- CathEnchanteur
(Ah ces pavillons qu'il faut absolument aligner façade à la rue et tant pis si le salon se retrouve plein nord ! Ces volets à peindre en marron "Parce que c'est une couleur de la région !" Ces enduits uniformément "ton pierre" sur des façades forcément en parpaings et tant pis pour le bois plus écologique et j'en passe)
- JPhMMDemi-dieu
Le bois n'est pas nécessairement plus écologique.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CathEnchanteur
Par rapport au parpaing, j'en suis quasiment persuadée...
Je ne parle bien sûr pas de bois qu'on ferait venir de l'autre bout du monde.
Je ne parle bien sûr pas de bois qu'on ferait venir de l'autre bout du monde.
- BabaretteDoyen
oden38 a écrit:Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Je lis Les Mille et une nuits, traduction de Galland. C'est vraiment le livre de l'infini : on y entre, on ne peut en sortir. Cette langue m'ensorcelle.
J'ai eu également le même ressenti quand je l'avais eu, encore enfant. Ça me donne bien envie de le relire.
Moi, je traîne depuis des mois 1Q84 de Murakami, j'arrive péniblement à la fin du 3ème tome. Je sais que ce livre a eu beaucoup de succès, mais pour moi c'est une vraie torture. Je le trouve mal écrit, mal pensé, mal conduit, long, ennuyeux, bourré de répétitions, terriblement plat d'un point de vue stylistique. Vivement que j'en finisse.
Pourquoi te forces-tu à le lire si tu détestes? Autant garder son temps pour lire de bonnes choses!
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- oden38Niveau 3
Babarette a écrit:oden38 a écrit:Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Je lis Les Mille et une nuits, traduction de Galland. C'est vraiment le livre de l'infini : on y entre, on ne peut en sortir. Cette langue m'ensorcelle.
J'ai eu également le même ressenti quand je l'avais eu, encore enfant. Ça me donne bien envie de le relire.
Moi, je traîne depuis des mois 1Q84 de Murakami, j'arrive péniblement à la fin du 3ème tome. Je sais que ce livre a eu beaucoup de succès, mais pour moi c'est une vraie torture. Je le trouve mal écrit, mal pensé, mal conduit, long, ennuyeux, bourré de répétitions, terriblement plat d'un point de vue stylistique. Vivement que j'en finisse.
Pourquoi te forces-tu à le lire si tu détestes? Autant garder son temps pour lire de bonnes choses!
Je sais. C'est stupide. C'est plus fort que moi. Quand j'ai commencé un livre, il faut absolument que je le finisse, même s'il est en plusieurs tomes, même si je ne l'aime pas. C'est psychologique.
- BabaretteDoyen
Je comprends. Courage pour ta lecture de navet!
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:lecteur:
- CeladonDemi-dieu
Ah oui... Oden, tu es encore plus atteinte que moi. Quand il y a plusieurs tomes, c'est le premier jusqu'au bout et niet pour les autres. Cela m'est arrivé avec Vernon Subutex. Le premier oui, mais rapidement le second m'a gavée.
J'ai comme toi, du mal avec Murakami et ne m'explique pas le succès qu'il connaît...
J'ai comme toi, du mal avec Murakami et ne m'explique pas le succès qu'il connaît...
- VirvirvirNiveau 6
Moi pareil. J'ai tenu sur le premier Ferrrante mais pas les autres. Depuis l'acquisition de ma liseuse je m'autorise beaucoup plus à arrêter au milieu un livre qui me déplaît. Là je m' aère les neurones avec le dernier Dicker. Agréable pour se détendre le soir.
- User768Niveau 3
Le Château de ma mère , Marcel Pagnol . Indémodable
- CeladonDemi-dieu
Je ne voulais pas ouvrir un topic pour un livre que je n'ai pas lu, je veux juste le signaler, il semble important :
http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/03/27/la-laveuse-de-morts-le-best-seller-qui-passionne-les-danois_5276853_4497186.html
http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2018/03/27/la-laveuse-de-morts-le-best-seller-qui-passionne-les-danois_5276853_4497186.html
Musulmane agnostique, opposée au port du voile, elle appelle à « une réforme de l’islam » et à une « révolution des mentalités ». En commençant au Danemark, où la gauche, « animée de bonnes intentions », « a trop longtemps fermé les yeux », tandis que la droite « mettait de l’huile sur le feu, au lieu d’apporter des solutions ». Pour avoir rompu avec sa famille et publié un livre, Sara Omar est menacée. Mais, plus que jamais, elle garde espoir. Tous les jours, elle reçoit des lettres de femmes et d’hommes témoignant de leur calvaire. « La parole, dit-elle, est en train de se libérer. »
- New ZealandNiveau 9
J'ai relu Vent d'Est, vent d'Ouest de Pearl Buck, que j'avais lu et beaucoup aimé à l'adolescence. Par contre, la version que j'ai (1976) est super mal traduite, c'était assez désagréable. Pour une fois que je lisais une traduction de l'anglais, c'est bien ma chance !
- CarabasVénérable
Que de souvenirs! J'ai gardé ma collection de Pearl Buck. Mes préférés sont Impératrice de Chine, Pivoine et Pavillon de Femmes. J'aime aussi beaucoup la trilogie chinoise. Vent d'Est, Vent d'Ouest est mon 1er mais pas mon préféré. J'ai aimé quand même...New Zealand a écrit:J'ai relu Vent d'Est, vent d'Ouest de Pearl Buck, que j'avais lu et beaucoup aimé à l'adolescence. Par contre, la version que j'ai (1976) est super mal traduite, c'était assez désagréable. Pour une fois que je lisais une traduction de l'anglais, c'est bien ma chance !
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Ça calme.
- Spoiler:
- En 1946, Murray Leinster imagine les dérives d’un réseau informatique mondial.
« Vous connaissez les “logiques“. Vous en avez un chez vous. Ça ressemble à un récepteur d’images, seulement il y a des touches au lieu de cadrans et vous pianotez pour avoir ce que vous voulez ». Joe est un de ces logiques qui ont changé la civilisation. Mais celui-ci, fraîchement sorti des usines de la Logics Company, bénéficie d’un petit défaut de fabrication qui le rend plus réactif, plus entreprenant, plus efficace et toujours au service du client. Accédant à des contenus confidentiels, puisant dans les données éparpillées sur le réseau mondial, Joe répond à toutes vos questions et trouve une solution adaptée à tous vos souhaits... y compris assassiner votre femme sans vous faire prendre ou dévaliser une banque sans risque. Froidement, sans penser à mal, Joe mènerait-il l’humanité à sa perte ?
Un logique nommé Joe – publié en 1946, époque où l’ordinateur le plus perfectionné pesait trente tonnes et remplissait une salle de 150 m2 – est une nouvelle véritablement visionnaire. Non sans humour, Leinster décrit les ravages exponentiels découlant d’un accès illimité à la connaissance et de ses usages immodérés.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Leinster.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- JPhMMDemi-dieu
Oui
La collection dyschroniques est vraiment très bien.
"Le pense-bête" de Fritz Leiber et "Audience captive" d'Ann Warren Griffith m'attendent encore sur le bureau.
Je pense que je vais me jeter sur les autres pépites de cette collection.
La collection dyschroniques est vraiment très bien.
"Le pense-bête" de Fritz Leiber et "Audience captive" d'Ann Warren Griffith m'attendent encore sur le bureau.
Je pense que je vais me jeter sur les autres pépites de cette collection.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Je ne connaissais pas cette collection.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- BabaretteDoyen
J'ai lu
- Antimanuel d'économie, tome 1: Les Cigales, de Bernard Maris.
- Loft Story ou la télévision de la honte, la téléréalité exposée aux rejets, de Gabriel Segré.
- Le Système Victoria, d'Eric Reinhart. Beau roman, mais moins que L'Amour et les forêts. Ca commence comme une histoire d'amour, mais en fait, c'est un roman social et ça devient un thriller.
- Antimanuel d'économie, tome 1: Les Cigales, de Bernard Maris.
- Loft Story ou la télévision de la honte, la téléréalité exposée aux rejets, de Gabriel Segré.
- Le Système Victoria, d'Eric Reinhart. Beau roman, mais moins que L'Amour et les forêts. Ca commence comme une histoire d'amour, mais en fait, c'est un roman social et ça devient un thriller.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- JPhMMDemi-dieu
Terrifiant et très juste.
- Spoiler:
En 1953, Ann Warren Griffith imagine le ciblage publicitaire comportemental.
Qu’il fait bon vivre dans l’Amérique des époux Bascom. Maman est à sa place, dans sa belle cuisine, aidée dans ses tâches par des messages publicitaires qui lui disent quand et avec quoi remplir son frigo.
Il y a les deux magnifiques enfants de la maisonnée, totalement accros aux jingles délivrés par leur boîte de céréales préférées.
Et puis il y a Papa, qui travaille avec tant de fierté pour la Société de Ventriloquie Universelle des Etats-Unis, fleuron de l’Amérique, pourvoyeuse de bonheur et chien de garde du devoir constitutionnel à consommer ; Papa qui déborde d’imagination pour faire acheter ses concitoyens. Et personne ne peut échapper à cette fièvre acheteuse institutionnalisée.
Personne, sauf Grand-mère, qui sort de prison, une vraie terroriste qui a refusé de se laisser bouffer par la publicité et qui débarque chez les Bascom. Mais est-elle vraiment décidée cette fois à subir le matraquage que son gendre souhaite lui imposer à elle comme à tout le pays ?
Sous des dehors légers, la charge est sans appel. Voilà à quoi pourrait bien ressembler une société livrée toute entière aux appétits et à la imagination sans limite des marques et de leur service marketing. Ciblage comportemental, marketing viral, publicité contextuelle, si le tableau fleure bon les années 1950, la force de sa vision reste intacte !
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AnguaGrand sage
Je viens de terminer Celle qui n'avait pas peur de Cthulhu, de Karim Berrouka. Un peu déçue car j'en attendais sûrement beaucoup.
Et je suis depuis à nouveau plongée dans Le Monde du Fleuve de Farmer, avec son 4e tome, Le Labyrinthe magique.
Et je suis depuis à nouveau plongée dans Le Monde du Fleuve de Farmer, avec son 4e tome, Le Labyrinthe magique.
- CathEnchanteur
JPhMM a écrit:
Terrifiant et très juste.
- Spoiler:
En 1953, Ann Warren Griffith imagine le ciblage publicitaire comportemental.
Qu’il fait bon vivre dans l’Amérique des époux Bascom. Maman est à sa place, dans sa belle cuisine, aidée dans ses tâches par des messages publicitaires qui lui disent quand et avec quoi remplir son frigo.
Il y a les deux magnifiques enfants de la maisonnée, totalement accros aux jingles délivrés par leur boîte de céréales préférées.
Et puis il y a Papa, qui travaille avec tant de fierté pour la Société de Ventriloquie Universelle des Etats-Unis, fleuron de l’Amérique, pourvoyeuse de bonheur et chien de garde du devoir constitutionnel à consommer ; Papa qui déborde d’imagination pour faire acheter ses concitoyens. Et personne ne peut échapper à cette fièvre acheteuse institutionnalisée.
Personne, sauf Grand-mère, qui sort de prison, une vraie terroriste qui a refusé de se laisser bouffer par la publicité et qui débarque chez les Bascom. Mais est-elle vraiment décidée cette fois à subir le matraquage que son gendre souhaite lui imposer à elle comme à tout le pays ?
Sous des dehors légers, la charge est sans appel. Voilà à quoi pourrait bien ressembler une société livrée toute entière aux appétits et à la imagination sans limite des marques et de leur service marketing. Ciblage comportemental, marketing viral, publicité contextuelle, si le tableau fleure bon les années 1950, la force de sa vision reste intacte !
Ah, mais je crois que j'ai lu ça dans l’anthologie de la science-fiction...
- Spoiler:
- Tous les produits sont équipés de petits haut-parleurs qui diffusent leurs messages publicitaires...Excédée, la grand-mère préfère retourner en prison où les produits sont silencieux, ce qui donne au père la merveilleuse idée d'équiper aussi les prisons pour ne pas que les détenus soient trop dépaysés à leur libération
C'est excellent.
- JPhMMDemi-dieu
Oui, dans
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CathEnchanteur
Une excellente série !
J'adore (dans Histoire de Planète ? ou d’Explorateurs ?) celle ou se joue une guerre ancienne dans la tête d'un explorateur échoué là suite à une panne...
J'adore (dans Histoire de Planète ? ou d’Explorateurs ?) celle ou se joue une guerre ancienne dans la tête d'un explorateur échoué là suite à une panne...
- JPhMMDemi-dieu
Oui, une excellente série. Une réédition complète serait une superbe idée.
Je ne connais pas la nouvelle dont tu parles.
***
Encore une claque :
Je ne connais pas la nouvelle dont tu parles.
***
Encore une claque :
- Spoiler:
- En 1962, Fritz Leiber imagine l’Humanité Assistée par Ordinateur.
L’Amérique, dans deux ou trois cents ans. Le monde a échappé à l’apocalypse mais s’est enlisé dans une guerre d’usure. L’humanité – en tout cas, celle qui en a les moyens – s’est réfugiée en sous-sol, laissant l’autre partie vivoter à la surface. Gussy et sa femme, Daisy, sont de ceux-là. Ils apprécient leur vie « normale » au sein d’une tour abandonnée. Gussy est un rêveur fou et un inventeur de génie. Régulièrement, Fay, un habitant du dessous travaillant pour une grosse firme, vient lui rendre visite, à l’affût de la moindre invention à commercialiser. Et ce jour-là, ce bon vieux Gussy lui propose de concevoir une sorte d’aide-mémoire automatique qui soulagerait l’homme de nombre de ses soucis et pensées. Quelques jours plus tard, le Mémorisateur voit le jour et fait fureur... avant d’échapper à tout contrôle.
Cette nouvelle fascinante et visionnaire est signée d’un maître du genre. Fritz Leiber décrit, en 1962, une humanité obsédée par le progrès, la technique et le profit, quitte à en devenir l’esclave absolu. Le pense-bête est une fable sur la fascination technologique et les dangers d’une société livrée corps et âme à la machine.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LouisBarthasExpert
Oh, collection de mon adolescence !JPhMM a écrit:Oui, dans
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- CathEnchanteur
J'ai retrouvé !
C'est Cauchemars en Harmaguédon, de Bradbury.
Et celle qui suit, Les Pêcheurs, est excellente également.
Et aussi...
Bref, cette anthologie m'a passionnée moi aussi à l'adolescence et pas seulement...
C'est Cauchemars en Harmaguédon, de Bradbury.
Et celle qui suit, Les Pêcheurs, est excellente également.
Et aussi...
Bref, cette anthologie m'a passionnée moi aussi à l'adolescence et pas seulement...
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