- zigmag17Guide spirituel
C'est exactement ça
- acsyleNiveau 10
https://www.bfmtv.com/politique/le-plan-sur-les-violences-scolaires-reporte-1555111.html
Reporté d'aujourd'hui à une/deux semaines.
A voir si c'est un vrai report ou bien une manière de gagner du temps en attendant que ça passe tout seul.
Reporté d'aujourd'hui à une/deux semaines.
A voir si c'est un vrai report ou bien une manière de gagner du temps en attendant que ça passe tout seul.
- IphigénieProphète
non, tu crois?acsyle a écrit:https://www.bfmtv.com/politique/le-plan-sur-les-violences-scolaires-reporte-1555111.html
Reporté d'aujourd'hui à une/deux semaines.
A voir si c'est un vrai report ou bien une manière de gagner du temps en attendant que ça passe tout seul.
- RendashBon génie
Six mois avec sursis pour le père qui avait agressé un professeur dans le collège Evariste-Galois de Meyzieu (69).
Et 750 euros à verser à la partie civile.
https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-est-lyonnais/2018/10/30/meyzieu-le-pere-d-une-collegienne-condamne-pour-avoir-gifle-un-prof-de-chimie
L'élève, exclue du cours le matin, avait prétendu que le collègue lui avait baissé son pantalon pour lui coller une fessée en plein cours.
"Je n'ai pas réfléchi", dit l'agresseur :|
edit : pas de plainte pour la diffamation ? Pas de plainte non plus pour l'intrusion du père dans l'établissement ?
Et 750 euros à verser à la partie civile.
https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-est-lyonnais/2018/10/30/meyzieu-le-pere-d-une-collegienne-condamne-pour-avoir-gifle-un-prof-de-chimie
L'élève, exclue du cours le matin, avait prétendu que le collègue lui avait baissé son pantalon pour lui coller une fessée en plein cours.
"Je n'ai pas réfléchi", dit l'agresseur :|
edit : pas de plainte pour la diffamation ? Pas de plainte non plus pour l'intrusion du père dans l'établissement ?
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Docteur OXGrand sage
Rendash a écrit:Six mois avec sursis pour le père qui avait agressé un professeur dans le collège Evariste-Galois de Meyzieu (69).
https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-est-lyonnais/2018/10/30/meyzieu-le-pere-d-une-collegienne-condamne-pour-avoir-gifle-un-prof-de-chimie
L'élève, exclue du cours le matin, avait prétendu que le collègue lui avait baissé son pantalon pour lui coller une fessée en plein cours.
"Je n'ai pas réfléchi", dit l'agresseur :|
Six mois de prison avec sursis et... 750 euros de dommages et intérêts.
whaouuu... hachement dissuasif. Non, mais.
- MalagaModérateur
J'ai divisé le sujet : tout ce qui concerne la circulation des informations sur nos élèves (comportement, problème de santé) est dans ce topic : https://www.neoprofs.org/t120762-comment-les-informations-comportement-pb-de-sant-sur-les-lves-circulent-elles-dans-vos-tablissements
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- Ramanujan974Érudit
Docteur OX a écrit:Rendash a écrit:Six mois avec sursis pour le père qui avait agressé un professeur dans le collège Evariste-Galois de Meyzieu (69).
https://www.leprogres.fr/rhone-69-edition-est-lyonnais/2018/10/30/meyzieu-le-pere-d-une-collegienne-condamne-pour-avoir-gifle-un-prof-de-chimie
L'élève, exclue du cours le matin, avait prétendu que le collègue lui avait baissé son pantalon pour lui coller une fessée en plein cours.
"Je n'ai pas réfléchi", dit l'agresseur :|
Six mois de prison avec sursis et... 750 euros de dommages et intérêts.
whaouuu... hachement dissuasif. Non, mais.
J'aimerais bien connaître la peine qu'aurait un enseignant qui donnerait une gifle à un juge...
- Ramanujan974Érudit
https://www.linfo.re/la-reunion/societe/rixe-au-lycee-de-lepervanche-le-personnel-debraye-pour-soutenir-une-enseignante
journal a écrit:
Au lycée de Lepervanche au Port, deux élèves en sont venus au mains hier après-midi. Une fois la rixe maîtrisée et les cours terminés, l’enseignante a prévenue la vie scolaire et la direction de l’établissement.
