HELP: Une réunion d'équipe avec un IPR sur le temps de midi obligatoire!!!

En sus, chacun doit aussi apporter un plat, concocté par lui, à l'IPR?
Par ailleurs il me semble qu'il y a un texte qui indique qu'on ne peut pas manger de nourriture en dehors des zones prévues à cet effet.

Audrey a écrit:Que l'IPR mange à la cantine parce qu'il passe la journée au bahut, c'est normal. Que les collègues soient conviés à manger avec lui, tant que ça reste libre, ok. Mais qu'on organise une réunion de travail imposée sur un repas avec l'IPR, non. Désolée, moi, je ne bosse pas de façon efficace en mangeant, et je n'ai pas envie de partager ce moment-là du repas, supposé être un moment de détente, avec mon supérieur hiérarchique.

Je suis d'accord avec Audrey.
Mais je ne sais pas ce que je ferais à sa place.
Le fait que je ne déjeune jamais à la cantine me simplifierait le problème, je pense.

Ben écoute, Skindiver, très bien si tu veux passer ta vie à faire ton boulot, penser à ton boulot, parler de ton boulot, manger à ton boulot... Pour ma part, et je ne pense pas être la seule, je m'y refuse.

Derborence a écrit:

Audrey a écrit:Que l'IPR mange à la cantine parce qu'il passe la journée au bahut, c'est normal. Que les collègues soient conviés à manger avec lui, tant que ça reste libre, ok. Mais qu'on organise une réunion de travail imposée sur un repas avec l'IPR, non. Désolée, moi, je ne bosse pas de façon efficace en mangeant, et je n'ai pas envie de partager ce moment-là du repas, supposé être un moment de détente, avec mon supérieur hiérarchique.

Je suis d'accord avec Audrey.
Mais je ne sais pas ce que je ferais à sa place.
Le fait que je ne déjeune jamais à la cantine me simplifierait le problème, je pense.

Je n'y déjeune jamais. Mais là, ce ne sera même pas à la cantine, mais en salle polyvalente, avec repas froid préparé par les cuisiniers (qui sont toujours dégueulasses en plus, je précise...). La Chef veut se faire mousser auprès de l'IPR, et nous met la pression pour cette réunion, preuve en est son refus ce matin de la décaler à plus tard, quand mes collègues et moi aurons le temps de la préparer...

Audrey a écrit:

Je n'y déjeune jamais. Mais là, ce ne sera même pas à la cantine, mais en salle polyvalente, avec repas froid préparé par les cuisiniers (qui sont toujours dégueulasses en plus, je précise...). La Chef veut se faire mousser auprès de l'IPR, et nous met la pression pour cette réunion, preuve en est son refus ce matin de la décaler à plus tard, quand mes collègues et moi aurons le temps de la préparer...

Sans vouloir défendre ton principal, l'emploi du temps des IPR est très contraint, il est difficile de décaler une réunion qu'il a planifiée. Le repas avec l'IPR est assez habituel dans mon établissement quand il reste la journée.

Ensuite, je conçois que la pilule soit difficile à avaler avec l'entretien auquel tu as eu droit.

Moi j'avais eu droit à ce fameux repas juste avant mon inspection, c'était horrible, entre la collègue inspectée le matin qui faisait la gueule et l super prof aux Projets et îlots inversés en vedette en le CDE et l'IPR.

Audrey, je comprends ta réaction. Que l'IPR mange à la cantine, ok, que les collègues qui y mangent, mangent avec lui, ok aussi, mais qu'on impose à l'équipe de manger avec lui, non, ce n'est pas normal. Ou c'est une réunion et vous avez le temps de manger avant (30 minutes si vraiment 45 c'est "trop" pour votre CDE... *rolls eyes*), ou c'est un repas, et dans ce cas, ceux qui ne mangent pas à la cantine ne se font pas remonter les bretelles de ne pas venir (je pense à l'histoire racontée plus haut des collègues ne travaillant pas le jour de la "petite bouffe" avec l'IPR et qui se sont fait remonter les bretelles... on rêve Oo !).

C'est quoi ce truc. On va la jouer au management entrepreneurial maintenant ? On se fait dégommer autour d'une cuisse de poulet et d'un verre de coca sans bulles ?

menerve a écrit:Chez nous c'est systématique en cas d'inspection: les inspecteurs prennent leur repas avec les profs inspectés.

C'te blague

Comment font donc les collègues qui ne mangent pas à la cantine, ou ne mangent pas à midi tout court ? Je ne sache pas qu'il soit obligatoire de manger, ni de manger à la cantine.

Je lis tout ceci depuis un moment. Audrey, malgré nos différents, je souhaite participer aussi, si possible. Une question me vient : vu ton épuisement, ne peux-tu aller voir un médecin ? Si tu es en arrêt, personne n'aura rien à y redire !

RooMcfly a écrit:

Tu peux toujours faire acte de présence et amener ta propre nourriture.

Mais la question n'est pas là. Il s'agit de sucrer la pause méridienne pour la transformer en réunion de travail, il est là, le problème. La pause, c'est la pause, si l'IPR veut une réunion de travail, il la programme dans les règles et à un autre moment, point. A midi, on bouffe (ou pas), et Audrey a parfaitement raison : c'est quoi, ces façons de parler la bouche pleine ? :lol:
Charge à ceux que ça dérange de refuser fermement. Audrey, tu en as déjà pris une pleine gueule, je ne vois pas bien ce que tu crains, là.

skindiver a écrit:Je suis le seul à ne pas voir où est le problème?
Je ne comprends sincèrement pas.

C'est bien le problème. Bouffe avec tes chefs si ça te fait plaisir, travaille sur ton temps de pause si ça t'éclate (à midi ou à minuit, quelle importance après tout ? ) ; mais que l'on n'exige pas que tout le monde sacrifie tout son temps. Personnellement, je ne mange pas à midi, mais je dépense beaucoup d'énergie pendant mes cours, donc j'ai besoin de pouvoir me poser, au calme, pendant une heure ; ce qui exclut toute réunion, a fortiori dans un lieu aussi bruyant que la cantine.

Audrey a écrit: La Chef veut se faire mousser auprès de l'IPR, et nous met la pression pour cette réunion, preuve en est son refus ce matin de la décaler à plus tard, quand mes collègues et moi aurons le temps de la préparer...

Oui, d'accord, elle met la pression, mais comment ? Elle ne va pas sortir un entonnoir pour te faire bouffer du taboulé de chez Sodexo, la Convntion de Genève l'interdit. Et tu en as déjà pris une pleine gueule par l'IPR. Donc, concrètement, tu crains quoi en refusant mordicus de te plier à ces lubies stupides ?

Ruthven a écrit:
Sans vouloir défendre ton principal, l'emploi du temps des IPR est très contraint, il est difficile de décaler une réunion qu'il a planifiée. Le repas avec l'IPR est assez habituel dans mon établissement quand il reste la journée.

C'est leur problème, pas le nôtre. Je suis dispo de 22h à minuit douze, ce n'est pas pour autant que je trouverais logique et acceptable de recevoir mon IPR sur ces créneaux-là. Il y a des horaires acceptables pour les réunions, et d'autres qui ne le sont pas, notamment la pause de midi. On bouffe, on ne bosse pas, zut. Comme beaucoup de monde trouve ça tout naturel, et que le reste n'ose rien dire, on se fait forcer la main, et les casse-burnes dans mon genre qui refusent passent pour je ne sais quoi ; mais cessons donc de tout accepter, en particulier s'il s'agit de faire plaisir à une CDE barrée et à un IPR minable, comme c'est le cas dans ce que nous décrit Audrey.

Rendash a écrit:

RooMcfly a écrit:

Tu peux toujours faire acte de présence et amener ta propre nourriture.

Mais la question n'est pas là. Il s'agit de sucrer la pause méridienne pour la transformer en réunion de travail, il est là, le problème. La pause, c'est la pause, si l'IPR veut une réunion de travail, il la programme dans les règles et à un autre moment, point. A midi, on bouffe (ou pas), et Audrey a parfaitement raison : c'est quoi, ces façons  de parler la bouche pleine ? :lol:
Charge à ceux que ça dérange de refuser fermement. Audrey, tu en as déjà pris une pleine gueule, je ne vois pas bien ce que tu crains, là.

skindiver a écrit:Je suis le seul à ne pas voir où est le problème?
Je ne comprends sincèrement pas.

C'est bien le problème. Bouffe avec tes chefs si ça te fait plaisir, travaille sur ton temps de pause  si ça t'éclate (à midi ou à minuit, quelle importance après tout ? ) ; mais que l'on n'exige pas que tout le monde sacrifie tout son temps. Personnellement, je ne mange pas à midi, mais je dépense beaucoup d'énergie pendant mes cours, donc j'ai besoin de pouvoir me poser, au calme, pendant une heure ; ce qui exclut toute réunion, a fortiori dans un lieu aussi bruyant que la cantine.

Pour l'avoir vécu, le rapport n'est sans doute pas encore rédigé... ça en laisse des possibles.

Après, je suis à 200% d'accord avec toi : la pause méridienne est faite pour se... poser ! Si on commence comme ça, la suivante c'est la réunion parents-profs autour du barbec... ><.

Pour l'anecdote, j'ai eu, il y a quelques années, une inspection où la seule solution trouvée par la principale, entre mes cours et le planning de l'inspectrice,  a été de nous faire apporter deux plateaux repas pendant l'entretien. Donc j'ai eu droit à un entretien d'inspection tout en mangeant le plat du jour dans ma salle de classe!

Je copie-colle ce que j'ai mis sur le post sur l'inspection.
Je pense que tu as assez morflé.

Je pense qu'étant donné la tournure de l'entretien, je me ferais porter pâle (légalement) surtout si c'est pour reprendre un coup sur la carafe, ce qui semble bien parti (en soufflant le chaud et le froid puisque c'est pendant un déjeuner...)
(J'avoue qu'un entretien très inhumain et violent a fait arrêter mon mari pendant près d'un mois tant il était brisé, après c'est passé.)

L'IPR ayant tressé les lauriers de ta collègue, il semble approprié qu'elle fasse ce travail.
Toi, tu es épuisée et écoeurée à juste titre.
Jette l'éponge pendant quelques semaines.

Sinon, si tu veux faire les tâches demandées, je te propose de ne répondre aux demandes qu'en langues anciennes, rien en Lettres (si tes collègues sont solidaires.)

C'est rude.
Je pense bien à toi.

Herrelis a écrit:Si on commence comme ça, la suivante c'est la réunion parents-profs autour du barbec... ><.

Attends que la CDE de tiptop lise ça, tiens


Pour le rapport, ma foi, je ne vois pas bien le lien. Soit il est acceptable (pour quelque raison que ce soit, y compris, donc, la peur d'avoir un mauvais rapport ou une tape sur les doigts) de bouffer avec l'IPR pour travailler, soit ça ne l'est pas. Dans le premier cas, on accepte, dans le deuxième on refuse ; il me semble difficile ici de trouver un juste milieu.
Accessoirement, maintenant que l'inspection ne compte plus pour l'avancement, le moyen de pression est plus limité, si l'IPR est assez dégueulasse et malhonnête pour agir de la sorte. Reste la fameuse "accélération de carrière", peut-être, et l'accession à la hors-classe/classe exceptionnelle (puisque "vocation à", y dit le SNES, et tout :lol: ). Mouais. Dans ce cas, cette pression s'applique à tout, et Audrey n'a pas vraiment l'habitude d'y céder, ou du moins pas systématiquement.

Chez nous c'est très courant de faire ça... pas de nouveautés sous le soleil. Je préfère ça plutôt que de terminer à 19 heures.

Je voulais ajouter, mais je vois que d'autres l'ont fait avant moi, que l'inspection ne compte plus pour grand chose : plus de points, plus d'avancement accéléré par l'inspection... alors tu peux très bien te dispenser du "dîner d'affaire" avec ton inspecteur.

Rendash a écrit:

Herrelis a écrit:Si on commence comme ça, la suivante c'est la réunion parents-profs autour du barbec... ><.

Attends que la CDE de tiptop lise ça, tiens


Pour le rapport, ma foi, je ne vois pas bien le lien. Soit il est acceptable (pour quelque raison que ce soit, y compris, donc, la peur d'avoir un mauvais rapport ou une tape sur les doigts) de bouffer avec l'IPR pour travailler, soit ça ne l'est pas. Dans le premier cas, on accepte, dans le deuxième on refuse ; il me semble difficile ici de trouver un juste milieu.
Accessoirement, maintenant que l'inspection ne compte plus pour l'avancement, le moyen de pression est plus limité, si l'IPR est assez dégueulasse et malhonnête pour agir de la sorte. Reste la fameuse "accélération de carrière", peut-être, et l'accession à la hors-classe/classe exceptionnelle (puisque "vocation à", y dit le SNES, et tout :lol: ). Mouais. Dans ce cas, cette pression s'applique à tout, et Audrey n'a pas vraiment l'habitude d'y céder, ou du moins pas systématiquement.

Rha mince, elle va m'en vouloir après !!!

Pour la pression, j'ai vu après qu'en fait l’inspection d'Audrey n'amenait même pas de note. Donc ouais, du coup, là franchement ? J'ai vu ce que ça donnait les pressions des chefs et autres sur les fonctionnaires : ça parle beaucoup mais au bout du compte ça peut faire peu. Après, il faut accepter d'avoir une carrière lente et savoir se blinder contre les saletés et menaces qui peuvent être proférées, et ce n'est pas facile du tout. Mais bon, je ne suis pas connue pour ma "pliance" (si quelqu'un a le mot en français... je suis claquée ><) et je le paye régulièrement.

Dame Jouanne a écrit:Je voulais ajouter, mais je vois que d'autres l'ont fait avant moi, que l'inspection ne compte plus pour grand chose : plus de points, plus d'avancement accéléré par l'inspection... alors tu peux très bien te dispenser du "dîner d'affaire" avec ton inspecteur.

Voilà, y a pas de mal, à ne pas subir encore plus de mal !

JEMS a écrit:Chez nous c'est très courant de faire ça... pas de nouveautés sous le soleil. Je préfère ça plutôt que de terminer à 19 heures.

Mais pour ceux qui préfèrent manger tranquillement, ou qui veulent pouvoir se poser entre deux demi-journées de cours ? Si c'est affaire de préférence, celle d'Audrey me semble autant légitime que la tienne.
Et, bon sang, on ne parle PAS la bouche pleine. Donc, sauf si on a affaire à des gorets mal élevés, comment faire une réunion en mangeant ?

Il n'y a qu'un seul endroit où l'on mange obligatoirement sur place : en taule. Pour moi, le repas fait partie de la vie privée, je rentre déjeuner chez moi, parfois au restau, même si je reprends l'après-midi. Nos cours sont très durs, j'ai la "barre" sur le front , et c'est autre chose de déjeuner dans le calme que d'entendre des sauvages hurleurs dans al grande salle, puis des conversations sur les élèves.
Si j'avais une réunion obligatoire avec un IPR, je regarderais ostensiblement les autres manger, je n'ai même pas de carte de cantine, pur bien montrer que c'est une corvée et que j'attends que ça se passe. Ca ne me gêne pas de déjeuner après, voire pas du tout.

