- FrisouilleEnchanteur
Pointàlaligne a écrit: merci Soir !
Attends, il faut que nous votions tous pour t'accorder la validité de ce défi, alors t'emballe pas.
- Spoiler:
- :pas vrai:
- PointàlaligneExpert
Frisouille a écrit:Pointàlaligne a écrit: merci Soir !
Attends, il faut que nous votions tous pour t'accorder la validité de ce défi, alors t'emballe pas.
- Spoiler:
:pas vrai:
oh eh l'autre
J'ai commencé, c'est bien agréable, ... Redoutable pour les bulletins
- FrisouilleEnchanteur
L'important est de se faire plaisir.
- AphrodissiaMonarque
13. Un livre dont le titre comporte le nom d'un animal. Balzac, La maison du chat-qui-pelote.
C'est un court roman, que j'ai trouvé charmant et que j'ai choisi d'abord pour son titre amusant.
C'est l'histoire d'une de ces familles bourgeoises dans lesquelles l'aînée fait un mariage de raison et la cadette un mariage d'amour avec un artiste aristocrate, "une âme forte" dit Balzac; tiens, tiens, je repense à Thérèse, je réfléchis au personnage de Théodore, peut-être bien, en effet, y aurait-il une similitude mais ce n'est pas l'histoire de Théodore que Balzac raconte.
Il peut convenir aussi au défi 26 puisque l'un des personnages est un artiste et que l'histoire suit le chemin de son œuvre et c'est aussi un livre sans chapitre.
C'est un court roman, que j'ai trouvé charmant et que j'ai choisi d'abord pour son titre amusant.
C'est l'histoire d'une de ces familles bourgeoises dans lesquelles l'aînée fait un mariage de raison et la cadette un mariage d'amour avec un artiste aristocrate, "une âme forte" dit Balzac; tiens, tiens, je repense à Thérèse, je réfléchis au personnage de Théodore, peut-être bien, en effet, y aurait-il une similitude mais ce n'est pas l'histoire de Théodore que Balzac raconte.
Il peut convenir aussi au défi 26 puisque l'un des personnages est un artiste et que l'histoire suit le chemin de son œuvre et c'est aussi un livre sans chapitre.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- EudeNiveau 2
Deux oeuvres de littérature jeunesse pour valider deux items:
- pour le défi n°16 ("un livre emprunté"): Momo, petit prince des Bleuets, de Yaël Hassan
- pour le défi n°43 ("Disparition"): Tim sans-dragon, d'Agnès Laroche
Momo, petit prince des Bleuets:
C'est un beau roman jeunesse et un beau roman pour tous ceux qui, de manière générale, ressentent le pouvoir que la littérature a sur eux. Mohammed, dit Momo, est un jeune garçon brillant qui vit dans la cité des Bleuets. Avec sa sœur aînée il fait figure d'exception dans la famille pour son goût de l'école. Grâce à une liste de livres que sa maîtresse lui a donnée et grâce aussi à la rencontre d'un ancien instituteur, Momo découvre le plaisir de la littérature.
J'ai aimé le fait que la découverte de ces livres se fasse en parallèle d'autres découvertes et que l'été du héros soit en fait constitué d'épreuves à surmonter, dont Momo sort grandi.
J'ai néanmoins trouvé certains aspects assez "cliché", mais je ne sais pas si c'est ma perception ou si c'est vraiment le cas.
Tim sans-dragon:
Dans un univers de type fantasy, Tim vit avec sa mère dresseuse de dragons. Il n'a qu'une chose en tête: retrouver son père disparu depuis un an. Mais on ne lui a pas dit toute la vérité sur cette disparition.
C'est un roman très agréable, quoique les personnages soient très manichéens (le gouverneur cruel, le précepteur sage et malicieux, etc.). Comme souvent, le héros est au début de l'histoire un personnage malmené, c'est assez classique. En revanche, et j'ai trouvé cela judicieux, il ne devient pas soudainement un héros grâce à un événement ou à un objet qui lui donnerait beaucoup de pouvoir. C'est un héros qui "fait avec" ce qu'il a. Bon bien sûr, ce qu'il a est quand même un énorme avantage mais bon :lol:
En conclusion, deux lectures agréables pour deux jeunes garçons en plein apprentissage du courage, de l'amitié, etc.
- pour le défi n°16 ("un livre emprunté"): Momo, petit prince des Bleuets, de Yaël Hassan
- pour le défi n°43 ("Disparition"): Tim sans-dragon, d'Agnès Laroche
Momo, petit prince des Bleuets:
C'est un beau roman jeunesse et un beau roman pour tous ceux qui, de manière générale, ressentent le pouvoir que la littérature a sur eux. Mohammed, dit Momo, est un jeune garçon brillant qui vit dans la cité des Bleuets. Avec sa sœur aînée il fait figure d'exception dans la famille pour son goût de l'école. Grâce à une liste de livres que sa maîtresse lui a donnée et grâce aussi à la rencontre d'un ancien instituteur, Momo découvre le plaisir de la littérature.
J'ai aimé le fait que la découverte de ces livres se fasse en parallèle d'autres découvertes et que l'été du héros soit en fait constitué d'épreuves à surmonter, dont Momo sort grandi.
J'ai néanmoins trouvé certains aspects assez "cliché", mais je ne sais pas si c'est ma perception ou si c'est vraiment le cas.
Tim sans-dragon:
Dans un univers de type fantasy, Tim vit avec sa mère dresseuse de dragons. Il n'a qu'une chose en tête: retrouver son père disparu depuis un an. Mais on ne lui a pas dit toute la vérité sur cette disparition.
C'est un roman très agréable, quoique les personnages soient très manichéens (le gouverneur cruel, le précepteur sage et malicieux, etc.). Comme souvent, le héros est au début de l'histoire un personnage malmené, c'est assez classique. En revanche, et j'ai trouvé cela judicieux, il ne devient pas soudainement un héros grâce à un événement ou à un objet qui lui donnerait beaucoup de pouvoir. C'est un héros qui "fait avec" ce qu'il a. Bon bien sûr, ce qu'il a est quand même un énorme avantage mais bon :lol:
En conclusion, deux lectures agréables pour deux jeunes garçons en plein apprentissage du courage, de l'amitié, etc.
- miss sophieExpert spécialisé
Pour le défi 50 (un livre dont l'auteur porte le même prénom que l'un de vos grands-parents) : La bibliothèque des cœurs cabossés de Katarina Bivald (le 2e prénom de ma grand-mère paternelle était son prénom usuel et c'était Catherine). Une lecture très sympa. Sara, jeune suédoise grande lectrice mais à la vie assez morne (complètement vide, en fait) entretient une correspondance avec Amy, une vieille dame de l'Iowa férue elle aussi de littérature, jusqu'à ce que la vieille dame l'invite à passer l'été chez elle ; mais quand Sara arrive, Amy vient de mourir... Les habitants de la bourgade tiennent à ce que Sara soit leur invitée en souvenir d'Amy, ce qui donne une situation très étrange et décalée. C'est très plaisant, avec des personnalités bien campées, des situations drôles, un ton léger.
- DimkaVénérable
Pour le quarantième défi (un livre dans lequel le paysage compte), j’ai lu Dans les forêts de Sibérie de Sylvain Tesson, et je ne sais pas trop quoi en penser. J’ai beaucoup aimé, mais certains aspects m’ont agacé. C’est une expérience bizarre, de lire un livre qui provoque des impressions aussi opposées : normalement, je suis enthousiaste OU agacé, pas les deux.
Bon. Déjà, le livre donne super envie d’aller s’enfermer tout seul, tranquillou, au fin fond de la Sibérie dans une cabane. L’auteur décrit ses sensations, le livre est assez méditatif, il ne se passe pas grand chose… et pourtant, ça accroche (alors que d’habitude, ce type de tentatives littéraires a surtout le don de me saouler au bout de dix secondes). Je pense qu’il y a un équilibre sympa entre les réflexions, sur la nature, sur ses lectures, sur ses pensées, sur la société. Et je crois aussi qu’il y a un mélange de sérieux et d’ironie, de dérision voire d’auto-dérision… qui fait que ça ne sombre pas dans le ridicule ou le grandiloquent (les paysages impressionnent facilement, mais retranscrire ces impressions donne rarement un résultat captivant).
Peut-être que c’est parce qu’il a le sens de la formule. Ça peut être agaçant, quand c’est pour balancer une assertion un peu rapide, mais c’est quand même souvent rigolo.
Bon. Dans les trucs qui m’ont quand même légèrement agacé :
Déjà, cette manie qu’ont les auteurs français d’aborder la Russie sous forme de stéréotypes et d’absolus. Et donc de toujours regarder les Russes ou les Slaves comme une unité, un archétype, et de faire de grandes généralités. Du genre : « Les Russes ont le principe de ne jamais prendre de précautions » (p. 9), ou encore « un territoire libre où les Russes peuvent s’adonner à leur activité préférée : faire n’importe quoi » (p. 89). De façon générale, ça donne l’idée que « les Russes » sont de gentils barbares, du genre grands enfants un peu agités mais pas tout à fait méchants non plus. Un peu de l’orientalisme (E. Saïd), version russe.
Ensuite… Bon, c’est un détail. Mais quand j’étais jeune et fou, à la fac de lettres, on avait étudié Thoreau (dans la traduction la plus pourritissime que l’on puisse imaginer), en littérature comparée (avec Rousseau et un obscure Chinois dont j’ai oublié le nom). Et le prof était un de ces grands malades relevant de la psychiatrie, qui estiment que lire un bouquin consiste à y appliquer ses fantasmes et obsessions personnels, ainsi que ses lectures d’ouvrages de psychologie mal digérée. Tu sais, le genre de gus avec lequel tu ne peux pas boire un stupide coca à la bouteille, sans qu’il n’y voie un symbole phallique, surtout que le coca, ça mousse.
Bref. Pour Thoreau, j’avais été fortement contrarié, le jour où ce prof nous avait expliqué que la maison, c’était le ventre maternel, et que le narrateur dans sa baraque, c’était le fœtus dans le ventre de sa mère. Même que je lui avais demandé si ça pouvait expliquer que les gens soient aussi peu hospitaliers, étant donné qu’avec une vision des choses comme cela, ça devenait compliqué d’inviter des potes dans le ventre de sa reum.
Disons que j’entends pouvoir rentrer chez moi et me boire un coca sans qu’un gus salisse mon quotidien de son regard de gros pervers.
Et là, *paf*, l’auteur présente sa baraque comme une « cabane maternelle ». Avec en plus, un « lac paternel » (p. 113). Moi, j’vous l’dis, va falloir se calmer, avec ça…
Et enfin, je ne suis pas tout à fait d’accord avec sa critique de la contestation sociale. Pour lui, il y a les pseudos-rebelles qui ont besoin de ce contre quoi ils se rebellent (et qui seraient au « chômage technique » si le système s’écroulait), et les ermites qui sont indépendants de tout ça, et seraient donc beaucoup plus dans une critique et un refus de fond. Et donc, conclusion, regardez-moi, je suis un vrai rebelle de la société, un vrai, un pur, un dur, pas comme ces petits contestataires de pacotille. Mais je trouve que c’est extrêmement méprisant pour les gens qui réfléchissent et luttent à leur niveau, ça préjuge qu’ils sont en lutte pour être en lutte, que la contestation est leur finalité, et finalement ça balaie complètement les motifs d’indignation. Un anar ne serait pas « au chômage technique » s’il gagnait, il serait juste… bah, dans le monde qu’il voulait. Les gens qui ont un problèmes veulent régler le problème, pas être juste dans le règlement de comptes permanent. Je trouve que c’est un point de vue extrêmement bourgeois de ne voir la rebellion que pour elle-même, et pas pour les objectifs qu’elle vise.
Puis bon, le gus, il ne passe pas le reste de sa vie en ermitage, hein… c’est juste six mois de vacances.
Bon. Déjà, le livre donne super envie d’aller s’enfermer tout seul, tranquillou, au fin fond de la Sibérie dans une cabane. L’auteur décrit ses sensations, le livre est assez méditatif, il ne se passe pas grand chose… et pourtant, ça accroche (alors que d’habitude, ce type de tentatives littéraires a surtout le don de me saouler au bout de dix secondes). Je pense qu’il y a un équilibre sympa entre les réflexions, sur la nature, sur ses lectures, sur ses pensées, sur la société. Et je crois aussi qu’il y a un mélange de sérieux et d’ironie, de dérision voire d’auto-dérision… qui fait que ça ne sombre pas dans le ridicule ou le grandiloquent (les paysages impressionnent facilement, mais retranscrire ces impressions donne rarement un résultat captivant).
Peut-être que c’est parce qu’il a le sens de la formule. Ça peut être agaçant, quand c’est pour balancer une assertion un peu rapide, mais c’est quand même souvent rigolo.
Casanova voyage et séjourne à Rome, à Paris, à Munich, à Genève, à Venise et à Naples. Il parle le français, l’anglais, l’italien et le latin. Il rencontre Voltaire, Hume et Goldoni. Il cite Copernic, l’Arioste et Horace. Ses amantes s’appellent Donna Lucrezia, Hedwige ou Henriette. Deux siècles plus tard, des technocrates disent qu’il est urgent de « construire l’Europe »
(pp. 116-117).
