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- IphigénieProphète
En plus ça peut être créatif:
Quoi ma gueule, qu'est-ce qu'elle a ma gueule
Quoi ma gueule, qu'est-ce qu'elle a ma gueule
- RabelaisVénérable
Tu ne perds rien du tout, sauf si tu continues à le penser, ne te mets pas ça dans le crâne.La vita fugge a écrit:Merci les collègues pour le soutien; mais personne n'a remarqué un point essentiel: à la suite de cet "accident", ne risque-je d'avoir perdu ma crédibilité auprès de la classe? N'ai-je pas dit, implicitement, "voilà, je ne suis pas un prof, je parle le même langage que vous, vous pouvez donc utiliser ce langage avec moi" et éventuellement me dire de la fermer?
L'affaire est réglée,du moins au niveau des eleves,il n'y a pas à y revenir.
Oui, tu es sorti de ta réserve, oui, c'est limite, mais ça nous est tous arrivé.
Et ce n'est pas parce que tu as eu un langage grossier que tu n'es pas chef en ta classe.
Tu as le droit de les faire taire, pas l'inverse.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- CisilHabitué du forum
J'ai dit un jour un élève (à qui j'avais à plusieurs reprises demandé de manière courtoise de bien vouloir se taire) : "X, si mon cours t"emm****, dégage !". Devant les yeux exorbités des élèves et le silence qui a suivi, je m'en suis sortie par une pirouette, en arguant que je me devais d'utiliser le même langage qu'eux puisqu'ils ne comprenaient pas lorsque la formulation était polie.
J'étais tellement mal que je suis allée me "confesser" auprès de mes collègues en salle des profs immédiatement après, mais les élèves, eux, avaient oublié au cours suivant...
J'étais tellement mal que je suis allée me "confesser" auprès de mes collègues en salle des profs immédiatement après, mais les élèves, eux, avaient oublié au cours suivant...
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- SépiaNiveau 9
Croustibapt a écrit:ça m'est arrivé aussi en T1, lors du premier jour d'un remplacement de quinze jours.
"X, vous vous taisez ou vous sortez."
" Je comprends pas quand on me vouvoie".
" X, tu la ferme ou tu dégages".
L'élève a cessé de bavarder pendant la durée de mon remplacement.
J'adore!
A mon corps défendant, il m'arrive de temps en temps de déraper... Je m'en veux toujours, mais je n'ai jamais eu de problèmes...
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"La chance et la malchance sont deux godets d'un même puits"
- DaphnéDemi-dieu
Cisil a écrit:J'ai dit un jour un élève (à qui j'avais à plusieurs reprises demandé de manière courtoise de bien vouloir se taire) : "X, si mon cours t"emm****, dégage !". Devant les yeux exorbités des élèves et le silence qui a suivi, je m'en suis sortie par une pirouette, en arguant que je me devais d'utiliser le même langage qu'eux puisqu'ils ne comprenaient pas lorsque la formulation était polie.
J'étais tellement mal que je suis allée me "confesser" auprès de mes collègues en salle des profs immédiatement après, mais les élèves, eux, avaient oublié au cours suivant...
J'ai fait la même chose.
Au bout d'un moment ça suffit.
De toute façon c'est leur registre, ça ne les choque pas tant que ça.
Après c'est plutôt avec un parent qu'on pourrait avoir un problème, c'est arrivé à une collègue mais le CDE adjoint a vite recadré, surtout que le parent était un vrai c... qui réglait des comptes avec l'Ecole.
- ElaïnaDevin
La vita fugge a écrit:Merci les collègues pour le soutien; mais personne n'a remarqué un point essentiel: à la suite de cet "accident", ne risque-je d'avoir perdu ma crédibilité auprès de la classe? N'ai-je pas dit, implicitement, "voilà, je ne suis pas un prof, je parle le même langage que vous, vous pouvez donc utiliser ce langage avec moi" et éventuellement me dire de la fermer?
Je ne crois pas avoir dit à un élève de fermer sa gueule, , mais j'ai dit plusieurs fois "vous la fermez bien comme il faut maintenant" et jusqu'à présent aucun n'élève n'a cru judicieux de me dire de la fermer... In fine, l'élève s'est tu et il a boudé - la belle affaire. Tu t'es excusé (perso je ne trouve pas que tu lui aies manqué de respect, tu ne l'as pas insulté non plus). Tu ne risques rien. Ils auront oublié lundi.
- klaus2Habitué du forum
vocabulaire à éviter absolument. Notre langage ne doit pas être le leur.
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Eine andere Sprache zu können, ist wie eine zweite Seele zu besitzen.“ – Karl der Große. "Parler une autre langue, c'est comme posséder une seconde âme" (Charlemagne)
- PoupoutchModérateur
Il m'arrive, quand je suis vraiment exaspérée, de temps en temps, de céder à la familiarité (X, tu me soûles/me gaves ; Y ferme la ; Z tu m'emmerdes ou, à la classe entière, c'est quoi ce bordel?)... Je n'ai jamais vu que ça diminuait mon autorité ou ma crédibilité. Il m'arrive d'ailleurs aussi, à des fins d'explication ou pour détendre la classe, d'utiliser le même langage qu'eux (mais toujours avec une reprise dans une langue plus châtiée ensuite). Ce n'est pas pour autant qu'ils se permettent un langage familier en cours (d'ailleurs, quand ça leur échappe, je demande des reformulations, ce qui limite tout de même les "dérapages").
Avant de te flageller, souviens-toi que tu es un être humain. Sauf à tomber sur un élève et des parents outrageusement procéduriers et une direction manquant outrageusement de courage, je ne vois pas vraiment quel problème ça pourrait causer.
Avant de te flageller, souviens-toi que tu es un être humain. Sauf à tomber sur un élève et des parents outrageusement procéduriers et une direction manquant outrageusement de courage, je ne vois pas vraiment quel problème ça pourrait causer.
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- ElaïnaDevin
Oui, bon, en effet, on est d'accord, il faut avoir un langage soutenu normalement. Après, sous l'énervement, ça peut échapper hein.
Personnellement j'aime bien pratiquer l'imparfait du subjonctif en même temps, du genre "j'apprécierais que vous la fermassiez, maintenant". Souvent l'élève concerné fait un "hein ?" et un camarade lui chuchote "elle a dit ta gueule, quoi".
Personnellement j'aime bien pratiquer l'imparfait du subjonctif en même temps, du genre "j'apprécierais que vous la fermassiez, maintenant". Souvent l'élève concerné fait un "hein ?" et un camarade lui chuchote "elle a dit ta gueule, quoi".
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- IphigénieProphète
bien entendu; mais une bonne gueulante une fois sert à remettre tout en place et à leur apprendre justement l'adéquation du niveau de langue au contexte.klaus2 a écrit:vocabulaire à éviter absolument. Notre langage ne doit pas être le leur.
Rien de dramatique donc: je ne vois pas de problème. Il ne s'agit pas d'adopter ce niveau de langue en permanence..!
- amourExpert
Oui, mais en l'espèce, notre collègue n'est pas francophone. C'est donc un peu différent. S'il voulait creuser la chose, il pourrait d'ailleurs demander à un collègue de langue d'établir un parallèle entre les confusions de registre trouvées dans les copies, et celle-ci. Il rendrait service à ce collègue. (les mêmes élèves qui sont prêt à truffer une lettre prétendument destinée à un dirigeant politique britannique du 19ème siècle de "ok, Bro'" "laughin'" talkin' voire "f****in"" sont aussi ceux qui peuvent se montrer le plus faussement choqués par ce genre d'écarts de langage de la part du professeur.klaus2 a écrit:vocabulaire à éviter absolument. Notre langage ne doit pas être le leur.
Ce n'est qu'un événement isolé. il vaut sans doute mieux d'ailleurs ne pas mettre en avant cet aspect des choses car il me semble que le professeur de philosophie peut avoir à évaluer la correction de la langue dans les copies.
Tu t'es énervé, ça arrive. Il s'est tu, objectif atteint.
Pour le cas de bavardages répétés, de sempiternelles demandes polies, de mauvaise volonté manifeste de se taire, on devrait pouvoir exclure physiquement ces élèves qui s'excluent eux-mêmes en n'écoutant pas et gênent les autres. On est poussé à bout par les défaillances du système, encore une fois. Dans beaucoup d'établissements, on ne peut exclure que si la sécurité des élèves est mise en danger, c'est anormal. Donc on peut déraper.
