- AemiliaExpert
A tous les Néo acharnés de la lecture, avez-vous vu passer ce concours "Kube" proposant de gagner un an de lecture ? Une "bibliothèque mystère" composée par des libraires. Participation ici : http://bibliothequemystere.lakube.com?kid=CNX3F
- dorémyExpert spécialisé
Un mini roman de littérature jeunesse bien frais :
"Séoul, aujourd’hui. Un jeune chat errant raconte son attirance pour une jeune fille solitaire et mal dans sa peau.
Sur la base très simple des difficultés de l’adolescence, l’auteur, dont c’est le premier roman, imagine une histoire au point de vue tout à fait singulier, puisque c’est le chat qui parle. Cette boule de poils noirs analyse les situations de sa hauteur de chat, bien sûr, mais il a pour lui de comprendre les paroles des humains. Ces derniers paraissent au lecteur bien lointains et compliqués."
Apprécié plus pour le point de vue novateur que pour le style.
- CarabasVénérable
Ah oui, je l'ai lu. Bien sympathique.
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- dorémyExpert spécialisé
en déballant des cartons je suis retombée sur ce spécimen enseignant passé inaperçu à la fin de l'année dernière. Un roman émouvant qui raconte le traitement d'un prisonnier de camp de concentration à travers les yeux d'une enfant. Le décalage entre la violence de la barbarie et l'interprétation naïve est très fort.Un style enfantin mais très poétique et métaphorique qui m'a beaucoup plu.
Je vais le faire lire en cursive à mes 3e pendant les vacances. Les plus faibles comprendront l'essentiel, les bons lecteurs arriveront à lire entre les lignes de ce père qui "a" le camp comme on a une maladie incurable.
- dorémyExpert spécialisé
Pris au hasard au CDI en quête d'une lecture cursive à donner aux 4e pour boucler ma séquence "Dire l'amour".
Attaqué sans grande conviction mais c'est un beau texte qui va leur plaire je pense. Hâte d'avoir leur retour à la rentrée.
«C’est depuis cette seconde que je t’ai aimé. Je sais que les femmes t’ont souvent dit ce mot, à toi leur enfant gâté. Mais crois-moi, personne ne t’a aimé aussi fort – comme une esclave, comme un chien –, avec autant de dévouement que cet être que j’étais alors et que pour toi je suis restée. Rien sur la terre ne ressemble à l’amour inaperçu d’une enfant retirée dans l’ombre ; cet amour est si désintéressé, si humble, si soumis, si attentif et si passionné que jamais il ne pourra être égalé par l’amour, fait de désir, et, malgré tout, exigeant, d’une femme épanouie.»
- DimkaVénérable
Hey !
Je vous ai parlé du prix des étudiants : https://www.neoprofs.org/t102443p250-nos-dernieres-lectures-tome-4#3880542
Et du coup, j’ai oublié de vous parler des autres livres.
Bon, bon, bon.
D’abord, j’ai lu L'Autre qu'on adorait de Catherine Cusset.
Comment dire… C’est bien écrit, l’histoire est bien menée, patata, patati. C’est, à mon avis, un bon bouquin. Mais une fois encore, je me demande ce qui passe par la tête des gens qui pré-sélectionnent les romans de ce prix. C’est juste que… ce n’est pas du tout un truc d’étudiant, c’est le genre de bouquin que tu dois probablement lire et apprécier quand tu as entre quarante et soixante-dix ans (ou quand tu es étudiant de lettres à la Sorbonne et que tu corresponds très précisément aux clichés les plus caricaturaux que je peux avoir sur l’étudiant de lettres… mais disons que ce n’est pas du tout représentatif de l’étudiant moyen).
Et puis, et puis… c’est encore et encore des histoires de l’élite, de Parisiens, de ohlala, je fais partie de l’élite intellectuelle, je fais mes études à Paris et aux USA, j’ai des copains qui deviennent correspondants de libé à New York, je bois des vins fins et prestigieux, et je cite du Proust/Genette/Starobinski/Lautréamont/etc. toutes les trois phrases quand je parle. Sérieux…
Et enfin, de toute façon, je n’ai pas aimé le bouquin. Le héros tant valorisé est juste un macho, un de ces gus que je n’aime pas trop : trop à l’aise, trop flamboyant, trop sûr de lui, trop dans l’étalage de culture. Ça me rappelle mon ancien tuteur…
Et à côté de ça, je trouve que ça n’apporte pas grand chose. Ce n’est pas le genre de bouquin qui te retourne les tripes, il n’y a rien d’existentiel (du moins pour moi, je suppose que chacun va trouver ce qui lui convient en fonction des questions qu’il se pose).
Je vous ai parlé du prix des étudiants : https://www.neoprofs.org/t102443p250-nos-dernieres-lectures-tome-4#3880542
Et du coup, j’ai oublié de vous parler des autres livres.
Bon, bon, bon.
D’abord, j’ai lu L'Autre qu'on adorait de Catherine Cusset.
Comment dire… C’est bien écrit, l’histoire est bien menée, patata, patati. C’est, à mon avis, un bon bouquin. Mais une fois encore, je me demande ce qui passe par la tête des gens qui pré-sélectionnent les romans de ce prix. C’est juste que… ce n’est pas du tout un truc d’étudiant, c’est le genre de bouquin que tu dois probablement lire et apprécier quand tu as entre quarante et soixante-dix ans (ou quand tu es étudiant de lettres à la Sorbonne et que tu corresponds très précisément aux clichés les plus caricaturaux que je peux avoir sur l’étudiant de lettres… mais disons que ce n’est pas du tout représentatif de l’étudiant moyen).
Et puis, et puis… c’est encore et encore des histoires de l’élite, de Parisiens, de ohlala, je fais partie de l’élite intellectuelle, je fais mes études à Paris et aux USA, j’ai des copains qui deviennent correspondants de libé à New York, je bois des vins fins et prestigieux, et je cite du Proust/Genette/Starobinski/Lautréamont/etc. toutes les trois phrases quand je parle. Sérieux…
Et enfin, de toute façon, je n’ai pas aimé le bouquin. Le héros tant valorisé est juste un macho, un de ces gus que je n’aime pas trop : trop à l’aise, trop flamboyant, trop sûr de lui, trop dans l’étalage de culture. Ça me rappelle mon ancien tuteur…
Et à côté de ça, je trouve que ça n’apporte pas grand chose. Ce n’est pas le genre de bouquin qui te retourne les tripes, il n’y a rien d’existentiel (du moins pour moi, je suppose que chacun va trouver ce qui lui convient en fonction des questions qu’il se pose).
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- Spoiler:
- DimkaVénérable
J’ai également lu La Succession de Jean-Paul Dubois.
Je suis un peu moins négatif. J’ai bien aimé, déjà parce que ça parle un peu de médecine et que c’est un sujet qui m’intéresse. D’un autre côté, je n’arrive pas à me débarasser de l’impression que c’est une histoire de médecin par un gars qui n’est pas médecin… quand à côté de ça, on a quelques très bons livres ou/et blogs de médecins ou de professions paramédicales, qui partagent leur expérience et qui ont à mon avis largement plus à apporter à la réflexion qu’un gars dont l’activité principale est d’être écrivain. Entrer chez quelqu’un à l’agonie, chez quelqu’un qui n’est plus que souffrance, sans espoir, est autrement plus complexe que les vagues idées générales qu’on peut en avoir. Du coup, au niveau de la réflexion sur ce sujet, je ne trouve pas que le livre apporte grand chose. Trop cliché, trop superficiel.
D’un autre côté, j’ai trouvé le livre assez rigolo, ça ne se prend pas trop au sérieux, et c’est assez léger. Le grand-père avec sa lamelle de cerveau de Staline, le père qui se suicide en se scotchant la tête, etc. La façon de raconter est aussi marrante.
Puis je ne connaissais rien à la pelote basque, ni à son développement aux USA. Ça fait découvrir deux-trois trucs sur le sujet.
Je suis un peu moins négatif. J’ai bien aimé, déjà parce que ça parle un peu de médecine et que c’est un sujet qui m’intéresse. D’un autre côté, je n’arrive pas à me débarasser de l’impression que c’est une histoire de médecin par un gars qui n’est pas médecin… quand à côté de ça, on a quelques très bons livres ou/et blogs de médecins ou de professions paramédicales, qui partagent leur expérience et qui ont à mon avis largement plus à apporter à la réflexion qu’un gars dont l’activité principale est d’être écrivain. Entrer chez quelqu’un à l’agonie, chez quelqu’un qui n’est plus que souffrance, sans espoir, est autrement plus complexe que les vagues idées générales qu’on peut en avoir. Du coup, au niveau de la réflexion sur ce sujet, je ne trouve pas que le livre apporte grand chose. Trop cliché, trop superficiel.
D’un autre côté, j’ai trouvé le livre assez rigolo, ça ne se prend pas trop au sérieux, et c’est assez léger. Le grand-père avec sa lamelle de cerveau de Staline, le père qui se suicide en se scotchant la tête, etc. La façon de raconter est aussi marrante.
Puis je ne connaissais rien à la pelote basque, ni à son développement aux USA. Ça fait découvrir deux-trois trucs sur le sujet.
