Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
- cannelle21Grand Maître
Bonjour, j'ai appris que j'allais être inspectée la semaine prochaine. Je commence 2H avant un chapitre sur Les Misérables. Il s'agit d'un parcours de lecture. Pour ce chapitre :
- J'ai enregistré une lecture de l'oeuvre complète pour que mes élèves en difficulté puissent lire l'oeuvre intégrale.
- A la fin de chaque cours, par deux, ils vont devoir créer des exercices sur les textes vus. Ils les présenteront sous forme de diaporama pour ensuite tester les élèves d'une autre classe.
- Je vais traiter le parcours de JV vers la rédemption :
* analyse de la rencontre salutaire avec Monseigneur Bienvenue
* analyse de la scène avec Fauchelevent + analyse filmique
* analyse de la mort de Javert
* mise en voix d'un extrait
* travail en îlots autour de figures de misérables : Cosette, Fantine, Gavroche
* évaluation progressive : construction progressive d'exercices
* 3 heures d'écriture autour de la construction d'un récit
Je suis inspectée jeudi et les élèves n'auront pas lu l'oeuvre en entier. On en sera à la deuxième séance. Lors de la première séance, j'aurai vu :
* présentation du chapitre
* présentation des exercices à créer
* travail sur l'avant-propos avec comme questionnement : Pourquoi Victor Hugo a-t-il écrit Les Misérables ?
Du coup, je ne sais pas quoi faire :
* une séance de grammaire : accord du participe passé ?
* séance d'écriture : mais c'est relativement répétitif. Petits exercices progressifs seuls ou en groupes et passage au bureau pour une correction personnalisée
* séance d'analyse de la rencontre avec l'évêque mais c'est très dur à boucler en une heure et je ne suis pas certaine que les élèves aient lu le livre
* séance : construire un discours sur la misère pour une initiation à l'argumentation / travailler l'oral
- J'ai enregistré une lecture de l'oeuvre complète pour que mes élèves en difficulté puissent lire l'oeuvre intégrale.
- A la fin de chaque cours, par deux, ils vont devoir créer des exercices sur les textes vus. Ils les présenteront sous forme de diaporama pour ensuite tester les élèves d'une autre classe.
- Je vais traiter le parcours de JV vers la rédemption :
* analyse de la rencontre salutaire avec Monseigneur Bienvenue
* analyse de la scène avec Fauchelevent + analyse filmique
* analyse de la mort de Javert
* mise en voix d'un extrait
* travail en îlots autour de figures de misérables : Cosette, Fantine, Gavroche
* évaluation progressive : construction progressive d'exercices
* 3 heures d'écriture autour de la construction d'un récit
Je suis inspectée jeudi et les élèves n'auront pas lu l'oeuvre en entier. On en sera à la deuxième séance. Lors de la première séance, j'aurai vu :
* présentation du chapitre
* présentation des exercices à créer
* travail sur l'avant-propos avec comme questionnement : Pourquoi Victor Hugo a-t-il écrit Les Misérables ?
Du coup, je ne sais pas quoi faire :
* une séance de grammaire : accord du participe passé ?
* séance d'écriture : mais c'est relativement répétitif. Petits exercices progressifs seuls ou en groupes et passage au bureau pour une correction personnalisée
* séance d'analyse de la rencontre avec l'évêque mais c'est très dur à boucler en une heure et je ne suis pas certaine que les élèves aient lu le livre
* séance : construire un discours sur la misère pour une initiation à l'argumentation / travailler l'oral
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- DerborenceModérateur
Et pourquoi ne pas faire une LA sur la scène du vol du pain ?
Cela tient en une heure et il n'est pas nécessaire que les élèves aient lu l’œuvre.
Cela tient en une heure et il n'est pas nécessaire que les élèves aient lu l’œuvre.
_________________
"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- cannelle21Grand Maître
Bonne idée.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- TremereNiveau 9
Je n'ai pas de conseil mais quand je vois la qualité de ton travail je ne me fais aucun souci pour toi!
