Page 1 sur 2 • 1, 2
- La vita fuggeNiveau 1
Eh bien, il n'y a pas grand chose à dire de plus: dans un moment d'élan, j'ai dit à un élève de fermer sa gueule.
De mon côté, j'ai le fait que je ne suis pas français, et que parfois je ne saisis pas certaines nuances: dans mon intention, ce qui devait sortir était un "tais-toi" plus animé; or voici ce qui est sorti: "peux-tu un instant fermer te gueule?". La classe, restée un instant perplexe, m'a ensuite soutenu: si j'ai dit cela, c'est que je ne saisis pas tout à fait la nuance. A la fin du cours, j'ai pris l'élève de côté, et je lui ai expliqué que mon intention n'était pas de lui manquer de respect, et que je voulais seulement lui dire "tais-toi". Il semble avoir compris, mais le jour après a boudé, et sur le moment a été très vexé.
J'en viens donc à ce qu'il y a contre moi: j'ai dit à un élève de fermer sa gueule. Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
De mon côté, j'ai le fait que je ne suis pas français, et que parfois je ne saisis pas certaines nuances: dans mon intention, ce qui devait sortir était un "tais-toi" plus animé; or voici ce qui est sorti: "peux-tu un instant fermer te gueule?". La classe, restée un instant perplexe, m'a ensuite soutenu: si j'ai dit cela, c'est que je ne saisis pas tout à fait la nuance. A la fin du cours, j'ai pris l'élève de côté, et je lui ai expliqué que mon intention n'était pas de lui manquer de respect, et que je voulais seulement lui dire "tais-toi". Il semble avoir compris, mais le jour après a boudé, et sur le moment a été très vexé.
J'en viens donc à ce qu'il y a contre moi: j'ai dit à un élève de fermer sa gueule. Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
- NitaEmpereur
Je ne crois pas en la confession des péchés, encore moins en place publique.
Donc, raté pour l'expiation.
À mon sens, en présentant tes excuses à l'élève, tu as fait ce qu'il y avait à faire. Si, par miracle, tu as l'occasion de valoriser une de ses interventions, fais-le.
Donc, raté pour l'expiation.
À mon sens, en présentant tes excuses à l'élève, tu as fait ce qu'il y avait à faire. Si, par miracle, tu as l'occasion de valoriser une de ses interventions, fais-le.
_________________
A clean house is a sign of a broken computer.
- OrlandaFidèle du forum
Je ne trouve pas cela très grave, à vrai dire, je ne vais donc pas t'aider à battre ta coulpe! :lol:
_________________
"Nous vivons à une époque où l'ignorance n'a plus honte d'elle-même". Robert Musil
- menerveOracle
Idem...il peut arriver de déraper...si en plus tu ne maîtrises pas bien la langue française...et tu t'es excusé! Y'a pas mort d'homme....et si l'élève a boudé c'est sûrement aussi car il a été désavoué par les autres!
ça va s'arranger, il va vite oublier cet épisode!
ça va s'arranger, il va vite oublier cet épisode!
- Ignatius ReillyFidèle du forum
Tu as donné aussi un exemple à l'élève en t'excusant et en reconnaissant tes torts. C' est bon...
Ce matin j'ai demandé à un élève de 4e qui faisait des croche- pattes à ses camarades en entrant en classe s'il avait décidé d'emmerder le monde de si bonne heure. Point. Et quand je dis à des élèves que l'on est dans un collège public et que je suis le seul maître avant dieu dans ma salle, je ne me demande pas si ça peut être blessant, car je m'en fous.
Ne soyons pas trop pusillanimes, l'autocensure ne doit pas s'ajouter à notre déconsidération bien menée par l'EN.
Ce matin j'ai demandé à un élève de 4e qui faisait des croche- pattes à ses camarades en entrant en classe s'il avait décidé d'emmerder le monde de si bonne heure. Point. Et quand je dis à des élèves que l'on est dans un collège public et que je suis le seul maître avant dieu dans ma salle, je ne me demande pas si ça peut être blessant, car je m'en fous.
Ne soyons pas trop pusillanimes, l'autocensure ne doit pas s'ajouter à notre déconsidération bien menée par l'EN.
- Marie-NoireNiveau 6
Alors, si ça peut te rassurer, l'année où j'étais néo-titulaire, j'ai carrément dit à un élève : "Machin, ta gueule !" Le gamin n'arrêtait pas de parler, je lui avais déjà dit au moins quinze fois de se taire et à moment, c'est sorti tout seul !! Je lui ai immédiatement présenté mes excuses et devant toute la classe. Lui, il a joué les scandalisés et a fait la gueule jusqu'à la fin du cours. Mais par la suite, ça s'est tassé assez rapidement (bon, il est resté infect jusqu'à la fin de l'année, mais ça, c'est un autre problème...). J'en rigole maintenant, mais sur le moment, j'étais vraiment super super mal.
Ne te mets pas martel en tête. On est des êtres humains comme les autres, on ne peut pas toujours contrôler 100% de ce qu'on dit. Tu as eu la bonne réaction en le prenant à part ensuite, je pense que c'est le principal.
Ne te mets pas martel en tête. On est des êtres humains comme les autres, on ne peut pas toujours contrôler 100% de ce qu'on dit. Tu as eu la bonne réaction en le prenant à part ensuite, je pense que c'est le principal.
- BelaLugosiNiveau 6
Ça m'est arrivé l'année dernière, pendant l'année de stage. C'était un élève qui ne la fermait JAMAIS. Il était placé en plus à 1 mètre de mon bureau, ce qui faisait que sa voix faisait souvent barrage à la mienne. Je n'en pouvais plus de lui. Toutes les semaines, rien n'y faisait, il parlait plus fort que moi, me coupait constamment la parole et ne faisait absolument rien pour se corriger malgré mes remontrances. Un jour, j'étais énervée et le "ferme ta gueule" est sorti tout seul !
Ça l'a calmé direct mais il a fait l'offusqué. A la fin du cours, il est allé cafter chez le principal. J'ai eu un peu peur mais franchement je considère qu'il m'avait poussé à bout. Les profs du bahut étaient tellement écoeurés par son attitude qu'il a pris une belle punition pour avoir cafté et m'avoir mise dans un tel état d'énervement !
Ça l'a calmé direct mais il a fait l'offusqué. A la fin du cours, il est allé cafter chez le principal. J'ai eu un peu peur mais franchement je considère qu'il m'avait poussé à bout. Les profs du bahut étaient tellement écoeurés par son attitude qu'il a pris une belle punition pour avoir cafté et m'avoir mise dans un tel état d'énervement !
- CroustibaptNiveau 7
ça m'est arrivé aussi en T1, lors du premier jour d'un remplacement de quinze jours.
"X, vous vous taisez ou vous sortez."
" Je comprends pas quand on me vouvoie".
" X, tu la ferme ou tu dégages".
L'élève a cessé de bavarder pendant la durée de mon remplacement.
"X, vous vous taisez ou vous sortez."
" Je comprends pas quand on me vouvoie".
" X, tu la ferme ou tu dégages".
L'élève a cessé de bavarder pendant la durée de mon remplacement.
_________________
Discipline & Bonté
- Fesseur ProGuide spirituel
No soucy.La vita fugge a écrit:Eh bien, il n'y a pas grand chose à dire de plus: dans un moment d'élan, j'ai dit à un élève de fermer sa gueule.
De mon côté, j'ai le fait que je ne suis pas français, et que parfois je ne saisis pas certaines nuances: dans mon intention, ce qui devait sortir était un "tais-toi" plus animé; or voici ce qui est sorti: "peux-tu un instant fermer te gueule?". La classe, restée un instant perplexe, m'a ensuite soutenu: si j'ai dit cela, c'est que je ne saisis pas tout à fait la nuance. A la fin du cours, j'ai pris l'élève de côté, et je lui ai expliqué que mon intention n'était pas de lui manquer de respect, et que je voulais seulement lui dire "tais-toi". Il semble avoir compris, mais le jour après a boudé, et sur le moment a été très vexé.
J'en viens donc à ce qu'il y a contre moi: j'ai dit à un élève de fermer sa gueule. Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
Tu as réagi comme il le fallait.
_________________
Pourvu que ça dure...
- archebocEsprit éclairé
Le plus important, finalement, c'est qu'il la ferme.
- amourExpert
:lol:archeboc a écrit:
Le plus important, finalement, c'est qu'il la ferme.
- La vita fuggeNiveau 1
Merci les collègues pour le soutien; mais personne n'a remarqué un point essentiel: à la suite de cet "accident", ne risque-je d'avoir perdu ma crédibilité auprès de la classe? N'ai-je pas dit, implicitement, "voilà, je ne suis pas un prof, je parle le même langage que vous, vous pouvez donc utiliser ce langage avec moi" et éventuellement me dire de la fermer?
- archebocEsprit éclairé
La vita fugge a écrit:Merci les collègues pour le soutien; mais personne n'a remarqué un point essentiel: à la suite de cet "accident", ne risque-je d'avoir perdu ma crédibilité auprès de la classe? N'ai-je pas dit, implicitement, "voilà, je ne suis pas un prof, je parle le même langage que vous, vous pouvez donc utiliser ce langage avec moi" et éventuellement me dire de la fermer?
D'abord, "Peux-tu un instant fermer ta gueule", ce n'est pas vraiment une tournure naturelle aux élèves. Ensuite, il semblerait que la classe t'ait soutenu. Enfin, face à un prof qui dit cela, un élève qui envisagerait de relancer sur le même ton prendrait un risque inconsidéré.
Bref, Tu t'es excusé parce que c'est un mot dont la politesse exige qu'on s'excuse, mais tu étais clairement en état de légitime défense, et si ce n'est pas ton avis, fais en sorte que tes élèves persistent à s'imaginer le contraire.
- gnafron2004Grand sage
Le point le plus important n'a pas été traité: Que dire?
A un enfant de 5 ans: ferme ta boîte à camembert. (il ne va pas comprendre le rapport avec la bouche, cela va donner lieu à une explication imagée)
A un collégien: ferme ton clapet. (il ne connaît pas le mot clapet, c'est l'occasion d'apprendre)
A un lycéen: Tu vas la fermer, oui? (là, c'est très limite question correction de la langue-on peut faire le point)
D'autres propositions plus fleuries?
A un enfant de 5 ans: ferme ta boîte à camembert. (il ne va pas comprendre le rapport avec la bouche, cela va donner lieu à une explication imagée)
A un collégien: ferme ton clapet. (il ne connaît pas le mot clapet, c'est l'occasion d'apprendre)
A un lycéen: Tu vas la fermer, oui? (là, c'est très limite question correction de la langue-on peut faire le point)
D'autres propositions plus fleuries?
- Tem-toGrand sage
gnafron2004 a écrit:Le point le plus important n'a pas été traité: Que dire?
A un enfant de 5 ans: ferme ta boîte à camembert. (il ne va pas comprendre le rapport avec la bouche, cela va donner lieu à une explication imagée)
A un collégien: ferme ton clapet. (il ne connaît pas le mot clapet, c'est l'occasion d'apprendre)
A un lycéen: Tu vas la fermer, oui? (là, c'est très limite question correction de la langue-on peut faire le point)
D'autres propositions plus fleuries?
A un(e) étudiant(e) ?
- VinZTDoyen
En créole, peut-être ?
- Pé là !
- Fenmé bouch ou !
(pas sur de l'orthographe)
- Pé là !
- Fenmé bouch ou !
(pas sur de l'orthographe)
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- LeodaganFidèle du forum
gnafron2004 a écrit:
D'autres propositions plus fleuries?
Ferme ta bouche, ferme ton museau. J'adore. Testé et approuvé.
Parfois: "Mais tu vas la fermer ?!!!!" suivi de plusieurs "tais-toi" assénés pour recouvrir d'une chape sonore les protestations. KO par épuisement.
- CherteaNiveau 9
Il m'est arrivé de dire à un élève de la fermer, c'est sorti tout seul... mais ça a marché puisque c'était la première fois de l'année qu'il a arrêté de parler pendant plus de 5 min!
- gunépileNiveau 2
La vita fugge a écrit:Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
Et comme viatique, vous aurez dans le pire des cas un rappel de vos obligations professionnelles signé sur feuille A4 de la main même du recteur.
Plus généralement, savoir faire séance c'est savoir faire advenir des moments de silence, mais pas de cette ignoble manière.
Il s'agit de se préparer bien en amont, ce qui veut dire parfois bien des mois ou des années avant, par exemple en développant une éthique personnelle infaillible, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Loin de vous jeter la première pierre, la société trouve d'ailleurs incompréhensiblement cela de plus en plus grave de la part d'un enseignant d'avoir la présomption de "leur" montrer comme on devrait se comporter.
L'humanité a toujours travaillé de ses propres échecs. Au travail, apprenons par coeur les postures d'élèves pour savoir les encadrer, mais ne les jouons pas, endossons plutôt l'habit du professeur que l'on rêverait avoir eu et puis être. La réponse à tous les malheurs du monde est dans la maîtrise du verbe. Attention, un seul mot peut briser les os.
Souvenir d'études supérieures: une enseignante militante au F.N. a dit à une étudiante, ces propos indignes qui étaient censés la faire taire: "Taisez-vous, la grosse!"
