- NatalinoNiveau 10
emanao a écrit:Je lis vos messages et j'ajoute mon grain de sel. Il y a deux ans (ou trois, je ne sais plus...), je suis sortie de la dissert persuadée d'avoir raté. Pas inspirée, pas contente de moi... j'ai rendu seulement huit pages et j'ai eu la moyenne. C'est sûrement un peu limite mais ce n'est donc pas rédhibitoire. Bonne chance à tous !
C'est gentil ! Cela dit, ça n'est pas le nombre de pages qui m'inquiètent réellement, c'est surtout que vraiment, je perçois la médiocrité de ma démonstration. Mais au moins, je n'aurais pas les mauvaises nuits que je passe dans ces cas là, quand je réalise que j'ai dit une bêtise ou fait une faute et que j'ai peur que ça gâche l'impression d'ensemble.
- AlkinosNiveau 5
Natalino a écrit:
Oui et ce paradoxe, je l'ai pointé du doigt, mais sans l'élucider.
Ben si tu as fait un plan type je autobiographique, je universel et je renouvelant le lyrisme, tu l'as élucidé. Le paradoxe de ce"moi" ne pouvant pas à la fois être et ne pas être est sensible dans l'oeuvre (Hugo parle bien de lui), on remplit le vide qu'il laisse avec l'universel (présence d'autres voix, présence de l'Histoire, Dieu, la Nature...) et la transmutation amène un nouveau lyrisme (tadaaam) qui peut exister par lui-même puisqu'il est devenu un "je" plein de "nous".
- Yseult2Niveau 5
Bonsoir à tous, je suis très contente que ce soit tombé sur Hugo puisque c'est le seul auteur que j'avais travaillé mais comme beaucoup d'entre vous j'ai été un peu déstabilisée et aussi agacée il faut bien le dire par le verbiage de la citation le moi qui n'est pas un je mais qui n'est pas un autre et machin... J'ai écrit 9 pages. L'an passé sur Yourcenar, j'ai écrit 9 pages également et j'ai eu 11 alors qu'il y a deux ans sur le fameux sujet abscons sur Baudelaire j'avais écrit 12 pages et j'ai eu 8....
- AlkinosNiveau 5
mrl a écrit:[
J'ai pensé après coup qu'il a avait aussi l'opposition "qui parle" vs "qui parle de lui". Intransitif, transitif, je trouve que ça rejoint aussi.
Opposition d'autant plus intéressante que Hugo écrit noir sur blanc dans sa préface l'exact contraire : "quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui crois que je ne suis pas toi!"
- NatalinoNiveau 10
Alkinos a écrit:Natalino a écrit:
Oui et ce paradoxe, je l'ai pointé du doigt, mais sans l'élucider.
Ben si tu as fait un plan type je autobiographique, je universel et je renouvelant le lyrisme, tu l'as élucidé. Le paradoxe de ce"moi" ne pouvant pas à la fois être et ne pas être est sensible dans l'oeuvre (Hugo parle bien de lui), on remplit le vide qu'il laisse avec l'universel (présence d'autres voix, présence de l'Histoire, Dieu, la Nature...) et la transmutation amène un nouveau lyrisme (tadaaam) qui peut exister par lui-même puisqu'il est devenu un "je" plein de "nous".
Non, ça n'a pas été mon approche du sujet (mais enfin, je pense simplement que je n'ai aucune approche du sujet). J'ai distingué en gros trois niveaux :
je écrit
le "moi" biographique
"la voix" qui est marqué par le "je" mais qui ne coïncide pas avec "moi", un "je" entièrement lyrique.
Du coup, j'ai fait plutôt I) l'effacement du moi au profit d'une autre instance ("la voix") pour accéder à l'universel II) le paradoxe montre le "moi" n'est jamais totalement effacé III) le "moi" a son rôle à jouer lui aussi (et même surtout lui) dans l'accès à l'universel. Mais, à la relecture, je me rends compte que c'est le même plan que le vôtre (avec inversion du I et du II), sauf que mon angle est différent pour ce dépassement, problématique différente oblige
- NatalinoNiveau 10
Yseult2 a écrit:Bonsoir à tous, je suis très contente que ce soit tombé sur Hugo puisque c'est le seul auteur que j'avais travaillé mais comme beaucoup d'entre vous j'ai été un peu déstabilisée et aussi agacée il faut bien le dire par le verbiage de la citation le moi qui n'est pas un je mais qui n'est pas un autre et machin... J'ai écrit 9 pages. L'an passé sur Yourcenar, j'ai écrit 9 pages également et j'ai eu 11 alors qu'il y a deux ans sur le fameux sujet abscons sur Baudelaire j'avais écrit 12 pages et j'ai eu 8....
Faut que j'arrête de produire 15-16 pages moi ... c'est manifestement inutile et c'est du temps perdu sur l'ensemble de la dissertation.
