Recrutement PRAG/CPGE

Oui oui en effet. Elle me l'avait dit. Je lui demanderai lors de la réunion d'équipe de la semaine prochaine.
Merci

Classée 3 eme et aujourd’hui surprise affectée sur le poste, les 2 premiers ont du refuser Mais refus du recteur. Que puis je faire . Besoin d’aide!!!

Si tu es syndiquée, essaye de faire un recours. La probabilité que cela fonctionne n'est pas négligeable.

En tout cas, ton enthousiasme fait plaisir à voir, et je te souhaite que ça réussisse :-)

lovechocolate a écrit:Classée 3 eme et aujourd’hui surprise affectée sur le poste, les 2 premiers ont du refuser Mais refus du recteur. Que puis je faire . Besoin d’aide!!!

Bonjour,

Bravo pour ton affectation. C'est vraiment injuste cette contrainte d'obtenir l'avis favorable du recteur. D'après les informations il faut faire un recours et insister. J'ai connaissance d'un certain nombre pour qui ça a marché en Île de France.

Bonne chance et tiens bon

Pour le recours.

Merci
J’ai écrit à la directrice du département, à la RH, à un syndicat ( lequel recommanderiez vous?)
Je fais attendre lundi pour avoir des nouvelles et contacter la DOE de mon rectorat d’origine pour savoir ce que je peux faire. Mon académie est pourtant très demandée… mais c’est la 2 ère campagne. En attendant est ce que je dois enregistrer les infos pros sous la ligne affectation?

J'ai cliqué sur enregistrer et ai pu éditer la notice d'affectation. Cependant entre temps, la responsable du département m'a répondu en disant qu'il devait y avoir une erreur car la personne classée 1ère apparemment accepte le poste. Ils doivent me tenir au courant.
J'avoue que je suis perplexe. Si c'est une erreur de galaxie, c'est vraiment dérangeant.
Il ne me reste plus qu'à attendre d'avoir des nouvelles...

Ils jouent avec tes nerfs... je suis navrée pour toi, et j'espère que tu finiras par obtenir satisfaction. On ne peut pas dire que tu ne fasses pas ce qu'il faut, en tout cas, mais là tu n'es pas vraiment aidée ! Courage à toi.

Courage pour le recours ! J'avais écrit au SNES pour anticiper au cas où j'aurais eu un refus du recteur, ils sont très réactifs.
Le recours est positif pour moi, je suis soulagé

Ce type de démarche administrative est absolument horrible et hyper stressante.
1h avant la fermeture des vœux, j'ai reçu un courriel d'un responsable me demandant si c'était normal que je n'ai enregistré aucun vœu.
Finalement ce n'était pas le cas.

Bon courage à tous ceux qui se débattent dans ces imbroglios administratifs.

J’ai une amie dans une autre académie qui vient d’avoir un avis défavorable du recteur donc refus…
Serait ce une consigne cette année à cause du manque de profs?
Avez vous eu beaucoup d’échos du même genre dans les universités où certains d’entre vous sont déjà ?
Pour moi rien ne bouge

lovechocolate a écrit:J’ai une amie dans une autre académie qui vient d’avoir un avis défavorable du recteur donc refus…
Serait ce une consigne cette année à cause du manque de profs?
Avez vous eu beaucoup d’échos du même genre dans les universités où certains d’entre vous sont déjà ?
Pour moi rien ne bouge

Je n'étais pas rassurée pour mon détachement de l'année prochaine, parce que Versailles manque fortement d'enseignants, mais il m'a été accordé sans difficulté. Dans le même temps, un autre ATER que je connais, de mon âge & à Versailles aussi, se l'est vu refuser.

Au départ je croyais que ce qui avait facilité mon dossier était que je n'avais jamais réintégré le second degré depuis 2015 & que je demande toujours du TZR (donc mon absence ne crée aucun "trou" dans les établissements ; ce n'est pas vécu comme une "perte" par le rectorat). Mais comme un ami dans une situation rigoureusement identique n'a pas eu son détachement, je ne m'explique pas ma chance.

As-tu contacté la société des agrégés ? Ils ont l'habitude d'aider dans ce genre de blocages.
Sinon la ligne de recours : recours gracieux (appuyé par des courriers de ton université & autres autorités), puis recours hiérarchique (Ministre).
C'est extravagant qu'un rectorat bloque une affectation sur poste fixe.

Blocage d’un prof eco-G ici aussi.
La situation dans le sup’ est aussi tendue que dans le pré bac. C’est chaud pour recruter…

lovechocolate a écrit:J’ai une amie dans une autre académie qui vient d’avoir un avis défavorable du recteur donc refus…
Serait ce une consigne cette année à cause du manque de profs?
Avez vous eu beaucoup d’échos du même genre dans les universités où certains d’entre vous sont déjà ?
Pour moi rien ne bouge

Bonjour,

Je suis nouvelle sur ce forum et obligée de lancer la procédure de recours également sur un poste PRAG. J'ai contacté tout le monde: Proviseur du lycée, représentant syndical, établissement qui me recrute. Suis en attente de réponse.

