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- bernardoFidèle du forum
Les instructions que tu as copiées-collées ci-dessus sont délirantes, issues d'un cerveau dérangé. Et le chef qui transmet ça doit aussi avoir quelques "difficultés" dans l'acquisition des ses compétences de chef.
Mon conseil : n'envoie rien à personne, oublie, lis un bon livre. C'est sans doute un cauchemar. Tu vas te réveiller. En attendant fais comme si de rien n'était. Remplis tes bulletins exactement comme d'habitude.
Mon conseil : n'envoie rien à personne, oublie, lis un bon livre. C'est sans doute un cauchemar. Tu vas te réveiller. En attendant fais comme si de rien n'était. Remplis tes bulletins exactement comme d'habitude.
- ZeSandmanFidèle du forum
Il est clair que je suivrais le conseil de Bernardo, à savoir faire comme si de rien n'était et écrire nos remarques comme bon nous semble.
Et si un CDE venait à me le reprocher, je l'autoriserais à reprendre chacune des remarques qui ne lui conviendraient pas et à les récrire, pour peu qu'il les signe de son nom et non du mien.
Maintenant quand on en arrive là c'est sur qu'il faut être prêt à subir j'imagine certaines tensions par la suite, et c'est pourquoi il est toujours préférable de pouvoir agir collectivement.
Je remarque par ailleurs que ce genre d'injonctions, je dirais même d'intrusion sur le domaine de nos choix pédagogiques par nos "hiérarchies", dont relève pour moi le contenu de nos appréciations, a tendance à se multiplier. J'imagine que beaucoup ont trop bien compris en quoi consistait le PPCR
Pour finir je remarque également qu'une appréciation convenable est une appréciation qui doit tellement détailler le niveau de l'éleve, fut-il nul, en habillant poliment les situations d'echec, qu'elle ne peut pas laisser de place au moindre commentaire sur un éventuel comportement inapproprié en classe par exemple. Maintenant depuis le temps que l'on fait tout pour cacher la poussière sous le tapis quant aux résultats, il semble logique qu'on cherche à étendre le principe de "bienveillance" à d'autres champs, quand bien même ils relèveraient de notre liberte pédagogique.
Et si un CDE venait à me le reprocher, je l'autoriserais à reprendre chacune des remarques qui ne lui conviendraient pas et à les récrire, pour peu qu'il les signe de son nom et non du mien.
Maintenant quand on en arrive là c'est sur qu'il faut être prêt à subir j'imagine certaines tensions par la suite, et c'est pourquoi il est toujours préférable de pouvoir agir collectivement.
Je remarque par ailleurs que ce genre d'injonctions, je dirais même d'intrusion sur le domaine de nos choix pédagogiques par nos "hiérarchies", dont relève pour moi le contenu de nos appréciations, a tendance à se multiplier. J'imagine que beaucoup ont trop bien compris en quoi consistait le PPCR
Pour finir je remarque également qu'une appréciation convenable est une appréciation qui doit tellement détailler le niveau de l'éleve, fut-il nul, en habillant poliment les situations d'echec, qu'elle ne peut pas laisser de place au moindre commentaire sur un éventuel comportement inapproprié en classe par exemple. Maintenant depuis le temps que l'on fait tout pour cacher la poussière sous le tapis quant aux résultats, il semble logique qu'on cherche à étendre le principe de "bienveillance" à d'autres champs, quand bien même ils relèveraient de notre liberte pédagogique.
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Ce sont les rêves qui donnent au monde sa forme.
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