Nommer les bêtes et les plantes d’après les guides naturalistes, c’est comme reconnaître les stars dans la rue grâce aux journaux people. Au lieu de « Oh ! Mais c’est Madonna ! », on s’exclame « Ciel, une grue cendrée ! »
(p. 215)
Par ailleurs… Je ne sais pas pourquoi, mais là, il parle de ce qu’il lit, il commente ce qu’il vit par le prisme de ses lecteurs… et ça ne me donne pas l’impression de snobisme prétentieux que produit en général ce type d’écriture. Peut-être qu’il a vraiment quelque chose à dire sur ses lectures, que ce n’est pas seulement « ohlala, regardez comme je suis un intello cultivé qui lit des trucs de guedins », mais qu’il lit réellement. Et surtout, il ne donne pas l’impression de vivre par procuration à travers ses lectures.À Paris, avant le départ, on me mettait en garde. L’ennui constituerait mon ennemi mortifère ! J’en crèverais ! J’écoutais poliment. Les gens qui parlaient ainsi avaient le sentiment de constituer à eux seuls une distraction formidable.
(p. 109)
Bon. Dans les trucs qui m’ont quand même légèrement agacé :
Déjà, cette manie qu’ont les auteurs français d’aborder la Russie sous forme de stéréotypes et d’absolus. Et donc de toujours regarder les Russes ou les Slaves comme une unité, un archétype, et de faire de grandes généralités. Du genre : « Les Russes ont le principe de ne jamais prendre de précautions » (p. 9), ou encore « un territoire libre où les Russes peuvent s’adonner à leur activité préférée : faire n’importe quoi » (p. 89). De façon générale, ça donne l’idée que « les Russes » sont de gentils barbares, du genre grands enfants un peu agités mais pas tout à fait méchants non plus. Un peu de l’orientalisme (E. Saïd), version russe.
Chuis sûr qu’il y aurait une thèse à faire sur la perception de la Russie par les auteurs français, de Voltaire à nos jours.Les Slaves peuvent rester des heures assis à regarder perler les carreaux. Parfois, ils se lèvent, envahissent un pays, font une révolution puis retournent rêver devant leurs fenêtres, dans des pièces surchauffées. L’hiver, ils sirotent le thé interminablement, pas trop pressés de sortir.
(p. 37)
Ensuite… Bon, c’est un détail. Mais quand j’étais jeune et fou, à la fac de lettres, on avait étudié Thoreau (dans la traduction la plus pourritissime que l’on puisse imaginer), en littérature comparée (avec Rousseau et un obscure Chinois dont j’ai oublié le nom). Et le prof était un de ces grands malades relevant de la psychiatrie, qui estiment que lire un bouquin consiste à y appliquer ses fantasmes et obsessions personnels, ainsi que ses lectures d’ouvrages de psychologie mal digérée. Tu sais, le genre de gus avec lequel tu ne peux pas boire un stupide coca à la bouteille, sans qu’il n’y voie un symbole phallique, surtout que le coca, ça mousse.
Bref. Pour Thoreau, j’avais été fortement contrarié, le jour où ce prof nous avait expliqué que la maison, c’était le ventre maternel, et que le narrateur dans sa baraque, c’était le fœtus dans le ventre de sa mère. Même que je lui avais demandé si ça pouvait expliquer que les gens soient aussi peu hospitaliers, étant donné qu’avec une vision des choses comme cela, ça devenait compliqué d’inviter des potes dans le ventre de sa reum.
Disons que j’entends pouvoir rentrer chez moi et me boire un coca sans qu’un gus salisse mon quotidien de son regard de gros pervers.
Et là, *paf*, l’auteur présente sa baraque comme une « cabane maternelle ». Avec en plus, un « lac paternel » (p. 113). Moi, j’vous l’dis, va falloir se calmer, avec ça…
Et enfin, je ne suis pas tout à fait d’accord avec sa critique de la contestation sociale. Pour lui, il y a les pseudos-rebelles qui ont besoin de ce contre quoi ils se rebellent (et qui seraient au « chômage technique » si le système s’écroulait), et les ermites qui sont indépendants de tout ça, et seraient donc beaucoup plus dans une critique et un refus de fond. Et donc, conclusion, regardez-moi, je suis un vrai rebelle de la société, un vrai, un pur, un dur, pas comme ces petits contestataires de pacotille. Mais je trouve que c’est extrêmement méprisant pour les gens qui réfléchissent et luttent à leur niveau, ça préjuge qu’ils sont en lutte pour être en lutte, que la contestation est leur finalité, et finalement ça balaie complètement les motifs d’indignation. Un anar ne serait pas « au chômage technique » s’il gagnait, il serait juste… bah, dans le monde qu’il voulait. Les gens qui ont un problèmes veulent régler le problème, pas être juste dans le règlement de comptes permanent. Je trouve que c’est un point de vue extrêmement bourgeois de ne voir la rebellion que pour elle-même, et pas pour les objectifs qu’elle vise.
Puis bon, le gus, il ne passe pas le reste de sa vie en ermitage, hein… c’est juste six mois de vacances.
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- Spoiler:
- DimkaVénérable
Pour le défi « un livre ayant pour décor un pays ou une ville qui n'existe plus » (41), j’ai lu Les déportés du Cambrien de Robert Silverberg : les deux-tiers de l’histoire se déroulant dans le Cambrien, je pense que ça colle assez avec l’idée que ça n’existe plus. J’ai lu qu’en vrai, le Cambrien est mal daté, dans ce livre, mais franchement, on ne va pas chipoter pour 500 millions d’années, hein.
L’intrigue imagine qu’à la fin du XXe et au début du XXIe siècle, aux États-Unis, une sorte de gouvernement totalitaire se met en place. Les principaux opposants ne sont pas tués, mais déportés, un milliard d’années plus tôt, grâce à une machine qui ne permet que de remonter le temps vers le passé (et donc pas d’en revenir), hommes et femmes séparés (histoire qu’ils ne débutent pas une lignée qui perturberait leur futur, le passé du présent). Le livre comporte une double-réflexion : d’abord sur les mouvements politiques, notamment de gauche, d’opposition : sur leurs idées, mais surtout sur leur façon d’agir. Je n’ai pas trouvé ça fascinant, le livre date un peu.
Et ensuite, le livre réfléchit à ce qu’il se passe dans la tête d’hommes qui sont coincés dans des temporalités complètement inenvisageables, d’un point de vue humain, qui sont arrachés de façon absolue à leur univers, et ce que l’on peut imaginer de leur micro-société plutôt artificielle.
Souvent, la science fiction te présente un autre univers, radicalement différent, mais les personnages qui y sont, eux, sont « dans leur monde ». Alors qu’il y a là, aussi, l’expérience d’arracher un personnage à son monde et de voir ce qu’il se passe. J’aime bien cet aspect, cette réflexion. Ça m’a fait un peu penser à Tau zéro de Poul Anderson (ou de certaines histoires de la Patrouille du temps, aussi, mais Tau zéro m’avait plus marqué : bien plus vertigineux, bien plus radical).
Finalement, le livre m’a plutôt plu. Il est assez court, et pas forcément très approfondi (je pense que cent pages de réflexions politiques de plus m’auraient bien saoulé… par contre, cent pages de plus sur la petite communauté coincée dans le Cambrien, pourquoi pas), ça pose des questions intéressantes (pas renversantes non plus).
L’intrigue imagine qu’à la fin du XXe et au début du XXIe siècle, aux États-Unis, une sorte de gouvernement totalitaire se met en place. Les principaux opposants ne sont pas tués, mais déportés, un milliard d’années plus tôt, grâce à une machine qui ne permet que de remonter le temps vers le passé (et donc pas d’en revenir), hommes et femmes séparés (histoire qu’ils ne débutent pas une lignée qui perturberait leur futur, le passé du présent). Le livre comporte une double-réflexion : d’abord sur les mouvements politiques, notamment de gauche, d’opposition : sur leurs idées, mais surtout sur leur façon d’agir. Je n’ai pas trouvé ça fascinant, le livre date un peu.
Et ensuite, le livre réfléchit à ce qu’il se passe dans la tête d’hommes qui sont coincés dans des temporalités complètement inenvisageables, d’un point de vue humain, qui sont arrachés de façon absolue à leur univers, et ce que l’on peut imaginer de leur micro-société plutôt artificielle.
Souvent, la science fiction te présente un autre univers, radicalement différent, mais les personnages qui y sont, eux, sont « dans leur monde ». Alors qu’il y a là, aussi, l’expérience d’arracher un personnage à son monde et de voir ce qu’il se passe. J’aime bien cet aspect, cette réflexion. Ça m’a fait un peu penser à Tau zéro de Poul Anderson (ou de certaines histoires de la Patrouille du temps, aussi, mais Tau zéro m’avait plus marqué : bien plus vertigineux, bien plus radical).
Finalement, le livre m’a plutôt plu. Il est assez court, et pas forcément très approfondi (je pense que cent pages de réflexions politiques de plus m’auraient bien saoulé… par contre, cent pages de plus sur la petite communauté coincée dans le Cambrien, pourquoi pas), ça pose des questions intéressantes (pas renversantes non plus).
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- Spoiler:
- FrisouilleEnchanteur
Défi 9: seul livre écrit par un auteur
Ça y est, je suis venue à bout des 1220 pages d'Autant en emporte le vent! C'est peu dire que cette lecture m'a emportée (mouarf), le roman m'a vraiment surprise de bout en bout. Je pensais lire un récit à l'eau de rose, or l'histoire de Scarlett et Rhett (et des autres personnages) est bien loin des stéréotypes. J'ai totalement découvert cette vision de la guerre de Sécession proposée par l'auteur sudiste et cela m'a donné envie d'approfondir ma connaissance de cette Histoire-là.
Bon par contre j'ai été horrifiée par les comparaisons animalières faites à propos des esclaves puis domestiques noirs mais je pense que c'est lié au contexte historique, sociologique et familial dans lequel l'auteur a baigné.
Ça y est, je suis venue à bout des 1220 pages d'Autant en emporte le vent! C'est peu dire que cette lecture m'a emportée (mouarf), le roman m'a vraiment surprise de bout en bout. Je pensais lire un récit à l'eau de rose, or l'histoire de Scarlett et Rhett (et des autres personnages) est bien loin des stéréotypes. J'ai totalement découvert cette vision de la guerre de Sécession proposée par l'auteur sudiste et cela m'a donné envie d'approfondir ma connaissance de cette Histoire-là.
Bon par contre j'ai été horrifiée par les comparaisons animalières faites à propos des esclaves puis domestiques noirs mais je pense que c'est lié au contexte historique, sociologique et familial dans lequel l'auteur a baigné.
- FrisouilleEnchanteur
Parfum de jasmin dans la nuit syrienne, de Sarah Chardonnens (défi 5)
Choisi au hasard pour son titre, il s'agit davantage d'un récit de voyage mâtiné de réflexions géopolitiques. J'ai d'ailleurs préféré ses remarques au fil de son voyage de retour de Syrie vers sa Suisse natale que celles sur la situation politiques des pays arabes traversés et où elle a travaillé.
https://www.neoprofs.org/t107801-le-neo-defi-lecture-2017-les-listes-des-participants#3928459
Choisi au hasard pour son titre, il s'agit davantage d'un récit de voyage mâtiné de réflexions géopolitiques. J'ai d'ailleurs préféré ses remarques au fil de son voyage de retour de Syrie vers sa Suisse natale que celles sur la situation politiques des pays arabes traversés et où elle a travaillé.
https://www.neoprofs.org/t107801-le-neo-defi-lecture-2017-les-listes-des-participants#3928459
- LédisséEsprit sacré
Pfff, quel retard je prends...
Pour le défi 22 (un livre d’un auteur d’Asie), j'ai lu un japonais (le premier, j'ai honte), La Pierre et le Sabre et La parfaite lumière (la suite) d'Eiji Yoshikawa. Le premier surtout est un pavé.
L'auteur romance l'histoire d'un véritable héros japonais, Miyamoto Musashi, au début jeune tête brûlée de 17 ans brûlant de devenir samouraï (comme quasiment tous les garçons de l'époque), qui, grâce à la rencontre du moine Takuan, puis aux expériences (plutôt qu'aventures) que la vie met sur son chemin, suit la "Voie du Sabre", découvrant qu'il s'agit non seulement d'un ensemble de techniques de combat mais d'une voie philosophique et d'une manière de vivre. En trame de fond, une histoire d'amour, qui m'a légèrement agacée par son manque total de réalisme - certes, certes, c'est un ouvrage romanesque, mais (sans doute du fait de mon "européanisme") j'ai eu beaucoup de mal à me laisser convaincre par la psychologie des personnages, que j'ai trouvée souvent caricaturale ou rapidement expédiée. Les sentiments ou émotions (de même que les progrès de Musashi sur la Voie du Sabre), au lieu de naître progressivement, semblent se faire jour d'un coup, à la suite d'une sorte de révélation.
Le style - la syntaxe - est également surprenant parfois ; j'ai trouvé certaines phrases ampoulées, et je n'ai pas l'impression qu'il s'agisse de la traduction (impression gratuite, ceci dit, car je n'ai aucun moyen d'en juger). J'imagine qu'il s'agit de la "manière japonaise", mais il faudra que j'en lise d'autres pour confirmer cette idée - et la préciser, car j'ai beaucoup de mal à mettre précisément le doigt sur cette étrangeté que j'ai ressentie.
Une bonne lecture dans l'ensemble ; il est intéressant de découvrir le Japon du XVIIe siècle (alors qu'Edo/Tokyo commence seulement à sortir de terre), les rônins et la "philosophie" des samouraïs. Cela m'a donné en vie d'en savoir plus sur l'histoire de ce pays.
Je suis passée à une lecture correspondant davantage à mes habitudes avec 11/22/63 de Stephen King (déjà commenté ici je crois, et que j'avais depuis longtemps l'intention de lire).
Pour le défi 22 (un livre d’un auteur d’Asie), j'ai lu un japonais (le premier, j'ai honte), La Pierre et le Sabre et La parfaite lumière (la suite) d'Eiji Yoshikawa. Le premier surtout est un pavé.
L'auteur romance l'histoire d'un véritable héros japonais, Miyamoto Musashi, au début jeune tête brûlée de 17 ans brûlant de devenir samouraï (comme quasiment tous les garçons de l'époque), qui, grâce à la rencontre du moine Takuan, puis aux expériences (plutôt qu'aventures) que la vie met sur son chemin, suit la "Voie du Sabre", découvrant qu'il s'agit non seulement d'un ensemble de techniques de combat mais d'une voie philosophique et d'une manière de vivre. En trame de fond, une histoire d'amour, qui m'a légèrement agacée par son manque total de réalisme - certes, certes, c'est un ouvrage romanesque, mais (sans doute du fait de mon "européanisme") j'ai eu beaucoup de mal à me laisser convaincre par la psychologie des personnages, que j'ai trouvée souvent caricaturale ou rapidement expédiée. Les sentiments ou émotions (de même que les progrès de Musashi sur la Voie du Sabre), au lieu de naître progressivement, semblent se faire jour d'un coup, à la suite d'une sorte de révélation.
Le style - la syntaxe - est également surprenant parfois ; j'ai trouvé certaines phrases ampoulées, et je n'ai pas l'impression qu'il s'agisse de la traduction (impression gratuite, ceci dit, car je n'ai aucun moyen d'en juger). J'imagine qu'il s'agit de la "manière japonaise", mais il faudra que j'en lise d'autres pour confirmer cette idée - et la préciser, car j'ai beaucoup de mal à mettre précisément le doigt sur cette étrangeté que j'ai ressentie.
Une bonne lecture dans l'ensemble ; il est intéressant de découvrir le Japon du XVIIe siècle (alors qu'Edo/Tokyo commence seulement à sortir de terre), les rônins et la "philosophie" des samouraïs. Cela m'a donné en vie d'en savoir plus sur l'histoire de ce pays.
Je suis passée à une lecture correspondant davantage à mes habitudes avec 11/22/63 de Stephen King (déjà commenté ici je crois, et que j'avais depuis longtemps l'intention de lire).
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- FrisouilleEnchanteur
Avec le King tu as de nouveau plongé dans un pavé..
- LédisséEsprit sacré
Oui, mais celui-ci me fond entre les mains comme du beurre J'ai du mal à le lâcher !
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- AphrodissiaMonarque
Je suis en train de le lire aussi! J'aime beaucoup et il m'endort moins que Chateaubriand - dont je suis venue à bout du tome I, il faut le souligner. Je vais finir King avant de passer au tome II (mariage et révolution: tout un programme).
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- SeiGrand Maître
Lady C, pour ne pas rester sur la croyance que les auteurs japonais ne proposent que des personnages à la psychologie expédiée et à la syntaxe ampoulée, je te recommande la lecture du classique Yasunari Kawabata. J'éviterais de commencer par ses nouvelles, mais peut-être par Kyoto ou Les belles endormies, par exemple, deux romans d'une très grande finesse.
Pour ce qui est des auteurs vivants, j'ai adoré les Chroniques de l'oiseau à ressort de Murakami (alors que je n'aime pas du tout 1Q84).
Pour ce qui est des auteurs vivants, j'ai adoré les Chroniques de l'oiseau à ressort de Murakami (alors que je n'aime pas du tout 1Q84).
- FrisouilleEnchanteur
1Q84 était bien en dessous de nombre de ses précédents romans, c'est d'ailleurs pour ça que la trilogie a tant fait parler d'elle, car plus accessible mais aussi plus médiocre.
J'avais adoré La fin des temps de Murakami.
Junichiro Tanizaki fut également une belle découverte l'année dernière pour le défi. Et on ne peut pas lui reprocher son manque de subtilité.
J'avais adoré La fin des temps de Murakami.
Junichiro Tanizaki fut également une belle découverte l'année dernière pour le défi. Et on ne peut pas lui reprocher son manque de subtilité.
- MalagaModérateur
Pour le défi 18, un livre qui évoque l'histoire de l'Europe, j'ai lu La réparation de Colombe Schneck.
Colombe Schneck part de la naissance de sa fille, Salomé, pour remonter le fil de sa famille jusqu'à la petite Salomé, tuée en 1943 parce que juive. Son enquête la mène jusque dans le ghetto de Kovno où elle découvre l'histoire de Macha, Raya, Nahum, Myriam.
Ce livre est poignant, notamment lorsque l'on découvre les circonstances de la mort de Salomé, le geste de sa mère et de sa grand-mère. Une question clef du livre est : doit-on mourir avec ses enfants ou vivre sans eux ? La découverte de la Lituanie pendant la guerre et de la vie dans le ghetto était intéressante. L'écriture est parfois un peu décousue, notamment quand l'auteur explore le présent.
Colombe Schneck part de la naissance de sa fille, Salomé, pour remonter le fil de sa famille jusqu'à la petite Salomé, tuée en 1943 parce que juive. Son enquête la mène jusque dans le ghetto de Kovno où elle découvre l'histoire de Macha, Raya, Nahum, Myriam.
Ce livre est poignant, notamment lorsque l'on découvre les circonstances de la mort de Salomé, le geste de sa mère et de sa grand-mère. Une question clef du livre est : doit-on mourir avec ses enfants ou vivre sans eux ? La découverte de la Lituanie pendant la guerre et de la vie dans le ghetto était intéressante. L'écriture est parfois un peu décousue, notamment quand l'auteur explore le présent.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- LédisséEsprit sacré
Sei et Frisouille, merci pour vos conseils japonais !
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- miss sophieExpert spécialisé
Pour le défi 42 (un livre appartenant à un mouvement littéraire précis du XIXe siècle): Ruy Blas de Victor Hugo, drame romantique de 1838.
Pièce relue ce week-end avant d’en voir hier une adaptation comique par la troupe des Moutons noirs (spectacle réussi, très drôle, bien loin évidemment du ton de la pièce d’origine dont la moitié du texte est gardée et l’autre remaniée ; si vous avez l’occasion d’aller les voir, n’hésitez pas !). J’aime beaucoup cette œuvre. La situation tragique de Ruy Blas est vraiment touchante, tout comme les tirades où il exprime son amour pour la reine ; la tension ne se relâche pas d’un bout à l’autre du drame. On est emporté par une certaine virtuosité dans l’intrigue, entre le sombre don Salluste et le flamboyant don César. Et tout cela en alexandrins !
Pièce relue ce week-end avant d’en voir hier une adaptation comique par la troupe des Moutons noirs (spectacle réussi, très drôle, bien loin évidemment du ton de la pièce d’origine dont la moitié du texte est gardée et l’autre remaniée ; si vous avez l’occasion d’aller les voir, n’hésitez pas !). J’aime beaucoup cette œuvre. La situation tragique de Ruy Blas est vraiment touchante, tout comme les tirades où il exprime son amour pour la reine ; la tension ne se relâche pas d’un bout à l’autre du drame. On est emporté par une certaine virtuosité dans l’intrigue, entre le sombre don Salluste et le flamboyant don César. Et tout cela en alexandrins !
- SeiGrand Maître
Frisouille a écrit:1Q84 était bien en dessous de nombre de ses précédents romans, c'est d'ailleurs pour ça que la trilogie a tant fait parler d'elle, car plus accessible mais aussi plus médiocre.
J'avais adoré La fin des temps de Murakami.
Junichiro Tanizaki fut également une belle découverte l'année dernière pour le défi. Et on ne peut pas lui reprocher son manque de subtilité.
Merci beaucoup, Frisouille, tu m'ouvres des perspectives réjouissantes !
- AphrodissiaMonarque
10. Un livre dont le titre s'écrit sans les lettres de l'alphabet. Stephen King, 22/11/63
Je l'ai fini ce matin. J'ai bien aimé ce roman
Je l'ai fini ce matin. J'ai bien aimé ce roman
- Spoiler:
- haletant où l'on se prend à souhaiter que le cours des choses puisse être changé alors même qu'on a vu déjà la série qui en a été tirée et qui était aussi bien faite.
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- AmaliahEmpereur
Pour le prénom du grand-père ou de la grand-mère, on peut passer du masculin au féminin? Par exemple, Jeannine en Jean
- Spoiler:
- (-Baptiste)?
- DimkaVénérable
Jeannine en Jeannin.
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- Spoiler:
- LédisséEsprit sacré
Aphrodissia, tu spoiles...
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- miss sophieExpert spécialisé
Défis 37 (un livre policier) et aussi 43 (Disparition) et 8 (titre de plus de 6 mots) : Debout dans la tombe d'un autre de Ian Rankin (2012). Un très bon Rankin où l'on retrouve avec plaisir l'inspecteur John Rebus (à la retraite, mais pas complètement...) dans une affaire de disparitions de jeunes femmes sur plusieurs années autour de l'A9 qui relie Edimbourg à Inverness.
- AphrodissiaMonarque
Tu trouves? Je n'en ai pas l'impression pourtant. Je n'ai pas dit comment ça se terminait ni même ce qui s'y passait, j'ai l'impression de rester très vague dans mon commentaire. Je vais modifier et mettre en spoiler (c'est trop tard pour toi, pardon) mais vraiment je ne vois pas.LadyC a écrit:Aphrodissia, tu spoiles...
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
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