Une question: les établissements recruteurs font quoi dans ce genre de situation si le refus du recteur est maintenu? Gardent-ils le poste pour la personne choisie pour la prochaine session de recrutement? Passent-ils au numéro 2 sur la liste des classés?

En vous remerciant pour la réponse.

Quel système ahurissant!

Les établissements appuient en général le recours auprès du recteur mais si ça bloque on appelle le suivant sur la liste.
S’il n’y en a pas, on peut remettre au mouvement l’année suivante, ou pas. Et en attendant prendre un contractuel. Ou pas
Bon courage pour ton recours, ainsi qu’à tous ceux qui sont dans cette horrible situation.

Ktia a écrit:Les établissements appuient en général le recours auprès du recteur mais si ça bloque on appelle le suivant sur la liste.
S’il n’y en a pas, on peut remettre au mouvement l’année suivante, ou pas. Et en attendant prendre un contractuel. Ou pas
Bon courage pour ton recours, ainsi qu’à tous ceux qui sont dans cette horrible situation.

Merci pour ta réponse.

Y-a-t'il un endroit où je pourrais trouver des modèles de lettre demandant un recours?

Merci d'avance

Aucune idée...

On peut taper "recours gracieux" dans Google, ou aller voir sur les sites des syndicats, c'est ce que font les ATER chez nous et ils trouvent de quoi se fournir en général.

Un recours a aboutit chez nous
Gardez espoir !

MetooILoveChocolate a écrit:

lovechocolate a écrit:J’ai une amie dans une autre académie qui vient d’avoir un avis défavorable du recteur donc refus…
Serait ce une consigne cette année à cause du manque de profs?
Avez vous eu beaucoup d’échos du même genre dans les universités où certains d’entre vous sont déjà ?
Pour moi rien ne bouge

Bonjour,

Je suis nouvelle sur ce forum et obligée de lancer la procédure de recours également sur un poste PRAG. J'ai contacté tout le monde: Proviseur du lycée, représentant syndical, établissement qui me recrute. Suis en attente de réponse.

Une question: les établissements recruteurs font quoi dans ce genre de situation si le refus du recteur est maintenu? Gardent-ils le poste pour la personne choisie pour la prochaine session de recrutement? Passent-ils au numéro 2 sur la liste des classés?

En vous remerciant pour la réponse.

Quel système ahurissant!

J'ai eu à me battre 4 ans comme un chiffonnier pour obtenir le détachement d'ATER ou de contrats doctoraux : c'est horriblement stressant, car si les personnes qu'on attend n'arrivent pas, il faut recruter des vacataires en pleine rentrée (et on ne peut pas solliciter les vacataires à l'avance en leur demandant de préparer un cours, pour leur dire que, finalement, la personne attendue a été détachée et qu'on n'a plus besoin de leurs services). Indépendamment du mépris pour notre travail (on s'embête à étudier des dossiers, à rédiger des rapports, à tenir une commission pour les classer, ce n'est pas pour que tout soit suspendu au bon vouloir du recteur ou à l'étendu du réseau de relation de tel ou tel). Et indépendamment du mépris encore plus inqualifiable envers les personnes recrutées, dont on joue avec les nerfs. C'est aussi extrêmement violent de passer comme message à un jeune agrégé de 25 ans recruté en contrat doctoral qu'on se fiche complètement de son avenir professionnel et qu'on est prêt à sacrifier ses possibilités d'évolution de carrière.

Les recours possibles :
– lettre(s) du directeur de département, du directeur d'UFR, du directeur de labo
– lettre ou coup de fil au recteur de la part du président de l'université (qui sera sollicité par le directeur d'UFR)
– président de la section CNU
– Société des agrégés
– syndicat
– inspecteur si on a de bon rapports avec lui, IG si on en connaît un
– président du jury d'agreg si on a passé le concours récemment.

L'arme fatale, c'est d'obtenir que le président de la fac appelle le cabinet du ministre (car le président de l'université est hiérarchiquement le subordonné du recteur, lequel est statutairement chancelier des universités. En revanche, si l'ordre vient d'en haut, le recteur obéit). Mais c'est une solution que les présidents d'université rechignent à employer, car ça les rend redevables vis-à-vis du ministère et les affaiblit pour les négociations sur d'autres dossiers, notamment financiers.

Lors de mes deux dernières années de mandat, j'avais utilisé la tactique du chantage, en attribuant aux personnes dont le détachement risquait de poser problème un bon volant d'heures de prépa CAPES dès le premier semestre. Ensuite, j'ai averti le rectorat que j'avais établi les EDT, que vu la complexité des maquettes il était hors de question de toucher à quoi que ce soit. Enfin, qu'ayant des cours d'agrégation à préparer pendant l'été, je ne pouvais pas passer mon temps à jouer les chasseurs de tête. Or si le recteur veut de futurs profs, il ne peut pas laisser foirer la rentrée du CAPES… C'est un moyen de pression qui fonctionne plutôt bien.