Cela n'a pas marché, tout l'amphi l'a quittée sur le champ mais l'agrégée intolérante ne fut pas inquiétée plus que cela.
- sifiÉrudit
Il m'est déjà arrivé de dire à un élève "mais tu vas fermer ta grande bouche, oui???"...
Une seule fois, je me suis fendue d'un "dégage!!!" (le gamin est arrivé sans frapper, en retard, avec une bouteille de coca à la main, et a lâché un rot sonore).
Sinon, dans les expressions fleuries, il m'arrive de dire à un collégien: "X, peux-tu fermer l'immense chose qui te sert de bouche?"
Une seule fois, je me suis fendue d'un "dégage!!!" (le gamin est arrivé sans frapper, en retard, avec une bouteille de coca à la main, et a lâché un rot sonore).
Sinon, dans les expressions fleuries, il m'arrive de dire à un collégien: "X, peux-tu fermer l'immense chose qui te sert de bouche?"
- wanaxFidèle du forum
Mais quel monde de m.erde...
Je serais resté, profitant de la situation pour suivre un cours dans le calme pendant que lezindignés préparaient leur pétition au café du coin.Souvenir d'études supérieures: une enseignante militante au F.N. a dit à une étudiante, ces propos indignes qui étaient censés la faire taire: "Taisez-vous, la grosse!"
Cela n'a pas marché, tout l'amphi l'a quittée sur le champ mais l'agrégée intolérante ne fut pas inquiétée plus que cela.
- amourExpert
Fichtre! C'est fabuleux! que l'on s'intéresse si précisément au statut d'agrégé, à l'appartenance politique d'un enseignant, ainsi qu'à la suite de sa carrière, toutes choses qu'il ne communique pas en cours, normalement alors que l'on peut sacrifier ce même contenu en le boudant, puisque l'on quitte la séance et l'amphi comme un seul homme me fascine. Quel bel esprit de corps estudiantin vous aviez à l'époque!gunépile a écrit:La vita fugge a écrit:Depuis, je me dis que c'est la fin, je peux dire adieu à ma titularisation, et - pire - j'ai manqué de respect à un élève.
Je cherche donc du réconfort, ou bien quelqu'un qui me dise que c'est inadmissible (de sorte que je puisse expier mon péché).
Et comme viatique, vous aurez dans le pire des cas un rappel de vos obligations professionnelles signé sur feuille A4 de la main même du recteur.
Plus généralement, savoir faire séance c'est savoir faire advenir des moments de silence, mais pas de cette ignoble manière.
Il s'agit de se préparer bien en amont, ce qui veut dire parfois bien des mois ou des années avant, par exemple en développant une éthique personnelle infaillible, ce qui n'est pas donné à tout le monde.
Loin de vous jeter la première pierre, la société trouve d'ailleurs incompréhensiblement cela de plus en plus grave de la part d'un enseignant d'avoir la présomption de "leur" montrer comme on devrait se comporter.
L'humanité a toujours travaillé de ses propres échecs. Au travail, apprenons par coeur les postures d'élèves pour savoir les encadrer, mais ne les jouons pas, endossons plutôt l'habit du professeur que l'on rêverait avoir eu et puis être. La réponse à tous les malheurs du monde est dans la maîtrise du verbe. Attention, un seul mot peut briser les os.
Souvenir d'études supérieures: une enseignante militante au F.N. a dit à une étudiante, ces propos indignes qui étaient censés la faire taire: "Taisez-vous, la grosse!"
Cela n'a pas marché, tout l'amphi l'a quittée sur le champ mais l'agrégée intolérante ne fut pas inquiétée plus que cela.
- DaphnéDemi-dieu
En plus c'est ce langage là qu'ils comprennent le mieux : leur demander poliment de se taire est rarement suivi d'effet.amour a écrit::lol:archeboc a écrit:
Le plus important, finalement, c'est qu'il la ferme.
- IphigénieProphète
En plus ça peut être créatif:
Quoi ma gueule, qu'est-ce qu'elle a ma gueule
Quoi ma gueule, qu'est-ce qu'elle a ma gueule
Page 1 sur 2 • 1, 2
- Exclusion élève : peut-on demander à ne plus avoir un élève terrible en classe ?
- Ferme ta gueule! Dixit une élève!
- Une élève de 5eme menace de "me péter la gueule".
- "foutage de gueule" d'un élève et d'une mère, comment réagir ?
- Rentrée en 6è d'une élève qui n'a jamais écrit de texte "long" en CM2: coup de gueule.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum