- CasparProphète
nitescence a écrit:Caspar Goodwood a écrit:nitescence a écrit:Il est le supérieur administratif, il n'a pas son mot à dire sur notre enseignement, ce qui est quand même notre coeur de métier : il s'occupe de la logistique, c'est l'intendant...
Tu sais très bien que le cde ne s'occupe pas que de la logistique et de l'intendance. Pourquoi recruter les cde parmi les enseignants alors ? Bon, tu aimes faire de la provoc, c'est ton droit si ça t'amuse... De toute façon on s'éloigne du sujet.
Pourquoi avoir des inspecteurs, sinon ? C'est absurde : tu sais très bien que le CdE n'a pas vocation à nous faire des remarques d'ordre pédagogique. D'abord, tous ne sont pas d'anciens enseignants et, en plus, je vois mal ce qu'un ancien professeur de mathématiques pourrait dire sur la didactique de lettres à un professeur de français. Il n'a aucune légitimité dans ce domaine.
Certes, mais il est tout de même notre supérieur pour tout le reste, nous avons donc deux supérieurs hiérarchiques directs: le cde et l'IPR.
- mathmaxExpert spécialisé
Caspar Goodwood a écrit:nitescence a écrit:Il est le supérieur administratif, il n'a pas son mot à dire sur notre enseignement, ce qui est quand même notre coeur de métier : il s'occupe de la logistique, c'est l'intendant...
Tu sais très bien que le cde ne s'occupe pas que de la logistique et de l'intendance. Pourquoi recruter les cde parmi les enseignants alors ? Bon, tu aimes faire de la provoc, c'est ton droit si ça t'amuse... De toute façon on s'éloigne du sujet.
Il n'est pas nécessaire d'être enseignant pour devenir CdE.
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« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- nitescenceÉrudit
Oui, c'est tout à fait exact : le premier s'occupe des emplois du temps et le second on le voit une fois tous les dix ans. C'est bien ce que je dis : il n'y a pas de chef...
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Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- CasparProphète
mathmax a écrit:Caspar Goodwood a écrit:nitescence a écrit:Il est le supérieur administratif, il n'a pas son mot à dire sur notre enseignement, ce qui est quand même notre coeur de métier : il s'occupe de la logistique, c'est l'intendant...
Tu sais très bien que le cde ne s'occupe pas que de la logistique et de l'intendance. Pourquoi recruter les cde parmi les enseignants alors ? Bon, tu aimes faire de la provoc, c'est ton droit si ça t'amuse... De toute façon on s'éloigne du sujet.
Il n'est pas nécessaire d'être enseignant pour devenir CdE.
C'est le cas de la plupart d'entre eux tout de même. Je n'ai pas connu de contre-exemple dans toute ma carrière.
Nitescence, si jamais tu arrives avec une heure de retard tous les jours, que tu ne vas à aucun conseil de classe etc...tu va te heurter au cde non ? Ou il ou elle va dire et faire quelque chose ?
Bon bref, pas envie de polémiquer pour le plaisir, de toute façon ce n'est en aucun cas le sujet du fil.
PS: Les cde présents sur le forum vont certainement apprécier ta définition de leur fonction ou métier.
- nitescenceÉrudit
Oui, c'est bien ce que je dis : c'est un supérieur ADMINISTRATIF et rien d'autre ! Pour tout ce qui est la pédagogie et c'est quand même le coeur de son métier, il n'a pas son mot à dire et n'a aucune légitimité. Nous n'avons de compte à rendre dans ce domaine qu'à l'inspecteur.
Ce qui est quand même hallucinant, c'est que certains collègues n'arrivent pas à saisir cette répartition des compétences.
Ce qui est quand même hallucinant, c'est que certains collègues n'arrivent pas à saisir cette répartition des compétences.
