jour au lendemain.
Quant à l'autonomie telle qu'elle est conçue dans cette réforme, elle consistera au niveau des établissements à demander aux équipes d'adapter localement des programmes irréalistes en fonction du public et de la lettre de mission confiée au CDE par le Rectorat.
Je pense qi'il ne sagisse pas uniquement d'illusion pédagogique, mais d'inflexion manageriale. Ou plutôt que, comme dit mille fois ici, les prétendues innovations (plus si neuves) pédagogiques servent de cache-sexe à une volonté manageriale.
C'est la conception du professeur comme exerçant une profession intellectuelle, décidant seul du contenu de ses cours et de ses méthodes (dans le cadres de programmes et d'évaluations nationaux, certes) qu'on essaye de faire disparaître au profit de l'exécutant d'un plan de formation décidé localement. Dégradation symbolique qui accompagne (ou prépare) la dégradation financière.
Peu importe que ce plan soit pertinent ou non, d'ailleurs : quand l'objectif prioritaire est la surveillance du travail des profs, la question de savoir si ce qui est enseigné et réellement prioritaire et si l'approche choisie et bonne devient finalement annexe.
Moonchild a écrit:
Sinon, concernant les maths, on peut lire dans ce document :
Le thème « Algorithmique et programmation » est une part importante de ce programme dans la continuité de l’initiation réalisée au cycle 4.
Le recours au langage de programmation Python est explicitement cité dans le programme où de nombreux exemples d’algorithmes sont mis en avant.
Plus généralement, l’utilisation régulière d’outils numériques et logiciels permettant d’expérimenter, de simuler, de visualiser, de calculer, de mettre en oeuvre des algorithmes est promue comme moyen de changer profondément la nature de l’enseignement des mathématiques.
L'illusion technologique a encore de beaux jours devant elle.
Rendez-vous dans une dizaine d'années quand on se demandera une fois de plus comment enrayer la chute du niveau des étudiants scientifiques.
C'est assez démoralisant, car c'est l'erreur qui a été faite lors de l'introduction de l'algorithmique en seconde, et il me semblait qu'on en revenait dans les pratiques de la plupart des professeurs de terrain.
Personnellement, je ne suis pas opposé à l'introduction de l'algorithmique ou la programmation en tant que telles. (Oui, je sais : le manque de temps.) L'erreur est de croire qu'un approche algorithmique ou expérimentale est systématiquement pertinente en mathématiques (à vrai dire, elle ne me semble l'être que dans un nombre restreints de cas), et surtout qu'elle aide en quoi que ce soit les élèves en difficulté en mathématiques.
- VinZTDoyen
Prezbo a écrit:
C'est assez démoralisant, car c'est l'erreur qui a été faite lors de l'introduction de l'algorithmique en seconde, et il me semblait qu'on en revenait dans les pratiques de la plupart des professeurs de terrain.
Personnellement, je ne suis pas opposé à l'introduction de l'algorithmique ou la programmation en tant que telles. (Oui, je sais : le manque de temps.) L'erreur est de croire qu'un approche algorithmique ou expérimentale est systématiquement pertinente en mathématiques (à vrai dire, elle ne me semble l'être que dans un nombre restreints de cas), et surtout qu'elle aide en quoi que ce soit les élèves en difficulté en mathématiques.
C'est le moins qu'on puisse dire, premièrement vu l'aspect chronophage de la chose (si on veut le faire sérieusement), deuxièmement vu la surcharge cognitive qu'elle entraîne (qu'on le veuille ou non, c'est des trucs en plus à apprendre) et enfin vu les risques de confusion que cela peut entraîner (une fonction en informatique et en maths ce n'est pas la même notion par exemple).
Quant à l'aspect expérimental des mathématiques, il est en effet hautement douteux dans la plupart des cas.
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- Ingeborg B.Esprit éclairé
J'adore ce document qui n'évoque pas les groupes à effectifs réduits en langues, ni d'éventuels dédoublements pour l'EMC, l'histoire-géographie et les Lettres. Quant à la DNL et aux options facultatives, elles peuvent aussi aller se faire brosser.. Et on peut tout de même espérer qu'un soupçon d'AP sera réservé aux disciplines qui devront préparer les élèves à des épreuves du bac qui auront lieu en janvier. Bref, tout cela est risible.
- PrCosinusNiveau 7
Ce point de vue est discutable. Personnellement, dans mon expérience d'enseignant et dans mon vécu d'élève, les outils numériques ont toujours été un puissant levier dans la compréhension des maths.Moonchild a écrit:
Plus généralement, l’utilisation régulière d’outils numériques et logiciels permettant d’expérimenter, de simuler, de visualiser, de calculer, de mettre en oeuvre des algorithmes est promue comme moyen de changer profondément la nature de l’enseignement des mathématiques.
L'illusion technologique a encore de beaux jours devant elle.
Rendez-vous dans une dizaine d'années quand on se demandera une fois de plus comment enrayer la chute du niveau des étudiants scientifiques.
Je me rappelle les heures passées à tracer des courbes polaires et des courbes paramétriques sur ma calculatrice ...
