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- MahautNiveau 6
Bonjour
Quelqu'un peut -il m'expliquer ce qu'est un plan de travail en histoire géo. Est ce réalisable au collège ou est ce préférable au lycée?
Quelqu'un peut -il m'expliquer ce qu'est un plan de travail en histoire géo. Est ce réalisable au collège ou est ce préférable au lycée?
- JennyMédiateur
Réalisable au collège ou au lycée.
Plusieurs sujets les évoquent sur Néo :
https://www.neoprofs.org/t114438-reveiller-les-eleves
https://www.neoprofs.org/t77298p20-pedagogie-freinet-au-college
(Les sujets évoquent plusieurs matières, mais l'h/g y est représentée).
Plusieurs sujets les évoquent sur Néo :
https://www.neoprofs.org/t114438-reveiller-les-eleves
https://www.neoprofs.org/t77298p20-pedagogie-freinet-au-college
(Les sujets évoquent plusieurs matières, mais l'h/g y est représentée).
- ElyasEsprit sacré
Jenny a donné des liens pour lire des discussions traitant du plan de travail.
Pour résumer : un plan de travail est un dispositif où les élèves ont un nombre de travaux (imposés ou négociés, généralisés ou personnalisés) à réaliser sur une période donnée. Charge à l'élève de faire tout le travail dans le temps donné. Très souvent on fournit à l'élève un document guide nommé commodément plan de travail où il peut cocher ce qu'il a fait et qui sert de document de liaison avec le professeur.
Après, c'est un outil très versatile dans le sens où on peut l'utiliser pour tous les types de travaux qu'on souhaite et y injecter des éléments d'auto-évaluation, de coopération, de différenciation, de personnalisation, d'évaluation et d'entraînement avec une aisance assez phénoménale.
Cela peut ressembler à cela (ne pas paniquer en le lisant, c'est ma façon de travailler) :
Mon plan de travail intègre des éléments de métacognition (qu'ai-je appris ?, les quiz de mémoration/compréhension), de la coopération, de l'évaluation et de la pratique langagière (je ne demande à mes élèves de ne faire que des productions à partir d'une consigne : carte, schéma, récit, synthèse, frise chronologique, vocabulaire, tâche complexe, commentaire de document/carte, je n'y mets pas de questionnaire).
Mais on peut faire ce qu'on veut avec. Je connais des gens qui donnent des questionnaires, demandent des productions informatiques ou orales, du travail de groupe etc.
J'ai introduit une monnaie virtuelle qui permet d'acheter des mérites, des autorisations à passer une évaluation en plus etc. Cependant, c'est parce que je suis dans la pédagogie institutionnelle que j'ai utilisé cet outil de la monnaie.
Les deux enjeux du plan de travail sont les suivants : le travail intensif des élèves et la concentration. Ces deux éléments s'apprennent mais ça prend du temps.
On peut faire des plans de travail dès la Petite Section de maternelle. En HG, j'en fais dès la 6e.
Les élèves sont libres de faire les travaux dans l'ordre qu'ils veulent. On peut les mettre en îlots de travail, en binôme ou en liberté totale d'organisation (ce dernier point est mon choix et c'est sans doute le plus efficace).
Il faut gérer le bruit engendré par cette liberté de travail. Il faut leur apprendre à se responsabiliser et à gérer leur chuchotement et leur travail ainsi que leurs questions. Ils en posent énormément.
Si des élèves travaillent ensemble et que certains recrachent ce que d'autres ont écrit, ce n'est pas grave. On le leur indique et on demande que le prochain travail soit personnel. Si on utilise de la monnaie virtuelle, on peut les mettre à l'amende ou ne pas remettre la somme donnée par le travail normalement. Pour ma part, je donne 1 coop' d'or (la monnaie que j'ai créée) dans quatre cas :
- le travail est bon.
- le quiz de compréhension est réussi à 100%.
- un élève a aidé un autre à réussir le travail par lui-même.
- de gros efforts ont été réalisés.
On peut ne pas utiliser la monnaie virtuelle (elle me permet de gérer le bruit avec des amendes et les retards dans le travail), évidemment. Pour moi, c'est un questionnement qui interroge mon éthique. Le problème est que ça marche prodigieusement au collège. Je n'ai toujours pas résolu mon problème de conscience par rapport à cet outil. J'avoue, je privilégie l'efficacité. Je marque le nom des élèves sur les coop' d'or pour éviter les vols et échange. Cependant, je permets qu'un élève vienne me voir pour financer un copain pour un passage d'évaluation.
Le plan de travail génère énormément de correction. Il faut apprendre à le gérer. On peut corriger en direct mais ça mange tout le temps du cours et on peut difficilement faire autre chose. On peut aussi récolter les travaux pour les rendre à l'heure suivante. Il faut préparer des pochettes pour trier les travaux et pouvoir les rendre efficacement. Avoir un document avec la liste des élèves et marquer ce qu'ils ont fait/pas fait est aussi un sacré avantage pour rendre le plan de travail efficace.
En HG, je recommande de garder une heure après le plan de travail pour une heure de mise en commun/apport de connaissances/mise en ordre de tout ce qui a été vu. Je demande à mes élèves dès la 6e des récits de conceptualisation où chaque affirmation doit être appuyée par un exemple (situé, décrit et expliqué) étudié lors du plan de travail.
Typiquement, un plan de travail dure 4-5h plus 1-2h pour la mise en commun/conceptualisation du thème, soit 5 à 7h. Toujours donner une durée inférieure d'une heure à ce qui est prévu aux élèves pour pouvoir leur mettre la pression quand on fait semblant de leur donner 1h de plus parce qu'ils ont été trop lents. Parfois, on n'en a pas besoin et c'est magique.
Enfin, le plan de travail seul n'est pas magique. Il faut avoir préparé les élèves à gérer les travaux demandés et ne pas avoir peur de l'effervescence qui va gagner la classe (ou la torpeur dans certains cas). De même, le plan de travail prend une dimension supérieure quand on y associe une pédagogie de plus en plus coopérative.
Le professeur pendant le plan de travail peut :
- corriger (je déconseille).
- passer dans les rangs pour stimuler, cadrer, conseiller.
- faire des ateliers d'approfondissement/d'amélioration.
- S'assoir à une table et travailler avec les élèves.
Cela fait du bruit mais ça devient magique quand tu te rends compte qu'ils bossent pour 95% d'entre eux, qu'ils s'organisent, s'entraident, avancent et viennent te voir pour se faire corriger/tester/demander un conseil.
Le plan de travail est une modalité de travail comme le cours dialogué, le cours magistral ou les travaux de groupe.
Attention, le plan de travail n'est pas l'application des îlots bonifiés de Mme Rivoire. Dans un plan de travail, les élèves ont le droit de travailler seul dans leur coin.
Le plan de travail vient des pédagogies coopératives (Freinet, Pédagogie Institutionnelle etc) et trouve sa pleine puissance dans ces pédagogies pour ce que j'en connais. Un point important par rapport à ce que j'ai écrit : je suis dans la mouvance des pédagogies coopératives et j'adore les plans de travail. C'est un biais à connaître pour réfléchir à mettre en pratique les plans de travail.
Ils peuvent être difficiles à mettre en place si on n'est pas convaincu par l'objet et qu'on est hésitant. Les élèves ont le sentir. Il faut aussi mettre en place une logistique efficace sinon on est débordé. Il doit aussi viser les apprentissages des élèves.
En 6e, j'en fait 3-4 et de plus en plus en 5e-4e-3e, surtout si j'ai des élèves que j'ai déjà eus les années précédentes (j'ai la chance de suivre des élèves de la 6e à la 3e, je sens qu'en 3e, ils vont manger du plan de travail quasiment toute l'année).
Du point de vue du professeur, on peut faire des retours sur travail à tous les élèves de façon individualisée. C'est très formateur pour les élèves. Ils peuvent s'améliorer au fil du plan de travail et on peut le leur montrer.
Pour les élèves qui ne bossent pas ou qui font le bazar. C'est comme pour les cours aux méthodes plus répandues : on les punit. Ce n'est pas magique.
Comme je suis en pédagogie coopérative, je propose à des élèves d'encadrer ces récalcitrants. Souvent, ils acceptent et je découvre des génies de l'obligation chez eux
Si un élève n'a pas fait son travail, tant pis pour lui. Il n'avait qu'à bosser. Au pire, on lui photocopie les travaux du meilleur ou on a préparé une photocopie résumant ce qu'il fallait apprendre.
Le plan de travail vise la responsabilisation et l'autonomie des élèves face au travail.
C'est un outil puissant mais il demande de l'expérience ou de l'enthousiasme pour le mettre en place.
Travailler en plan de travail demande beaucoup d'énergie. On sort rincé d'une journée de plan de travail. Mais les élèves aussi. Souvent, quand la sonnerie retentit, les élèves disent déjà.
Par rapport au travail à la maison, des travaux peuvent être inscrits comme pouvant être faits à la maison. Je préfère que tout soit fait en classe, personnellement.
Je donne souvent aux élèves une feuille A3 pliée en deux pour conserver tous les documents liés/produits au plan de travail.
Ce que j'apprécie dans le plan de travail, c'est de voir mes élèves lire, écrire, cartographier pour apprendre l'histoire et la géographie, s'interroger et s'entraider, se motiver pour avancer et à la fin savoir plein de choses et faire des liens pour conceptualiser l'Empire romain, les relations autour de la Méditerranée entre le 6e et le 13e siècle, la première mondialisation, gérer l'eau et l'énergie dans le monde etc. J'apprécie aussi de pouvoir donner plus de temps à chaque élève pour lui faire un retour sur son travail. En revanche, on bosse énormément avec le volume de correction engendré. Cela en vaut le coup, cependant.
Pour résumer : un plan de travail est un dispositif où les élèves ont un nombre de travaux (imposés ou négociés, généralisés ou personnalisés) à réaliser sur une période donnée. Charge à l'élève de faire tout le travail dans le temps donné. Très souvent on fournit à l'élève un document guide nommé commodément plan de travail où il peut cocher ce qu'il a fait et qui sert de document de liaison avec le professeur.
Après, c'est un outil très versatile dans le sens où on peut l'utiliser pour tous les types de travaux qu'on souhaite et y injecter des éléments d'auto-évaluation, de coopération, de différenciation, de personnalisation, d'évaluation et d'entraînement avec une aisance assez phénoménale.
Cela peut ressembler à cela (ne pas paniquer en le lisant, c'est ma façon de travailler) :
- Spoiler:
Mon plan de travail intègre des éléments de métacognition (qu'ai-je appris ?, les quiz de mémoration/compréhension), de la coopération, de l'évaluation et de la pratique langagière (je ne demande à mes élèves de ne faire que des productions à partir d'une consigne : carte, schéma, récit, synthèse, frise chronologique, vocabulaire, tâche complexe, commentaire de document/carte, je n'y mets pas de questionnaire).
Mais on peut faire ce qu'on veut avec. Je connais des gens qui donnent des questionnaires, demandent des productions informatiques ou orales, du travail de groupe etc.
J'ai introduit une monnaie virtuelle qui permet d'acheter des mérites, des autorisations à passer une évaluation en plus etc. Cependant, c'est parce que je suis dans la pédagogie institutionnelle que j'ai utilisé cet outil de la monnaie.
Les deux enjeux du plan de travail sont les suivants : le travail intensif des élèves et la concentration. Ces deux éléments s'apprennent mais ça prend du temps.
On peut faire des plans de travail dès la Petite Section de maternelle. En HG, j'en fais dès la 6e.
Les élèves sont libres de faire les travaux dans l'ordre qu'ils veulent. On peut les mettre en îlots de travail, en binôme ou en liberté totale d'organisation (ce dernier point est mon choix et c'est sans doute le plus efficace).
Il faut gérer le bruit engendré par cette liberté de travail. Il faut leur apprendre à se responsabiliser et à gérer leur chuchotement et leur travail ainsi que leurs questions. Ils en posent énormément.
Si des élèves travaillent ensemble et que certains recrachent ce que d'autres ont écrit, ce n'est pas grave. On le leur indique et on demande que le prochain travail soit personnel. Si on utilise de la monnaie virtuelle, on peut les mettre à l'amende ou ne pas remettre la somme donnée par le travail normalement. Pour ma part, je donne 1 coop' d'or (la monnaie que j'ai créée) dans quatre cas :
- le travail est bon.
- le quiz de compréhension est réussi à 100%.
- un élève a aidé un autre à réussir le travail par lui-même.
- de gros efforts ont été réalisés.
On peut ne pas utiliser la monnaie virtuelle (elle me permet de gérer le bruit avec des amendes et les retards dans le travail), évidemment. Pour moi, c'est un questionnement qui interroge mon éthique. Le problème est que ça marche prodigieusement au collège. Je n'ai toujours pas résolu mon problème de conscience par rapport à cet outil. J'avoue, je privilégie l'efficacité. Je marque le nom des élèves sur les coop' d'or pour éviter les vols et échange. Cependant, je permets qu'un élève vienne me voir pour financer un copain pour un passage d'évaluation.
Le plan de travail génère énormément de correction. Il faut apprendre à le gérer. On peut corriger en direct mais ça mange tout le temps du cours et on peut difficilement faire autre chose. On peut aussi récolter les travaux pour les rendre à l'heure suivante. Il faut préparer des pochettes pour trier les travaux et pouvoir les rendre efficacement. Avoir un document avec la liste des élèves et marquer ce qu'ils ont fait/pas fait est aussi un sacré avantage pour rendre le plan de travail efficace.
En HG, je recommande de garder une heure après le plan de travail pour une heure de mise en commun/apport de connaissances/mise en ordre de tout ce qui a été vu. Je demande à mes élèves dès la 6e des récits de conceptualisation où chaque affirmation doit être appuyée par un exemple (situé, décrit et expliqué) étudié lors du plan de travail.
Typiquement, un plan de travail dure 4-5h plus 1-2h pour la mise en commun/conceptualisation du thème, soit 5 à 7h. Toujours donner une durée inférieure d'une heure à ce qui est prévu aux élèves pour pouvoir leur mettre la pression quand on fait semblant de leur donner 1h de plus parce qu'ils ont été trop lents. Parfois, on n'en a pas besoin et c'est magique.
Enfin, le plan de travail seul n'est pas magique. Il faut avoir préparé les élèves à gérer les travaux demandés et ne pas avoir peur de l'effervescence qui va gagner la classe (ou la torpeur dans certains cas). De même, le plan de travail prend une dimension supérieure quand on y associe une pédagogie de plus en plus coopérative.
Le professeur pendant le plan de travail peut :
- corriger (je déconseille).
- passer dans les rangs pour stimuler, cadrer, conseiller.
- faire des ateliers d'approfondissement/d'amélioration.
- S'assoir à une table et travailler avec les élèves.
Cela fait du bruit mais ça devient magique quand tu te rends compte qu'ils bossent pour 95% d'entre eux, qu'ils s'organisent, s'entraident, avancent et viennent te voir pour se faire corriger/tester/demander un conseil.
Le plan de travail est une modalité de travail comme le cours dialogué, le cours magistral ou les travaux de groupe.
Attention, le plan de travail n'est pas l'application des îlots bonifiés de Mme Rivoire. Dans un plan de travail, les élèves ont le droit de travailler seul dans leur coin.
Le plan de travail vient des pédagogies coopératives (Freinet, Pédagogie Institutionnelle etc) et trouve sa pleine puissance dans ces pédagogies pour ce que j'en connais. Un point important par rapport à ce que j'ai écrit : je suis dans la mouvance des pédagogies coopératives et j'adore les plans de travail. C'est un biais à connaître pour réfléchir à mettre en pratique les plans de travail.
Ils peuvent être difficiles à mettre en place si on n'est pas convaincu par l'objet et qu'on est hésitant. Les élèves ont le sentir. Il faut aussi mettre en place une logistique efficace sinon on est débordé. Il doit aussi viser les apprentissages des élèves.
En 6e, j'en fait 3-4 et de plus en plus en 5e-4e-3e, surtout si j'ai des élèves que j'ai déjà eus les années précédentes (j'ai la chance de suivre des élèves de la 6e à la 3e, je sens qu'en 3e, ils vont manger du plan de travail quasiment toute l'année).
Du point de vue du professeur, on peut faire des retours sur travail à tous les élèves de façon individualisée. C'est très formateur pour les élèves. Ils peuvent s'améliorer au fil du plan de travail et on peut le leur montrer.
Pour les élèves qui ne bossent pas ou qui font le bazar. C'est comme pour les cours aux méthodes plus répandues : on les punit. Ce n'est pas magique.
Comme je suis en pédagogie coopérative, je propose à des élèves d'encadrer ces récalcitrants. Souvent, ils acceptent et je découvre des génies de l'obligation chez eux
Si un élève n'a pas fait son travail, tant pis pour lui. Il n'avait qu'à bosser. Au pire, on lui photocopie les travaux du meilleur ou on a préparé une photocopie résumant ce qu'il fallait apprendre.
Le plan de travail vise la responsabilisation et l'autonomie des élèves face au travail.
C'est un outil puissant mais il demande de l'expérience ou de l'enthousiasme pour le mettre en place.
Travailler en plan de travail demande beaucoup d'énergie. On sort rincé d'une journée de plan de travail. Mais les élèves aussi. Souvent, quand la sonnerie retentit, les élèves disent déjà.
Par rapport au travail à la maison, des travaux peuvent être inscrits comme pouvant être faits à la maison. Je préfère que tout soit fait en classe, personnellement.
Je donne souvent aux élèves une feuille A3 pliée en deux pour conserver tous les documents liés/produits au plan de travail.
Ce que j'apprécie dans le plan de travail, c'est de voir mes élèves lire, écrire, cartographier pour apprendre l'histoire et la géographie, s'interroger et s'entraider, se motiver pour avancer et à la fin savoir plein de choses et faire des liens pour conceptualiser l'Empire romain, les relations autour de la Méditerranée entre le 6e et le 13e siècle, la première mondialisation, gérer l'eau et l'énergie dans le monde etc. J'apprécie aussi de pouvoir donner plus de temps à chaque élève pour lui faire un retour sur son travail. En revanche, on bosse énormément avec le volume de correction engendré. Cela en vaut le coup, cependant.
- User9397Niveau 9
Je me permets de reposer la question ici comme elle n'a pas eu de réponse sur un autre message. Je me pose la question des plans de travail en histoire. Je vois parfaitement comment faire en géographie mais en histoire avec le soucis de la chronologie, comment faire ? Laisser les élèves faire dans l'ordre souhaité ou bien leur obliger l'ordre qui doit respecter la chronologie ?
- ElevenNeoprof expérimenté
Elyas : merci pour l'explication, par contre rien en "spoiler"
_________________
2015-2016 : Première année contractuelle : sixièmes, cinquièmes.
2016-2017 : Deuxième année contractuelle : troisièmes, quatrièmes et cinquièmes.
2017-2018 : Troisième année contractuelle : sixièmes, cinquièmes.