Bonjour, j'ai récupéré sur Galaxie mon arrété d'affectation à l'université, mais sur Iprof j’apparais toujours comme TZR dans le second degré, c'est normal ?

Il y a souvent un décalage de plusieurs mois dans la mise à jour sur Iprof.

Yrrev a écrit:Bonjour, j'ai récupéré sur Galaxie mon arrété d'affectation à l'université, mais sur Iprof j’apparais toujours comme TZR dans le second degré, c'est normal ?

Tu seras affecté le 1er septembre à l'université et donc, cela n'apparaitra pas dans iprof avant.

Merci pour vos réponses.

Ktia a écrit:Un recours a aboutit chez nous
Gardez espoir !

Félicitation: dans quelle matière?

Moi j'attends toujours!...

e-Wanderer a écrit:

MetooILoveChocolate a écrit:

lovechocolate a écrit:J’ai une amie dans une autre académie qui vient d’avoir un avis défavorable du recteur donc refus…
Serait ce une consigne cette année à cause du manque de profs?
Avez vous eu beaucoup d’échos du même genre dans les universités où certains d’entre vous sont déjà ?
Pour moi rien ne bouge

Bonjour,

Je suis nouvelle sur ce forum et obligée de lancer la procédure de recours également sur un poste PRAG. J'ai contacté tout le monde: Proviseur du lycée, représentant syndical, établissement qui me recrute. Suis en attente de réponse.

Une question: les établissements recruteurs font quoi dans ce genre de situation si le refus du recteur est maintenu? Gardent-ils le poste pour la personne choisie pour la prochaine session de recrutement? Passent-ils au numéro 2 sur la liste des classés?

En vous remerciant pour la réponse.

Quel système ahurissant!

J'ai eu à me battre 4 ans comme un chiffonnier pour obtenir le détachement d'ATER ou de contrats doctoraux : c'est horriblement stressant, car si les personnes qu'on attend n'arrivent pas, il faut recruter des vacataires en pleine rentrée (et on ne peut pas solliciter les vacataires à l'avance en leur demandant de préparer un cours, pour leur dire que, finalement, la personne attendue a été détachée et qu'on n'a plus besoin de leurs services). Indépendamment du mépris pour notre travail (on s'embête à étudier des dossiers, à rédiger des rapports, à tenir une commission pour les classer, ce n'est pas pour que tout soit suspendu au bon vouloir du recteur ou à l'étendu du réseau de relation de tel ou tel). Et indépendamment du mépris encore plus inqualifiable envers les personnes recrutées, dont on joue avec les nerfs. C'est aussi extrêmement violent de passer comme message à un jeune agrégé de 25 ans recruté en contrat doctoral qu'on se fiche complètement de son avenir professionnel et qu'on est prêt à sacrifier ses possibilités d'évolution de carrière.

Les recours possibles :
– lettre(s) du directeur de département, du directeur d'UFR, du directeur de labo
– lettre ou coup de fil au recteur de la part du président de l'université (qui sera sollicité par le directeur d'UFR)
– président de la section CNU
– Société des agrégés
– syndicat
– inspecteur si on a de bon rapports avec lui, IG si on en connaît un
– président du jury d'agreg si on a passé le concours récemment.

L'arme fatale, c'est d'obtenir que le président de la fac appelle le cabinet du ministre (car le président de l'université est hiérarchiquement le subordonné du recteur, lequel est statutairement chancelier des universités. En revanche, si l'ordre vient d'en haut, le recteur obéit). Mais c'est une solution que les présidents d'université rechignent à employer, car ça les rend redevables vis-à-vis du ministère et les affaiblit pour les négociations sur d'autres dossiers, notamment financiers.

Lors de mes deux dernières années de mandat, j'avais utilisé la tactique du chantage, en attribuant aux personnes dont le détachement risquait de poser problème un bon volant d'heures de prépa CAPES dès le premier semestre. Ensuite, j'ai averti le rectorat que j'avais établi les EDT, que vu la complexité des maquettes il était hors de question de toucher à quoi que ce soit. Enfin, qu'ayant des cours d'agrégation à préparer pendant l'été, je ne pouvais pas passer mon temps à jouer les chasseurs de tête. Or si le recteur veut de futurs profs, il ne peut pas laisser foirer la rentrée du CAPES… C'est un moyen de pression qui fonctionne plutôt bien.

Merci pour cette longue réponse.

Donc j'ai fait un recours. La directrice de l'Ufr a fait une lettre pour me soutenir. La présidente de la fac négocie avec le cabinet du recteur au cas par cas.

Après le recours, qu'existe-t-il comme solution?

J'ai l'impression qu'ils trainent volontairement pour balancer les mauvaises nouvelles juste avant de partir en vacances.

Je trouve cette façon de faire terriblement choquante et contre productive. On ne force pas les gens à rester contre leur gré!