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- Spoiler:
- liskayaNeoprof expérimenté
Mon premier Echenoz !
J'ai bien aimé, et j'ai découvert cet incroyable Zatopek dont je ne connaissais que le nom.
J'ai bien aimé, et j'ai découvert cet incroyable Zatopek dont je ne connaissais que le nom.
- OxfordNeoprof expérimenté
liskaya, je te conseille Je m'en vais, un autre Echenoz (prix Goncourt 1999)
Rien à voir (quoique...), un bon polar :
Rien à voir (quoique...), un bon polar :
- liskayaNeoprof expérimenté
dorémy a écrit:
Un bon moment de lecture mais pas LE livre de l'année, n'en déplaise au jury du Goncourt.
Je n'ai pas été secouée, ni transcendée. J'ai regretté que le personnage de Stéphanie n'ait pas plus d'épaisseur.
Quelque chose dans le style me gène, sans l'avoir vraiment identifié. La froideur peut être qui est sans doute un parti pris, pour être en accord avec le personnage de cette nounou maniaque.
Des petites pépites tout de même, plutôt dans les derniers chapitres, où les phrases s'envolent parfois. Un livre sur la mythologie du monde moderne.
- Spoiler:
« La nounou est comme ces silhouettes qui, au théâtre, déplacent dans le noir le décor sur la scène. Elles soulèvent un divan, poussent d‘une main une colonne en carton, un pan de mur. Louise s’agite en coulisses, discrète et puissante. C’est elle qui tient les fils transparents sans lesquels la magie ne peut pas advenir. Elle est Vishnou, divinité nourricière, jalouse et protectrice. Elle est la louve à la mamelle de qui ils viennent boire, la source infaillible de leur bonheur familiale. »
"Elle émerge du sommeil comme on remonte des profondeurs, quand on a nagé trop loin, que l'oxygène manque, que l'eau n'est plus qu'un magma noir et gluant et qu'on prie pour avoir assez d'air encore, assez de force pour regagner la surface et prendre une vorace inspiration."
Et mon Dieu, la scène du poulet !!
Je viens de le terminer. J'ai vraiment bien aimé. C'est glaçant ! J'ai pensé au roman de Delphine de Vigan (j'ai oublié le titre), mais en plus efficace.
La scène du poulet effectivement...
- LouisBarthasExpert
"Les livres ne redoublent pas l'épaisseur des murs, ils l'annulent au contraire. À travers les pages, on voit dehors."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- Ignatius ReillyFidèle du forum
Trois jours et une vie de Pierre Lemaitre.
Un membre du forum en avait fait le recension il y a une paire de mois je crois et n'avait pas accroché.
J'ai plutôt apprécié la tension du récit, pour ma part, et si j' ai trouvé que l'ambiance décrite correspond plus au début des années 90 qu' à leur fin, cet aspect ajoute encore à la pesanteur de la vie provinciale.
Sinon je m'étais auparavant égaré pendant 97 pages dans Héloïse Ouille ! de Teulé, que j'avais acheté dans un moment d'égarement, là encore. 97 pages pseudo rabelaisiennes qui tiennent davantage du porno pour mémère que de la fable paillarde annoncée. A fuir.
Je lis en ce moment Le facteur temps ne sonne jamais deux fois d’Étienne Klein dont je me fous qu' il ait plagié ou non de grande ou petites parties de certains de ses ouvrages, car Étienne Klein est cycliste, trailer et il a de surcroît de belles chemises.
Un membre du forum en avait fait le recension il y a une paire de mois je crois et n'avait pas accroché.
J'ai plutôt apprécié la tension du récit, pour ma part, et si j' ai trouvé que l'ambiance décrite correspond plus au début des années 90 qu' à leur fin, cet aspect ajoute encore à la pesanteur de la vie provinciale.
Sinon je m'étais auparavant égaré pendant 97 pages dans Héloïse Ouille ! de Teulé, que j'avais acheté dans un moment d'égarement, là encore. 97 pages pseudo rabelaisiennes qui tiennent davantage du porno pour mémère que de la fable paillarde annoncée. A fuir.
Je lis en ce moment Le facteur temps ne sonne jamais deux fois d’Étienne Klein dont je me fous qu' il ait plagié ou non de grande ou petites parties de certains de ses ouvrages, car Étienne Klein est cycliste, trailer et il a de surcroît de belles chemises.
- Ignatius ReillyFidèle du forum
liskaya a écrit:Mon premier Echenoz !
J'ai bien aimé, et j'ai découvert cet incroyable Zatopek dont je ne connaissais que le nom.
Il est génial, ce bouquin. L'entraînement à la Zatopek, je ne suis pas sûr qu'on le conseillerait de nos jours.
D' Echenoz on peut lire aussi Envoyée spéciale. C'est comme à chaque fois avec Echenoz économe en mots et en effets, mais extrêmement drôle.
- Hervé HervéFidèle du forum
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
- jujuEsprit éclairé
Je viens d'entamer Le nouveau nom, j'aime beaucoup.
- LouisBarthasExpert
"En fin de compte, comme le dit si bien Hannah Arendt, « l'autorité a été abolie par les adultes et cela ne peut que signifier une chose : que les adultes refusent d'assumer la responsabilité du monde dans lequel ils ont placé les enfants ». Ce refus ou cette difficulté des adultes d'assumer clairement une position d'autorité a tous les traits d'un abandon qui, loin d'aboutir à l'émancipation supposée de la jeunesse, laisse le champ libre à d'autres modèles sociaux véhiculés par les grands médias et les modes, à l'influence des chefs de bande, des groupes sectaires et des gourous.
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- Tem-toGrand sage
Je viens de commander mon auto-Noël : 1917, l'année qui a changé le monde - Jean-Christophe Buisson.
J'ai hâte de débroussailler.
J'ai hâte de débroussailler.
- OsmieSage
Je me marre beaucoup en lisant un livre que l'on m'a prêté : Le club des punks contre l'apocalypse zombie, de Karim Berrouka, dont je n'avais jamais entendu parler.
Cela me rappelle les tomes du Livre sans nom, le Je suis une légende de Matheson et les films de Tarentino. C'est vraiment une bonne découverte pour une lecture qui fait rire.
Je me marre quand un punk à chiens croise le zombie de Christine Boutin et ne peut s'empêcher de lui balancer un tabouret en pleine tête, malgré l'urgence de la fuite ; je me marre quand un punk anarchiste nommé Kropotkine arrive chez les seuls survivants de Paris, qui sont les dirigeants du MEDEF (et merde...) ; je me marre quand une punkette tombe sur Bogdanov zombie, dont le botox supporte mal la zombification, etc.
Cela me rappelle les tomes du Livre sans nom, le Je suis une légende de Matheson et les films de Tarentino. C'est vraiment une bonne découverte pour une lecture qui fait rire.
Je me marre quand un punk à chiens croise le zombie de Christine Boutin et ne peut s'empêcher de lui balancer un tabouret en pleine tête, malgré l'urgence de la fuite ; je me marre quand un punk anarchiste nommé Kropotkine arrive chez les seuls survivants de Paris, qui sont les dirigeants du MEDEF (et merde...) ; je me marre quand une punkette tombe sur Bogdanov zombie, dont le botox supporte mal la zombification, etc.
- SoirHabitué du forum
De nouveau avec Adamsberg, des meurtres sont commis et on veut faire croire au retour de la peste.
- Tem-toGrand sage
J'ai beaucoup aimé. Ta formulation spoile un peu, vilaine !
- nath75Niveau 6
Je viens de commencer Double Nationalité de Nina Yargekov, qui a réussi à m'embarquer dès la première page de son récit.
- LouisBarthasExpert
"De même qu'une pierre phosphorescente qui, placé dans l'obscurité émet un rayonnement, perd, exposée au plein jour, toute sa fascination de joyau précieux, de même le beau perd son existence si l'on supprime les effets d'ombre."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- liskayaNeoprof expérimenté
Relecture, redécouverte, refascination
- DimkaVénérable
J'ai lu La Fille du roi des elfes de Lord Dunsany, car il était sur le présentoir des livres conseillés par mon libraire, et j'ai trouvé ça extraordinairement chiant. :| Il ne se passe rien, les descriptions sont longues, ampoulées et n'apportent pas grand chose, et l'histoire n'est pas très profonde (ça ne bouleverse pas ma vision du monde).
Heureusement, il paraît que c'est un classique, je vais donc pouvoir faire le snob en soulignant le fait que je lis des classiques, moâ, môssieur.
Et tant que j'y suis à râler… J'ai lu des avis sur ce livre, quand tu vois que le plus grand reproche fait à l'œuvre, c'est que « han, il est trop méchant avec les licornes, çasfaitpas ». Voilàvoilàvoilà.
Heureusement, il paraît que c'est un classique, je vais donc pouvoir faire le snob en soulignant le fait que je lis des classiques, moâ, môssieur.
Et tant que j'y suis à râler… J'ai lu des avis sur ce livre, quand tu vois que le plus grand reproche fait à l'œuvre, c'est que « han, il est trop méchant avec les licornes, çasfaitpas ». Voilàvoilàvoilà.
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