2018-2019 : Quatrième année contractuelle : troisièmes, quatrièmes et sixièmes.
2019-2020 : Reconversion !
- ElyasEsprit sacré
historien14 a écrit:Je me permets de reposer la question ici comme elle n'a pas eu de réponse sur un autre message. Je me pose la question des plans de travail en histoire. Je vois parfaitement comment faire en géographie mais en histoire avec le soucis de la chronologie, comment faire ? Laisser les élèves faire dans l'ordre souhaité ou bien leur obliger l'ordre qui doit respecter la chronologie ?
Je ne voulais pas répondre sur l'autre fil parce que cela aurait dérivé vers le trop disciplinaire.
Personnellement, j'ai plus de facilité à faire des plans de travail en histoire qu'en géographie.
Je laisse les élèves faire dans l'ordre qu'ils veulent mais je demande souvent un travail de remise en ordre chronologique (une frise même si je trouve cet outil assez peu efficace).
Après, ta question engendre un questionnement sur le travail sur la chronologie et le temps qui est un énorme impensé dans notre discipline alors qu'on en parle tout le temps. En gros, on ne la travaille pas réellement même en faisant cours de façon "chronologique" (ce qui ne veut pas dire que c'est mieux que de ne pas faire cours chronologiquement). C'est un vaste champ exploratoire parce que toutes les études montrent depuis qu'on fait des études sur ce point (càd les années 90, je ne connais pas d'études sur la compréhension de la chronologie et du temps avant cette date), 95% de la population n'a que des repères chronologiques très grossiers au mieux : Préhistoire -Romains - Chevaliers - Louis XIV - Révolution française - Napoléon - GM1 - GM2 et que c'est souvent du savoir social et non scolaire. Si on veut de la finesse chronologique ou une vraie compréhension des temps, là, c'est la Bérézina la plus totale. Personne ne s'y est vraiment intéressé et on part du principe que ce n'est pas réellement maîtrisable ce qui est idiot : on ne sait juste pas comment faire (ou, selon moi, on n'a jamais cherché à faire).
- JennyMédiateur
Merci Elyas pour la mise au point très complète. Je vais attendre avant de me lancer, l'arrivée au lycée est sportive. Tu fais bien de prévenir sur le volume de corrections.
Ton spoiler n'apparaît pas chez moi non plus.
Ton spoiler n'apparaît pas chez moi non plus.
- ElyasEsprit sacré
Le spoiler doit apparaître maintenant mais c'est mon image de plan de travail pour le forum, càd que je la recycle à mort .
- JennyMédiateur
Oui, elle apparaît maintenant. C'est bien de la reposter dans le sujet PDT hist/géo.
- User9397Niveau 9
Je suis en train de travailler le chapitre sur la révolution française et je souhaitais faire un plan de travail autour de ces grandes idées :
- une France en crise
- des influences venues des Lumières et de l'Amérique
- des grandes dates
- un travail sur les articles de la DDHC
- apports et difficultés suite à cette Révolution
Donc tu laisserais faire l'ensemble de ses activités dans l'ordre avant de demander un travail de chronologie pour remettre les différentes activités dans l'ordre.
Pour le récit de conceptualisation dont tu as déjà parlé, il pourrait tourner autour de la question : 1789-1815, période révolutionnaire ?
- une France en crise
- des influences venues des Lumières et de l'Amérique
- des grandes dates
- un travail sur les articles de la DDHC
- apports et difficultés suite à cette Révolution
Donc tu laisserais faire l'ensemble de ses activités dans l'ordre avant de demander un travail de chronologie pour remettre les différentes activités dans l'ordre.
Pour le récit de conceptualisation dont tu as déjà parlé, il pourrait tourner autour de la question : 1789-1815, période révolutionnaire ?
- ElyasEsprit sacré
Oui, Historien14. Si tes élèves sont habitués aux pratiques que tu vas demander en plan de travail, ça devrait passer tout seul.
La conceptualisation, ça peut être effectivement cela.
La conceptualisation, ça peut être effectivement cela.
- User9397Niveau 9
J'arrive dans l'établissement donc je dois avouer que je détonne dans mes pratiques. Mais il faut bien commencer un jour à faire ce genre de chose surtout s'ils me retrouvent en 3e.
Merci pour les explications en tout cas.
Merci pour les explications en tout cas.
- granitza_Niveau 7
Merci beaucoup pour toutes ces explications Elyas !
J'ai mis en place le plan de travail en 2nde en géographie, ça a très bien fonctionné. Je vais le faire en 1ère en histoire dès la rentrée.
Je vais faire mon dossier semestriel pour l'ESPE sur cela. Connaissez-vous des auteurs qui ont écrit sur ce sujet ?
J'ai mis en place le plan de travail en 2nde en géographie, ça a très bien fonctionné. Je vais le faire en 1ère en histoire dès la rentrée.
Je vais faire mon dossier semestriel pour l'ESPE sur cela. Connaissez-vous des auteurs qui ont écrit sur ce sujet ?
_________________
2016-2017 : HG-AP 2ndes
2017-2018 : HG 2nde + HG 1ère S
2018-2019 : HG 2nde + HG Term S + TPE 1ère ES (PP 2nde)
2019-2020 : HG 2nde + HGGSP 1ère + HG Term S (PP 2nde)
2020-2021 : HG 2nde + HGGSP 1ère + HG Term (PP 2nde)
2021-2022 : HG 3e + HG 2nde + HG 1ère + HG Term + SNT 2nde (PP 2nde)
2022-2023 : HG 5e + HG 3e + HG 2nde + HGGSP 1ère (PP 2nde)
2023-2024 : HG 3e + HG 2nde + HGGSP Term (PP 3ème)
2024-2025 : HG 2nde + HG Term + HGGSP 1ère + HGGSP Term (PP 2nde)
- ElyasEsprit sacré
Célestin Freinet, Fernand Oury, Sylvain Connac et compagnie.
- granitza_Niveau 7
J'avais Freinet ! Merci beaucoup pour les autres noms !!!
_________________
2016-2017 : HG-AP 2ndes
2017-2018 : HG 2nde + HG 1ère S
2018-2019 : HG 2nde + HG Term S + TPE 1ère ES (PP 2nde)
2019-2020 : HG 2nde + HGGSP 1ère + HG Term S (PP 2nde)
2020-2021 : HG 2nde + HGGSP 1ère + HG Term (PP 2nde)
2021-2022 : HG 3e + HG 2nde + HG 1ère + HG Term + SNT 2nde (PP 2nde)
2022-2023 : HG 5e + HG 3e + HG 2nde + HGGSP 1ère (PP 2nde)
2023-2024 : HG 3e + HG 2nde + HGGSP Term (PP 3ème)
2024-2025 : HG 2nde + HG Term + HGGSP 1ère + HGGSP Term (PP 2nde)
- ElyasEsprit sacré
historien14 a écrit:J'arrive dans l'établissement donc je dois avouer que je détonne dans mes pratiques. Mais il faut bien commencer un jour à faire ce genre de chose surtout s'ils me retrouvent en 3e.
Merci pour les explications en tout cas.
Pourquoi cela détonne-t-il ? Je suis toujours étonné de lire, entendre ou voir de telles réactions quand un collègue travaille comme il le souhaite. Bon, mes pratiques ont pas mal détonné quand je suis arrivé dans mon bahut aussi.
Pour le plan de travail, il est une excellente piste (parmi d'autres) pour résoudre la crise actuelle de l'enseignement de l'HG sur l'appropriation et la compréhension du savoir scolaire. Après, rien ne motive vraiment dans l'institution à suivre cette piste, tant la formation initiale que les pratiqués "intuitives" de l'enseignement de l'HG ou les recommandations institutionnelles.
- jammeNeoprof expérimenté
Ayant été un peu dépitée par le peu d'investissement de mes élèves en 1ère sur le plan de travail que je leur ai donné, je me pose des questions.
Je poste le plan que je leur ai donné. C'est mon premier, de l'indulgence ! J'ai repris le plan de mon cours classique. Je prépare celui pour mes 2de sur Nourrir les hommes mais je peine un peu. Je suis un peu bloquée après l'étude de cas. J'ai des idées me ne sais comment les mettre en œuvre. Si certain(e)s ont des idées, je suis preneuse.
Je n'arrive pas insérer mon plan de travail. Pb de format???
En gros, ils ont une étude de cas sur le Morbihan comme milieu fragile et à (a)ménager. Elle provient du manuel. Dans un second temps, ils élargissent à l'espace national avec des cartes et docs du manuel le but étant d'expliquer quels sont les milieux fragiles, pourquoi faut-ils les ménager et quels sont les risques en France.
Je poste le plan que je leur ai donné. C'est mon premier, de l'indulgence ! J'ai repris le plan de mon cours classique. Je prépare celui pour mes 2de sur Nourrir les hommes mais je peine un peu. Je suis un peu bloquée après l'étude de cas. J'ai des idées me ne sais comment les mettre en œuvre. Si certain(e)s ont des idées, je suis preneuse.
Je n'arrive pas insérer mon plan de travail. Pb de format???
En gros, ils ont une étude de cas sur le Morbihan comme milieu fragile et à (a)ménager. Elle provient du manuel. Dans un second temps, ils élargissent à l'espace national avec des cartes et docs du manuel le but étant d'expliquer quels sont les milieux fragiles, pourquoi faut-ils les ménager et quels sont les risques en France.
- Cléopatra2Guide spirituel
J'aime bien travailler comme cela en étude de cas mais c'est vrai que j'ai un vrai souci en 2de et 1ère avec la mise en perspective car l'étude de cas "mange" tout le temps imparti. Je vais bidouiller mon étude de cas sur le Brésil car j'avais prévu un plan de travail en groupe puis une correction collective, mais ça sera trop long.
De même, comment intégrer la méthodologie de la composition/étude de doc? Le côté formel de la chose?
De même, comment intégrer la méthodologie de la composition/étude de doc? Le côté formel de la chose?
- jammeNeoprof expérimenté
Je le fais sur les heures d'EMC. Je les ai en demi-groupe donc plus facile de faire travailler tout le monde et de vérifier.
- Cléopatra2Guide spirituel
Je fais le plan de travail sur plusieurs heures d'affilée, donc je ne peux pas les faire uniquement en demi-groupe malheureusement.
- Philomène87Grand sage
Elyas a écrit:historien14 a écrit:J'arrive dans l'établissement donc je dois avouer que je détonne dans mes pratiques. Mais il faut bien commencer un jour à faire ce genre de chose surtout s'ils me retrouvent en 3e.
Merci pour les explications en tout cas.
Pourquoi cela détonne-t-il ? Je suis toujours étonné de lire, entendre ou voir de telles réactions quand un collègue travaille comme il le souhaite. Bon, mes pratiques ont pas mal détonné quand je suis arrivé dans mon bahut aussi.
Pour le plan de travail, il est une excellente piste (parmi d'autres) pour résoudre la crise actuelle de l'enseignement de l'HG sur l'appropriation et la compréhension du savoir scolaire. Après, rien ne motive vraiment dans l'institution à suivre cette piste, tant la formation initiale que les pratiqués "intuitives" de l'enseignement de l'HG ou les recommandations institutionnelles.
Mais comment les collègues le savent-ils, comment on travaille ?
Par le biais de la vie de classe ? (bon, je n'en serais pas étonnée)
A moins que ce soient les parents qui râlent ?
- User9397Niveau 9
Philomène87 a écrit:Elyas a écrit:historien14 a écrit:J'arrive dans l'établissement donc je dois avouer que je détonne dans mes pratiques. Mais il faut bien commencer un jour à faire ce genre de chose surtout s'ils me retrouvent en 3e.
Merci pour les explications en tout cas.
Pourquoi cela détonne-t-il ? Je suis toujours étonné de lire, entendre ou voir de telles réactions quand un collègue travaille comme il le souhaite. Bon, mes pratiques ont pas mal détonné quand je suis arrivé dans mon bahut aussi.
Pour le plan de travail, il est une excellente piste (parmi d'autres) pour résoudre la crise actuelle de l'enseignement de l'HG sur l'appropriation et la compréhension du savoir scolaire. Après, rien ne motive vraiment dans l'institution à suivre cette piste, tant la formation initiale que les pratiqués "intuitives" de l'enseignement de l'HG ou les recommandations institutionnelles.
Mais comment les collègues le savent-ils, comment on travaille ?
Par le biais de la vie de classe ? (bon, je n'en serais pas étonnée)
A moins que ce soient les parents qui râlent ?
Parce qu'on peut en discuter entre nous... Aussi simple que cela...
Elyas, je travaille en îlot, en groupe, je fais des plans de travail, la grande majorité de mon cours vient des élèves, je travaille beaucoup sur l'oral, j'ai des pratiques pédagogiques différentes de la quasi-totalité de mes collègues donc cela peut en surprendre et détonner. En réalité,la liberté pédagogique est le fer de lance de ceux qui ont une pédagogie plus classique mais dès que d'autres pratiques se développent on peut avoir des remarques et des commentaires.
- Philomène87Grand sage
historien14 a écrit:Philomène87 a écrit:Elyas a écrit:historien14 a écrit:J'arrive dans l'établissement donc je dois avouer que je détonne dans mes pratiques. Mais il faut bien commencer un jour à faire ce genre de chose surtout s'ils me retrouvent en 3e.
Merci pour les explications en tout cas.
Pourquoi cela détonne-t-il ? Je suis toujours étonné de lire, entendre ou voir de telles réactions quand un collègue travaille comme il le souhaite. Bon, mes pratiques ont pas mal détonné quand je suis arrivé dans mon bahut aussi.
Pour le plan de travail, il est une excellente piste (parmi d'autres) pour résoudre la crise actuelle de l'enseignement de l'HG sur l'appropriation et la compréhension du savoir scolaire. Après, rien ne motive vraiment dans l'institution à suivre cette piste, tant la formation initiale que les pratiqués "intuitives" de l'enseignement de l'HG ou les recommandations institutionnelles.
Mais comment les collègues le savent-ils, comment on travaille ?
Par le biais de la vie de classe ? (bon, je n'en serais pas étonnée)
A moins que ce soient les parents qui râlent ?
Parce qu'on peut en discuter entre nous... Aussi simple que cela...
D'accord, excuse-moi
Concernant les "plans de travail", je trouve ça assez rigolo comme appellation
Je pratique ce système depuis mon année de stage, mais je ne savais pas que ça s'appelait ainsi.
- ElyasEsprit sacré
jamme a écrit:Ayant été un peu dépitée par le peu d'investissement de mes élèves en 1ère sur le plan de travail que je leur ai donné, je me pose des questions.
Je poste le plan que je leur ai donné. C'est mon premier, de l'indulgence ! J'ai repris le plan de mon cours classique. Je prépare celui pour mes 2de sur Nourrir les hommes mais je peine un peu. Je suis un peu bloquée après l'étude de cas. J'ai des idées me ne sais comment les mettre en œuvre. Si certain(e)s ont des idées, je suis preneuse.
Je n'arrive pas insérer mon plan de travail. Pb de format???
En gros, ils ont une étude de cas sur le Morbihan comme milieu fragile et à (a)ménager. Elle provient du manuel. Dans un second temps, ils élargissent à l'espace national avec des cartes et docs du manuel le but étant d'expliquer quels sont les milieux fragiles, pourquoi faut-ils les ménager et quels sont les risques en France.
Le travail que tu donnes à tes élèves, c'est répondre à des questions ou directement faire des synthèses/cartes/croquis argumentés et analytiques ?
Tu peux mettre un lien pour télécharger ton fichier aussi, si tu veux.
Là, en l'état, je sais juste que tu as repris le plan de ton cours, que tu l'as fait sur tes heures de demi-groupe et que c'était une étude de cas. Il y a là mille variations différentes qui n'aident pas à donner des avis entre pairs.
- jammeNeoprof expérimenté
Je fais un plan de classe en classe entière. Je répondais à Cléopatra pour les demi-groupe mais je me suis mal exprimée. Je fais de la méthodo en demi-groupe sur les heures d'EMC.
Pour les étude de cas, les élèves ont les questions du manuel pour les aider à réaliser des synthèses. Ils les font ou pas. Je veux qu'il ait une synthèse au final.
J'ai réussi à mettre mon plan de travail en spoiler Je suis trop nulle en informatique pour faire mieux!!
Après l'avoir relu, je pense que mes questions sont trop générales et que je ne diversifie peut être pas assez le travail (que des questions et pas de croquis ou de schéma à réaliser). Merci pour vos remarques et conseils.
Pour les étude de cas, les élèves ont les questions du manuel pour les aider à réaliser des synthèses. Ils les font ou pas. Je veux qu'il ait une synthèse au final.
- Spoiler:
- Géo 2 : Aménager et développer le territoire français
Ch2 : Valoriser et ménager les milieux
Plan de travail à réaliser en 5h
Étude de cas : Gérer un littoral, exemple le golfe du Morbihan
Pour compléter votre travail, vous pouvez vous aider à la maison du site suivant : www.parc-golfe-morbihan.bzh
A- Un milieu attractif mais fragile
p 88-89
En vous aidant des questions et après avoir décris le golfe, vous expliquerez les menaces et les tensions liées à la mise en valeur du golfe dans un paragraphe structuré.
B- La gestion durable d’un territoire entre terre et mer
p 90-91
En vous aidant des questions, vous expliquerez les objectifs d’une gestion durable de ce territoire puis les acteurs et les moyens mis en œuvre
Mise en perspective
Le territoire français présente une grande diversité des milieux. Leur gestion est l’objet d’enjeux économiques, sociaux et environnementaux. Des compromis sont plus en plus recherchés entre « valoriser » et « ménager » ces milieux.
Comment les hommes ont-ils transformés ces milieux ? Comment valoriser les potentialités du territoire tout en préservant les ressources ?
Objectif : répondre à la problématique en un paragraphe structuré
I- Des potentialités largement valorisées
doc 1 p95, doc 1 p96, doc 1,2 et 3 p99
Donnez une définition de potentialité.
Quels sont les différents milieux présents en France ?
Quels sont les atouts et contraintes du territoire français ?
Bilan : pourquoi peut-on dire que les potentialités sont valorisées ?
II- Maîtriser des contraintes tout en protégeant les milieux ?
doc 2 et 3 p 97, doc 1,2 et 3 p 101, doc 1,2 et 3 p 103
Donnez une définition de contrainte, risque.
Quelles sont les différentes contraintes présentes en France ?
Comment valoriser et aménager les ressources du territoire ? (Exemples)
Quels sont les conflits d’usage possible ?
Comment gérer et maîtriser les risques ?
Bilan : Est-il possible de maîtriser les contraintes tout en protégeant les milieux.
J'ai réussi à mettre mon plan de travail en spoiler Je suis trop nulle en informatique pour faire mieux!!
Après l'avoir relu, je pense que mes questions sont trop générales et que je ne diversifie peut être pas assez le travail (que des questions et pas de croquis ou de schéma à réaliser). Merci pour vos remarques et conseils.
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