Courage.
Courage.
- sandGuide spirituel
Je suppose que tu as déjà cet extrait de Choses vues :
Hier, 22 février 1846 (1), j'allais à la Chambre (2), il faisait froid, malgré le soleil et midi. Je vis venir rue de Tournon (3) un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte, souillée de boue derrière le dos, ce qui indiquait qu'il couchait habituellement sur le pavé ; la tête nue et hérissée. Il avait sous le bras un pain. Le peuple disait autour de lui qu'il avait volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on l'emmenait. En passant devant la caserne de gendarmerie, un des soldats y entra et l'homme resta à la porte, gardé par l'autre soldat.
Une voiture était arrêtée devant la porte de la caserne. C'était une berline armoriée (4) portant aux lanternes une couronne ducale, attelée de deux chevaux gris, deux laquais en guêtres derrière. Les glaces étaient levées, mais on distinguait l'intérieur tapissé de damas (5) bouton d'or. Le regard de l'homme fixé sur cette voiture attira le mien. Il y avait dans la voiture une femme en chapeau rose, en robe de velours noir, fraîche, blanche, belle, éblouissante, qui riait et jouait avec un charmant petit enfant de seize mois enfoui sous les rubans, les dentelles et les fourrures.
Cette femme ne voyait pas l'homme terrible qui la regardait.
Je demeurai pensif.
Cet homme n'était plus pour moi un homme, c'était le spectre de la misère, c'était l'apparition, difforme, lugubre, en plein jour, en plein soleil, d'une révolution encore plongée dans les ténèbres, mais qui vient. Autrefois le pauvre coudoyait le riche, ce spectre rencontrait cette gloire ; mais on ne se regardait pas. On passait. Cela pouvait durer ainsi longtemps. Du moment où cet homme s'aperçoit que cette femme existe, tandis que cette femme ne s'aperçoit pas que cet homme est là, la catastrophe est inévitable.
Hier, 22 février 1846 (1), j'allais à la Chambre (2), il faisait froid, malgré le soleil et midi. Je vis venir rue de Tournon (3) un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte, souillée de boue derrière le dos, ce qui indiquait qu'il couchait habituellement sur le pavé ; la tête nue et hérissée. Il avait sous le bras un pain. Le peuple disait autour de lui qu'il avait volé ce pain et que c'était à cause de cela qu'on l'emmenait. En passant devant la caserne de gendarmerie, un des soldats y entra et l'homme resta à la porte, gardé par l'autre soldat.
Une voiture était arrêtée devant la porte de la caserne. C'était une berline armoriée (4) portant aux lanternes une couronne ducale, attelée de deux chevaux gris, deux laquais en guêtres derrière. Les glaces étaient levées, mais on distinguait l'intérieur tapissé de damas (5) bouton d'or. Le regard de l'homme fixé sur cette voiture attira le mien. Il y avait dans la voiture une femme en chapeau rose, en robe de velours noir, fraîche, blanche, belle, éblouissante, qui riait et jouait avec un charmant petit enfant de seize mois enfoui sous les rubans, les dentelles et les fourrures.
Cette femme ne voyait pas l'homme terrible qui la regardait.
Je demeurai pensif.
Cet homme n'était plus pour moi un homme, c'était le spectre de la misère, c'était l'apparition, difforme, lugubre, en plein jour, en plein soleil, d'une révolution encore plongée dans les ténèbres, mais qui vient. Autrefois le pauvre coudoyait le riche, ce spectre rencontrait cette gloire ; mais on ne se regardait pas. On passait. Cela pouvait durer ainsi longtemps. Du moment où cet homme s'aperçoit que cette femme existe, tandis que cette femme ne s'aperçoit pas que cet homme est là, la catastrophe est inévitable.
- IzambardFidèle du forum
Tu as pensé à étudier le pochoir de Banksy ? Il représente Cosette pour les migrants de Calais.
C'est intéressant.
(je l'ai fait en première L il y a 15 jours)
C'est intéressant.
(je l'ai fait en première L il y a 15 jours)
- cannelle21Grand Maître
Izambard a écrit:Tu as pensé à étudier le pochoir de Banksy ? Il représente Cosette pour les migrants de Calais.
C'est intéressant.
(je l'ai fait en première L il y a 15 jours)
C'est une bonne idée car je viens de finir mon chapitre sur la presse par une étude de textes sur la crise migratoire.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IzambardFidèle du forum
Je peux te photographier les éléments d'analyse de la nrp lycée si tu veux
- IzambardFidèle du forum
Et tu verras, ça accroche avec les élèves. Je pense qu'en 4 ème tu peux avoir des super réactions.
- cannelle21Grand Maître
Izambard a écrit:Je peux te photographier les éléments d'analyse de la nrp lycée si tu veux
Ce serait génial. Merci. Je t'envoie mon adresse mail en mp.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IzambardFidèle du forum
cannelle21 a écrit:Izambard a écrit:Je peux te photographier les éléments d'analyse de la nrp lycée si tu veux
Ce serait génial. Merci. Je t'envoie mon adresse mail en mp.
Je te les envoie de suite.
Demain aussi je peux te photographier le cours de mes élèves (support + notes)
- cannelle21Grand Maître
Alors, je crois que je vais garder l'oeuvre de Banksy pour plus tard dans le chapitre (on a travaillé sur Banksy et sur les migrants).
Je vais commencer mon parcours dans l'oeuvre par Le vol d'un pain pour faire connaissance avec J. V.
- Lecture
- Analyse
- Travail d'écriture différencié : Procès de J.V. Viennent à la barre : J.V., Sa soeur, le boulanger, un gendarme... Ce qui me permettra à la correction la séance d'après d'aborder la question du point de vue.
Vous en pensez quoi ? J'axe mon étude de texte sur son portrait ? Sur le vol ?
Vous couperiez comment le texte ?
Je vais commencer mon parcours dans l'oeuvre par Le vol d'un pain pour faire connaissance avec J. V.
- Lecture
- Analyse
- Travail d'écriture différencié : Procès de J.V. Viennent à la barre : J.V., Sa soeur, le boulanger, un gendarme... Ce qui me permettra à la correction la séance d'après d'aborder la question du point de vue.
Vous en pensez quoi ? J'axe mon étude de texte sur son portrait ? Sur le vol ?
Vous couperiez comment le texte ?
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IzambardFidèle du forum
C'est bien. Mais en une heure ? Tu vas avoir le temps de poser la consigne, d'obtenir un résultat et de conduire un bilan ?
- sandGuide spirituel
J'avais donné le portrait de JV à lire à la maison, avec des questions (métier / situation familiale / qualités de JV) puis j'avais montré l'extrait du film du vol pour travailler sur le point de vue. Mais je ne sais plus si j'avais donné un exercice d'écriture ou montré un tableau, puis on avait fait des exercices sur le point de vue.
- cannelle21Grand Maître
Izambard a écrit:C'est bien. Mais en une heure ? Tu vas avoir le temps de poser la consigne, d'obtenir un résultat et de conduire un bilan ?
Avant le cours : le portrait de J.V à préparer
Pendant le cours : le vol en lecture analytique
* lecture du texte complet
* correction du portrait
* analyse du vol en vidéoprojetant
Fin du cours pour préparer la prochaine séance : le procès de J.V par groupes
Vous en pensez quoi ?
EN tout cas, merci pour votre aide, les filles.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- DerborenceModérateur
cannelle21 a écrit:Alors, je crois que je vais garder l'oeuvre de Banksy pour plus tard dans le chapitre (on a travaillé sur Banksy et sur les migrants).
Je vais commencer mon parcours dans l'oeuvre par Le vol d'un pain pour faire connaissance avec J. V.
- Lecture
- Analyse
- Travail d'écriture différencié : Procès de J.V. Viennent à la barre : J.V., Sa soeur, le boulanger, un gendarme... Ce qui me permettra à la correction la séance d'après d'aborder la question du point de vue.
Vous en pensez quoi ? J'axe mon étude de texte sur son portrait ? Sur le vol ?
Vous couperiez comment le texte ?
Jean Valjean était d'un caractère pensif sans être triste, ce qui est le propre des natures affectueuses. Somme toute, pourtant, c'était quelque chose d'assez endormi et d'assez insignifiant, en apparence du moins, que Jean Valjean. Il avait perdu en très bas âge son père et sa mère. Sa mère était morte d'une fièvre de lait mal soignée. Son père, émondeur1 comme lui, s'était tué en tombant d'un arbre. Il n'était resté à Jean Valjean qu'une sœur plus âgée que lui, veuve, avec sept enfants, filles et garçons. Cette sœur avait élevé Jean Valjean, et tant qu'elle eut son mari elle logea et nourrit son jeune frère. Le mari mourut. L'aîné des sept enfants avait huit ans, le dernier un an. Jean Valjean venait d'atteindre, lui, sa vingt-cinquième année. Il remplaça le père, et soutint à son tour sa sœur qui l'avait élevé. Cela se fit simplement, comme un devoir, même avec quelque chose de bourru de la part de Jean Valjean. Sa jeunesse se dépensait ainsi dans un travail rude et mal payé.
Il gagnait dans la saison de l'émondage vingt-quatre sous par jour, puis il se louait comme moissonneur, comme manœuvre, comme garçon de ferme bouvier, comme homme de peine. Il faisait ce qu'il pouvait. Sa sœur travaillait de son côté, mais que faire avec sept petits enfants ? C'était un triste groupe que la misère enveloppa et étreignit peu à peu. Il arriva qu'un hiver fut rude. Jean n'eut pas d'ouvrage. La famille n'eut pas de pain. Pas de pain. À la lettre. Sept enfants ! Un dimanche soir, Maubert Isabeau, boulanger sur la place de l’Église, à Faverolles, se disposait à se coucher, lorsqu'il entendit un coup violent dans la devanture grillée et vitrée de sa boutique. Il arriva à temps pour voir un bras passé à travers un trou fait d'un coup de poing dans la grille et dans la vitre. Le bras saisit un pain et l'emporta. Isabeau sortit en hâte; le voleur s'enfuyait à toutes jambes; Isabeau courut après lui et l'arrêta. Le voleur avait jeté le pain, mais il avait encore le bras ensanglanté. C'était Jean Valjean.
Ceci se passait en 1795. Jean Valjean fut traduit devant les tribunaux du temps « pour vol avec effraction la nuit dans une maison habitée ». Il avait un fusil dont il se servait mieux que tireur au monde, il était quelque peu braconnier ; ce qui lui nuisit. Il y a contre les braconniers un préjugé légitime. Le braconnier, de même que le contrebandier, côtoie de fort près le brigand. Pourtant, disons-le en passant, il y a encore un abîme entre ces races d'hommes et le hideux assassin des villes. Le braconnier vit dans la forêt le contrebandier vit dans la montagne ou sur la mer. Les villes font des hommes féroces parce qu'elles font des hommes corrompus. La montagne, la mer, la forêt, font des hommes sauvages. Elles développent le côté farouche, mais souvent sans détruire le côté humain.
Jean Valjean fut déclaré coupable. Les termes du code étaient formels. Il y a dans notre civilisation des heures redoutables; ce sont les moments où la pénalité prononce un naufrage. Quelle minute funèbre que celle où la société s'éloigne et consomme l'irréparable abandon d'un être pensant ! Jean Valjean fut condamné à cinq ans de galères.
Victor Hugo, Les Misérables.
J'axe la LA sur le portrait (milieu social, métiers, famille, personnage banal) et sur le vol (circonstances / peine).