Audrey a écrit:Que l'IPR mange à la cantine parce qu'il passe la journée au bahut, c'est normal. Que les collègues soient conviés à manger avec lui, tant que ça reste libre, ok. Mais qu'on organise une réunion de travail imposée sur un repas avec l'IPR, non. Désolée, moi, je ne bosse pas de façon efficace en mangeant, et je n'ai pas envie de partager ce moment-là du repas, supposé être un moment de détente, avec mon supérieur hiérarchique.

Je partage entièrement ton point de vue. Parler boulot en déjeunant, c'est niet.
Peux-tu annoncer que tu les rejoindras après avoir déjeuné ?

edit : d'accord avec Lefteris. En cas de refus, je resterais ostensiblement les bras croisés, quitte à me priver de repas et à manger une pomme en allant chercher les élèves.

Herrelis a écrit:Pour la pression, j'ai vu après qu'en fait l’inspection d'Audrey n'amenait même pas de note. Donc ouais, du coup, là franchement ? J'ai vu ce que ça donnait les pressions des chefs et autres sur les fonctionnaires : ça parle beaucoup mais au bout du compte ça peut faire peu. Après, il faut accepter d'avoir une  carrière lente et savoir se blinder contre les saletés et menaces qui peuvent être proférées, et ce n'est pas facile du tout. Mais bon, je ne suis pas connue pour ma "pliance" (si quelqu'un a le mot en français... je suis claquée ><) et je le paye régulièrement.

Audrey non plus, et elle ne l'a pas vraiment payé du point de vue de la carrière, elle qui a toujours avancé au grand choix. C'est pour ça que je demandais de quelles pressions, concrètement, il pouvait être question : je ne vois pas du tout, donc je me dis que quelque chose m'échappe sans doute.

Rendash a écrit:

JEMS a écrit:Chez nous c'est très courant de faire ça... pas de nouveautés sous le soleil. Je préfère ça plutôt que de terminer à 19 heures.

Mais pour ceux qui préfèrent manger tranquillement, ou qui veulent pouvoir se poser entre deux demi-journées de cours ? Si c'est affaire de préférence, celle d'Audrey me semble autant légitime que la tienne.
Et, bon sang, on ne parle PAS la bouche pleine. Donc, sauf si on a affaire à des gorets mal élevés, comment faire une réunion en mangeant ?  

Et puis si c'est pour manger du taboulé face à une IPR avec de la menthe entre les dents...

Dame Jouanne a écrit:Je voulais ajouter, mais je vois que d'autres l'ont fait avant moi, que l'inspection ne compte plus pour grand chose : plus de points, plus d'avancement accéléré par l'inspection... alors tu peux très bien te dispenser du "dîner d'affaire" avec ton inspecteur.

Attention, l'évaluation telle qu'elle est conçue dans le projet actuel va bien au-delà de l'avancement : il ne faut pas confondre l'évaluation régulière et les rendez-vous de carrière. L'évaluation régulière sera utilisée pur envoyer en "formation" les récalcitrants qui auront des "à consolider" ou "insuffisant" , en guise de représailles nommées "accompagnement" dans la novlangue.
Et puis il y aura la hors-classe, qui sera fermée aux non-proposés....

Lefteris a écrit:Il n'y a qu'un seul endroit où l'on mange obligatoirement sur place : en taule.  Pour moi, le repas fait partie de la vie privée, je rentre déjeuner chez moi, parfois au restau,  même si je reprends l'après-midi. Nos cours sont très durs, j'ai la "barre" sur le front , et c'est autre chose de déjeuner dans le calme que d'entendre des sauvages hurleurs dans al grande salle, puis des conversations sur les élèves.
Si j'avais une réunion obligatoire avec un IPR, je regarderais ostensiblement les autres manger, je n'ai même pas de carte de cantine, pur bien montrer que c'est une corvée et que j'attends que ça se passe. Ca ne me gêne pas de déjeuner après, voire pas du tout.

Et en étant un brin tordu, mais juste un brin, tu pourrais même tourner de l’œil, soit pendant le repas, soit avant de reprendre les cours, faute d'avoir eu le temps de manger :lol: