- User17095Érudit
gauvain31 a écrit:
Rhooo , c'est de l'humour, il faut se détendre voyons
Ben oui mais justement, je reste sur ma faim ! Je sais bien que tout le monde n'a pas le talent pour la punchline d'un Rendash, mais tout de même, si on se lance dans l'humour, on y va sans retenue... hardi, petit, fi de la terreur induite par le management !
- gauvain31Empereur
pogonophile a écrit:gauvain31 a écrit:
Rhooo , c'est de l'humour, il faut se détendre voyons
Ben oui mais justement, je reste sur ma faim ! Je sais bien que tout le monde n'a pas le talent pour la punchline d'un Rendash, mais tout de même, si on se lance dans l'humour, on y va sans retenue... hardi, petit, fi de la terreur induite par le management !
Et ben, je ne te savais pas fan d'humour trash . Bon , ben il n'y a plus qu'à attendre Hugo désormais
- scot69Modérateur
Si ça se trouve, elle craque pour toi et a trouvé ce prétexte pour te faire une jolie déclaration d'amour endiablée...
- abricotedapiExpert spécialisé
Mais oui enfin, cessons de l'empêcher de parler !pogonophile a écrit:Sinon quand on aura fini de rejouer le match, on pourra peut-être laisser Hugo78 en placer une
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- Spoiler:
- 2024-2025 : en poste fixe !!
2023-2024 (TZR) AFA : 2 classes de 6e (PP 6e)
2022-2023 (TZR) AFA : 1 classe de 5e, 2 classes de 4e, 1 classe de 3e (PP 5e)
2021-2022 (TZR) 2 remplacements : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e / 3 classes de 6e
2020-2021 (TZR) AFA 2 collèges dont le RAD : 2 classes de 5e, 1 classe de 4e (PP 5e) + 1 classe de 6e
2019-2020 (TZR) AFA RAD : 2 classes de 6e, 2 classes de 5e (PP 6e)
2018-2019 (TZR) AFA : 4 classes de 6e
2014-2018 : quatre ans en poste fixe (8 classes de 6e, 4 classes de 4e, 3 classes de 5e, 2 classes de 3e et 4 x PP 6e)
2013-2014 (stagiaire) : 2 classes de 5e, 1 classe de 6e
- chmarmottineGuide spirituel
scot69 a écrit:Si ça se trouve, elle craque pour toi et a trouvé ce prétexte pour te faire une jolie déclaration d'amour endiablée...
Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que ça va encore dévier du problème de départ ...
- scot69Modérateur
oula non, ce n'est pas mon but, je voulais juste détendre un peu l'atmosphère grâce à une blague idiote, mais surtout pas de dévier ou d'enfoncer qui que ce soit.
Méa Culpa.
Je n'efface pas mon message car il a été cité, mais mon but n'est surtout pas d'envenimer une situation.
Méa Culpa.
Je n'efface pas mon message car il a été cité, mais mon but n'est surtout pas d'envenimer une situation.
- chmarmottineGuide spirituel
Pas de souci, je disais ça juste comme ça !
Il est temps qu'Hugo donne des nouvelles.
Il est temps qu'Hugo donne des nouvelles.
- mathmaxExpert spécialisé
Audrey a écrit:[
Je n'ai jamais dit que Hugo méritait ses problèmes. C'est du pur délire de me prêter ce genre de propos et de pensée. Je n'ai pas non plus dit qu'il fallait "enfoncer" des collègues défaillants, mais qu'il était normal qu'un enseignant qui nuit aux élèves (car il y en a, ne pas le reconnaître, c'est cela le "corporatisme nocif" et la réelle lâcheté) soit recadré, conseillé, aidé et si aucune amélioration n'apparaît, dirigé vers un poste où il n'aura pas à gérer d'élèves.
J'ai réagi sur ce fil quand j'ai vu des collègues qui blâmaient le cde d'Hugo, presque par principe, parce qu'un cde, c'est forcément quelqu'un qui cherche à nuire au prof, visiblement.
Sur ce, je vous laisse continuer à discourir comme bon vous semble, parce que de toute façon, sur ce forum, toute discussion devient impossible sans virer à la caricature ou à l'attaque plus ou moins voilée.