_________________
"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- sandGuide spirituel
C'est bien et l'IPR pourra voir la qualité de ton travail de l'oral.cannelle21 a écrit:
Fin du cours pour préparer la prochaine séance : le procès de J.V par groupes
- cannelle21Grand Maître
Je suis en train de préparer ma présentation de séquence et j'hésite entre deux problématiques :
- Comment qualifier le parcours de Jean Valjean ? (mais je n'aime pas la formulation)
- Pourquoi peut-on parler de rédemption pour qualifier le parcours de Jean Valjean ? (Je préfère la formulation mais c'est peut-être dommage de donner le mot rédemption dès le départ aux élèves alors qu'on va lire le texte progressivement.)
Vous en pensez quoi ?
- Comment qualifier le parcours de Jean Valjean ? (mais je n'aime pas la formulation)
- Pourquoi peut-on parler de rédemption pour qualifier le parcours de Jean Valjean ? (Je préfère la formulation mais c'est peut-être dommage de donner le mot rédemption dès le départ aux élèves alors qu'on va lire le texte progressivement.)
Vous en pensez quoi ?
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IzambardFidèle du forum
Je préfère la première formulation. En effet, le mot rédemption est le mot de bilan.
Mes premières L n'ont pas pu me le dire. Repentir, pardon, rachat, mais pas rédemption..... Pffffffff.
Mes premières L n'ont pas pu me le dire. Repentir, pardon, rachat, mais pas rédemption..... Pffffffff.
- cannelle21Grand Maître
Izambard a écrit:Je préfère la première formulation. En effet, le mot rédemption est le mot de bilan.
Mes premières L n'ont pas pu me le dire. Repentir, pardon, rachat, mais pas rédemption..... Pffffffff.
La formulation de la première problématique ne te choque pas ?
Merci encore pour ton aide.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IzambardFidèle du forum
Non, elle ne me gêne pas du tout. Je la trouve assez explicite, ils vont comprendre ce qui est demandé.
Est ce que tu veux des planches du manga de l'oeuvre ?
J'ai fait étudier le passage qui suit le vol de petit Gervais, il y a tout un jeu entre les deux jean valjean, c'est pas mal.
Est ce que tu veux des planches du manga de l'oeuvre ?
J'ai fait étudier le passage qui suit le vol de petit Gervais, il y a tout un jeu entre les deux jean valjean, c'est pas mal.
- cannelle21Grand Maître
Izambard a écrit:Non, elle ne me gêne pas du tout. Je la trouve assez explicite, ils vont comprendre ce qui est demandé.
Est ce que tu veux des planches du manga de l'oeuvre ?
J'ai fait étudier le passage qui suit le vol de petit Gervais, il y a tout un jeu entre les deux jean valjean, c'est pas mal.
Ce serait vraiment super.
_________________
Il y a des gens si bêtes que si une idée apparaissait à la surface de leur cerveau, elle se suiciderait, terrifiée de solitude.
- IsidoriaDoyen
Je n'ai absolument rien à te proposer, je voulais seulement dire que je trouve ta séquence vraiment bien. Quant à la formulation de ta problématique, elle a le mérite d'être simple et claire.
N'ayant plus de collège depuis quelques années, je n'ai plus travaillé sur Les Misérables depuis longtemps, et je trouve que n'étudier le parcours que d'un personnage est un axe d'étude très intéressant.
Une question: quand tu dis "j'ai enregistré une lecture de l'oeuvre complète pour que mes élèves en difficulté puissent lire l'oeuvre intégrale.", rassure-moi, ce n'est pas toi qui lis, si?
Bon courage, je suis sûre que ça va bien se passer.
N'ayant plus de collège depuis quelques années, je n'ai plus travaillé sur Les Misérables depuis longtemps, et je trouve que n'étudier le parcours que d'un personnage est un axe d'étude très intéressant.
Une question: quand tu dis "j'ai enregistré une lecture de l'oeuvre complète pour que mes élèves en difficulté puissent lire l'oeuvre intégrale.", rassure-moi, ce n'est pas toi qui lis, si?
Bon courage, je suis sûre que ça va bien se passer.
Page 1 sur 4 • 1, 2, 3, 4
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum