- InvitéInvité
On va dans le mur.
Sérieusement, il y a tellement de cas de figure. Je connais tout un tas de gens qui ont repris des études plus tard, au CNAM ou ailleurs, parce qu'à la base, on les avait orientés dans des voies de garage.
Je me souviens d'une anesthésiste toute fière parce que, quand elle était enfant, on avait dit à ses parents qu'elle ne ferait rien dans la vie.
Sérieusement, il y a tellement de cas de figure. Je connais tout un tas de gens qui ont repris des études plus tard, au CNAM ou ailleurs, parce qu'à la base, on les avait orientés dans des voies de garage.
Je me souviens d'une anesthésiste toute fière parce que, quand elle était enfant, on avait dit à ses parents qu'elle ne ferait rien dans la vie.
- neomathÉrudit
Lornet a écrit:On va dans le mur.
Sérieusement, il y a tellement de cas de figure. Je connais tout un tas de gens qui ont repris des études plus tard, au CNAM ou ailleurs, parce qu'à la base, on les avait orientés dans des voies de garage.
Je me souviens d'une anesthésiste toute fière parce que, quand elle était enfant, on avait dit à ses parents qu'elle ne ferait rien dans la vie.
C'est curieux, mais maintenant que votre conception est devenue la norme absolue (passage automatique dans la classe supérieure, orientation décidée par les parents) je ne vois pas venir le meilleur des mondes pédagogique que l'on nous annonçait. Une explication à ce mystère ?
- anndreinaNiveau 4
Neomath, je ne pense pas qu'il s'agisse de ça. Oui, le redoublement peut-être utile et nécessaire, oui, avec 2 de moyenne en maths, réussir en S n'est pas possible et il faut prévoir une autre orientation.
Mais comme le dit Lornet, il y a une multitude de situations qui demandent des réponses multiples.
Mais comme le dit Lornet, il y a une multitude de situations qui demandent des réponses multiples.
- InvitéInvité
neomath a écrit:
C'est curieux, mais maintenant que votre conception est devenue la norme absolue (passage automatique dans la classe supérieure, orientation décidée par les parents) je ne vois pas venir le meilleur des mondes pédagogique que l'on nous annonçait. Une explication à ce mystère ?
Où ai-je parlé du passage automatique dans la classe supérieure ? C'est un autre problème, non mentionné jusqu'alors et qui n'a rien à voir puisque je suis contre le passage automatique dans la classe supérieure.
En revanche, je trouve normal que les parents soient consultés quant à l'orientation de leur(s) enfant(s). Les enfants ne sont pas des pions. Nous ne vivons pas dans une dictature.
Je trouve même que ça s'est parfois aggravé : le bac pro en 3 ans par exemple. Auparavant, un élève qui réussissait bien en BEP pouvait suivre une première d'adaptation et envisager un bac technique. Ces premières d'adaptation ont disparu au profit de soutiens d'adaptation, qui n'existent pas toujours, bref au profit d'un grand n'importe quoi dans le seul but de faire des économies, souci premier de l'Etat, et vous voudriez que l'Etat soit seul juge en matière d'orientation alors qu'il a été démontré tout le long de ce fil qu'il fait n'importe quoi à tous les étages, surtout en ce moment ?
Mais puisque vous parler du passage automatique dans la classe supérieure, on peut en revenir au problème initial : si les enfants de 6 ans ne sachant pas parler et sachant à peine marcher pouvait rester en GS avec leur AVS et l'ASEM en plus du/de la PE, le temps que les parents puissent se faire à l'intégration en IME ou décider de rester chez eux, ou de le confier à ses grands-parents, on n'en serait sans doute pas là, de septembre à fin novembre.
neomath a écrit:
Les parents d'enfants handicapé ne peuvent pas à la fois se réclamer de la solidarité nationale et refuser tout droit de regard de la collectivité.
Sinon on arrive à la situation que j'ai vécu dans un de mes anciens établissement : un gamin non suivi, car ses parents étaient dans le déni ET exigeaient une scolarisation, qui a envoyé à l’hôpital sa petite voisine de table.
La "décision personnelle" des parents de cette gamine ne méritait pas elle aussi le respect ?
En lisant ce message, ce qui m'interpelle, c'est qu'il paraît sous-entendre, même si je ne pense pas que ce soit le cas : enfant handicapé = enfant violent.
Si je laisse parler mes hormones parentales, je peux garantir que ma puce n'est absolument pas violente, ne tape pas les autres (je n'ai pas le souvenir d'une seule tape de sa part, sauf sur des objets ou sur sa tête, parce qu'elle doit avoir le souvenir des EEG et des IRM). Elle est plus douce que sa soeur ou ses cousins, très patiente et souriante. Question de caractère qui n'a rien à voir avec son handicap.
Je pense que c'est le cas de beaucoup d'enfants handicapés, qu'ils soient autistes, trisomiques, épileptiques ou handicapés moteurs. De même, des enfants non handicapés peuvent être violents.
Du coup, si en IME on met tous les enfants qui sont non suivis et violents On me dira que c'est pareil si on les laisse à l'école. Oui, mais les enfants frappés ou insultés le racontent le soir à leurs parents, ou vont le dire à un surveillant...Un enfant handicapé ne raconte rien. Si un autre enfant le frappe dans la journée, les parents constatent les coups.
Donc pour des parents d'enfants handicapés, l'IME, s'il sert juste d'endroit où caser les enfants dangereux, ne donne pas envie. Mais je vois que l'amalgame est bien là.
- VerduretteModérateur
Je reviens au cas qui a initié le fil.
(désolée pour les nombreuses fautes de frappe dans mon dernier message, j'avais l'ordi sur les genoux dans une salle d'attente de gare)
Depuis le départ, les parents considèrent que leur enfant est "très handicapée" par rapport aux autres enfants de l'école "normale", mais peu handicapée par rapport aux enfants de l'IME. De ce fait, ils pensent qu'elle progressera plus à l'école qu'en IME. De son côté, dans la mesure où l'enfant n'émet aucun son, l'enseignante a beaucoup de mal à savoir à quel point elle bénéficie de l'école. Cette enfant ne "produit" rien d'évaluable en CP.
Lorsqu'elle a déboulé le jour de la rentrée, la directrice a appelé l'IEN dans la mesure où elle n'était administrativement pas inscrite (comme cela arrive à d'autres enfants, certains parents ne sachant pas qu'on doit réinscrire les enfants en passant de maternelle en primaire). L'IEN a répondu que l'enfant étant scolarisée en maternelle avec son AVS devait poursuivre en élémentaire. L'enseignante référente de scolarisation a changé, le temps qu'elle ouvre ses dossiers elle a constaté que la MDPH avait statué en disant que l'enfant ne pouvait pas aller en école lambda, qu'elle était orientée en IME. MAis les parents étaient déjà dans la place, et ils s'y cramponnent.
L'enseignante référente a changé, l'infirmière scolaire est en congé maternité, le médecin scolaire doit gérer la totalité des écoles, collèges et lycées de la circonscription, ce qui représente des milliers d'élèves ...
Il y a deux ou trois ans, une autre de mes collègues s'est retrouvée face à un élève psychiatriquement très perturbé, violent, en plus très costaud (il a démoli la directrice), ma collègue s'est entendu dire qu'elle ne savait pas y faire (ben voyons), il a fallu des mois pour qu'on l'envoie, vers avril-mai , en observation en hôpital de jour, lequel a refusé de prolonger l'expérience "il est trop violent, nous ne pouvons pas le gérer". Et où est-il retourné, cet enfant ? Ben .... à l'école !
On le faisait tourner de classe en classe, une heure à tour de rôle, et pour le garder calme, on le mettait toute la journée devant des vidéos. C'est beau l'école inclusive.