Si je tentais d'exclure un élève qui fiche en l'air mon cours à force de blah blah , on me rirait au nez. A partir de là, tous les moyens sont bons. Le plus efficace, et le plus économique, en fatigue et en temps consenti, pour moi, c'est de me taire, moi. J'ai tout mon temps, et je suis seule à savoir quelles conditions sont requises pour que le cours ait lieu. Les convocations aux examens, en revanche ne changeront pas de date.
- amourExpert
+ 1 :lol:Elaïna a écrit:Oui, bon, en effet, on est d'accord, il faut avoir un langage soutenu normalement. Après, sous l'énervement, ça peut échapper hein.
Personnellement j'aime bien pratiquer l'imparfait du subjonctif en même temps, du genre "j'apprécierais que vous la fermassiez, maintenant". Souvent l'élève concerné fait un "hein ?" et un camarade lui chuchote "elle a dit ta gueule, quoi".
Ecrire au tableau un bon vieux "Il faut que quelque chose se taise pour que quelque chose soit entendu" peut faire son petit effet aussi. Avec petit teigneux de service en option qui peut chuchoter à son copain "han! elle t'a traité de chose" Remplacer dans ce cas "quelque chose" par quelqu'un"...dans la deuxième partie de la phrase seulement.
- ElaïnaDevin
amour a écrit:+ 1 :lol:Elaïna a écrit:Oui, bon, en effet, on est d'accord, il faut avoir un langage soutenu normalement. Après, sous l'énervement, ça peut échapper hein.
Personnellement j'aime bien pratiquer l'imparfait du subjonctif en même temps, du genre "j'apprécierais que vous la fermassiez, maintenant". Souvent l'élève concerné fait un "hein ?" et un camarade lui chuchote "elle a dit ta gueule, quoi".
Ecrire au tableau un bon vieux "Il faut que quelque chose se taise pour que quelque chose soit entendu" peut faire son petit effet aussi. Avec petit teigneux de service en option qui peut chuchoter à son copain "han! elle t'a traité de chose" Remplacer dans ce cas "quelque chose" par quelqu'un"...dans la deuxième partie de la phrase seulement.
- klaus2Habitué du forum
Le mieux, pour ne pas s'énerver ou "être exaspérée", c'est de leur faire peur dès le début d'année. Cela dit, je n'ai pas de classe du collège.
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- CisilHabitué du forum
klaus2 a écrit:vocabulaire à éviter absolument. Notre langage ne doit pas être le leur.
Bien évidemment, je pense qu'on est tous d'accord.
Mais il y a une différence entre se mettre au niveau des élèves au quotidien en s'exprimant comme eux dans nos cours, et lancer ponctuellement un juron parce qu'on est exaspéré.
Les élèves le savent bien d'ailleurs et c'est pour ça que s'il nous arrive, une fois, de déraper, une fois la surprise passée, ils oublient.
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- amourExpert
Bof: ils n'ont subitement plus peur, ni de l'enseignant, ni du groupe lorsqu'il s'agit de parler en Allemand?klaus2 a écrit:Le mieux, pour ne pas s'énerver ou "être exaspérée", c'est de leur faire peur dès le début d'année. Cela dit, je n'ai pas de classe du collège.
A mon avis, le collègue de philosophie qui poste initialement n'a pas beaucoup de classes de collège non plus!
- HonchampDoyen
Moi aussi, cela m'arrive.
"Je ne vais pas me laisser monter sur les pieds par des abrutis.
Machin, tu la fermes, maintenant"
"Hé, oui, je parle comme vous, comme ça , je suis sûre que vous comprenez !".
Bref, je pense comme vous, c'est à éviter.
Mais de temps en temps, dans certaines classes, cela remet les pendules à l'heure.
Il faut aussi penser aux élèves qui sont satisfaits quand le prof remet en place vertement le(s) pénible(s) de la classe.
"Je ne vais pas me laisser monter sur les pieds par des abrutis.
Machin, tu la fermes, maintenant"
"Hé, oui, je parle comme vous, comme ça , je suis sûre que vous comprenez !".
Bref, je pense comme vous, c'est à éviter.
Mais de temps en temps, dans certaines classes, cela remet les pendules à l'heure.
Il faut aussi penser aux élèves qui sont satisfaits quand le prof remet en place vertement le(s) pénible(s) de la classe.
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- skindiverÉrudit
Ca m'est arrivé plusieurs fois de déraper... A chaque fois je m'en veux.
J'ai sorti une fois "mais vous êtes vraiment une bande de petits cons" à une classe de 4e, l'heure d'après ils étaient dans le bureau de la principal adjointe.
Maintenant ce n'est pas très politiquement correct, mais quand je veux être vulgaire je commence la phrase, je ne la finis pas et je laisse les élèves terminer... Je termine par un grand "merci".
J'ai sorti une fois "mais vous êtes vraiment une bande de petits cons" à une classe de 4e, l'heure d'après ils étaient dans le bureau de la principal adjointe.
Maintenant ce n'est pas très politiquement correct, mais quand je veux être vulgaire je commence la phrase, je ne la finis pas et je laisse les élèves terminer... Je termine par un grand "merci".
- LefterisEsprit sacré
Pas bien grave à mon avis . Ils se mettent hors-jeu, ils doivent accepter de prendre ça. S'ils étaient silencieux, ça n'arriverait pas.La vita fugge a écrit:Eh bien, il n'y a pas grand chose à dire de plus: dans un moment d'élan, j'ai dit à un élève de fermer sa gueule.
De mon côté, j'ai le fait que je ne suis pas français, et que parfois je ne saisis pas certaines nuances: dans mon intention, ce qui devait sortir était un "tais-toi" plus animé; or voici ce qui est sorti: "peux-tu un instant fermer te gueule?". La classe, restée un instant perplexe, m'a ensuite soutenu: si j'ai dit cela, c'est que je ne saisis pas tout à fait la nuance. A la fin du cours, j'ai pris l'élève de côté, et je lui ai expliqué que mon intention n'était pas de lui manquer de respect, et que je voulais seulement lui dire "tais-toi". Il semble avoir compris, mais le jour après a boudé, et sur le moment a été très vexé.
J'en viens donc à ce qu'il y a contre moi: j'ai dit à un élève de fermer sa gueule. Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
D'autant que ça ne les choque nullement en réalité : ils voient et entendent bien pire, ils jouent les offusqués par pur procéduralisme, envie de nuire, de se confronter sans risque à un adulte.
Pour ma part, je ne dis pas "ta gueule" (d'ailleurs je voussoie les élèves) , mais je leur égrène les synonymes : "Vous n'avez pas l'air de comprendre le français : donc bouclez-là, fermez-la , écrasez... etc)". Et je me moque ouvertement de la pulsion consistant à bavarder, vraie maladie mentale, leur donnant le texte de Plutarque à copier (Du bavardage).
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- lene75Prophète
Mes élèves ne m'ont jamais autant remerciée que le jour où j'ai dit à l'un d'entre eux : "Ah mais ça commence à bien faire, est-ce que je lève les yeux au ciel à chaque fois que vous dites une connerie, moi ?"
Ce n'est pas un manque de respect, au contraire, c'est les laisser faire n'importe quoi qui serait leur manquer de respect. Et ils n'ont pas intérêt à se croire autorisés à parler sur le même ton, parce qu'il n'y a aucune égalité entre les élèves et leur prof. C'est aussi leur rendre un grand service que de leur faire comprendre l'asymétrie entre la maître et l'élève, mais ça, ce n'est pas le discours qu'on tient dans les Espé
Ce n'est pas un manque de respect, au contraire, c'est les laisser faire n'importe quoi qui serait leur manquer de respect. Et ils n'ont pas intérêt à se croire autorisés à parler sur le même ton, parce qu'il n'y a aucune égalité entre les élèves et leur prof. C'est aussi leur rendre un grand service que de leur faire comprendre l'asymétrie entre la maître et l'élève, mais ça, ce n'est pas le discours qu'on tient dans les Espé
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
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- Exclusion élève : peut-on demander à ne plus avoir un élève terrible en classe ?
- Ferme ta gueule! Dixit une élève!
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