- AlkinosNiveau 5
Disons que le jury préfère visiblement une dissertation courte et traitant correctement le sujet que longue et hors limites...
- NatalinoNiveau 10
Voilà le lien vers l'article, sinon :
http://www.persee.fr/doc/roman_0048-8593_1971_num_1_1_5372
http://www.persee.fr/doc/roman_0048-8593_1971_num_1_1_5372
- NatalinoNiveau 10
page 2 (et la note qui définit "voix" vaut son pesant d'or aussi). C'est quasiment caricatural.
- AlkinosNiveau 5
Ce qui est intéressant c'est que pour la plupart, nos plans rejoignent la pensée de M. Albouy (je autobiographique, je universel, la transcendance du lyrisme).
- NatalinoNiveau 10
"la voix articule l'individuel au collectif ; proche de l'être, comme le dit Derrida, elle le fragmente dans l'existence, le reprend et le perd dans le "je-ici-maintenant", affirme le moi et le subordonne à l'autre ; elle est la présence du moi qui s'absente dans l'écriture et elle embraye cette absence sur la présence du poème".
Fallait-il savoir CA avant de composer ? :blague:
Fallait-il savoir CA avant de composer ? :blague:
- NatalinoNiveau 10
Alkinos a écrit:Ce qui est intéressant c'est que pour la plupart, nos plans rejoignent la pensée de M. Albouy (je autobiographique, je universel, la transcendance du lyrisme).
Intéressant ou même rassurant pour vous ! Ca sera peut-être la bonne année pour vous, après tout !
- AlkinosNiveau 5
Natalino a écrit:Alkinos a écrit:Ce qui est intéressant c'est que pour la plupart, nos plans rejoignent la pensée de M. Albouy (je autobiographique, je universel, la transcendance du lyrisme).
Intéressant ou même rassurant pour vous ! Ca sera peut-être la bonne année pour vous, après tout !
Tu dis toi-même que tu as suivi ce plan, mais avec un ordre différent...
J'ai retrouvé une échelle de notation transmise par mon formateur sur Pascal l'année dernière :
"Une note inférieur ou égale à 6 indique d'importants défauts de méthode, soit que le sujet ne soit pas réellement traité (ou pas compris), soit que la construction d'ensemble pose des problèmes majeurs. Les 7 et les 8 sont des copies inégales, où la dimension dialectique fait souvent défaut, soit que le débat ne parte pas sur ce qui est discutable, soit que les analyses ne soient pas assez centrées sur le sujet, et fassent trop de place à la récitation de généralités. Entre 9 et 10, il y a des qualités sérieuses de réflexion et d'analyse, mais le sujet n'a été que partiellement traité ou compris, il y a des lacunes et des maladresses et souvent encore sporadiquement des développements hors-sujet. Au-dessus de 10, la méthode est acquise, le sujet compris, et c'est alors la qualité, la pertinence, la précision des développements, des formules et des exemples qui fait la différence."
- NejNiveau 5
Quand je vous lis, j'ai l'impression d'être totalement HS avec un plan qui tournait plutôt autour de la "béance", donc une tension entre distance et proximité dans laquelle le Moi trouve son expression I - La voix spectrale (écart haut-bas, tension "verticale" - catabase/anabase) II - La voix "refondée" par le dépassement de l'expérience du deuil, pour se faire porte-parole universel (une force "en marche", tension "horizontale") III- La voix du poète -mage qui abolit toute distance (unité du cosmos/dimension symbolique..)
_________________
"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- NejNiveau 5
Alkinos a écrit:Natalino a écrit:Alkinos a écrit:Ce qui est intéressant c'est que pour la plupart, nos plans rejoignent la pensée de M. Albouy (je autobiographique, je universel, la transcendance du lyrisme).
Intéressant ou même rassurant pour vous ! Ca sera peut-être la bonne année pour vous, après tout !
Tu dis toi-même que tu as suivi ce plan, mais avec un ordre différent...
J'ai retrouvé une échelle de notation transmise par mon formateur sur Pascal l'année dernière :
"Une note inférieur ou égale à 6 indique d'importants défauts de méthode, soit que le sujet ne soit pas réellement traité (ou pas compris), soit que la construction d'ensemble pose des problèmes majeurs. Les 7 et les 8 sont des copies inégales, où la dimension dialectique fait souvent défaut, soit que le débat ne parte pas sur ce qui est discutable, soit que les analyses ne soient pas assez centrées sur le sujet, et fassent trop de place à la récitation de généralités. Entre 9 et 10, il y a des qualités sérieuses de réflexion et d'analyse, mais le sujet n'a été que partiellement traité ou compris, il y a des lacunes et des maladresses et souvent encore sporadiquement des développements hors-sujet. Au-dessus de 10, la méthode est acquise, le sujet compris, et c'est alors la qualité, la pertinence, la précision des développements, des formules et des exemples qui fait la différence."
Merci pour cette échelle de notation, je comprends ma (mauvaise) note de l'an passée et m'attends à la même chose cette année, en raison du même défaut....
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- NatalinoNiveau 10
Alkinos a écrit:Natalino a écrit:Alkinos a écrit:Ce qui est intéressant c'est que pour la plupart, nos plans rejoignent la pensée de M. Albouy (je autobiographique, je universel, la transcendance du lyrisme).
Intéressant ou même rassurant pour vous ! Ca sera peut-être la bonne année pour vous, après tout !
Tu dis toi-même que tu as suivi ce plan, mais avec un ordre différent...
J'ai retrouvé une échelle de notation transmise par mon formateur sur Pascal l'année dernière :
"Une note inférieur ou égale à 6 indique d'importants défauts de méthode, soit que le sujet ne soit pas réellement traité (ou pas compris), soit que la construction d'ensemble pose des problèmes majeurs. Les 7 et les 8 sont des copies inégales, où la dimension dialectique fait souvent défaut, soit que le débat ne parte pas sur ce qui est discutable, soit que les analyses ne soient pas assez centrées sur le sujet, et fassent trop de place à la récitation de généralités. Entre 9 et 10, il y a des qualités sérieuses de réflexion et d'analyse, mais le sujet n'a été que partiellement traité ou compris, il y a des lacunes et des maladresses et souvent encore sporadiquement des développements hors-sujet. Au-dessus de 10, la méthode est acquise, le sujet compris, et c'est alors la qualité, la pertinence, la précision des développements, des formules et des exemples qui fait la différence."
Oui, parce que précisément, en première partie, je n'ai pas défini le sujet de la même manière que vous (puisque pour moi la thèse d'Albouy c'est que le "je" n'est pas personnel, mais lyrique. C'est pour ça que je pars d'abord d'un je lyrique à dimension universel alors que vous partez du je autobiographique). Dans un bouquin de méthode, j'ai lu une fois que l'ordre du plan était assez peu important, en tant que tel, mais si j'ai mal défini le sujet, hein ... c'est réellement problématique (au mauvais sens du terme) !
Ma question, de bonne foi, c'est : devions-nous être capable de définir exactement la voix au sens très précis que lui donne l'auteur de la citation (dans la mesure où c'est un concept emprunté à Hugo) ? Dans ce cas là, le sujet devenait en effet ENCORE beaucoup plus difficile. Je ne connaissais pas cette notion hugolienne, en tout cas.
- NatalinoNiveau 10
Nej a écrit:Quand je vous lis, j'ai l'impression d'être totalement HS avec un plan qui tournait plutôt autour de la "béance", donc une tension entre distance et proximité dans laquelle le Moi trouve son expression I - La voix spectrale (écart haut-bas, tension "verticale" - catabase/anabase) II - La voix "refondée" par le dépassement de l'expérience du deuil, pour se faire porte-parole universel (une force "en marche", tension "horizontale") III- La voix du poète -mage qui abolit toute distance (unité du cosmos/dimension symbolique..)
Moi, je trouve que tout ce que tout le monde écrit est intéressant, beaucoup plus riche que ce que j'ai proposé. Et mon trois rejoint le tien.
- AlkinosNiveau 5
Natalino a écrit:
Ma question, de bonne foi, c'est : devions-nous être capable de définir exactement la voix au sens très précis que lui donne l'auteur de la citation (dans la mesure où c'est un concept emprunté à Hugo) ? Dans ce cas là, le sujet devenait en effet ENCORE beaucoup plus difficile. Je ne connaissais pas cette notion hugolienne, en tout cas.
Je ne suis pas membre du jury, donc je ne peux pas te répondre. Ce qui me fait un peu peur, à la lecture de l'article, c'est que justement dans mon accroche j'ai évoqué les "vertes années" du romantisme et la tendance à l'épanchement façon Musset et Lamartine (Ah! frappe-toi le coeur, c'est là qu'est le génie!) avant d'enchaîner sur Hugo et le fait que composer des vers après les horreurs de la Révolution était difficilement défendable et devait appeler à un renouvellement de la poésie... Or Albouy rejette clairement cette conception du romantisme-épanchement personnel...
- ZybulkaHabitué du forum
Courage à celles et ceux pour qui Hugo était le mauvais sujet... Pour une fois que moi ça ne tombe pas sur mon impasse, je compatis !
Je ne résiste pas à partager ça avec vous : voici le bandeau publicitaire qui s'est affiché tout à l'heure quand je surfais sur un autre site !
Je ne résiste pas à partager ça avec vous : voici le bandeau publicitaire qui s'est affiché tout à l'heure quand je surfais sur un autre site !