Le problème, comme tu le faisais remarquer c'est le sens de la nuance : certains ont blâmé, non pas le cde d'Hugo mais son comportement dans la situation relatée, et non par principe mais pour une raison très objective : tout perdir devrait être en mesure de comprendre qu'une convocation avec un motif trop vague est anxiogène et être capable de préciser ce motif en quelques phrases, par écrit ou par oral, dans un souci d'humanité mais aussi d'efficacité. Si vraiment certains jugent cela techniquement impossible il faudrait peut-être ajouter une épreuve au concours de recrutement : rédiger, en dix lignes maximum, l'objet d'une convocation d'un subordonné. Critères de réussite : le personnel destinataire doit pouvoir anticiper sereinement l'échange de manière à arriver à l'entretien en confiance et en ayant réfléchi de son côté à la situation dont il va être question.
Tu n'as certes pas dit qu' Hugo méritait ses problèmes mais quel intérêt de parler ici de collègues qui nuisent aux élèves ? On s'attend généralement à ce que les réponses aient un rapport avec le sujet initial, d'où le malaise. Si je raconte à quelqu'un que j'ai eu du mal à faire un créneau et qu'il me répond que certains conducteurs sont des dangers publics auxquels il faudrait retirer le permis, je vais me sentir visée même s'il jure ses grand dieux qu'il n'en est rien !
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- User17095Érudit
Cette formidable capacité à l'oeuvre depuis trois bonnes pages, comprendre un mot sur deux, ou prétendre le faire, me rappelle le petit engouement sur la théorie de la Terre plate, où est il est rigoureusement impossible de distinguer, dans les débats à ce propos, ce qui relève du troll et ce qui relève de la conviction.
La seule chose certaine, c'est qu'à force de répéter, expliquer à nouveau, ressasser, tout le monde se lasse.
La seule chose certaine, c'est qu'à force de répéter, expliquer à nouveau, ressasser, tout le monde se lasse.
- MalagaModérateur
celinesud a écrit:Pas de souci, je disais ça juste comme ça !
Il est temps qu'Hugo donne des nouvelles.
En même temps, il est convoqué seulement la semaine prochaine...
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- LemmyKHabitué du forum
Il n'y a pas de fumée sans feu.mathmax a écrit:Oui Rabelais cette discussion vire à une grande confusion.
Si on récapitule, le départ était le témoignage d'un collègue, qui, convoqué de manière fort cavalière et peu explicite par son supérieur, faisait part de son stress et demandait des conseils pour aborder cette situation. Sur les premières pages du fil il a reçu des avis, tous allant dans le même sens : demander le motif précis de la convocation, se faire accompagner, garder son calme et rester factuel s'il est amené à s'exprimer. Je n'y ai pas vu d'attaque contre les perdir en général, simplement un soutien raisonnable et confraternel à un être humain placé dans une situation qui le déstabilise, et quelques outils pour en sortir sans se ronger les sangs.
Et puis, un peu après l'intervention de pogonophile, et sans qu'il soit en cause, certains ont tenu à faire valoir leur absence de corporatisme en disant que quand même, certains de nos collègues sont bien nuls et qu' il convient de les enfoncer. Je ne sais pas si le soutien à un collègue qui demande un conseil est du « corporatisme nocif » mais supposer ainsi, sans savoir rien de la situation que toute personne qui a des problèmes les a sûrement bien mérités, c'est tout simplement de la lâcheté ordinaire.
Plus sérieusement,
1.Certains collègues pensent qu'ils n'auront jamais de problèmes car ils font leur travail du mieux possible. Ils sont très naïfs et se trompent lourdement. J'aimerais qu'ils le comprennent. C'est aussi simple que cela
2. Je peux aussi enfoncer des portes ouvertes en disant qu'il y a des CDE très compétents voire très humains. Je ne vois pas forcément tout en noir ou en blanc.
- archebocEsprit éclairé
Audrey a écrit:[...] Je n'ai pas non plus dit qu'il fallait "enfoncer" des collègues défaillants, mais qu'il était normal qu'un enseignant qui nuit aux élèves (car il y en a, ne pas le reconnaître, c'est cela le "corporatisme nocif" et la réelle lâcheté) soit recadré, conseillé, aidé et si aucune amélioration n'apparaît, dirigé vers un poste où il n'aura pas à gérer d'élèves.
J'ai réagi sur ce fil quand j'ai vu des collègues qui blâmaient le cde d'Hugo, presque par principe, parce qu'un cde, c'est forcément quelqu'un qui cherche à nuire au prof, visiblement.
D'autres viennent de montrer que les reproches qu'ils faisaient à ce CDE ne tombaient pas du ciel. Je voudrais revenir au paragraphe précédent. Il y aurait quelques enseignant défaillants, qui devraient être écartés des élèves. Je ne disconviens pas qu'il y en a. Mais au delà de l'indélicatesse à rappeler cette situation spécialement sur ce fil, je vous demande si vous pensez réellement que c'est la priorité.
Dans la classe d'un de mes globules, il y a plusieurs élèves qui ont droit à une mise en garde du CC, ce trimestre, après en avoir reçu une première au trimestre précédent. On les met en garde contre quoi ? Contre le fait qu'au trimestre prochain ils vont recevoir une nouvelle mise en garde ? Comment peut-on appeler cela "éducation" ? C'est une éducation au vice et à l'impunité. La classe de mon globule n'est pas un cas singulier, exceptionnel, la honte unique de l’Éducation Nationale. Elle n'est qu'une instance parmi d'innombrables autres de ce que montrent par ailleurs les études statistiques.
Dans ce cadre, mettre la barre du scandale au moment où des élèves se mettent en danger, et non pas au moment où ils mettent en danger à la fois la scolarité et le sens moral de leurs camarades, c'est un terrible abandon. Terrible parce qu'il vient de vous, Audrey, dont nous connaissons les valeurs et les combats.
Il y a un excellent enseignant dans le collège de mes globules. Il tient très difficilement ses classes. J'ai entendu une responsable FCPE se vanter de pouvoir le chasser de l'EN. Ses cours sont remarquables, pour ceux qui arrivent à se concentrer au milieu du brouhaha. Il suffirait de lui confier des élèves aptes à suivre son enseignement.
L'institution arrive à nous faire oublier qu'il y a d'abord, en priorité, un paquet d'élèves à recadrer, conseiller, aider, et si aucune amélioration n'apparaît, diriger vers des institutions où ils n'auraient pas à subir des adultes collectivement inaptes à gérer leurs incivilités. Car le problème est ici : l'inaptitude la plus grave n'est pas celle des enseignants, mais celle de toute l'institution, hiérarchie en tête, à juguler cet immense gâchis.
- pseudo-intelloSage
Je suis d'accord, et j'ajoute que même dans le cas où un enseignant est défaillant, il n 'est pas souvent défaillant par hasard.
Je me souviens de mon année de néotit, avec vingt heures sur deux bahuts différents et difficiles. J'avais le bordel. De plus en plus de bordel, de plus en plus souvent, même tout le temps, et fort peu de soutien de la hiérarchie. Certains collègues finissaient par me regarder avec condescendance, comme la fille qui aurait le bordel toute sa vie, et qui ne parviendrait jamais à tenir ses classes.
Pour une année, c'est extrêmement destructeur, car faire presque ses premiers pas en côtoyant l'impunité des élèves, l'impertinence et le raffut, ça brouille les repères. .
Deuxième année, je change de CSD : le pp de ma classe pas facile (mais on a vu pire) me rappelle que c'est moi le chef, que tel ou tel comportement n’est pas acceptable. Au premier trimestre, à chaque fois que je punis un élève, il réclame la même (donc il la double, quoi).
A la Toussaint, j'avais le silence dans ma classe, des repères corrigés quant à ce qui est acceptable ou non, et maintenant, ça va bien, merci. Mais si j'avais eu un tel bazar longtemps, je pense qu'entre l'habitude et le découragement (et des repères brouillés), j'aurais très bien pu devenir défaillante.
Autre CSD quelques années plus tard : avant la rentrée, le chef m'indique le nom des élèves un peu chauds et leur problème (insolence / absentéisme / mensonges, etc). Lors de mon 1er cours (de deux heures), le chef se pointe au bout d1h30 et me demande si tout ba bien, si les élèves se tiennent correctement. Moi : "oui, ils se tiennent très bien, merci, sauf lui, là, qui a été insolent". Ben "lui, là", s'est mangé une belle soufflante, et y'a pas à dire, quand les élèves voient qu'on est soutenus, ça va mieux.
Je me souviens de mon année de néotit, avec vingt heures sur deux bahuts différents et difficiles. J'avais le bordel. De plus en plus de bordel, de plus en plus souvent, même tout le temps, et fort peu de soutien de la hiérarchie. Certains collègues finissaient par me regarder avec condescendance, comme la fille qui aurait le bordel toute sa vie, et qui ne parviendrait jamais à tenir ses classes.
Pour une année, c'est extrêmement destructeur, car faire presque ses premiers pas en côtoyant l'impunité des élèves, l'impertinence et le raffut, ça brouille les repères. .
