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JPhMMDemi-dieu
:lol:
PS : tu confonds point médian et puce.
PS : tu confonds point médian et puce.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
DimkaVénérable
Je sais mais je suis sur mon tél, je n'ai pas trouvé de puce. Puis les tigres n'ont pas de puces, d'abord !
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- Spoiler:
IphigénieProphète
Lecture jouissive comme à peu près toujours avec Bayard
lamorduedhistoire25Niveau 5
Le catalogue d'expositions François Ier et l'art des Pays-Bas, Louvre Editions et Somogy Editions d'Art.
- lamorduedhistoire25Niveau 5
La ferme africaine de Karen Blixen qui a donné pour film "Out of Africa" : j'ai adoré le film et le livre.
Ici un documentaire sur Karen Blixen qui a été diffusé hier soir sur arte : https://www.arte.tv/fr/videos/073881-000-A/karen-blixen-le-songe-d-une-nuit-africaine/
Ici un documentaire sur Karen Blixen qui a été diffusé hier soir sur arte : https://www.arte.tv/fr/videos/073881-000-A/karen-blixen-le-songe-d-une-nuit-africaine/
Hervé HervéFidèle du forum
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
LouisBarthasExpert
"Tanguy ferma les yeux et sauta. Il eut très mal. Il tâta ses jambes. Elles étaient intactes. Firmin sauta à son tour. La rue était vide. Le soir tombait. Les deux amis se mirent à courir comme s'ils avaient toutes les polices espagnoles à leurs trousses. Enfin, ils soufflèrent. Tanguy respira avidement sa première bouffée d'air « libre ». Des larmes mouillèrent ses paupières. Il souriait, pleurait et riait à la fois. Ils traversèrent une grand-rue. Un tramway passa. Sur les marche-pieds des grappes humaines étaient accrochées. L'air était frais, et sentait l'iode et les fritures."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
BabaretteDoyen
Hervé Hervé a écrit:
Ca a l'air intéressant, qu'est-ce que tu en as pensé?
- LouisBarthasExpert
« Ce n'est rien de mourir ; c'est affreux de ne pas vivre. »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- LouisBarthasExpert
"Bicêtre dont le seul nom fait frémir quiconque le prononce, Bicêtre sera désormais ton refuge, ton seul secours. Le seul.
Je me suis approchée de toi, sans savoir au début que j'allais vers toi, sans savoir que tu allais occuper plus de deux ans de ma vie. On pousse un jour la porte d'un bistrot, celui aux banquettes de moleskine rouge plutôt que celui d'à côté aux fauteuils de rotin et, au-dessus de sa menthe à l'eau, on croise le regard de l'homme qui va bouleverser votre vie."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- LouisBarthasExpert
"Tout se bouscule dans sa tête, mais chaque chose porte un nom, occupe sa place : joie de le retrouver, peur d'avoir vieilli, de ne plus être assez belle pour lui, peur de renouer avec son charme, son opacité, peur, en disant non, de se prendre au petit jeu minable de la revanche."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- BabaretteDoyen
J'ai lu Un certain Monsieur Pieckelny, de François-Henry Désérable (qui n'est pas canadien :p ). Pure merveille au sujet d'un personnage de La Promesse de l'aube, à la recherche duquel l'auteur est parti, pour retrouver les traces de son existence. Je ne l'aurais pas lu spontanément, on me l'a offert, mais je le recommande très chaleureusement.
J'ai également lu L'ordre du jour, d"Eric Vuillard. Mon avis est bien plus mitigé, c'est un peu faiblard par moment. Ca parle de ceux qui ont participé à la montée du nazisme. A mon sens, c'est à lire plus pour apprendre des choses que pour l'émerveillement littéraire.
J'ai également lu L'ordre du jour, d"Eric Vuillard. Mon avis est bien plus mitigé, c'est un peu faiblard par moment. Ca parle de ceux qui ont participé à la montée du nazisme. A mon sens, c'est à lire plus pour apprendre des choses que pour l'émerveillement littéraire.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
DesolationRowEmpereur
Je suis d'accord sur L'ordre du jour. Je ne sais pas ce qu'ils fument, le jury Goncourt, mais c'est vraiment un bouquin très faible.
Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Je lis Les Mille et une nuits, traduction de Galland. C'est vraiment le livre de l'infini : on y entre, on ne peut en sortir. Cette langue m'ensorcelle.
Je lis aussi Hâfez de Chiraz, traduit par Charles-Henri de Fouchécour. Les commentaires plus que la traduction sont intéressants et permettent d'entrer dans cet univers.
Et puis je relis des Problèmes de Benveniste.
Je lis aussi Hâfez de Chiraz, traduit par Charles-Henri de Fouchécour. Les commentaires plus que la traduction sont intéressants et permettent d'entrer dans cet univers.
Et puis je relis des Problèmes de Benveniste.
Catherine93Niveau 5
Bonjour
Pour ma part, je suis dans La griffe du chien de Don Winslow. Sanglant et prenant!!
Pour ma part, je suis dans La griffe du chien de Don Winslow. Sanglant et prenant!!
AnguaGrand sage
Je viens de me régaler avec Julian, de Robert Charles Wilson. C'est un auteurqui m'avait déjà laissé de bons souvenirs, l'a priori était donc plutôt positif, mais je ne pensais pas me laisser embarquer à ce point.
- BabaretteDoyen
J'ai lu Splendeurs et Misères des courtisanes et ça me confirme l'idée que je fais partie de ces gens bizarres qui aiment Blazac. Il était dans ma PAL depuis longtemps puisqu'en hypokhâgne, notre professeur de littérature nous avait dit "Quand je serai mort, je viendrai vous hanter si vous n'avez pas lu Splendeurs et Misères des courtisanes!". Bon, maintenant, je sais pourquoi.
J'ai également lu Quatuor, d'Anna Enquist, un roman néerlandais.
C'est un beau roman, j'ai apprécié le récit: quatre amis sont réunis et forment un quatuor amateur. Il est question d'universalité de la musique, de préjugés sur des critères sociaux. Pas un roman indispensable, mais j'ai passé un bon moment et je le recommande volontiers.
J'ai également lu Quatuor, d'Anna Enquist, un roman néerlandais.
C'est un beau roman, j'ai apprécié le récit: quatre amis sont réunis et forment un quatuor amateur. Il est question d'universalité de la musique, de préjugés sur des critères sociaux. Pas un roman indispensable, mais j'ai passé un bon moment et je le recommande volontiers.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:- JPhMMDemi-dieu
Merci pour cet avis, j'aime bien Robert Charles Wilson, en général.Angua a écrit:Je viens de me régaler avec Julian, de Robert Charles Wilson. C'est un auteurqui m'avait déjà laissé de bons souvenirs, l'a priori était donc plutôt positif, mais je ne pensais pas me laisser embarquer à ce point.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AnguaGrand sage
Je continue dans une veine SF (surprise ?) avec un classique que j'avais honte de ne pas encore avoir lu : Le Monde du fleuve, de Philip José Farmer. Au bout de quelques chapitres, une certitude, ça se lit très vite, et très bien ! Mais comme souvent avec la SF de cette époque, il y a des petites choses qui semblent un peu too much... ça fait partie du charme.
- LouisBarthasExpert
"Un outil n'est pas meilleur qu'un autre parce qu'il est plus récent. Ce qui importe avant tout, c'est de savoir s'il nous permet de nous épanouir sur la plan humain. Laisser le progrès décider à notre place de la façon dont nous voulons mener nos vies, voilà la vraie folie."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
VirvirvirNiveau 6
De l'anticipation pour moi aussi, une dystopie très très dys : La servante écarlate, Atwood. Je suis dedans et je balance constamment entre malaise et indignation. Très très bien !
Ignatius ReillyFidèle du forum
J'ai lu dernièrement L'univers à portée de main de Christophe Galfard, c'est très agréable, mais il n 'y a rien à faire, je ne comprends pas le paradoxe des jumeaux de Langevin. Et ce dans quelque livre que ce soit, quelque soit l'auteur. Bon, le passage sur la quantique, j'ai même pas cherché à comprendre.
Je termine en ce moment Quattrocento de Stephen Greenblatt, sur la redécouverte des manuscrits païens par les cercles humanistes italiens.
J'ai bien envie d'enchaîner avec le dernier Pierre Lemaître.
Je termine en ce moment Quattrocento de Stephen Greenblatt, sur la redécouverte des manuscrits païens par les cercles humanistes italiens.
J'ai bien envie d'enchaîner avec le dernier Pierre Lemaître.
- oden38Niveau 3
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:Je lis Les Mille et une nuits, traduction de Galland. C'est vraiment le livre de l'infini : on y entre, on ne peut en sortir. Cette langue m'ensorcelle.
J'ai eu également le même ressenti quand je l'avais eu, encore enfant. Ça me donne bien envie de le relire.
Moi, je traîne depuis des mois 1Q84 de Murakami, j'arrive péniblement à la fin du 3ème tome. Je sais que ce livre a eu beaucoup de succès, mais pour moi c'est une vraie torture. Je le trouve mal écrit, mal pensé, mal conduit, long, ennuyeux, bourré de répétitions, terriblement plat d'un point de vue stylistique. Vivement que j'en finisse.
- LouisBarthasExpert
"Les zones pavillonnaires, affublées à l'occasion du joli nom de lotissements, envahissent inexorablement les aires périurbaines et rurales. Leur modèle administratif et et économique (production industrielle de l'habitat individuel indifféremment du lieu, du secteur, du climat et des traditions architecturales antérieures) normalise et uniformise l'urbanisation de la société."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- CathEnchanteur
(Ah ces pavillons qu'il faut absolument aligner façade à la rue et tant pis si le salon se retrouve plein nord ! Ces volets à peindre en marron "Parce que c'est une couleur de la région !" Ces enduits uniformément "ton pierre" sur des façades forcément en parpaings et tant pis pour le bois plus écologique et j'en passe)
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