Le lendemain, la direction n’aurait semble-t-il pas pris les mesures adaptées. Ce qui indigne le personnel du lycée qui a décidé de débrayer ce mardi.
- DalvaVénérable
Ah bon ? Ils ne vont pas continuer à faire cours pour leurs élèves qui adorent leurs projets ?
Pour la gifle d'un enseignant à un juge, je pense que ça dépendrait de la défense présentée par l'enseignant : s'il dit qu'il n'a pas réfléchi, ça devrait être bon.
Pour la gifle d'un enseignant à un juge, je pense que ça dépendrait de la défense présentée par l'enseignant : s'il dit qu'il n'a pas réfléchi, ça devrait être bon.
- MalagaModérateur
Une tribune paru sur le site de Libération à lire ici : https://www.liberation.fr/debats/2018/10/29/la-violence-au-lycee-mais-laquelle_1688652
L’affaire du lycéen qui a braqué une arme factice sur son enseignante à Créteil révèle une autre violence encore, que personne n’a relevée - pas même le ministre de l’Education nationale : celle de l’empêchement à exercer une autorité professionnelle au bénéfice du plus grand nombre, qui ne fait plus sens pour certains élèves.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- AdalberonNiveau 3
"L’affaire du lycéen qui a braqué une arme factice sur son enseignante à Créteil révèle une autre violence encore, que personne n’a relevée - pas même le ministre de l’Education nationale : celle de l’empêchement à exercer une autorité professionnelle au bénéfice du plus grand nombre, qui ne fait plus sens pour certains élèves."
Cela fait vilaine lurette que l'autorité "ne fait plus sens pour certains élèves", ces derniers ayant été placé au "centre du système" depuis 3 décennies avec "bienveillance" à tous les étages...
Cela fait vilaine lurette que l'autorité "ne fait plus sens pour certains élèves", ces derniers ayant été placé au "centre du système" depuis 3 décennies avec "bienveillance" à tous les étages...
- InvitéInvité
Adalberon a écrit:
Cela fait vilaine lurette que l'autorité "ne fait plus sens pour certains élèves", ces derniers ayant été placé au "centre du système" depuis 3 décennies avec "bienveillance" à tous les étages...
Si seulement cela ne tenait qu'à ça.
- MathadorEmpereur
Dans la phrase citée, n'est-ce pas plutôt le bénéfice du plus grand nombre qui « ne fait plus sens pour certains élèves » ? Ce n'est de toute façon que peu surprenant, cette notion n'étant pas innée mais un acquis de la société et l'institution faisant primer depuis longtemps l'intérêt individuel (de l'élève, pas le nôtre évidemment ) au détriment de l'intérêt collectif.
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- User17095Érudit
Adalberon a écrit:
Cela fait vilaine lurette que l'autorité "ne fait plus sens pour certains élèves", ces derniers ayant été placé au "centre du système" depuis 3 décennies avec "bienveillance" à tous les étages...
"Allez Jojo, un p'tit ballon de blanc pour tasser tout ça, ça peut pas faire de mal à s't'heure !"
Sinon la question de l'autorité et de son sens, elle ne date pas de 1989, même Platon en parle.
- ZagaraGuide spirituel
pogonophile a écrit:Adalberon a écrit:
Cela fait vilaine lurette que l'autorité "ne fait plus sens pour certains élèves", ces derniers ayant été placé au "centre du système" depuis 3 décennies avec "bienveillance" à tous les étages...
"Allez Jojo, un p'tit ballon de blanc pour tasser tout ça, ça peut pas faire de mal à s't'heure !"
Sinon la question de l'autorité et de son sens, elle ne date pas de 1989, même Platon en parle.
Faut vraiment avoir des nerfs d'acier pour prétendre qu'il n'y a pas une nette différence de qualité générale du climat de classe entre aujourd'hui et avant les années 1980.
On peut discuter des causes de ce changement (je ne pense pas les connaître d'ailleurs), mais ignorer d'un revers de main le constat empiriquement établi, c'est ambitieux.
- InvitéInvité
Zagara a écrit:
Faut vraiment avoir des nerfs d'acier pour prétendre qu'il n'y a pas une nette différence dans la qualité générale du climat de classe entre aujourd'hui et avant les années 1980.
On peut discuter des causes de ce changement (je ne pense pas les connaître d'ailleurs), mais ignorer d'un revers de main le constat empiriquement établi, c'est ambitieux.