Deuxième année, je change de CSD : le pp de ma classe pas facile (mais on a vu pire) me rappelle que c'est moi le chef, que tel ou tel comportement n’est pas acceptable. Au premier trimestre, à chaque fois que je punis un élève, il réclame la même (donc il la double, quoi).
A la Toussaint, j'avais le silence dans ma classe, des repères corrigés quant à ce qui est acceptable ou non, et maintenant, ça va bien, merci. Mais si j'avais eu un tel bazar longtemps, je pense qu'entre l'habitude et le découragement (et des repères brouillés), j'aurais très bien pu devenir défaillante.
Autre CSD quelques années plus tard : avant la rentrée, le chef m'indique le nom des élèves un peu chauds et leur problème (insolence / absentéisme / mensonges, etc). Lors de mon 1er cours (de deux heures), le chef se pointe au bout d1h30 et me demande si tout ba bien, si les élèves se tiennent correctement. Moi : "oui, ils se tiennent très bien, merci, sauf lui, là, qui a été insolent". Ben "lui, là", s'est mangé une belle soufflante, et y'a pas à dire, quand les élèves voient qu'on est soutenus, ça va mieux.
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- User17095Érudit
L'autre vrai gâchis que l'on n'évoque pas, par lâche complaisance une fois de plus, c'est le nombre de pages avant que ne survienne la tirade du pilori, morceau de bravoure nécessaire à tout thread qui se respecte abordant la notion d'élève. On aurait pu en bénéficier en première réponse, mais heureusement, bien que tardivement, l'honneur est sauf. Merci archeboc.
- wanaxFidèle du forum
Ce texte est remarquable. C'est l'une des caractéristiques de notre époque: faire passer les victimes pour des bourreaux, les bourreaux pour des victimes.archeboc a écrit:
D'autres viennent de montrer que les reproches qu'ils faisaient à ce CDE ne tombaient pas du ciel. Je voudrais revenir au paragraphe précédent. Il y aurait quelques enseignant défaillants, qui devraient être écartés des élèves. Je ne disconviens pas qu'il y en a. Mais au delà de l'indélicatesse à rappeler cette situation spécialement sur ce fil, je vous demande si vous pensez réellement que c'est la priorité.
Dans la classe d'un de mes globules, il y a plusieurs élèves qui ont droit à une mise en garde du CC, ce trimestre, après en avoir reçu une première au trimestre précédent. On les met en garde contre quoi ? Contre le fait qu'au trimestre prochain ils vont recevoir une nouvelle mise en garde ? Comment peut-on appeler cela "éducation" ? C'est une éducation au vice et à l'impunité. La classe de mon globule n'est pas un cas singulier, exceptionnel, la honte unique de l’Éducation Nationale. Elle n'est qu'une instance parmi d'innombrables autres de ce que montrent par ailleurs les études statistiques.
Dans ce cadre, mettre la barre du scandale au moment où des élèves se mettent en danger, et non pas au moment où ils mettent en danger à la fois la scolarité et le sens moral de leurs camarades, c'est un terrible abandon. Terrible parce qu'il vient de vous, Audrey, dont nous connaissons les valeurs et les combats.
Il y a un excellent enseignant dans le collège de mes globules. Il tient très difficilement ses classes. J'ai entendu une responsable FCPE se vanter de pouvoir le chasser de l'EN. Ses cours sont remarquables, pour ceux qui arrivent à se concentrer au milieu du brouhaha. Il suffirait de lui confier des élèves aptes à suivre son enseignement.
L'institution arrive à nous faire oublier qu'il y a d'abord, en priorité, un paquet d'élèves à recadrer, conseiller, aider, et si aucune amélioration n'apparaît, diriger vers des institutions où ils n'auraient pas à subir des adultes collectivement inaptes à gérer leurs incivilités. Car le problème est ici : l'inaptitude la plus grave n'est pas celle des enseignants, mais celle de toute l'institution, hiérarchie en tête, à juguler cet immense gâchis.
Il y a toute une théologie qui a créé le vocabulaire ad hoc. ( Bienveillance, bruit pédagogique, La sanction doit être éducative, etc... )
Elle est généralement le fait de gens qui n'ont pas à supporter les conséquences de leur discours, c'est-à-dire de gens qui ne sont pas les condisciples sérieux des perturbateurs, ni leurs enseignants.
- User17095Érudit
wanax a écrit:
le fait de gens qui n'ont pas à supporter les conséquences de leur discours, c'est-à-dire de gens qui ne sont pas les condisciples sérieux des perturbateurs, ni leurs enseignants.
C'est pas hyper sportif de disqualifier les discours de Brighelli, Polony, ou Archeboc, en usant de cet argument.
- wanaxFidèle du forum
Soit C l'ensemble des gens qui disent des c.onneries.
Soit P l'ensemble des personnes qui ne sont pas directement gênées par les perturbateurs.
Je dis: ceux qui sont dans C sont généralement dans P.
Vous me faites dire: ceux qui sont dans P sont dans C.
Soit P l'ensemble des personnes qui ne sont pas directement gênées par les perturbateurs.
Je dis: ceux qui sont dans C sont généralement dans P.
Vous me faites dire: ceux qui sont dans P sont dans C.
- archebocEsprit éclairé
pogonophile a écrit:wanax a écrit:
le fait de gens qui n'ont pas à supporter les conséquences de leur discours, c'est-à-dire de gens qui ne sont pas les condisciples sérieux des perturbateurs, ni leurs enseignants.
C'est pas hyper sportif de disqualifier les discours de Brighelli, Polony, ou Archeboc, en usant de cet argument.
Sur la forme, cette critique lapidaire ressemble à un argument de cour de récréation - céssuikidicéssuikilé. Sur le fond, on ne peut pas reprocher à Brighelli de fuir ses responsabilités. Je ne suis ni élève, ni enseignant du secondaire. Juste parent attaché au service public, et qui pour ses enfants a suivi la carte scolaire. En revanche, le PA du collège de mes globules, selon une vilaine rumeur, scolarise ses enfants ailleurs, dans un collège favorisé à deux stations de métro.
La rumeur est sûrement fausse. Sûrement. Tout ce qu'on peut en tirer, c'est le niveau de défiance que les parents entretiennent envers l'institution et ses hypocrisies.
Et je viens de dépouiller les maigres retour de sondages des parents avant le conseil de classe : deux tiers des répondants se plaignent que la discipline ne soit pas assurées, pas seulement dans la classe, mais au niveau du collège.
- henrietteMédiateur
Même question : tu en es où ?celinesud a écrit:Des nouvelles, Hugo ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- oxaNiveau 9
henriette a écrit:Même question : tu en es où ?celinesud a écrit:Des nouvelles, Hugo ?
Pas de témoins, pas de traces
- User17095Érudit
@archeboc et chacun sait qu'il n'y a aucune perversité à répandre des rumeurs en soulignant qu'elles sont sûrement fausses
Il est hors de question pour la très grande majorité des perdirs de scolariser leurs mômes dans leur établissement s'ils peuvent faire autrement. C'est l'évidence même - mais pourquoi s'arrêter à l'évidence quand on peut répandre encore un peu de bile ?
Il est hors de question pour la très grande majorité des perdirs de scolariser leurs mômes dans leur établissement s'ils peuvent faire autrement. C'est l'évidence même - mais pourquoi s'arrêter à l'évidence quand on peut répandre encore un peu de bile ?
- amethysteDoyen
Ah ? Pourtant, j'en suis déjà au 4ème cde ou PA dont j'ai eu l'enfant en cours. Et ça s'est toujours très bien passé. (simple constat, aucune polémique là-dessous)pogonophile a écrit:@archeboc et chacun sait qu'il n'y a aucune perversité à répandre des rumeurs en soulignant qu'elles sont sûrement fausses
Il est hors de question pour la très grande majorité des perdirs de scolariser leurs mômes dans leur établissement s'ils peuvent faire autrement. C'est l'évidence même - mais pourquoi s'arrêter à l'évidence quand on peut répandre encore un peu de bile ?
- amethysteDoyen
Et bien, en tant que prof ET PP de l'un d'entre eux, j'ai détesté . Maintenant, j'ai eu aussi un défilé d'enfants de collègues profs, alors on finit par s'habituer.
- User17095Érudit
Imagine la position de ton gamin quand tu fais un conseil de discipline... Mieux, quand c'est à la suite de violences dont il a été victime...
Et s'il est dans une classe qui tourne bien, le soupçon d'avoir été mis dans un groupe au top avec une super équipe pédagogique...
C'est un nid à problèmes pour le perdir, et à horreurs pour le môme.
Il y a un autre collège à deux stations de métro ? Aucune hésitation.
Et s'il est dans une classe qui tourne bien, le soupçon d'avoir été mis dans un groupe au top avec une super équipe pédagogique...
C'est un nid à problèmes pour le perdir, et à horreurs pour le môme.
Il y a un autre collège à deux stations de métro ? Aucune hésitation.
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