- Tem-toGrand sage
Voilà. J'ai le goût du vertige, c'est sûr. Mais par paliers. Alors je le lis, mais par extraits.Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Je trouve aussi qu'il passe beaucoup mieux avec un certain bagage antique. Je ne parle pas tant de la connaissance du latin que de celle de Lucrèce, Plutarque, Sénèque, de l'histoire grecque et surtout romaine. Sans cela, compte tenu de la richesse de la matière que travaille Montaigne, il faut avoir le goût du vertige, disons.
- IphigénieProphète
Mais peut-on lire Montaigne autrement que par extrait? c'est l'oeuvre d'une vie, quand même! on peut mettre autant de temps à le lire que lui à l'écrire!
Un chapitre de temps à autre, par sauts et gambades.
Un chapitre de temps à autre, par sauts et gambades.
- ditaNeoprof expérimenté
J'admire Proust pour son côté La Bruyère des premiers tomes.
Balzac, c'est nourrissant, c'est vrai. Mais lui mieux que quiconque m'a pris par la main pour connaître l'homme dans ce qu'il a de grand et de mesquin.
Voltaire est ses pitreries, c'est du running gag. C'est du mauvais Benny Hill.
Balzac, c'est nourrissant, c'est vrai. Mais lui mieux que quiconque m'a pris par la main pour connaître l'homme dans ce qu'il a de grand et de mesquin.
Voltaire est ses pitreries, c'est du running gag. C'est du mauvais Benny Hill.
- Tem-toGrand sage
Quand vous lisez un ouvrage, vous essayez de vous mettre dans les conditions de l'époque de son écriture ou vous restez la personne que vous êtes dans son XXIe siècle ?
- CasparProphète
Pardonne-moi mais quelle drôle de question...
- ElaïnaDevin
Ben ça dépend évidemment de ce pourquoi on le lit
Je ne lis pas Montaigne de la même façon si je suis en train de préparer un cours (ou un concours ^^) ou si je le lis pour le plaisir
C'est très exactement la raison pour laquelle je lis Proust de temps à autres : je m'en sers pour faire cours parce que bien obligée de reconnaître que c'est un monument de la littérature du tournant des XIXe-XXe siècle, et donc il faut bien que je me le farcisse à un moment ou à un autre
En revanche, le lire pour le plaisir, ben, non, ça ne me fait aucun plaisir de le lire (je sais bien que Proust est très ironique, mon père me le répète à chaque fois, mais je suis totalement imperméable à son ironie, alors que l'ironie de Balzac me plait infiniment).
Je ne lis pas Montaigne de la même façon si je suis en train de préparer un cours (ou un concours ^^) ou si je le lis pour le plaisir
C'est très exactement la raison pour laquelle je lis Proust de temps à autres : je m'en sers pour faire cours parce que bien obligée de reconnaître que c'est un monument de la littérature du tournant des XIXe-XXe siècle, et donc il faut bien que je me le farcisse à un moment ou à un autre
En revanche, le lire pour le plaisir, ben, non, ça ne me fait aucun plaisir de le lire (je sais bien que Proust est très ironique, mon père me le répète à chaque fois, mais je suis totalement imperméable à son ironie, alors que l'ironie de Balzac me plait infiniment).
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
Ma page Facebook https://www.facebook.com/Lire-le-Japon-106902051582639
- CarabasVénérable
En fait, je déteste Beckett romancier. Ça passe en théâtre, mais en roman, c'est impossible pour moi.
J'ai eu beaucoup de mal avec la Condition Humaine et avec la Voie Royale de Malraux.
Je trouve que beaucoup de textes du XXe siècle ont plus mal vieilli que ceux du XIXe. J'ai l'impression qu'au XXe siècle, on n'écrit pas pour raconter une histoire mais pour illustrer une théorie. Bien que les auteurs du XIXe siècle s'en défendent, ils racontent bel et bien une histoire. Or, si j'aime lire, à l'origine, c'est bien parce que j'aime les histoires.
Je n'aime pas Gracq non plus, ni Le Clézio (le marque-page doit encore être dans Désert...)
J'ai eu beaucoup de mal avec la Condition Humaine et avec la Voie Royale de Malraux.
Je trouve que beaucoup de textes du XXe siècle ont plus mal vieilli que ceux du XIXe. J'ai l'impression qu'au XXe siècle, on n'écrit pas pour raconter une histoire mais pour illustrer une théorie. Bien que les auteurs du XIXe siècle s'en défendent, ils racontent bel et bien une histoire. Or, si j'aime lire, à l'origine, c'est bien parce que j'aime les histoires.
Je n'aime pas Gracq non plus, ni Le Clézio (le marque-page doit encore être dans Désert...)
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- Tem-toGrand sage
dans les conditions mentales (j'ai bien dit "essayer") bien sûr. Dans la contemporanéité de l'auteur quand il a pris sa plume (j'ai bien dit "essayer").Caspar Goodwood a écrit:Pardonne-moi mais quelle drôle de question...
- CarabasVénérable
L'intérêt de la lecture d'un roman n'est-il pas de se dé-centrer et de s'immerger dans un autre univers?
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- archebocEsprit éclairé
Carabas a écrit:L'intérêt de la lecture d'un roman n'est-il pas de se dé-centrer et de s'immerger dans un autre univers?
Tu lis Salambo, tu es à Carthage il y a vingt deux siècles, mais te places-tu aussi en France un siècle et demi en arrière ?
- CasparProphète
Tem-to a écrit:dans les conditions mentales (j'ai bien dit "essayer") bien sûr. Dans la contemporanéité de l'auteur quand il a pris sa plume (j'ai bien dit "essayer").Caspar Goodwood a écrit:Pardonne-moi mais quelle drôle de question...
Disons que la question ne me semble pas pertinente. On lit un texte du patrimoine en sachant qu'il a été écrit à une autre époque mais en étant un lecteur de 2017. Je dois être trop simple.
- archebocEsprit éclairé
*** Sur l'intérêt de baver sur les grands auteurs plutôt que sur les mauvais : il ne s'agit pas de baver par plaisir sur les plus grands, mais d'essayer de comprendre nos propres limitations. Ne pas aimer les mauvais auteurs, rien que de très normal. On peut aussi ne pas aimer Homère, Montaigne ou Proust : ce n'est que la condamnation de notre goût, que nous avons rassis dans des oeuvres trop basses. Le plus important est d'en être conscient. Pour les auteurs récents, en revanche, on peut s'autoriser des jugements plus péremptoires, et rien ne dit que ces auteurs surnageront plus qu'une vie d'homme au naufrage du temps.
*** Pour ces romans-monde apparus au XIXe siècle, et je pense à ceux cités ici : "Vie et Destin", Balzac, Stendhal, Joyce, Proust, je propose une expérience de lecteur intéressante : ouvrir au hasard, et lire, et si cela ne mord pas, tout de suite aller plus loin, à la billebaude, jusqu'à trouver un paragraphe qu'on peut lire en entier, alors s'accrocher, se forcer, pour tenir trois pages, ou plus. J'ai fait cela avec Ulysse : je suis allé au bout du roman. Je l'ai fait avec "Vie et Destin", et j'ai lu des choses qui m'ont coupé le souffle et mis les larmes aux yeux. Stendhal, en revanche, m'a toujours fait bailler.
*** Pour Duras, ce qui m'exaspère, c'est la très haute opinion d'elle-même qu'elle exsude à chaque phrase. C'est très difficile à expliquer, mais je me sens en permanence écrasé par l'inflation de son ego. L'autre Marguerite (désolé du cliché) est à l'opposée : on se sent estimé à chaque page qu'on lit d'elle.
*** De Quignard, j'ai adoré les "tablettes de buis". D'un point de vue littéraire, c'est le contraire d'un livre monde : on a l'impression d'avoir un miroir sans tain sur un petit morceau de passé, qui ne nous montre que ce que le miroir peut montrer. Tout est vrai, mais le monde qui est derrière est définitivement hors de portée. En ce sens, c'est une écriture qui abdique l'ambition de la littérature, ou qui reconnaît l'échec de cette ambition, et peut-être même dont le projet est de rendre sensible cet échec.
*** "Le rivage des Syrtes" et "Un balcon en forêt" ? Je déteste chez cet auteur la manie de mettre des mots en italique, comme on met une enseigne clignotante sur une boutique pour attirer le chaland : à nous prendre ainsi par la main pour nous faire saisir ses subtilités, l'auteur nous donne l'impression de nous prendre pour des idiots, et lorsque les subtilités n'en sont pas c'est encore pire.
Sinon, le rivage des Syrtes est, jusque dans son titre, une resucée orientalisante du Désert des Tartares et reste très en dessous de son modèle (alors que la chanson de Brel reprenant le même thème est une vraie réussite).
*** Pour ces romans-monde apparus au XIXe siècle, et je pense à ceux cités ici : "Vie et Destin", Balzac, Stendhal, Joyce, Proust, je propose une expérience de lecteur intéressante : ouvrir au hasard, et lire, et si cela ne mord pas, tout de suite aller plus loin, à la billebaude, jusqu'à trouver un paragraphe qu'on peut lire en entier, alors s'accrocher, se forcer, pour tenir trois pages, ou plus. J'ai fait cela avec Ulysse : je suis allé au bout du roman. Je l'ai fait avec "Vie et Destin", et j'ai lu des choses qui m'ont coupé le souffle et mis les larmes aux yeux. Stendhal, en revanche, m'a toujours fait bailler.
*** Pour Duras, ce qui m'exaspère, c'est la très haute opinion d'elle-même qu'elle exsude à chaque phrase. C'est très difficile à expliquer, mais je me sens en permanence écrasé par l'inflation de son ego. L'autre Marguerite (désolé du cliché) est à l'opposée : on se sent estimé à chaque page qu'on lit d'elle.
*** De Quignard, j'ai adoré les "tablettes de buis". D'un point de vue littéraire, c'est le contraire d'un livre monde : on a l'impression d'avoir un miroir sans tain sur un petit morceau de passé, qui ne nous montre que ce que le miroir peut montrer. Tout est vrai, mais le monde qui est derrière est définitivement hors de portée. En ce sens, c'est une écriture qui abdique l'ambition de la littérature, ou qui reconnaît l'échec de cette ambition, et peut-être même dont le projet est de rendre sensible cet échec.
*** "Le rivage des Syrtes" et "Un balcon en forêt" ? Je déteste chez cet auteur la manie de mettre des mots en italique, comme on met une enseigne clignotante sur une boutique pour attirer le chaland : à nous prendre ainsi par la main pour nous faire saisir ses subtilités, l'auteur nous donne l'impression de nous prendre pour des idiots, et lorsque les subtilités n'en sont pas c'est encore pire.
Sinon, le rivage des Syrtes est, jusque dans son titre, une resucée orientalisante du Désert des Tartares et reste très en dessous de son modèle (alors que la chanson de Brel reprenant le même thème est une vraie réussite).
- Tem-toGrand sage
Caspar Goodwood a écrit:Tem-to a écrit:dans les conditions mentales (j'ai bien dit "essayer") bien sûr. Dans la contemporanéité de l'auteur quand il a pris sa plume (j'ai bien dit "essayer").Caspar Goodwood a écrit:Pardonne-moi mais quelle drôle de question...
Disons que la question ne me semble pas pertinente. On lit un texte du patrimoine en sachant qu'il a été écrit à une autre époque mais en étant un lecteur de 2017. Je dois être trop simple.
Non non, c'est juste une question de parti pris. D'ailleurs les lectures de Salammbô pour reprendre l'exemple évoqué dans un post ci-dessus, peuvent avoir -entre autres-, trois niveaux tous orientés par la perception de l'auteur : celui du temps de la diégèse, celui du temps de son écriture ou celui du temps que vit le lecteur IRL.
- Tem-toGrand sage
Fouchtra ! Voilà Zangra ! :serge:archeboc a écrit: Sinon, le rivage des Syrtes est, jusque dans son titre, une resucée orientalisante du Désert des Tartares et reste très en dessous de son modèle (alors que la chanson de Brel reprenant le même thème est une vraie réussite).
- RendashBon génie
Anaxagore a écrit:J'ai une amie qui dit: "les messages, c'est à la poste".
On se demandera quelle est le message que l'auteur veut-il faire passé ?
Reine Margot a écrit:Je n'ai pas pu finir Italo Calvino "si par une nuit d'hiver un voyageur", alors que j'avais relativement apprécié le baron perché.
Je l'ai prêté à plusieurs élèves ces dernières semaines (Le baron perché ) ; l'une a adoré et a eu du mal à finir Un sac de Billes, une autre a détesté mais s'est régalée en lisant Le Meilleur des Mondes. Comme quoi ...
archeboc a écrit:Carabas a écrit:L'intérêt de la lecture d'un roman n'est-il pas de se dé-centrer et de s'immerger dans un autre univers?
Tu lis Salambo, tu es à Carthage il y a vingt deux siècles, mais te places-tu aussi en France un siècle et demi en arrière ?
Ho, je suis sûr qu'il y arrive. En tout cas ça expliquerait bien des choses.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RogerMartinBon génie
Rendash a écrit:"les yeux bouffis, [...] les cheveux entortillés comme les phrases d'un roman de Balzac"
:lol:
- Spoiler:
Le Capitaine Corcoran, dans le roman éponyme d'Assollant.
Je partage le sentiment de Lefteris à l'égard de Duras et Proust. J'ai beaucoup de mal avec Rousseau, aussi >_<'.
Personne n'a encore cité Maylis de Kerantruc, là, celle qui remplit la moitié des listes de l'EAF :lol: J'en ai lu deux ; quel supplice...
C'est le héros qui est éponyme, petit voyou.
_________________
Yo, salut ma bande ! disait toujours le Samouraï.
I User5899.
User 17706 s'est retiré à Helsingør.
Strange how paranoia can link up with reality now and then.
- IphigénieProphète
Faut dire qu'elle est plus courte: ça dit mieux l'ennui, mais plus viteTem-to a écrit:Fouchtra ! Voilà Zangra ! :serge:archeboc a écrit: Sinon, le rivage des Syrtes est, jusque dans son titre, une resucée orientalisante du Désert des Tartares et reste très en dessous de son modèle (alors que la chanson de Brel reprenant le même thème est une vraie réussite).
- CarabasVénérable
Rendash a écrit:
Personne n'a encore cité Maylis de Kerantruc, là, celle qui remplit la moitié des listes de l'EAF :lol: J'en ai lu deux ; quel supplice...
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!!!!!
J'ai dé-tes-té Réparer les vivants. Un roman prétentieux qui se veut ambitieux, une écriture alambiquée à défaut d'être travaillée, raaaah! Quelle horreur!
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Terry Pratchett
- RogerMartinBon génie
Carabas : merci de corriger tes balises de citation, ce n'est pas moi qui insulte la Kerangal mais le doux Renne.
EDIT : Merci
EDIT : Merci
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- doubledeckerSage
thierry75 a écrit:Ce sont les meilleurs auteurs qu'on étrille ici. Etonnant, ou pas.
un arbitre des élégances?
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
La boutique de LolaDragibus : des petites choses futiles et inutiles pour embellir la vie (p'tites bricoles en tissu, papier, crochet....) : venez y jeter un oeil 😊
- RendashBon génie
RogerMartin a écrit:Rendash a écrit:"les yeux bouffis, [...] les cheveux entortillés comme les phrases d'un roman de Balzac"
:lol:
- Spoiler:
Le Capitaine Corcoran, dans le roman éponyme d'Assollant.
Je partage le sentiment de Lefteris à l'égard de Duras et Proust. J'ai beaucoup de mal avec Rousseau, aussi >_<'.
Personne n'a encore cité Maylis de Kerantruc, là, celle qui remplit la moitié des listes de l'EAF :lol: J'en ai lu deux ; quel supplice...
C'est le héros qui est éponyme, petit voyou.
Meuh, n'importe quoi toi. Le héors Eponyme, c'est dans Victor Hugo, Les Clochards, là, chéputro.
Carabas a écrit:Rendash a écrit:
Personne n'a encore cité Maylis de Kerantruc, là, celle qui remplit la moitié des listes de l'EAF :lol: J'en ai lu deux ; quel supplice...
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!!!!!
J'ai dé-tes-té Réparer les vivants. Un roman prétentieux qui se veut ambitieux, une écriture alambiquée à défaut d'être travaillée, raaaah! Quelle horreur!
Mais visiblement ça plaît assez aux collègues de lettres, il y a sans doute une subtilité qui m'échappe. Peut-être que c'est quel est le message que l'auteur veut-il faire passer, va savoir.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- OxfordNeoprof expérimenté
Daphné a écrit:Balzac et Proust c'est juste pas possible.
Mes deux amours... :triste4:
Comment peut-on ne pas
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- Dame JouanneÉrudit
Oh oui, quelle déception ce livre! Je l'ai lu en me disant au moins 20 fois qu'elle aurait pu faire un très beau roman avec une écriture plus simple. J'avais l'impression de ne pas lire une histoire mais un exercice de style (et un mauvais en plus!)Carabas a écrit:Rendash a écrit:
Personne n'a encore cité Maylis de Kerantruc, là, celle qui remplit la moitié des listes de l'EAF :lol: J'en ai lu deux ; quel supplice...
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah!!!!!
J'ai dé-tes-té Réparer les vivants. Un roman prétentieux qui se veut ambitieux, une écriture alambiquée à défaut d'être travaillée, raaaah! Quelle horreur!
- SlinkyNiveau 10
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