Un élément de l'évolution du système qui rend les choses plus compliquées c'est sans nul doute la fin des orientations précoces au collègue et la diversification des publics au lycée. Avec comme éléments exogènes la dégradation de certains quartiers, l'affaiblissement des cellules familiales...
Ceci dit, j'ai été collégien dans la deuxième moitié des années 70, lycéen au début des années 80 et prof depuis les années 90 les choses étaient quand même compliquées selon les classes. J'ai quelques souvenirs d'élève en classe de cinquième et de quatrième où certains collègues n'étaient pas à la fête. A mes début en ZEP il y avait déjà des classes où quand on rentrait le principal objectif était de tenir jusqu'à la fin de l'heure.
- ZagaraGuide spirituel
Une petite incise pour dire que j'ai toujours trouvé très beau et poétique l'euphémisme "les nouveaux publics".
- User17095Érudit
Zagara a écrit:
Faut vraiment avoir des nerfs d'acier pour prétendre qu'il n'y a pas une nette différence de qualité générale du climat de classe entre aujourd'hui et avant les années 1980.
On peut discuter des causes de ce changement (je ne pense pas les connaître d'ailleurs), mais ignorer d'un revers de main le constat empiriquement établi, c'est ambitieux.
Où ai-je prétendu qu'il n'y avait pas de différence ?
De quel "constat empiriquement établi", qui suppose une observation continue et un peu plus élaborée que "quand j'ai commencé à enseigner avant 1980 c'était très différent", parles-tu ?
Pouvons-nous au moins être d'accord pour affirmer que le truisme "l'élève au centre du système" n'est pas la cause de nos problèmes contemporains ?
A titre d'exemple plus contemporain que Platon, Viandox a même fait une publicité en 1965 sur la difficulté de la gestion de classe (et on notera le postulat, si la classe est intenable, c'est parce que l'enseignante manque d'énergie) :
- ZagaraGuide spirituel
C'est rigolo de venir rembarrer quelqu'un en lui disant "reprends une bière", ce qui insinue très clairement pour toute personne ayant un peu de bonne foi que son propos est considéré comme totalement erroné, puis de venir dire "non-non je n'ai pas dit que ce qu'il disait ne valait rien, regarde ce n'est pas écrit, je l'ai juste humilié gratuitement".
Comme ça me saoûle de polémiquer ici désormais, je m'en tiens là ; chacun pourra se faire son idée du taux de bonne ou mauvaise foi de chaque intervenant...
Comme ça me saoûle de polémiquer ici désormais, je m'en tiens là ; chacun pourra se faire son idée du taux de bonne ou mauvaise foi de chaque intervenant...
- JacqGuide spirituel
Slinky75 a écrit:Pat B a écrit:Mathador a écrit:Tornosubito a écrit:Un élève m’a déjà dit qu’on était pas dans le monde des bisounours quand je lui ai dit qu’il n’y a que l’éducation qui va le sortir de la m*rde.
Pour moi, cette idée est une des racines les plus profondes des maux actuels de l'EN. Si c'était faux, et perçu comme faux par les familles, les politiques s'embêteraient-ils à bidonner le bac, ou encore à rendre aussi ineffectives que possibles les sanctions relevant du bannissement des élèves au comportement inacceptable ? Je n'en suis pas certain: remarquons notamment que ces politiques coûtent des deniers publics en gonflant les effectifs élèves et étudiants de manière contre-productive…
Une raison évidente à ce gonflement voulu, pour moi : ça permet de les faire arriver plus tard sur le marché de l'emploi, et évite de gonfler encore les chiffres du chômage (qui sont déjà bien aggravés par l'augmentation de l'âge de départ en retraite.... si en plus on commence plus tôt, ça fera trop de monde sur le carreau)
Et effectivement, cette idée est perçue comme vraie par les familles.
La filière pro est aussi beaucoup trop dévalorisée alors qu'elle conviendrait à de nombreux élèves. Il vaut mieux apprendre un métier manuel et gagner sa vie que de rester sur les bancs du lycée pour faire joli.
Je suis d'accord avec toi, mais par contre, encore une fois, la "filière pro" ne se résume pas aux métiers "manuels". Vision erronée. Le commerce n'est pas manuel, ASSP (mais si on "manie") n'est pas manuel... Mais merci de penser à nous. Malgré tout on ne peut résumer le "pro" au "manuel". Vision qui pose d'ailleurs problème pour l'orientation post troisième.
- JacqGuide spirituel
acsyle a écrit:Oonnay a écrit:Imaginons que j'aille viser Manu avec une arme en carton, il ne m'arrivera rien donc !? Hein ?doubledecker a écrit:Il s'est passé la même chose au Havre début octobre, d'après le proc' il n'y avait pas volonté d'agresser, tout va bien.
Il t'enverra dans un camp de redressement, Manu militari.
Benalla arrive et te défonce la poire avec ses vrais flingues qui ne sont toujours pas réapparus parce que sa femme...
- CatalunyaExpert spécialisé
François sort tout penaud, la tête basse, sans avoir dit "ça me casse les c..." et "j'ai rien fait fait/y'a pas que moi qui parle". En outre, il parlait du cours, pauvre François.pogonophile a écrit:Zagara a écrit:
Faut vraiment avoir des nerfs d'acier pour prétendre qu'il n'y a pas une nette différence de qualité générale du climat de classe entre aujourd'hui et avant les années 1980.
On peut discuter des causes de ce changement (je ne pense pas les connaître d'ailleurs), mais ignorer d'un revers de main le constat empiriquement établi, c'est ambitieux.
Où ai-je prétendu qu'il n'y avait pas de différence ?
De quel "constat empiriquement établi", qui suppose une observation continue et un peu plus élaborée que "quand j'ai commencé à enseigner avant 1980 c'était très différent", parles-tu ?
Pouvons-nous au moins être d'accord pour affirmer que le truisme "l'élève au centre du système" n'est pas la cause de nos problèmes contemporains ?
A titre d'exemple plus contemporain que Platon, Viandox a même fait une publicité en 1965 sur la difficulté de la gestion de classe (et on notera le postulat, si la classe est intenable, c'est parce que l'enseignante manque d'énergie) :
- PrezboGrand Maître
pogonophile a écrit:
Où ai-je prétendu qu'il n'y avait pas de différence ?
De quel "constat empiriquement établi", qui suppose une observation continue et un peu plus élaborée que "quand j'ai commencé à enseigner avant 1980 c'était très différent", parles-tu ?
Pouvons-nous au moins être d'accord pour affirmer que le truisme "l'élève au centre du système" n'est pas la cause de nos problèmes contemporains ?
La cause, je ne dirais pas. D'une part parce qu'on trouve moultes témoignages de classes difficiles et de conflits violents (mais souvent sous d'autres formes) avec les profs bien avant 1989, d'autre part parce qu'il faut faire avec ce que rappelle Tamerlan : le filtre que constituait autrefois les décisions d'orientation précoces, la dégradation de la situation sociale de certains quartiers, l'instabilité des cellules familiales...
Mais on peut remarquer que ce slogan, "mettre l'élève au centre du système", est l'exacte théorisation de ce que vivent beaucoup d'enseignants, bien plus que les épisodes extrèmes de violence, comme usant au quotidien : l'indifférence aux règles communes, les difficultés à accepter un cadre collectif, l'impatience et le narcissisme d'élèves et de familles qui estiment avoir chacun droit à une attention individuelle au moment où ils le décident...
Même Philippe Meirieu a fini par se rendre compte que ça posait un problème, c'est dire.
https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=2ahUKEwi6rP-A4a7eAhWuz4UKHWFgCwEQFjAAegQIBxAC&url=https%3A%2F%2Fwww.meirieu.com%2FARTICLES%2Fpeda_diff_2012.pdf&usg=AOvVaw35SXY-1l8HmLkKJOIf1jic
- InvitéInvité
De toute façon parler de centre alors que la réalité est systémique, ça pose un biais dès le départ.
- RendashBon génie
Prezbo a écrit:Même Philippe Meirieu a fini par se rendre compte que ça posait un problème, c'est dire.
Mouais. Ou alors il dit tout et son contraire, comme d'hab, pour couvrir ses arrières, comme d'hab, en présentant ça comme le doute scientifique, comme d'hab, pour pouvoir dire, comme d'hab, "je l'avais bien dit", comme d'hab.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
Tamerlan a écrit:De toute façon parler de centre alors que la réalité est systémique, ça pose un biais dès le départ.
Et puis, au centre, y'a pas l’élève, y'a Bayrou.
Heureusement
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- est-il obligatoire d'être présent à un entretien pour signer la note administrative?
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