- NatalinoNiveau 10
Alkinos a écrit:Natalino a écrit:
Ma question, de bonne foi, c'est : devions-nous être capable de définir exactement la voix au sens très précis que lui donne l'auteur de la citation (dans la mesure où c'est un concept emprunté à Hugo) ? Dans ce cas là, le sujet devenait en effet ENCORE beaucoup plus difficile. Je ne connaissais pas cette notion hugolienne, en tout cas.
Je ne suis pas membre du jury, donc je ne peux pas te répondre. Ce qui me fait un peu peur, à la lecture de l'article, c'est que justement dans mon accroche j'ai évoqué les "vertes années" du romantisme et la tendance à l'épanchement façon Musset et Lamartine (Ah! frappe-toi le coeur, c'est là qu'est le génie!) avant d'enchaîner sur Hugo et le fait que composer des vers après les horreurs de la Révolution était difficilement défendable et devait appeler à un renouvellement de la poésie... Or Albouy rejette clairement cette conception du romantisme-épanchement personnel...
Mon accroche ça a été "Moi je vais devant moi" dans la vie aux champs. Cette année, j'ai évité toute remarque théorique extérieure au livre. J'ai parlé de l'oeuvre, l'oeuvre, l'oeuvre de la première ligne de l'introduction à la dernière ligne de la conclusion avec simplement un passage par les Mémoires d'outre-tombe.
Bon, je suis très soulagé en me disant qu'Hugo dégage. J'espère que Montaigne sera reconduit et que le XXème sera mis de côté. Ça pourrait donner roman en XVIIème (les trois nouvelles historiques de Mme de La Fayette par exemple), drame romantique pour le XIXème et un essai pour le XVIIIème ? Poésie en M-A. Un bon film classique et voilà, je n'en demande pas plus.
- NatalinoNiveau 10
Sinon, vous saviez que c'était la dernière année où le statut de bi-admissible était en jeu ? (bon, je je suis pas concerné, mais enfin ...)
- AlkinosNiveau 5
Je l'ignorais. C'est officiel?
Je ne suis pas concerné non plus, mais bon...
Je ne suis pas concerné non plus, mais bon...
- NejNiveau 5
Zybulka a écrit:Courage à celles et ceux pour qui Hugo était le mauvais sujet... Pour une fois que moi ça ne tombe pas sur mon impasse, je compatis !
Je ne résiste pas à partager ça avec vous : voici le bandeau publicitaire qui s'est affiché tout à l'heure quand je surfais sur un autre site !
Aaah si elle pouvait s'acheter .....
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- NatalinoNiveau 10
Alkinos a écrit:Je l'ignorais. C'est officiel?
Je ne suis pas concerné non plus, mais bon...
Ca m'a été simplement dit par une candidate aujourd'hui, qui perd son statut de bi-admissible, redevient une "certifiée" avec "bonification". Premier pas vers la fin de l'agreg' interne ?
- NestyaEsprit sacré
Natalino a écrit:Sinon, vous saviez que c'était la dernière année où le statut de bi-admissible était en jeu ? (bon, je je suis pas concerné, mais enfin ...)
C'est à cause de la mise en place du PPCR. Ceux qui étaient bi admissibles gardent leurs avantages mais ce statut disparaît à la rentrée.
_________________
"Attendre et espérer."
Alexandre Dumas
- AlkinosNiveau 5
Mouais...
A l'époque où j'ai passé mon CAPES (2007), il y avait déjà des rumeurs de suppression de l'agrégation interne, voire de l'agrégation tout court.
Concernant la bi-admissibilité, il faut bien avouer que le statut lui-même n'offrait à ma connaissance qu'un avantage financier. Donc du point de vue administratif, certifié bi-admissible ou certifié avec bonification, je ne vois pas trop la différence.
En revanche, si le processus devait mener à terme à la suppression de l'agrégation interne, je pense que je changerai de métier.
Passer ma journée à demander à des merdeux de fermer leur clapet en étant payé au lance-pierre, sans la moindre perspective de reconnaissance intellectuelle ou financière, j'aime autant aller travailler chez Mc Do.
A l'époque où j'ai passé mon CAPES (2007), il y avait déjà des rumeurs de suppression de l'agrégation interne, voire de l'agrégation tout court.
Concernant la bi-admissibilité, il faut bien avouer que le statut lui-même n'offrait à ma connaissance qu'un avantage financier. Donc du point de vue administratif, certifié bi-admissible ou certifié avec bonification, je ne vois pas trop la différence.
En revanche, si le processus devait mener à terme à la suppression de l'agrégation interne, je pense que je changerai de métier.
Passer ma journée à demander à des merdeux de fermer leur clapet en étant payé au lance-pierre, sans la moindre perspective de reconnaissance intellectuelle ou financière, j'aime autant aller travailler chez Mc Do.
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