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Mordre. Mordre d'abord. Mordre ensuite. Mordre en souriant et sourire en mordant. (avec l'aimable autorisation de Cripure, notre dieu à tous)
- IphigénieProphète
Je pense pour en revenir au sujet que les professeurs sont un peu trop persuadés eux-mêmes que leur métier est plutôt minable pecuniairement parlant: certes on a besoin d'une revalorisation depuis le temps que les salaires sont geles; certes, par rapport au smic les salaires des débutants ont été sacrément devalorisés depuis quarante ans; mais allez-voir le salaire des internes et le temps de travail et la façon dont ils sont traites, regardez les échelles de salaires des ingénieurs hors très grande ecole ou les cabinets d'avocats qui sont en faillite(...): c'est toute la tranche moyenne supérieure qui est ratiboisee : le gros salaires il faut aller dans la finance ou être champion de foot ( pas joueur moyen) : reste à voir si c'est un mode de pensée et de vie qui plait...
- User20401Vénérable
nitescence a écrit:Ah oui, ça aussi c'est un sacré avantage : on n'a pas de chef, on s'organise comme on veut !
(et je ne me prive pas de rappeler aux élèves que le CdE n'est pas mon supérieur)
nitescence a écrit:Oui, c'est bien ce que je dis : c'est un supérieur ADMINISTRATIF et rien d'autre ! Pour tout ce qui est la pédagogie et c'est quand même le coeur de son métier, il n'a pas son mot à dire et n'a aucune légitimité. Nous n'avons de compte à rendre dans ce domaine qu'à l'inspecteur.
Ce qui est quand même hallucinant, c'est que certains collègues n'arrivent pas à saisir cette répartition des compétences.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
nitescence a écrit:Il n'y a pas que l'argent dans la vie : il y a aussi les vacances ! Moi, je réponds qu'il y a trois raisons pour devenir prof : juin, juillet et août !
Pourquoi ne pas répondre : on en rediscute pendant les grandes vacances ?
Pourquoi juin? C'est sans doute le mois le plus dense du point de vue travail.
- CasparProphète
nitescence a écrit:Oui, c'est bien ce que je dis : c'est un supérieur ADMINISTRATIF et rien d'autre ! Pour tout ce qui est la pédagogie et c'est quand même le coeur de son métier, il n'a pas son mot à dire et n'a aucune légitimité. Nous n'avons de compte à rendre dans ce domaine qu'à l'inspecteur.
Ce qui est quand même hallucinant, c'est que certains collègues n'arrivent pas à saisir cette répartition des compétences.
Si merci, je saisis très bien la distinction merci, et non, ce n'est pas ce que tu as dit au début. Quant à aller se vanter auprès des élèves du fait que le cde est notre supérieur ou non, je pense que ça ne sert strictement à rien car il doivent s'en tamponner complètement.
- lisette83Érudit
Sauf que les internes à terme auront une progression toute autre et je parle en connaissance de cause.
Ce qui est vrai, c'est que les professions "à vocation" sont de fait les plus mal traitées à tous les sens du terme..
Ce qui est vrai, c'est que les professions "à vocation" sont de fait les plus mal traitées à tous les sens du terme..
- lisette83Érudit
+1 et à partir de mi-août, c'est la préparation de la rentrée qui est de plus en plus précoce.Yazilikaya a écrit:nitescence a écrit:Il n'y a pas que l'argent dans la vie : il y a aussi les vacances ! Moi, je réponds qu'il y a trois raisons pour devenir prof : juin, juillet et août !
Pourquoi ne pas répondre : on en rediscute pendant les grandes vacances ?
Pourquoi juin? C'est sans doute le mois le plus dense du point de vue travail.
- LefterisEsprit sacré
Sans avoir de chiffres précis en tête, je pourrais dire que jusque dans les années 90, le métier était prisé, et il y avait pléthore de candidats aux concours. Il me semble que c'était un des métiers plébiscités par les parents pour leurs enfants dans un sondage , vu sur le Monde de l'éduc, mis je ne saurais retrouver exactement (faudrait une mémoire genre Luigi, n'étant pas dans l'EN à l'époque, je n'ai pas tout conservé). En revanche, beaucoup plus précis est le site Skholè qui date la chute des années 2004-2005, montre la courbe descendante, chute qui se précipite depuis environ 2010.Caspar Goodwood a écrit:Il y a combien de temps exactement ?
Et sur un plan très objectif, le métier n'avait pas encore "décroché" totalement par rapport au reste de la FP. Certes, il n'y avait pas plus de primes et indemnités, mais une certaine fluidité pour accéder à la HC (promotion sans bouger de poste) tandis que le reste de la catégorie A avait trois grades, parfois assortis de mobilité, et moins de congés. Mais tous ces corps "types" (catégories attaché, inspecteur) ont été revalorisés, ont eu l' ARTT, l'accès hors échelle quand les enseignants ont stagné et vu leurs conditions de travail se durcir. Le différentiel de "vacances" (4 semaines au plus) ne suffit pas à faire la différence et à compenser l'aggravation des conditions de travail, qui va hélas se poursuivre. On voit des enseignants partir, et en courant, en catégorie B (voir le fil reconversion). On n'aurait jamais vu ça il y a 15 ou 20 ans.
L'échelle de comparaison se fait avec la FP , avec les autres il n'y a aucun point de comparaison fixe, c'est en partie la loi de l'offre et de la demande qui joue. L'idée de terminer en bout de course avec un traitement de A+ (après m'être bien pourri la vie quand même) au mieux égal à celui que j'avais en milieu de carrière ailleurs (cat. A) n'est pas flatteuse (même si évidemment ça me permet de vivre). Bon, pour un littéraire, ne pouvant désormais rien faire d'autre, je ne peux rien dire, mais il est normal que ceux qui ont les moyens de choisir désertent désormais la profession , je pense en particulier au matheux, qui n'entrent plus guère (même l'agreg ne pourvoit pas, loin de là tous les postes) et sortent beaucoup (ils trustent les places dans certains concours).Iphigénie a écrit:Je pense pour en revenir au sujet que les professeurs sont un peu trop persuadés eux-mêmes que leur métier est plutôt minable pecuniairement parlant: certes on a besoin d'une revalorisation depuis le temps que les salaires sont geles; certes, par rapport au smic les salaires des débutants ont été sacrément devalorisés depuis quarante ans; mais allez-voir le salaire des internes et le temps de travail et la façon dont ils sont traites, regardez les échelles de salaires des ingénieurs hors très grande ecole ou les cabinets d'avocats qui sont en faillite(...): c'est toute la tranche moyenne supérieure qui est ratiboisee : le gros salaires il faut aller dans la finance ou être champion de foot ( pas joueur moyen) : reste à voir si c'est un mode de pensée et de vie qui plait...
Ensuite, il y la baisse d'intérêt du métier et les méthodes managériales qui entrent peu à peu en vigueur, et ne permettent plus de compenser le traitement, que même la Cour des Comptes, pourtant hostile aux enseignants, estime à -35%.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CasparProphète
Lefteris a écrit:Sans avoir de chiffres précis en tête, je pourrais dire que jusque dans les années 90, le métier était prisé, et il y avait pléthore de candidats aux concours. Il me semble que c'était un des métiers plébiscités par les parents pour leurs enfants dans un sondage , vu sur le Monde de l'éduc, mis je ne saurais retrouver exactement (faudrait une mémoire genre Luigi, n'étant pas dans l'EN à l'époque, je n'ai pas tout conservé). En revanche, beaucoup plus précis est le site Skholè qui date la chute des années 2004-2005, montre la courbe descendante, chute qui se précipite depuis environ 2010.Caspar Goodwood a écrit:Il y a combien de temps exactement ?
Et sur un plan très objectif, le métier n'avait pas encore "décroché" totalement par rapport au reste de la FP. Certes, il n'y avait pas plus de primes et indemnités, mais une certaine fluidité pour accéder à la HC (promotion sans bouger de poste) tandis que le reste de la catégorie A avait trois grades, parfois assortis de mobilité, et moins de congés. Mais tous ces corps "types" (catégories attaché, inspecteur) ont été revalorisés, ont eu l' ARTT, l'accès hors échelle quand les enseignants ont stagné et vu leurs conditions de travail se durcir. Le différentiel de "vacances" (4 semaines au plus) ne suffit pas à faire la différence et à compenser l'aggravation des conditions de travail, qui va hélas se poursuivre. On voit des enseignants partir, et en courant, en catégorie B (voir le fil reconversion). On n'aurait jamais vu ça il y a 15 ou 20 ans.
J'entends tes arguments mais te trouve tout de même un peu optimiste quant au prestige du métier avant les années 90, mais ce n'est que mon sentiment, je n'ai pas de données objectives à fournir.
- GoldoredNiveau 2
nitescence a écrit:Vous en connaissez beaucoup des professions avec quatre mois de vacances :
- 15 jours à la toussaint
- 15 jours à Noël
- 15 jours en février
- 15 jours au printemps
- 2 mois en été
Le temps libre, c'est ça la vraie richesse ! Sur toute une carrière, ça représente une extension de vie de 10 ans...
alanne a écrit:Juin , bof , ça dépend de chaque établissement , par contre les vacances de Noel !!!
nitescence a écrit:Ah oui, ça aussi c'est un sacré avantage : on n'a pas de chef, on s'organise comme on veut !
(et je ne me prive pas de rappeler aux élèves que le CdE n'est pas mon supérieur)
Sans doute ce genre de réflexions et l'orthographe aléatoire que l'on peut constater sur ce forum contribuent largement à grandir l'image de cette profession.nitescence a écrit:Il n'y a pas que l'argent dans la vie : il y a aussi les vacances ! Moi, je réponds qu'il y a trois raisons pour devenir prof : juin, juillet et août !
Pourquoi ne pas répondre : on en rediscute pendant les grandes vacances ?
Une profession de fainéants, incultes et qui se considèrent comme relevant d'une profession libérale...
Amer constat, mais relisez-vous, voilà l'image que vous donnez du métier. Consternant.
- frecheGrand sage
J'ai commencé en 93, et la profession n'avait pas franchement la cote. Ma mère était très déçue que je n'aille pas dans l'industrie après mon diplôme d'ingé, et de me voir préparer le capes.
- LefterisEsprit sacré
Sans aller jusqu'au "prestige", ça restait un métier assez prisé et je le voyais autour de moi . La dégradation a été fulgurante, on le sent bien. Même quand je me suis reconverti, ce n'était pas à ce point (pas terrible pourtant, j'ai hésité), sinon j'aurais serré les dents le temps d'arranger mes affaires,et me serais abstenu. Je crois qu'on mesure le changement brutal à ce que vivent les stagiaires, c'est un bon baromètre.Caspar Goodwood a écrit:
J'entends tes arguments mais te trouve tout de même un peu optimiste quant au prestige du métier avant les années 90, mais ce n'est que mon sentiment, je n'ai pas de données objectives à fournir.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- Philomène87Grand sage
J'ai été collégienne au début des années 2000 et pour moi les profs étaient un modèle de réussite sociale. J'ai été séduite par le métier et par l'image que véhiculaient mes enseignants (j'ai toujours eu beaucoup d'estime pour eux, justement parce qu'ils incarnaient ce modèle de réussite - sociale et intellectuelle). C'était ma vision personnelle évidemment, et très liée à la situation sociale de mes parents. Maintenant que je suis prof, je suis toujours intimement convaincue d'avoir réussi socialement. C'est pourquoi le mépris qu'on nous affiche ne m'atteint pas. Pour moi (mais je me trompe peut-être) c'est juste de la jalousie.
- doubledeckerSage
Patience et raison a écrit:Un vrai métier c'est ce qui permet de gagner de l'argent... Donc fonctionnaire n'est pas un métier!
Ben non, "fonctionnaire" ce n'est pas un métier, c'est un statut.
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If you're not failing every now and again it's a sign you're not doing anything very innovative (Woody Allen)
La boutique de LolaDragibus : des petites choses futiles et inutiles pour embellir la vie (p'tites bricoles en tissu, papier, crochet....) : venez y jeter un oeil 😊
- Patience et raisonFidèle du forum
Et en dehors des fonctionnaires, qui nous voit autrement que comme des seuls "fonctionnaires" dans aller plus loin pour savoir quel est notre métier?
- CasparProphète
Philomène87 a écrit:J'ai été collégienne au début des années 2000 et pour moi les profs étaient un modèle de réussite sociale. J'ai été séduite par le métier et par l'image que véhiculaient mes enseignants (j'ai toujours eu beaucoup d'estime pour eux, justement parce qu'ils incarnaient ce modèle de réussite - sociale et intellectuelle). C'était ma vision personnelle évidemment, et très liée à la situation sociale de mes parents. Maintenant que je suis prof, je suis toujours intimement convaincue d'avoir réussi socialement. C'est pourquoi le mépris qu'on nous affiche ne m'atteint pas. Pour moi (mais je me trompe peut-être) c'est juste de la jalousie.
Il y aussi de ça...Et moi aussi il m'arrive d'être jaloux ou envieux de certaines professions (par exemple celles où on n'a RIEN à faire de professionnel à la maison). Il y a aussi le ressentiment envers l'école ou les profs suite à une scolarité ratée ou mal vécue.
- PseudoDemi-dieu
En même temps, les avis des gens, faut aussi s'en foutre. Ce n'est pas un métier ? Ma foi, ok. Qu'est-ce que ça peut fiche ? Depuis quand l'avis des gens devrait avoir de l'importance. Comme disait l'inspecteur Harry, célèbre philosophe, les avis, c'est comme les anus, tout le monde en a un.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
Doublon
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- ysabelDevin
Pseudo a écrit:En même temps, les avis des gens, faut aussi s'en foutre. Ce n'est pas un métier ? Ma foi, ok. Qu'est-ce que ça peut fiche ?
Je suis bien d'accord. L'avis des autres sur moi, ma profession, j'en ai rien à battre.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- JennyMédiateur
BlackMail a écrit:nitescence a écrit:Il n'y a pas que l'argent dans la vie : il y a aussi les vacances ! Moi, je réponds qu'il y a trois raisons pour devenir prof : juin, juillet et août !
Pourquoi ne pas répondre : on en rediscute pendant les grandes vacances ?
:lol: :lol: :lol: :lol:
En lycée peut être (quoique il y'a les corrections de bac) en collège, c'est le pire mois de l'année.
- Philomène87Grand sage
De ma part ils n'obtiennent en retour qu'un regard méprisant.
Sur facebook, j'ai même bloqué des gens car je ne supportais plus leurs publications anti-profs ou anti-école. Je ne m'abaissais pas à leur répondre, un simple clic m'en a délivrée
Sur facebook, j'ai même bloqué des gens car je ne supportais plus leurs publications anti-profs ou anti-école. Je ne m'abaissais pas à leur répondre, un simple clic m'en a délivrée
- CasparProphète
Philomène87 a écrit:De ma part ils n'obtiennent en retour qu'un regard méprisant.
Sur facebook, j'ai même bloqué des gens car je ne supportais plus leurs publications anti-profs ou anti-école. Je ne m'abaissais pas à leur répondre, un simple clic m'en a délivrée
Haha oui une fois sur FB j'ai eu le tort de répondre à un post sur l'absentéisme des profs que j'avais la chance d'être en bonne santé et étais très rarement absent (je touche du bois). Réponse: ah mais si vous êtes en si bonne santé c'est que vous ne vous fatiguez pas beaucoup. Moralité: inutile d'argumenter en effet, puisque tout peut se retourner contre nous. :aaq:
- Pétition pour que le métier d'AVS devienne un vrai métier.
- Le métier de prof
- Le Monde - Philippe Meirieu : Enseigner : un vrai métier qui exige une vraie formation !
- Les propositions d'Aidoprofs pour la réforme du statut enseignant.
- Quelle image vous faisiez-vous du métier de prof... avant de devenir prof ?
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