Et j'ai connu une même solitude l'année dernière avec trois élèves. L'un est parti en ITEP quand une place s'est libérée, pour les deux autres, j'ai bien vu la différence entre la famille qui a reconnu le problème et accepté la thérapie, (on en voit clairement les bénéfices, un an plus tard), et celle qui est dans le déni (mais ce n'est pas un handicap lourd, c'est un problème comportemental grave, avec dangerosité de l'enfant pour lui et ses camarades, dû à une maltraitance psychologique familiale). Je pense que le déni concerne plus, comme le disait Olympias, des pathologies, dys... qui ne sont pas des handicaps à proprement parler. Ma fille aînée était dans ce cas, (surdité + retard de langage) on m'a dit , alors qu'elle avait 4 ans, qu'elle aurait beaucoup de mal dans le secondaire et qu'elle ne ferait pas d'études supérieures, or elle est aujourd'hui en doctorat de biologie après être passée par un bac et un BTS agricoles. Je n'ai donc aucun complexe à dire aux parents, dans des cas similaires, que le déni est une mauvaise solution, et qu'il vaut mieux affronter les choses en face le plus tôt possible. Mais les situations et les solutions correspondantes sont très variables, j'en suis consciente.
Mon compagnon lui est aveugle, et il a connu l'enseignement spécialisé, interne dès l'âge de 6 ans car sa famille habitait la campagne. Ses parents l'ont fait pour son bien, à l'époque il n'y avait pas d'autre possibilité, mais c'était difficile malgré la présence de son frère, lui aussi aveugle. Aujourd'hui, l'école inclusive permet sans grande difficulté la scolarisation d'un enfant aveugle, grâce à l'ordinateur, il suffit qu'il bénéficie quelques heures par semaine d'une formation spécialisée en braille et en mobilité.Idem pour un enfant sourd ou handicapé moteur, avec quelques aménagements simples et des interventions ponctuelles de kiné, orthophonie, AVS ...
Pourtant, depuis 2005, je n'ai jamais eu d'enfant déficient sensoriel ou moteur dans une classe.
Reconnaissons que la grande difficulté survient avec les divers handicaps mentaux, dans la mesure où nous ne sommes pas formés. Dès que la communication verbale est absente ou déficiente, je l'avoue, je ne sais pas faire ... et je ne suis pas la seule. J'ai connu des collègues avec six enfants autistes dans une maternelle de trois classes, deux par classe, sans aucune AVS ..
Je pense très sincèrement que le modèle suédois est excellent, mais comme dit plus haut, c'est valable en ville, beaucoup moins en campagne où l'on fait déjà des regroupements hasardeux sur la base d'une logique purement comptable, sans prendre en compte le confort des enfants lambda. Alors les autres ...
Pourtant, la loi sur le handicap précise bien que la scolarisation doit se faire dans des conditions permettant un bénéfice pour l'enfant. Encore une fois, il y a la lettre, et il y a la réalité.
(désolée pour les nombreuses fautes de frappe dans mon dernier message, j'avais l'ordi sur les genoux dans une salle d'attente de gare)
Depuis le départ, les parents considèrent que leur enfant est "très handicapée" par rapport aux autres enfants de l'école "normale", mais peu handicapée par rapport aux enfants de l'IME. De ce fait, ils pensent qu'elle progressera plus à l'école qu'en IME. De son côté, dans la mesure où l'enfant n'émet aucun son, l'enseignante a beaucoup de mal à savoir à quel point elle bénéficie de l'école. Cette enfant ne "produit" rien d'évaluable en CP.
Lorsqu'elle a déboulé le jour de la rentrée, la directrice a appelé l'IEN dans la mesure où elle n'était administrativement pas inscrite (comme cela arrive à d'autres enfants, certains parents ne sachant pas qu'on doit réinscrire les enfants en passant de maternelle en primaire). L'IEN a répondu que l'enfant étant scolarisée en maternelle avec son AVS devait poursuivre en élémentaire. L'enseignante référente de scolarisation a changé, le temps qu'elle ouvre ses dossiers elle a constaté que la MDPH avait statué en disant que l'enfant ne pouvait pas aller en école lambda, qu'elle était orientée en IME. MAis les parents étaient déjà dans la place, et ils s'y cramponnent.
L'enseignante référente a changé, l'infirmière scolaire est en congé maternité, le médecin scolaire doit gérer la totalité des écoles, collèges et lycées de la circonscription, ce qui représente des milliers d'élèves ...
Il y a deux ou trois ans, une autre de mes collègues s'est retrouvée face à un élève psychiatriquement très perturbé, violent, en plus très costaud (il a démoli la directrice), ma collègue s'est entendu dire qu'elle ne savait pas y faire (ben voyons), il a fallu des mois pour qu'on l'envoie, vers avril-mai , en observation en hôpital de jour, lequel a refusé de prolonger l'expérience "il est trop violent, nous ne pouvons pas le gérer". Et où est-il retourné, cet enfant ? Ben .... à l'école !
On le faisait tourner de classe en classe, une heure à tour de rôle, et pour le garder calme, on le mettait toute la journée devant des vidéos. C'est beau l'école inclusive.
Et j'ai connu une même solitude l'année dernière avec trois élèves. L'un est parti en ITEP quand une place s'est libérée, pour les deux autres, j'ai bien vu la différence entre la famille qui a reconnu le problème et accepté la thérapie, (on en voit clairement les bénéfices, un an plus tard), et celle qui est dans le déni (mais ce n'est pas un handicap lourd, c'est un problème comportemental grave, avec dangerosité de l'enfant pour lui et ses camarades, dû à une maltraitance psychologique familiale). Je pense que le déni concerne plus, comme le disait Olympias, des pathologies, dys... qui ne sont pas des handicaps à proprement parler. Ma fille aînée était dans ce cas, (surdité + retard de langage) on m'a dit , alors qu'elle avait 4 ans, qu'elle aurait beaucoup de mal dans le secondaire et qu'elle ne ferait pas d'études supérieures, or elle est aujourd'hui en doctorat de biologie après être passée par un bac et un BTS agricoles. Je n'ai donc aucun complexe à dire aux parents, dans des cas similaires, que le déni est une mauvaise solution, et qu'il vaut mieux affronter les choses en face le plus tôt possible. Mais les situations et les solutions correspondantes sont très variables, j'en suis consciente.
Mon compagnon lui est aveugle, et il a connu l'enseignement spécialisé, interne dès l'âge de 6 ans car sa famille habitait la campagne. Ses parents l'ont fait pour son bien, à l'époque il n'y avait pas d'autre possibilité, mais c'était difficile malgré la présence de son frère, lui aussi aveugle. Aujourd'hui, l'école inclusive permet sans grande difficulté la scolarisation d'un enfant aveugle, grâce à l'ordinateur, il suffit qu'il bénéficie quelques heures par semaine d'une formation spécialisée en braille et en mobilité.Idem pour un enfant sourd ou handicapé moteur, avec quelques aménagements simples et des interventions ponctuelles de kiné, orthophonie, AVS ...
Pourtant, depuis 2005, je n'ai jamais eu d'enfant déficient sensoriel ou moteur dans une classe.
Reconnaissons que la grande difficulté survient avec les divers handicaps mentaux, dans la mesure où nous ne sommes pas formés. Dès que la communication verbale est absente ou déficiente, je l'avoue, je ne sais pas faire ... et je ne suis pas la seule. J'ai connu des collègues avec six enfants autistes dans une maternelle de trois classes, deux par classe, sans aucune AVS ..
Je pense très sincèrement que le modèle suédois est excellent, mais comme dit plus haut, c'est valable en ville, beaucoup moins en campagne où l'on fait déjà des regroupements hasardeux sur la base d'une logique purement comptable, sans prendre en compte le confort des enfants lambda. Alors les autres ...
Pourtant, la loi sur le handicap précise bien que la scolarisation doit se faire dans des conditions permettant un bénéfice pour l'enfant. Encore une fois, il y a la lettre, et il y a la réalité.
- LangelotNiveau 9
Mais au moment des passages maternelle CP , le cas de cet enfant n'a pas été évoqué ?
Elle venait d'un autre secteur ?
Elle venait d'un autre secteur ?
- VerduretteModérateur
Elle vient de l'école maternelle du secteur, son grand frère est dans notre école, et la décision MDPH spécifiait bien l'IME. Pour le reste, je ne sais pas.
- jacoblazloNiveau 1
Lornet a écrit:neomath a écrit:
C'est curieux, mais maintenant que votre conception est devenue la norme absolue (passage automatique dans la classe supérieure, orientation décidée par les parents) je ne vois pas venir le meilleur des mondes pédagogique que l'on nous annonçait. Une explication à ce mystère ?
Où ai-je parlé du passage automatique dans la classe supérieure ? C'est un autre problème, non mentionné jusqu'alors et qui n'a rien à voir puisque je suis contre le passage automatique dans la classe supérieure.
En revanche, je trouve normal que les parents soient consultés quant à l'orientation de leur(s) enfant(s). Les enfants ne sont pas des pions. Nous ne vivons pas dans une dictature.
Je trouve même que ça s'est parfois aggravé : le bac pro en 3 ans par exemple. Auparavant, un élève qui réussissait bien en BEP pouvait suivre une première d'adaptation et envisager un bac technique. Ces premières d'adaptation ont disparu au profit de soutiens d'adaptation, qui n'existent pas toujours, bref au profit d'un grand n'importe quoi dans le seul but de faire des économies, souci premier de l'Etat, et vous voudriez que l'Etat soit seul juge en matière d'orientation alors qu'il a été démontré tout le long de ce fil qu'il fait n'importe quoi à tous les étages, surtout en ce moment ?
Mais puisque vous parler du passage automatique dans la classe supérieure, on peut en revenir au problème initial : si les enfants de 6 ans ne sachant pas parler et sachant à peine marcher pouvait rester en GS avec leur AVS et l'ASEM en plus du/de la PE, le temps que les parents puissent se faire à l'intégration en IME ou décider de rester chez eux, ou de le confier à ses grands-parents, on n'en serait sans doute pas là, de septembre à fin novembre.neomath a écrit:
Les parents d'enfants handicapé ne peuvent pas à la fois se réclamer de la solidarité nationale et refuser tout droit de regard de la collectivité.
Sinon on arrive à la situation que j'ai vécu dans un de mes anciens établissement : un gamin non suivi, car ses parents étaient dans le déni ET exigeaient une scolarisation, qui a envoyé à l’hôpital sa petite voisine de table.
La "décision personnelle" des parents de cette gamine ne méritait pas elle aussi le respect ?
En lisant ce message, ce qui m'interpelle, c'est qu'il paraît sous-entendre, même si je ne pense pas que ce soit le cas : enfant handicapé = enfant violent.
Si je laisse parler mes hormones parentales, je peux garantir que ma puce n'est absolument pas violente, ne tape pas les autres (je n'ai pas le souvenir d'une seule tape de sa part, sauf sur des objets ou sur sa tête, parce qu'elle doit avoir le souvenir des EEG et des IRM). Elle est plus douce que sa soeur ou ses cousins, très patiente et souriante. Question de caractère qui n'a rien à voir avec son handicap.
Je pense que c'est le cas de beaucoup d'enfants handicapés, qu'ils soient autistes, trisomiques, épileptiques ou handicapés moteurs. De même, des enfants non handicapés peuvent être violents.
Du coup, si en IME on met tous les enfants qui sont non suivis et violents On me dira que c'est pareil si on les laisse à l'école. Oui, mais les enfants frappés ou insultés le racontent le soir à leurs parents, ou vont le dire à un surveillant...Un enfant handicapé ne raconte rien. Si un autre enfant le frappe dans la journée, les parents constatent les coups.
Donc pour des parents d'enfants handicapés, l'IME, s'il sert juste d'endroit où caser les enfants dangereux, ne donne pas envie. Mais je vois que l'amalgame est bien là.
entièrement d'accord avec toi
de plus ne mélangeons pas traitement du handicap et trouble du comportement dont l'origine n'est pas lié à un handicap
- VerduretteModérateur
Je vous rejoins entièrement.
J'ai parlé plus haut d'enfants violents, leur place n'est pas à l'école, mais dans une structure pédopsychiatrique.
J'ai parlé plus haut d'enfants violents, leur place n'est pas à l'école, mais dans une structure pédopsychiatrique.
- OlympiasProphète
On est d'accord.Verdurette a écrit:Je vous rejoins entièrement.
J'ai parlé plus haut d'enfants violents, leur place n'est pas à l'école, mais dans une structure pédopsychiatrique.
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