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- maxphaineNiveau 5
Audrey a écrit:Je fais 22h30 par semaine pour la 2e fois en 16 ans de carrière: c’est pire aujourd’hui que quand je l’ai fait la première fois en 2010! Les eleves ne sont plus Les mêmes, j’ai vieilli, le climat social s’est dégradé... alors 28h, mon dieu!! Vous n’avez jamais enseigné en collège ou quoi?
J'ai enseigné 12 ans en ZEP/collège en Guyane française. Plus rien ne m'étonne... Rien à envier non plus aux "banlieues" les plus difficiles de métropole, je vous assure ;-) Mais mon parcours professionnel n'a ici aucune importance... Mon "jeu" reste avant tout très naif mais instructif quant à notre regard sur ce qu'il est, doit ou peut être...
- BabaretteDoyen
Je ne détestais pas corriger, au début, j'aimais beaucoup même. J'aurais été prête à corriger sans enseigner, c'est pas si mal: on peut bosser où on veut et aux heures qu'on veut. Mais on perd en lien social.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- DesolationRowEmpereur
Moi j'aime assez salir et humilier avec du rouge.
- BabaretteDoyen
DesolationRow a écrit:Moi j'aime assez salir et humilier avec du rouge.
Oui, mon grand regret, c'était de ne pas corriger avec le sang des élèves.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- chmarmottineGuide spirituel
28 heures ... c'est infaisable, même en lycée !
Je suis pour diminuer le nombre d'élèves par classe (et donc de copies !), augmenter le nombre de cours en demi-classe (et donc diminuer le nombre de classes et de copies !) ce qui allège les préparartions et red beaucoup plus agréable la relation avec les élèves.
Je ne vois pas passer ma vie à ne faire que corriger des copies ... surtout d'élèves que je ne connais pas ... j'aurais l'impression d'être un robot.
Je suis aussi pour faire beaucoup moins d'évaluations. Et qu'on supprime, dans ma matière les DM qui augmentent le nombre de copies sans rendre service aux élèves (voir un autre topic à ce sujet).
Je suis pour diminuer le nombre d'élèves par classe (et donc de copies !), augmenter le nombre de cours en demi-classe (et donc diminuer le nombre de classes et de copies !) ce qui allège les préparartions et red beaucoup plus agréable la relation avec les élèves.
Je ne vois pas passer ma vie à ne faire que corriger des copies ... surtout d'élèves que je ne connais pas ... j'aurais l'impression d'être un robot.
Je suis aussi pour faire beaucoup moins d'évaluations. Et qu'on supprime, dans ma matière les DM qui augmentent le nombre de copies sans rendre service aux élèves (voir un autre topic à ce sujet).
- chmarmottineGuide spirituel
DesolationRow a écrit:Moi j'aime assez salir et humilier avec du rouge.
J'ai un collègue qui corrige à la plume ... je ne sais pas comment il fait pour que cela reste propre alors qu'il n'utilise même pas de buvard ...
- gauvain31Empereur
chmarmottine a écrit:DesolationRow a écrit:Moi j'aime assez salir et humilier avec du rouge.
J'ai un collègue qui corrige à la plume ... je ne sais pas comment il fait pour que cela reste propre alors qu'il n'utilise même pas de buvard ...
Ma professeure le latin au collège corrigeait à la plume et avec de l'encre rouge. D'un rouge un peu clair absolument magnifique. Elle avait une très belle écriture et respirait l'intelligence; j'adorais ses cours, sa pédagogie. Bref , j'étais amoureux quoi :lol:
- pseudo-intelloSage
Babarette a écrit:Je ne détestais pas corriger, au début, j'aimais beaucoup même. J'aurais été prête à corriger sans enseigner, c'est pas si mal: on peut bosser où on veut et aux heures qu'on veut. Mais on perd en lien social.
J'avoue que c'est le côté tentant du truc.
- LefterisEsprit sacré
Une idée qui rejoindrait pas mal d’aspirations : les uns enseignent, les autres corrigent anonymement et de manière égale et avec les mêmes critères sur tout le territoire de la république. Ca éviterait la pitrerie du brevet, les magouilles pour la part de CC du bac, ça remettrait en vigueur des vrais programmes nationaux. Il faudrait toujours un peu évaluer, mais juste pour savoir où l'on en est et estimer les capacités des élèves.
Ca ne va pas dans le sens de la territorialisation , du localisme qui en découle, et de la volonté de pression sur les enseignants.
Ca ne va pas dans le sens de la territorialisation , du localisme qui en découle, et de la volonté de pression sur les enseignants.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- PrezboGrand Maître
Sujet philo : peut-on enseigner sans corriger ?
- LefterisEsprit sacré
corriger, c'est aussi l'idée de diriger (regere) c'est donc en principe une part de l'enseignement. Mais si l'on ne fait que ça , sans avoir pour but de produire du chiffre, de correspondre à un "projet" , c'est plus neutre, moins fréquent, plus léger. Le fait de corriger aujourd'hui rentre plus dans des politiques d'évaluationite que d'enseignement.Prezbo a écrit:Sujet philo : peut-on enseigner sans corriger ?
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
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- KirthNiveau 9
Attention, dans les règles du jeu il y a marqué "en lycée". 28h, peut-être pas, mais faire 23/24 h en lycée ne me dérangerait pas. En collège, hors de question.
- J'aime beaucoup corriger, j'ai même l'impression, après 2h de correction, de ne pas avoir travaillé et d'avoir perdu du temps sur la préparation. Je n'aime pas préparer, et dans le jeu il y a davantage de préparations.
- Enseigner sans pouvoir avoir un aperçu des productions des élèves, ce n'est pas enseigner "dans le vide", mais ça enlève un support conséquent.
- Ce que j'aime dans la correction, c'est pouvoir instantanément jauger de la progression d'un élève. Corriger une copie inconnue ne me fait pas spécialement plaisir.
Mais j'aime bien le jeu !
- J'aime beaucoup corriger, j'ai même l'impression, après 2h de correction, de ne pas avoir travaillé et d'avoir perdu du temps sur la préparation. Je n'aime pas préparer, et dans le jeu il y a davantage de préparations.
- Enseigner sans pouvoir avoir un aperçu des productions des élèves, ce n'est pas enseigner "dans le vide", mais ça enlève un support conséquent.
- Ce que j'aime dans la correction, c'est pouvoir instantanément jauger de la progression d'un élève. Corriger une copie inconnue ne me fait pas spécialement plaisir.
Mais j'aime bien le jeu !
- HélipsProphète
Non mais celui qui corrige, il fait un boulot abrutissant, mais 28h par semaine seulement ? Ce n'est pas un temps plein. Et celui qui fait les 28h de cours, il fait 28h + combien de temps de préparation ? (je ne parle même pas résistance physique à 28h de cours).maxphaine a écrit:Helips a écrit:
donc ceux qui corrigent des copies bossent 28h et les autres 28h devant élèves + préparation de 28h de cours ?
Puisque personne ne semble avoir d'argument POUR, en voici un pour celui qui corrige :
- "Pouvoir déménager, retourner dans sa région d'origine ou même voyager tout en disposant d'un travail à temps plein mais sans la contrainte d'un EDT vérouillé...". Personne ne serait séduit ?
Nous sommes donc face à quelqu'un qui pense que 28h devant élèves, c'est 28h de boulot par semaine. Donc quelqu'un qui n'est pas prof. Bye bye.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- PaleoprofFidèle du forum
Hélips a écrit:Non mais celui qui corrige, il fait un boulot abrutissant, mais 28h par semaine seulement ? Ce n'est pas un temps plein. Et celui qui fait les 28h de cours, il fait 28h + combien de temps de préparation ? (je ne parle même pas résistance physique à 28h de cours).maxphaine a écrit:Helips a écrit:
donc ceux qui corrigent des copies bossent 28h et les autres 28h devant élèves + préparation de 28h de cours ?
Puisque personne ne semble avoir d'argument POUR, en voici un pour celui qui corrige :
- "Pouvoir déménager, retourner dans sa région d'origine ou même voyager tout en disposant d'un travail à temps plein mais sans la contrainte d'un EDT vérouillé...". Personne ne serait séduit ?
Nous sommes donc face à quelqu'un qui pense que 28h devant élèves, c'est 28h de boulot par semaine. Donc quelqu'un qui n'est pas prof . Bye bye.
Je me suis fait la même réflexion.
Pour répondre néanmoins à la question : pour moi, corriger fait partie intégrante du métier, surtout lorsqu'il s'agit d'évaluation formative (gros mot, cela fait seulement deux ans que je suis sortie du joug de l'ESPE, je suis encore marquée….). Cela me permet de mieux cerner ce que j'ai peut-être manqué dans mes explications, ou les erreurs courantes que je n'avais pas détectées lors des séances collectives d'exercices. J'essaie de capitaliser pour améliorer mes cours.
Et j'adapte mes observations sur copie à l'élève, comme certains l'ont déjà signalé. Il faut aussi que cela LUI soit utile.
Quant à 28 heures devant élèves,
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Je construis ma suite......
- PrezboGrand Maître
Lefteris a écrit:
corriger, c'est aussi l'idée de diriger (regere) c'est donc en principe une part de l'enseignement. Mais si l'on ne fait que ça , sans avoir pour but de produire du chiffre, de correspondre à un "projet" , c'est plus neutre, moins fréquent, plus léger. Le fait de corriger aujourd'hui rentre plus dans des politiques d'évaluationite que d'enseignement.
Le problème est ce qu'est devenu l'évaluation, que l'on utilise comme manière de produire du chiffre ("J'ai assez de note ce trimestre"), ou comme outil de gestion de classe. Avec des effets délétères sur la motivation des élèves ("c'est noté, monsieur ?). Et au passage, une perte de toute signification réelle.
Pour autant, évaluer et corriger ses propres élèves reste difficilement contournable, et la préparation à une évaluation reste un levier de motivation.
- chmarmottineGuide spirituel
23h, je trouve ça énorme, même en lycée. Je dois être une petite nature.Kirth a écrit:Attention, dans les règles du jeu il y a marqué "en lycée". 28h, peut-être pas, mais faire 23/24 h en lycée ne me dérangerait pas. En collège, hors de question.
- J'aime beaucoup corriger, j'ai même l'impression, après 2h de correction, de ne pas avoir travaillé et d'avoir perdu du temps sur la préparation. Je n'aime pas préparer, et dans le jeu il y a davantage de préparations.
- Enseigner sans pouvoir avoir un aperçu des productions des élèves, ce n'est pas enseigner "dans le vide", mais ça enlève un support conséquent.
- Ce que j'aime dans la correction, c'est pouvoir instantanément jauger de la progression d'un élève. Corriger une copie inconnue ne me fait pas spécialement plaisir.
Mais j'aime bien le jeu !
- ditaNeoprof expérimenté
Kirth a écrit:Attention, dans les règles du jeu il y a marqué "en lycée". 28h, peut-être pas, mais faire 23/24 h en lycée ne me dérangerait pas. En collège, hors de question.
- J'aime beaucoup corriger, j'ai même l'impression, après 2h de correction, de ne pas avoir travaillé et d'avoir perdu du temps sur la préparation. Je n'aime pas préparer, et dans le jeu il y a davantage de préparations.
- Enseigner sans pouvoir avoir un aperçu des productions des élèves, ce n'est pas enseigner "dans le vide", mais ça enlève un support conséquent.
- Ce que j'aime dans la correction, c'est pouvoir instantanément jauger de la progression d'un élève. Corriger une copie inconnue ne me fait pas spécialement plaisir.
Mais j'aime bien le jeu !
En physique-chimie, tu trouves que c'est un jeu, tant mieux pour toi, mais en lettres, c'est autre chose.
- CathEnchanteur
Je déteste de plus en plus corriger, j'aimerais pouvoir sous-traiter...
Mais 28h ! Jamais...
Mais 28h ! Jamais...
- gauvain31Empereur
chmarmottine a écrit:23h, je trouve ça énorme, même en lycée. Je dois être une petite nature.Kirth a écrit:Attention, dans les règles du jeu il y a marqué "en lycée". 28h, peut-être pas, mais faire 23/24 h en lycée ne me dérangerait pas. En collège, hors de question.
- J'aime beaucoup corriger, j'ai même l'impression, après 2h de correction, de ne pas avoir travaillé et d'avoir perdu du temps sur la préparation. Je n'aime pas préparer, et dans le jeu il y a davantage de préparations.
- Enseigner sans pouvoir avoir un aperçu des productions des élèves, ce n'est pas enseigner "dans le vide", mais ça enlève un support conséquent.
- Ce que j'aime dans la correction, c'est pouvoir instantanément jauger de la progression d'un élève. Corriger une copie inconnue ne me fait pas spécialement plaisir.
Mais j'aime bien le jeu !
On est deux alors ; j'ai fait à mes débuts 22h en collège, mais avec bon emploi du temps et des élèves mignons. J'ai tenu bon car j'avais déjà des cours préparés l'année précédente et j'étais jeune (26-27 ans). Pas sûr que j'y arriverai à mon âge même en lycée, car des classes de lycées peuvent être parfois plus pénibles que certaines classe de collège.
Je préfère avoir beaucoup de corrections et faire peu d'heures devant les élèves
- gauvain31Empereur
Cath a écrit:Je déteste de plus en plus corriger, j'aimerais pouvoir sous-traiter...
Mais 28h ! Jamais...
Un de mes anciens collègues en avait totalement marre de corriger des copies. Il n'en pouvait plus et ne s'en est jamais caché. Il a décidé de devenir IPR. Je ne sais pas s'il est plus heureux
- Cléopatra2Guide spirituel
Je n'en peux plus des copies, je les sous-traiterais volontiers. En revanche, pas pour 28h devant élèves avec la préparation qui va avec. Peut-être 19 ou 20h?
- LefterisEsprit sacré
Tout à fait d'accord. Moi-même, j'évalue encore trop, j'ai essayé de garder le rythme d'avant réforme, sachant qu'en REP on avait souvent une heure de plus par classe, et que quoi qu'en disent certains négationnistes, le niveau baisse constamment, les classes sont plus lentes (moins de travail perso) et plus agitées. Je ne peux plus faire dans le même établissement, en quantité comme en qualité, ce que je faisais il y a quelques années , qui n'était pourtant pas brillant. Là je vais essayer de trouver un meilleur rythme, environ huit notes au lieu d'une douzaine. Il faut garder un équilibre : pas assez d'évaluations, ils ne bossent pas du tout. Trop, ça n'a guère d'influence sur la moyenne, et ils le sentent. De plus c'est du temps mangé sur les apprentissages. J'ai déjà adopté le principe d'une note à faible coefficient pour que les échecs comme les réussites ne pèsent pas trop lourd avec certains devoirs, et qu'on ne se croie ni perdu par une banane, ni arrivé grâce à une super note. J'espace les devoirs d'écriture, qui sont un combat pénible quand on les donne (on ne rend pas, on hurle quand il faut en faire...) ou à corriger (écriture phonétique, torchon bâclé , contenu désespérant...). Il faut aussi gérer l'équilibre entre les divers apprentissages : écriture, lecture, grammaire, oral...Prezbo a écrit:Lefteris a écrit:
corriger, c'est aussi l'idée de diriger (regere) c'est donc en principe une part de l'enseignement. Mais si l'on ne fait que ça , sans avoir pour but de produire du chiffre, de correspondre à un "projet" , c'est plus neutre, moins fréquent, plus léger. Le fait de corriger aujourd'hui rentre plus dans des politiques d'évaluationite que d'enseignement.
Le problème est ce qu'est devenu l'évaluation, que l'on utilise comme manière de produire du chiffre ("J'ai assez de note ce trimestre"), ou comme outil de gestion de classe. Avec des effets délétères sur la motivation des élèves ("c'est noté, monsieur ?). Et au passage, une perte de toute signification réelle.
Pour autant, évaluer et corriger ses propres élèves reste difficilement contournable, et la préparation à une évaluation reste un levier de motivation.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- InvitéInvité
On est passé au semestre dans mon bahut, moins la course aux notes même si l'inspection demande d'évaluer très souvent dans mon coin. Mais bon, je ne suis pas une tâcherone. En français, c'est vite l'enfer de corriger, et désespérant.
- SlinkyNiveau 10
Contre. Mon emploi du temps est très confortable malgré le travail de préparation et de correction à la maison. Les horaires ont d'ailleurs motivé ma reconversion vers le métier de professeur. J'aime bien corriger les productions de mes élèves. Cela est toujours intéressant de constater ce qu'ils ont retenu et les progrès de certains.
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Her steps--slow, deliberate, and challenging, the set of her sleek head and her slender shoulders, the swing of her straight body, the slight swaying of her hips, are more deadly than all the leopard skins and languors of the old-time vampire. Here is Slinky!
- PaulineProfNiveau 2
Slinky75 a écrit:Contre. Mon emploi du temps est très confortable malgré le travail de préparation et de correction à la maison. Les horaires ont d'ailleurs motivé ma reconversion vers le métier de professeur. J'aime bien corriger les productions de mes élèves. Cela est toujours intéressant de constater ce qu'ils ont retenu et les progrès de certains.
Bien d'accord !
Et c'est intéressant d'avoir des tâches variées à accomplir. Libre à chacun ensuite de diminuer le nombre de ses évaluations ou d'optimiser celles-ci pour limiter le temps de correction, sans tomber dans le QCM systématique évidemment.
C'est chouette d'avoir une partie de son travail à horaires libres ! Si je veux corriger un dimanche entre midi et deux ou un lundi à minuit, je peux. Faire cours lors de ces moments là par contre...
- miss sophieExpert spécialisé
acsyle a écrit:Je rejoins Lizdarcy sur ses propos : le problème n'est pas dans l'activité de la correction mais dans la quantité.
D'accord avec tout ce qui a été dit contre la proposition, cela me semble important d'avoir un retour sur ce que l'élève a retenu / compris / appris à faire et des progrès qui lui restent à réaliser ; j'ajoute que l'espace de la copie me permet aussi en quelque sorte de "dialoguer" avec l'élève, d'apporter des explications individuelles. Le problème, c'est ce que je cite ci-dessus. Avec trois classes en français, ça passerait peut-être, mais quatre c'est épuisant, on corrige tout le temps.
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