_________________
"Quand les gens sont d'accord avec moi, j'ai toujours le sentiment que je dois me tromper." O.Wilde
- PèpNiveau 8
Merci pour ce doc, mais d'où vient-il ? Quelqu'un a une idée de qui en est l'auteur ? Et qui sont les destinataires ? Tous les Cde l'ont reçu ?
Le mien est toujours inflexible sur le non dédoublement des Maths et propose, au lieu de l'accès aux salles infos, d'acheter des ordis portables (27) et un chariot pour les bouger de classe en classe...
Le mien est toujours inflexible sur le non dédoublement des Maths et propose, au lieu de l'accès aux salles infos, d'acheter des ordis portables (27) et un chariot pour les bouger de classe en classe...
- mamieprofExpert spécialisé
@bouboule pas pour rien, pour l'amour des collègues...Cleroli a écrit:C'est beau le progrèsBouboule a écrit:
"proposer l’enseignement de SNT aux professeurs de SII volontaires pour effectuer un complément de service hors de leur lycée d’origine"
"Dans ce dernier cas une annualisation des services doit être envisagée"
"a minima en binôme, voire en équipe plus large"
Ou comment plomber des enseignements parce qu'on en connaît pas les réalités du terrain.
J'aime beaucoup la notion de "compagnonnage" ; si je suis l'enseignant expérimenté, j'ai sûrement envie de perdre du temps et de l'énergie pour rien...
- ben2510Expert spécialisé
Pèp a écrit:Merci pour ce doc, mais d'où vient-il ? Quelqu'un a une idée de qui en est l'auteur ? Et qui sont les destinataires ? Tous les Cde l'ont reçu ?
Le mien est toujours inflexible sur le non dédoublement des Maths et propose, au lieu de l'accès aux salles infos, d'acheter des ordis portables (27) et un chariot pour les bouger de classe en classe...
Les propriétés du document indiquent comme auteur un certain "mcanerot", le document parle de Bretagne vers la fin, et un certain Michel Caderot est SG de l'Académie de Rennes.
Chacun tirera ses conclusions.
_________________
On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- CasparProphète
Ingeborg B. a écrit:J'adore ce document qui n'évoque pas les groupes à effectifs réduits en langues, ni d'éventuels dédoublements pour l'EMC, l'histoire-géographie et les Lettres. Quant à la DNL et aux options facultatives, elles peuvent aussi aller se faire brosser.. Et on peut tout de même espérer qu'un soupçon d'AP sera réservé aux disciplines qui devront préparer les élèves à des épreuves du bac qui auront lieu en janvier. Bref, tout cela est risible.
Les LC sont officiellement maintenues chez nous en tant qu'option; plus de musique en revanche, et pour la DNL c'est confus...
- valdomirNiveau 2
Bon la réponse pour mon lycée est tombée, les sept spécialités de base. NSI refusée, pas d'EPS en option (refusé) et rien de dit sur les options techno. Nous gardons les options latin et lv3 ita déjà présentes. Je vais faire jouer tous les leviers que j'imagine possible. Le secrétariat général nous dit qu'ils n'envisagent pas de refaire une affectation en fin de seconde. Donc cela signifie mise ne place de transports payés par la région, il semble que les discussions soient en cours. Etant en province , cela va être sportif, heureusement j'arrête cette année.
- mamieprofExpert spécialisé
Bon courage pour la répartition de la DHG...
- nicole 86Expert spécialisé
Le téléphone sonne sur France Inter a pour sujet la réforme du lycée
- valdomirNiveau 2
arf trop tard, j'avais des choses à dire.
- IsidoriaDoyen
Avez-vous vu cela: café péda: le CSE rejette massivement les nouveaux programmes
Ca veut dire quoi, concrètement? Les nouveaux programmes vont passer malgré le CSE, ou ça peut reculer?
Café pédagogique a écrit:Alors que le ministre dit partout que ses réformes du lycée et du bac sont acceptées par les lycéens et enseignants, le CSE du 18 décembre s'est ouvert par un voeu de moratoire sur ces réformes. "Ni la structure ni les programmes présentés ce jour ne peuvent être mis en application à la rentrée 2019". Ce voeu a été adopté par 49 voix pour et 4 voix contre (Apel, Spelc, Unaf) confirmant un large rejet.
Ca veut dire quoi, concrètement? Les nouveaux programmes vont passer malgré le CSE, ou ça peut reculer?
- chmarmottineGuide spirituel
Attention, ce n'est pas le CSP qui les a rejetés, mais le CSE qui n'est que consultatif et dont l'avis n'est jamais suivi.
- IsidoriaDoyen
Ah oui en effet, mais donc ça va passer comme si de rien n’était?
- gauvain31Empereur
chmarmottine a écrit:Attention, ce n'est pas le CSP qui les a rejetés, mais le CSE qui n'est qu consultatif et dont l'avis n'est jamais suivi.
Il coûte combien au contribuable ce CSE ? Autant le supprimer alors, et distribuer l'argent dépensé pour cette structure... sous forme de primes, par exemple?
- Réforme du lycée : un choix de spécialités plus restreint que prévu
- Réforme du lycée. Les lycéens de première ont-ils eu le choix de leurs enseignements de spécialité ?
- Parcoursup et nouveau bac : prérequis des diverses formations (recensement)
- Couplages spécialités réforme lycée
- Réforme du lycée et du bac : comment choisir ses spécialités ?
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum