- VaniaNiveau 4
En lisant "kilomètres-heure" j'ai tressailli. Est-ce que cette manière d'écrire une vitesse est correcte en français?
Je suppose qu'à l'époque, comme on n'écrivait qu'à la main, le seul signe de ponctuation adapté devait être le tiret. Le slash n'existait simplement pas comme ponctuation. Il devait être réservé aux mathématiques.
Je suppose qu'à l'époque, comme on n'écrivait qu'à la main, le seul signe de ponctuation adapté devait être le tiret. Le slash n'existait simplement pas comme ponctuation. Il devait être réservé aux mathématiques.
- OsmieSage
tiptop77 a écrit:Lizdarcy a écrit:tiptop77 a écrit:Ma chèèèèèère collègue dit aux élèves qu'elle ne donne pas de devoirs. Selon elle, ils apprennent à nager dans une piscine et pas à la maison donc c'est pareil pour les devoirs.
Pardon, mais c'est trop bon, ça!
Au moins ça fait rire! :lol:
J'ai dit aux gamins que pour nager ils avaient besoin d'une piscine ou d'aller à la mer certes mais pour faire les devoirs, ils ont besoin de leur cerveau qui ( en principe) est toujours à disposition
Entre ma chèèèèèère collègue qui dit ça et sa copine prof d'eps qui dit qu'on peut mourir de ne pas savoir nager mais pas de ne pas savoir lire
J'entends des propos de ce genre aussi...et j'en ai ma claque, d'autant plus ma claque que les heures de français et de maths diminuent sans cesse, à la différence des heures d'EPS.
- RabelaisVénérable
Tout à fait....Osmie a écrit:tiptop77 a écrit:Lizdarcy a écrit:tiptop77 a écrit:Ma chèèèèèère collègue dit aux élèves qu'elle ne donne pas de devoirs. Selon elle, ils apprennent à nager dans une piscine et pas à la maison donc c'est pareil pour les devoirs.
Pardon, mais c'est trop bon, ça!
Au moins ça fait rire! :lol:
J'ai dit aux gamins que pour nager ils avaient besoin d'une piscine ou d'aller à la mer certes mais pour faire les devoirs, ils ont besoin de leur cerveau qui ( en principe) est toujours à disposition
Entre ma chèèèèèère collègue qui dit ça et sa copine prof d'eps qui dit qu'on peut mourir de ne pas savoir nager mais pas de ne pas savoir lire
J'entends des propos de ce genre aussi...et j'en ai ma claque, d'autant plus ma claque que les heures de français et de maths diminuent sans cesse, à la différence des heures d'EPS.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- NihtFidèle du forum
Vania a écrit:En lisant "kilomètres-heure" j'ai tressailli. Est-ce que cette manière d'écrire une vitesse est correcte en français?
Je suppose qu'à l'époque, comme on n'écrivait qu'à la main, le seul signe de ponctuation adapté devait être le tiret. Le slash n'existait simplement pas comme ponctuation. Il devait être réservé aux mathématiques.
A priori c'est plutôt une déformation de kilomètre par heure ou de kilomètre à l'heure. kilomètre-heure pour une vitesse, physiquement, c'est une horreur !
_________________
Burnt me at the stake, you thought I was a witch
Centuries ago, now you just call me a bitch
Man's world, Marina
- VaniaNiveau 4
- 1
qui ravagea notre cabine, arrachant les fenêtres, expédiant des tôles à cent mètres, remplissant jusqu’à nos entrailles de son grondement. L’avion vibrait comme un couteau planté de loin dans le bois dur. Et nous étions brassés par cette colère. Une seconde, deux secondes… L’avion tremblait toujours et j’attendais avec une impatience monstrueuse, que ses provisions d’énergie le fissent éclater comme une grenade. Mais les secousses souterraines se prolongeaient sans aboutir à l’éruption définitive. Et je ne comprenais rien à cet invisible travail. Je ne comprenais ni ce tremblement, ni cette colère, ni ce délai interminable…, cinq secondes, six secondes… Et, brusquement, nous éprouvâmes une sensation de rotation, un choc qui projeta encore par la fenêtre nos cigarettes, pulvérisant l’aile droite, puis rien. Rien qu’une immobilité glacée. Je criais à Prévot:
«Sautez vite!»
Il criait en même temps:
«Le feu!»
Et déjà nous avions basculé par la fenêtre arrachée. Nous étions debout à vingt mètres.
Je disais à Prévot:
«Point de mal?»
Il me répondait:
«Point de mal!»
Mais il se frottait le genou.
Je lui disais:
«Tâtez-vous, remuez, jurez-moi que vous n’avez rien de cassé…»
Et il me répondait:
«Ce n’est rien, c’est la pompe de secours…»
Moi, je pensais qu’il allait s’écrouler brusquement, ouvert de la tête au nombril, mais il me répétait, les yeux fixes:
«C’est la pompe de secours!…»
Moi, je pensais le voilà fou, il va danser…
Mais, détournant enfin son regard de l’avion qui, désormais, était sauvé du feu, il me regarda et reprit:
«Ce n’est rien, c’est la pompe de secours qui m’a accroché au genou.»
III
Il est inexplicable que nous soyons vivants. Je remonte, ma lampe électrique à la main, les traces de l’avion sur le sol. À deux cent cinquante mètres de son point d’arrêt nous retrouvons déjà des ferrailles tordues et des tôles dont, tout le long de son parcours, il a éclaboussé le sable. Nous saurons, quand viendra le jour, que nous avons tamponné presque tangentiellement une pente douce au sommet d’un plateau désert. Au point d’impact un trou dans le sable ressemble à celui d’un soc de charrue.
L’avion, sans culbuter, a fait son chemin sur le ventre avec une colère et des mouvements de queue de reptile. À deux cent soixante-dix kilomètres-heure il a rampé. Nous devons sans doute notre vie à ces pierres noires et rondes, qui roulent librement sur le sable et qui ont formé plateau à billes.
Prévot débranche les accumulateurs pour éviter un incendie tardif par court-circuit. Je me suis adossé au moteur et je réfléchis: j’ai pu subir, en altitude, pendant quatre heures quinze, un vent de cinquante kilomètres-heure, j’étais en effet secoué. Mais, s’il a varié depuis les prévisions, j’ignore tout de la direction qu’il a prise. Je me situe donc dans un carré de quatre cents kilomètres de côté.
Terre des hommes en ligne, page 37 - l'horreur a été commise.
http://m.litfile.net/read/96912/98696-99339?page=37
- kioupsPBTHabitué du forum
Je rejoins niht, c'est une horreur.
_________________
- Spoiler:
- 2004-2005 : stagiaire en lycée (seconde)
2005-2006 : stagiaire (again !) en collège (4ème)
2006-2008 : TZR en collège à l'année (5-4-3 PP 5ème puis 6-5)
2008-2011 : collège 1 (6-5-3, PP 6ème puis 5ème)
2011-2012 : collèges 2 et 3 (6-4, PP 6ème)
2012-2017 : collège 2 (un peu de tout, PP 6ème)
2017 : agreg interne
2017-2018 : lycée 1 (1S, 1STI2D, seconde)
2018-2019 : lycée 1 (1S, TS, TSTI2D, PP 1S et TS)
- VaniaNiveau 4
Et répétée, quelques lignes plus bas:
III
Il est inexplicable que nous soyons vivants. Je remonte, ma lampe électrique à la main, les traces de l’avion sur le sol. À deux cent cinquante mètres de son point d’arrêt nous retrouvons déjà des ferrailles tordues et des tôles dont, tout le long de son parcours, il a éclaboussé le sable. Nous saurons, quand viendra le jour, que nous avons tamponné presque tangentiellement une pente douce au sommet d’un plateau désert. Au point d’impact un trou dans le sable ressemble à celui d’un soc de charrue.
L’avion, sans culbuter, a fait son chemin sur le ventre avec une colère et des mouvements de queue de reptile. À deux cent soixante-dix kilomètres-heure il a rampé. Nous devons sans doute notre vie à ces pierres noires et rondes, qui roulent librement sur le sable et qui ont formé plateau à billes.
Prévot débranche les accumulateurs pour éviter un incendie tardif par court-circuit. Je me suis adossé au moteur et je réfléchis: j’ai pu subir, en altitude, pendant quatre heures quinze, un vent de cinquante kilomètres-heure, j’étais en effet secoué. Mais, s’il a varié depuis les prévisions, j’ignore tout de la direction qu’il a prise. Je me situe donc dans un carré de quatre cents kilomètres de côté.
III
Il est inexplicable que nous soyons vivants. Je remonte, ma lampe électrique à la main, les traces de l’avion sur le sol. À deux cent cinquante mètres de son point d’arrêt nous retrouvons déjà des ferrailles tordues et des tôles dont, tout le long de son parcours, il a éclaboussé le sable. Nous saurons, quand viendra le jour, que nous avons tamponné presque tangentiellement une pente douce au sommet d’un plateau désert. Au point d’impact un trou dans le sable ressemble à celui d’un soc de charrue.
L’avion, sans culbuter, a fait son chemin sur le ventre avec une colère et des mouvements de queue de reptile. À deux cent soixante-dix kilomètres-heure il a rampé. Nous devons sans doute notre vie à ces pierres noires et rondes, qui roulent librement sur le sable et qui ont formé plateau à billes.
Prévot débranche les accumulateurs pour éviter un incendie tardif par court-circuit. Je me suis adossé au moteur et je réfléchis: j’ai pu subir, en altitude, pendant quatre heures quinze, un vent de cinquante kilomètres-heure, j’étais en effet secoué. Mais, s’il a varié depuis les prévisions, j’ignore tout de la direction qu’il a prise. Je me situe donc dans un carré de quatre cents kilomètres de côté.
- VaniaNiveau 4
niht et kioupsPBT ,
j'espère que vous vous en remettrez.
Pour ma part, je vais dormir.
Vania.
j'espère que vous vous en remettrez.
Pour ma part, je vais dormir.
Vania.
- archebocEsprit éclairé
Sphinx a écrit:Mais je n'ai jamais eu de dictée préparées de toute ma scolarité, moi ! J'ai découvert ça en commençant ma carrière en 2012, sans parler des "autodictées"... Et là, je découvre aussi sur ce fil la dictée dialoguée et chémêmepasékoi .
En CE1, nous avons flingué une maîtresse un peu fragile. Je ne vais pas raconter tout ce que nous lui avons fait subir (et ce que nous avons chacun subi du reste de la classe). C'était la course permanente à la plus grosse bêtise. Par exemple, un élève une fois a rampé sous les tables pour aller manger le pain au chocolat de la maîtresse dans son sac. Je me rappelle personnellement avoir vidé la colle liquide d'un camarade par la fenêtre, pour arroser les élèves dans la cour. Je pourrais en raconter des dizaines comme celle-là. Même les grands nous craignaient, mais on ne pouvait pas en profiter, parce que de peur de se faire vandaliser ses affaires, plus personne dans la classe n'osait descendre en récréation. Tout ce petit préambule pour dire qu'au mois de novembre, une délégation de parents est allé se plaindre à la directrice, qui a dit qu'elle ne pouvait rien faire, et que tant qu'il n'y avait pas d'incendie dans la classe, cette maîtresse était inamovible. Avant Noël, il y a eu un incendie dans la classe, et la maîtresse a eu droit à un congé longue durée. A la rentrée de janvier, nous avons eu droit à une nouvelle maîtresse. Nous nous sommes dit : chouette, on va s'amuser.
Elle nous a dressés à coup d'autodictée.
Catalunya a écrit:Comment est-ce possible d'avoir moins de 20/20 à une dictée préparée?
C'est ce que dit l'enseignant de français d'un de mes lardons. En conséquence, dit-il, une dictée sur deux est une dictée préparée, et comme cela, tous les élèves sont sûrs d'avoir la moyenne. Il dit cela avec un sourire très innocent, à nous faire manger des chardons.
- LenagcnNiveau 10
J'ai un enfant-à-moi qui a passé littéralement des heures avec sa tendre et attentive mère à mémoriser sans modifier le texte, puis à repérer tous les éléments pouvant être source d'erreur, puis à épeler chacun des mots (car écrire, cf plus bas...) , pour 3 phrases d'autodictées, et qui n'a JAMAIS eu 20/20.
Mais tout le monde n'a pas le bonheur d'être dysgraphique!
Pour moi, une autodictée en primaire (au collège, je n'ai pas eu) n'évalue rien pour les "orthographe naturelle", et l'implication des parents pour tous les autres.
En tant qu'enseignante, je ne prépare pas la dictée, je prépare mes élèves à la dictée:
programme de révision spécifique (20 mots, 2 verbes à conjuguer, 2 à 4 règles d'homophones à réviser)
lecture du texte par mes soins, et travail de compréhension sur le texte (le nombre de mômes qui copient sans comprendre, et du coup font des erreurs côtés "ils"/"il" (-> et verbes associés) ou sur des homophones lexicaux... Ce n'est pas un problème d'orthographe, mais un problème de compréhension; on évalue quoi déjà?)
relectureS cibléeS
(correction codée par mes soins)
correction individuelle des erreurs repérées
Chaque semaine.
Mais tout le monde n'a pas le bonheur d'être dysgraphique!
Pour moi, une autodictée en primaire (au collège, je n'ai pas eu) n'évalue rien pour les "orthographe naturelle", et l'implication des parents pour tous les autres.
En tant qu'enseignante, je ne prépare pas la dictée, je prépare mes élèves à la dictée:
programme de révision spécifique (20 mots, 2 verbes à conjuguer, 2 à 4 règles d'homophones à réviser)
lecture du texte par mes soins, et travail de compréhension sur le texte (le nombre de mômes qui copient sans comprendre, et du coup font des erreurs côtés "ils"/"il" (-> et verbes associés) ou sur des homophones lexicaux... Ce n'est pas un problème d'orthographe, mais un problème de compréhension; on évalue quoi déjà?)
relectureS cibléeS
(correction codée par mes soins)
correction individuelle des erreurs repérées
Chaque semaine.
- SapotilleEmpereur
Ben oui !!!
Mais tu ne peux pas proposer à l'instit de ton enfant à toi d'adopter ce que tu fais !
Enfin, si, peut-être ...
Elle serait peut-être contente d'apprendre à faire faire à ses élèves quelque chose d'infiniment plus formateur que l'auto dictée ...
Mais, elle serait peut-être vexée !!!
Délicat ... très délicat ...
Mais tu ne peux pas proposer à l'instit de ton enfant à toi d'adopter ce que tu fais !
Enfin, si, peut-être ...
Elle serait peut-être contente d'apprendre à faire faire à ses élèves quelque chose d'infiniment plus formateur que l'auto dictée ...
Mais, elle serait peut-être vexée !!!
Délicat ... très délicat ...
- LenagcnNiveau 10
Le pensum est terminé depuis quelques années.
Je n'ai jamais été voir la maîtresse pour lui parler péda de l'orthographe (et péda tout court; ne fais pas aux autres... ): déjà elle suivait les prescriptions des rééducateurs pour le placement devant-dans-l'axe du tableau (la place que tous les parents veulent!) et pour la diminution de la quantité d'écrit.
Je n'ai jamais été voir la maîtresse pour lui parler péda de l'orthographe (et péda tout court; ne fais pas aux autres... ): déjà elle suivait les prescriptions des rééducateurs pour le placement devant-dans-l'axe du tableau (la place que tous les parents veulent!) et pour la diminution de la quantité d'écrit.
- InhumaineNiveau 8
A vous lire, je commence à douter de ma pratique...
Je ne fais faire à mes élèves, pour l'instant, que des "dictées préparées", si l'on veut. Il s'agit tout bonnement de la dictée du texte complet des "phrases du jour" qu'ils écrivent à chaque début d'heure, et dont on explicite ensemble l'orthographe. Quand le texte est fini, je les préviens qu'ils seront évalués en dictée dessus.
Je note avec un barème "bienveillant" (beurk), car même avec ce dispositif certains pourraient avoir 0 à chaque dictée, le voici donc :
GV /5
GN /5
Orth /3
Ponctuation /2
Point de langue travaillé (les homophones, par ex) /5
Les élèves ont -1 par erreur, mais ils ne peuvent perdre que les points disponibles dans la catégorie correspondante du barème.
Pensez-vous que cela soit une mauvaise idée ? Que je devrais aussi faire d'autres types de dictées ?
Je ne fais faire à mes élèves, pour l'instant, que des "dictées préparées", si l'on veut. Il s'agit tout bonnement de la dictée du texte complet des "phrases du jour" qu'ils écrivent à chaque début d'heure, et dont on explicite ensemble l'orthographe. Quand le texte est fini, je les préviens qu'ils seront évalués en dictée dessus.
Je note avec un barème "bienveillant" (beurk), car même avec ce dispositif certains pourraient avoir 0 à chaque dictée, le voici donc :
GV /5
GN /5
Orth /3
Ponctuation /2
Point de langue travaillé (les homophones, par ex) /5
Les élèves ont -1 par erreur, mais ils ne peuvent perdre que les points disponibles dans la catégorie correspondante du barème.
Pensez-vous que cela soit une mauvaise idée ? Que je devrais aussi faire d'autres types de dictées ?
- RendashBon génie
Inhumaine a écrit:A vous lire, je commence à douter de ma pratique...
Je ne fais faire à mes élèves, pour l'instant, que des "dictées préparées", si l'on veut. Il s'agit tout bonnement de la dictée du texte complet des "phrases du jour" qu'ils écrivent à chaque début d'heure, et dont on explicite ensemble l'orthographe. Quand le texte est fini, je les préviens qu'ils seront évalués en dictée dessus.
Je note avec un barème "bienveillant" (beurk), car même avec ce dispositif certains pourraient avoir 0 à chaque dictée, le voici donc :
GV /5
GN /5
Orth /3
Ponctuation /2
Point de langue travaillé (les homophones, par ex) /5
Les élèves ont -1 par erreur, mais ils ne peuvent perdre que les points disponibles dans la catégorie correspondante du barème.
Pensez-vous que cela soit une mauvaise idée ? Que je devrais aussi faire d'autres types de dictées ?
Je ne suis pas professeur de lettres, mais je dirais que la seule qui peut savoir si c'est une bonne idée ou non, c'est toi : en dehors de ces dictées, leur orthographe (et leur maîtrise de la langue en général) s'est-elle améliorée ? Dans les rédactions, par exemple ? C'est à mon avis là que se situent les éléments de réponse à ta question.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- InhumaineNiveau 8
Rendash, j'ai encore beaucoup de mal à me rendre compte des progrès de mes élèves. En réalité ce que je constate, c'est que les élèves qui travaillent parviennent ainsi à avoir de bons résultats, et à maîtriser le point de langue vu et revu (notamment quand il s'agit de le réinvestir). Ceux qui ne font rien ou ont de trop grandes difficultés... j'ai l'impression que rien ne les aide.
En revanche mes élèves de l'année dernière ont tous dit avoir eu le sentiment de progresser en langue, alors j'espère pouvoir me fier à eux là-dessus.
En revanche mes élèves de l'année dernière ont tous dit avoir eu le sentiment de progresser en langue, alors j'espère pouvoir me fier à eux là-dessus.
- sifiÉrudit
Depuis le début de la semaine, il fait 15 degrés dans ma salle de classe. Les élèves gardent leur veste, et j'ai tout le temps froid.
Dans le couloir de l'administration (et les toilettes), le chauffage est allumé.
Pour le reste du collège, "on n'a pas le droit, il faut attendre le feu vert du département." Donc, profs et élèves n'ont qu'à se geler les miches pendant que le chef, la gestionnaire, leurs secrétaires et les gratte-papiers du département sont bien au chaud, eux. :gratte:
Dans le couloir de l'administration (et les toilettes), le chauffage est allumé.
Pour le reste du collège, "on n'a pas le droit, il faut attendre le feu vert du département." Donc, profs et élèves n'ont qu'à se geler les miches pendant que le chef, la gestionnaire, leurs secrétaires et les gratte-papiers du département sont bien au chaud, eux. :gratte:
- sifiÉrudit
Sans doute.
Mais c'est gonflant de choper la crève presque tous les ans parce que ce n'est pas la date autorisée pour chauffer.
Mais c'est gonflant de choper la crève presque tous les ans parce que ce n'est pas la date autorisée pour chauffer.
- CeladonDemi-dieu
Et les parents, là où ils pourraient être réellement utiles, ils font quoi ?
- NitaEmpereur
Ah, non.
Ici, il fait frisquet le matin, (6°) ce matin, 8h.30, 4e, 30 élèves, 10 T-shirts. (Dont une fashionista avec un snood géant en tricot. )
Ici, il fait frisquet le matin, (6°) ce matin, 8h.30, 4e, 30 élèves, 10 T-shirts. (Dont une fashionista avec un snood géant en tricot. )
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A clean house is a sign of a broken computer.
- RendashBon génie
Je me coucherai moins bête ce soir : j'ignorais ce qu'était un snood, je ne connaissais pas le mot.
...enfin, je me coucherai, c'est certain ; moins bête, on verra demain.
...enfin, je me coucherai, c'est certain ; moins bête, on verra demain.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- Al9Niveau 10
Vous n'avez pas çà par chez vous : des filles en petit haut ou t-shirt mais qui viennent avec leur couverture (qu'elles gardent en classe bien sûr) et qui dès qu'on leur dit de l'enlever : "mais j'ai froid"
- sifiÉrudit
Non non, c'est pas une blague. 5/6 élèves en T-shirt par classe, certains sans même un gilet, en train de grelotter.
- CeladonDemi-dieu
Pourtant si qqun doit le connaître, c bien le renne !Rendash a écrit:Je me coucherai moins bête ce soir : j'ignorais ce qu'était un snood, je ne connaissais pas le mot.
...enfin, je me coucherai, c'est certain ; moins bête, on verra demain.
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