Mails envoyés par l'établissement pendant les vacances

Tu peux aller ailleurs que dans la Death Valley, ou y aller pendant les fêtes de fin d'année, on reçoit généralement peu de convocations à cette période là.
Les services administratifs et services des examens ont également du travail pour gérer les examens/convoquer les candidats / les surveillants / les correcteurs, je ne vois pas comment ils pourraient le faire en septembre avant les inscriptions aux examens et concours........

dita a écrit:

archeboc a écrit:

Cripure a écrit:Par ailleurs, je me permets de rappeler que pendant les petites vacances des élèves, les professeurs sont simplement dispensés de cours
Un professeur a, comme tout fonctionnaire, cinq semaines de congés payés par an. Certains collègues convoqués pour des stages ou pour corriger des concours le découvrent apparemment...

Le droit à congés payés, ce n'est pas le droit de choisir ces date de congés, mais c'est au moins le droit de les connaître. Il y a plusieurs jurisprudence dans ce sens, y compris européenne : l'employeur a le devoir de vous communiquer les dates de vos congés, et dans un délai raisonnable. A défaut, les dates de fermeture de l'établissement devraient faire office de date de congés.

Une convocation officielle postée un mois avant, c'est un délai raisonnable pour que vous ne puissiez pas penser être en congés. A défaut de convocation, et même si cela n'a pas été jugé, je ne pense pas que puisse être condamné un enseignant injoignable par sa hiérarchie durant les petites vacances.

Je veux bien être convoqué pendant les "vacances" de printemps, qui sont des moments où nous ne sommes que déchargés de cours. Cependant, la convocation un mois avant me dérange. Par exemple, si je désire aller à l'étranger ( très très loin ) et que, parce que ça coûte moins cher, j'ai pris mes billets d'avion courant septembre, là, ça ne va pas. Je veux connaître ma convocation, si j'en ai une, début septembre.
Non, sérieusement, que fat-on dans ces cas-là ?
Et ne me dites pas que je dois attendre l'été pour partir : Death Valley avec 50°, non merci.

Death Valley au mois d'août, j'ai fait. On survit.

Isis39 a écrit:

dita a écrit:

archeboc a écrit:

Cripure a écrit:Par ailleurs, je me permets de rappeler que pendant les petites vacances des élèves, les professeurs sont simplement dispensés de cours
Un professeur a, comme tout fonctionnaire, cinq semaines de congés payés par an. Certains collègues convoqués pour des stages ou pour corriger des concours le découvrent apparemment...

Le droit à congés payés, ce n'est pas le droit de choisir ces date de congés, mais c'est au moins le droit de les connaître. Il y a plusieurs jurisprudence dans ce sens, y compris européenne : l'employeur a le devoir de vous communiquer les dates de vos congés, et dans un délai raisonnable. A défaut, les dates de fermeture de l'établissement devraient faire office de date de congés.

Une convocation officielle postée un mois avant, c'est un délai raisonnable pour que vous ne puissiez pas penser être en congés. A défaut de convocation, et même si cela n'a pas été jugé, je ne pense pas que puisse être condamné un enseignant injoignable par sa hiérarchie durant les petites vacances.

Je veux bien être convoqué pendant les "vacances" de printemps, qui sont des moments où nous ne sommes que déchargés de cours. Cependant, la convocation un mois avant me dérange. Par exemple, si je désire aller à l'étranger ( très très loin ) et que, parce que ça coûte moins cher, j'ai pris mes billets d'avion courant septembre, là, ça ne va pas. Je veux connaître ma convocation, si j'en ai une, début septembre.
Non, sérieusement, que fat-on dans ces cas-là ?
Et ne me dites pas que je dois attendre l'été pour partir : Death Valley avec 50°, non merci.

Death Valley au mois d'août, j'ai fait. On survit.

On survit, d'accord, mais à 50° on n'apprécie pas forcément

50° pour moi, hors de question. Pendant les fêtes de fin d'année, pas possible non plus.
Je ne veux pas troller ce topic avec la narration de ma vie, mais je voudrais bien savoir comment on peut s'organiser, je ne dois pas être le seul dans ce cas, à me poser la question de savoir si je peux partir ou non très loin pendant les vacances de printemps.
Je comprends très bien, Daphné, qu'en septembre, toutes les convocations ne peuvent pas être faites, mais bon, j'ai vu que si on prend les billets 8 mois à l'avance, on peut avoir des tarifs  moindres de 600 euros pour deux par rapport à un achat, disons, un mois à l'avance.
Mon mari me dit que si on prend es billets au dernier moment, on a de bons prix également, mais encore faut-il qu'il y ait de la place.

Sans aller aux Etats-Unis, tiens, je vous écris d'une magnifique villa avec piscine, et dont les propriétaires acceptent les chiens. Inutile de vous dire que pour louer un truc pareil pendant les vacances scolaires, il faut s'y prendre avec beaucoup d'avance. ( Le prix est à peu près raisonnable, ce genre de location est très demandé, et peu de propriétaires acceptent les chiens ).
Donc, je veux bien bosser comme l'exige le règlement, c'est-à-dire pendant les moments où nos ne sommes que déchargés de nos cours, mais j'aimerais bien aussi avoir une vie.
Nos traitements étiques ne nos permettent pas de payer des tarifs plein pot.

Ah mais on est bien d'accord.

Daphné a écrit:

Isis39 a écrit:

dita a écrit:

archeboc a écrit:


Le droit à congés payés, ce n'est pas le droit de choisir ces date de congés, mais c'est au moins le droit de les connaître. Il y a plusieurs jurisprudence dans ce sens, y compris européenne : l'employeur a le devoir de vous communiquer les dates de vos congés, et dans un délai raisonnable. A défaut, les dates de fermeture de l'établissement devraient faire office de date de congés.

Une convocation officielle postée un mois avant, c'est un délai raisonnable pour que vous ne puissiez pas penser être en congés. A défaut de convocation, et même si cela n'a pas été jugé, je ne pense pas que puisse être condamné un enseignant injoignable par sa hiérarchie durant les petites vacances.

Je veux bien être convoqué pendant les "vacances" de printemps, qui sont des moments où nous ne sommes que déchargés de cours. Cependant, la convocation un mois avant me dérange. Par exemple, si je désire aller à l'étranger ( très très loin ) et que, parce que ça coûte moins cher, j'ai pris mes billets d'avion courant septembre, là, ça ne va pas. Je veux connaître ma convocation, si j'en ai une, début septembre.
Non, sérieusement, que fat-on dans ces cas-là ?
Et ne me dites pas que je dois attendre l'été pour partir : Death Valley avec 50°, non merci.

Death Valley au mois d'août, j'ai fait. On survit.

On survit, d'accord, mais à 50° on n'apprécie pas forcément

C'est pratique, pas besoin de drap de bain : on sèche presque instantanément en sortant de la piscine avec ce vent diablement chaud.
Au coucher du soleil, les paysages sont magnifiques.
J'étais partie avec des copains à l'aventure pendant 3 semaines dans tout l'ouest. Pas possible aux autres vacances.

Daphné a écrit:

nath65 a écrit:L'an dernier, j'aurais peut-être eu des scrupules (et encore, même pas sûre) mais, cette année, on a changé de CDE qui se permet même de nous téléphoner sur nos numéros persos à n'importe quelle heure quand ça lui prend et ça peut durer des heures, ensuite nos propos sont déformés... Donc maintenant "mon appart est sous un tunnel et ça ne capte pas" et "le portable est inaccessible" à chaque fois que je vois "bahut" s'inscrire sur mes téléphones: ce sont les messageries vocales qui enregistrent ensuite j'écoute ou pas mais je ne rappelle pas.
Mes messages pro sont sur la messagerie académique et je ne la consulte pas pendant les vacances (même si officiellement nous ne sommes pas en vacances) ... Je ne fais pas le transfert des mails vers mon adresse perso.

Le seul cas où je réponds est lors d'un arrêt de travail pour prouver que je suis bien chez moi et là, je fais "court" en disant que je ne me sens pas bien (j'ai été arrêtée une fois mais j'y ai eu le droit)... Maintenant, je me protège... Si on m'avait dit ça quand j'ai commencé à travailler...

Mais c'est fou ! Jamais jamais un CDE ne m'a appelée chez moi en 42 ans de métier....

c'est pratique le téléphone, il n'y a pas de traces écrites, pas de témoins ( pour une conversation en salle des profs ou couloirs de l'établissement) , et ça permet de dire des sal....comme il l'avait fait à ce moment-là...

C'est tout à fait ça et je ne veux pas rentrer dans ce jeu ...mais j'ai écouté et appris plein de choses : les collègues ont été mis au courant le lendemain et depuis, je ne décroche plus !!! Comme Daphné, pour moi, c'était une première en 25 ans de métier ....

Alors que sur le fond, il aurait très bien pu me dire des choses lorsque j'étais dans l'établissement, me convoquer dans son bureau sur les heures d'ouvertures du lycée...Donc, la non-présence de témoins ou de preuves écrites justifient à elles-seules ce coup de fil.

Des coups de fil, de surcroît en dehors des temps scolaires...18h30 le vendredi des vacances de Noël, un lundi de vacances de février... Pour me dire qu'il se fichait du mécontentements des collègues, des parents d'élèves des autres classes , de l'inspection académique...du grand n'imp...un coup de fil que j'ai réceptionné alors que j'étais en vraie vacances loin de chez moi...( imaginons que la présence devant pronote, une boîte mail ou autres soit nécessaire...est-ce qu'il a pensé).

A part une volonté de harcèlement ou une grande désorganisation du travail, je ne vois pas bien ce qui justifie ce genre de chose...dans les deux cas, c'est mal...

Entièrement d'accord !

Chacun est libre de poser des limites à son temps de travail. Je ne vois pas pourquoi nous serions joignables à chaque instant, au même titre que je ne demande pas aux destinataires de mes mails de l'être... Après, tout dépend, je pense, des habitudes que donne le CDE : s'il bombarde ses profs de mails chaque jour, même en vacances, il est logique qu'il n'obtienne plus de réponse au bout d'un moment... surtout s'il n'y a aucune urgence !

Dès l'an prochain, je ne ferai d'ailleurs plus l'erreur de communiquer mon numéro de portable puisque la CDE de mon établissement se permet d'envoyer des sms :shock: , toujours pour raisons professionnelles (demande de HSE ou de protocole de remplacement...), certes, mais quand même ! Je me limiterai à la boîte académique et ce sera le seul moyen par lequel je serai joignable.

Kiki1991 a écrit:Chacun est libre de poser des limites à son temps de travail. Je ne vois pas pourquoi nous serions joignables à chaque instant, au même titre que je ne demande pas aux destinataires de mes mails de l'être... Après, tout dépend, je pense, des habitudes que donne le CDE : s'il bombarde ses profs de mails à chaque vacances, il est logique que ces derniers n'y répondent plus au bout d'un moment... surtout s'il n'y a aucune urgence !

Dès l'an prochain, je ne ferai d'ailleurs plus l'erreur de communiquer mon numéro de portable puisque la CDE de mon établissement se permet d'envoyer des sms :shock: , toujours pour raisons professionnelles (demande de HSE ou de protocole de remplacement...), certes, mais quand même ! Je me limiterai à la boîte académique et ce sera le seul moyen par lequel je serai joignable.

De même! Je n'ai pas eu de problème avec le portable mais en revanche, plus jamais la boîte perso

Kiki1991 a écrit:Chacun est libre de poser des limites à son temps de travail. Je ne vois pas pourquoi nous serions joignables à chaque instant, au même titre que je ne demande pas aux destinataires de mes mails de l'être... Après, tout dépend, je pense, des habitudes que donne le CDE : s'il bombarde ses profs de mails chaque jour, même en vacances, il est logique qu'il n'obtienne plus de réponse au bout d'un moment... surtout s'il n'y a aucune urgence !

Dès l'an prochain, je ne ferai d'ailleurs plus l'erreur de communiquer mon numéro de portable puisque la CDE de mon établissement se permet d'envoyer des sms :shock: , toujours pour raisons professionnelles (demande de HSE ou de protocole de remplacement...), certes, mais quand même ! Je me limiterai à la boîte académique et ce sera le seul moyen par lequel je serai joignable.

Il faut qu'on se le dise : nous ne sommes pas médecins, des vies ne sont pas en jeu dans l'heure pour exiger une réponse ou même une information rapide...

Le système devient de pire en pire.

Kiki1991 a écrit:Chacun est libre de poser des limites à son temps de travail.

En fait, il y a des lois pour ça, et ce n'est peut-être pas plus mal.

Je remonte le topic, car le problème soulevé ici prend une autre forme pour moi cette année.
Outre les mails en provenance de l'établissement (CDE ou collègues), j'ai également reçu des mails via l'ENT de la part des parents et d'un élève (oui, ils ont tous accès à cette fonctionnalité), rien de méchant, certes. Je me suis sentie obligée de répondre 1) pour que les parents ne pensent pas que je mets deux semaines à répondre à un mail (un moment de faiblesse !) 2) pour "dépanner" l'élève exceptionnellement.
Bref, je me suis faite avoir.

Pour ce qui est des élèves, j'ai bien l'intention de mettre les choses au clair à la rentrée : pas la peine de m'écrire sur l'ENT. Soit ils posent leurs questions en cours, soit ils appellent un camarade.
Pour ce qui est des parents...Je pense simplement répondre désormais pendant mes heures de présence, et basta. Rien pendant les vacances, rien chez moi.

laMiss a écrit:Je remonte le topic, car le problème soulevé ici prend une autre forme pour moi cette année.
Outre les mails en provenance de l'établissement (CDE ou collègues), j'ai également reçu des mails via l'ENT de la part des parents et d'un élève (oui, ils ont tous accès à cette fonctionnalité), rien de méchant, certes. Je me suis sentie obligée de répondre 1) pour que les parents ne pensent pas que je mets deux semaines à répondre à un mail (un moment de faiblesse !) 2) pour "dépanner" l'élève exceptionnellement.
Bref, je me suis faite avoir.

Pour ce qui est des élèves, j'ai bien l'intention de mettre les choses au clair à la rentrée : pas la peine de m'écrire sur l'ENT. Soit ils posent leurs questions en cours, soit ils appellent un camarade.
Pour ce qui est des parents...Je pense simplement répondre désormais pendant mes heures de présence, et basta. Rien pendant les vacances, rien chez moi.

Mais, dans ce cas, à quoi sert d'avoir un ENT ?

Le topic porte sur les mails. L'intérêt du mail est qu'on peut l'écrire n'importe quand. A l'heure et au moment qui convient au rédacteur.
Pendant les vacances :
Déjà, pour les autres personnels, ce ne sont pas forcément les vacances... il y a des permanences où des gens travaillent. Lorsque j'étais gestionnaire, je n'allais pas m'interdire d'informer des profs ou de poser des questions pendant ces jours là...
De même, juste avant les vacances, en tant que secrétaire, je me dépêche de liquider tout ce que j'ai à faire avant de partir... parce que, à la rentrée, j'aurai des centaines de mails à lire (avant d'en supprimer une bonne partie.. ) du courrier papier... et le message que j'avais à dire il y a 2 semaines... aura été COMPLETEMENT oublié.

Les chefs ont un emploi du temps différent, et relativement annualisé. (comme tous les autres administratifs), ils n'arrêtent pas de travailler le vendredi soir des vacances (et dans ce cas, on liquide, on liquide les dossiers) - mais connaissent les dates des congés. Tous ceux que j'ai eus n'attendaient pas de réponse immédiate.

J'ai informé mercredi à 14 heures (donc congés pour les enseignants depuis 2 heures) de l'arrivée de 4 nouveaux élèves pour la rentrée (Affelnet Toussaint !) - le dernier inscrit était venu à 11h 30..
Bien sûr, mes collègues ne m'auront pas envoyé les fiches informatiques des élèves... je ne les aurais que les premiers jours de la rentrée de novembre.  Ces élèves ne seront donc pas sur les listes.
J'ai rajouté les "caractéristiques" de ces élèves pour "aider" leur intégration. (un complètement déscolarisé, deux apprentissages sans suite, et une réorientation 2nde générale à section pro) - Ils ont deux mois de retard... Pas eu le temps de prévenir avant..
J'ai mis à jour l'agenda de Pronote... important, car il y a des événements pour la rentrée. Utile à savoir...

Par ailleurs, je n'utilise que l'adresse mail académique. Alors, SVP, ne répondez pas avec votre adresse perso (même si le courrier est redirigé automatiquement), écrivez et répondez avec l'adresse académique... ne tendez pas les perches pour vous faire battre..

Tu étais libre de répondre ou pas, tu as fait le choix de répondre, et pis tu le regrettes - ok, mais c'est quoi le problème ? C'est juste entre toi et toi, personne ne t'y obligeait si tu n'en avais pas envie...

Et d'ailleurs, si vous vous sentez en vacances, pourquoi ouvrir l'ENT ?

Cette année, j'utilise uniquement ma boite professionnelle que je consulte en me connectant directement sur le webmail.
Et je trouve ce système moins intrusif. Je gère et je consulte quand je veux. Et pas forcément dans l'heure, pas de notification sur le smartphone dans la file du cinéma pour une réunion bidon ou pour un invitation à des portes ouvertes.

colombane a écrit:Et d'ailleurs, si vous vous sentez en vacances, pourquoi ouvrir l'ENT ?

Voilà, tout à fait d'accord
J'ai envoyé des mails pendant mes 2 jours de perm administrative parce que j'étais au calme et que j'avais peur de les oublier dans le tourbillon de la rentrée.
Certains profs m'ont répondu, d'autres non, mais je n'attendais pas de réponse avant la rentrée - d'ailleurs, c'était plus pour leur permettre de s'organiser, eux.
On a le choix d'ouvrir ou de ne pas ouvrir les mails/l'ENT chez soi, de répondre ou de ne pas répondre, c'est juste une décision personnelle...

On peut aussi ne pas avoir de smartphone, juste un téléphone portable qu'on coupe quand on veut

colombane a écrit:Et d'ailleurs, si vous vous sentez en vacances, pourquoi ouvrir l'ENT ?

+1.

Je suis dans l'administration, et, travaillant pendant les vacances scolaires, j'envoie parfois des mails à des enseignants pendant les vacances. Cependant je suis consciente que puisque ce sont les vacances, le prof ne va sans doute pas me répondre tout de suite, donc inutile de m'inquiéter. Un conseil: ne pas ouvrir sa messagerie pro pendant les vacances, en vacances on est en vacances. Sinon ça justifie ensuite qu'on nous les sucre, l'idée de pas mal de gens est de rapprocher nos congés des 5 semaines du privé, inutile de donner des arguments en ce sens.

Je ne réponds jamais aux mails des élèves (sauf urgence absolue), ni pendant les vacances, ni hors vacances. Pour les questions, il y a les heures de cours.
Je réponds aux mails des parents, mais jamais le week end ni pendant les vacances ; et par principe, jamais trop rapidement.
Sinon, ça veut dire que le prof est un larbin qu'on peut sonner quand on veut, et si on habitue les parents à répondre trop rapidement, ils prennent le pli. Excusez-moi, mais avant l'ENT, il y avait le carnet de correspondance, et ça faisait l'affaire.
Quant aux mails administratifs pendant les vacances, ça ne me dérange pas, et même, parfois j'y réponds.

Et puis est-ce que votre employeur vous a payé l'accès Internet et le matériel pour vous connecter ? C'est une messagerie professionnelle, elle doit être lue avec du matériel professionnel. Point.

Reine Margot a écrit:

colombane a écrit:Et d'ailleurs, si vous vous sentez en vacances, pourquoi ouvrir l'ENT ?

+1.

Je suis dans l'administration, et, travaillant pendant les vacances scolaires, j'envoie parfois des mails à des enseignants pendant les vacances. Cependant je suis consciente que puisque ce sont les vacances, le prof ne va sans doute pas me répondre tout de suite, donc inutile de m'inquiéter. Un conseil: ne pas ouvrir sa messagerie pro pendant les vacances, en vacances on est en vacances. Sinon ça justifie ensuite qu'on nous les sucre, l'idée de pas mal de gens est de rapprocher nos congés des 5 semaines du privé, inutile de donner des arguments en ce sens.

C'est vrai, je n'avais pas pensé à ça. Après, les profs travaillent aussi pendant les vacances (préparation de cours, copies...), on ne peut donc pas vraiment dire qu'on est en vacances. Donc je ne vois pas le mal de répondre aux mails pro pendant cette période.
Quand le mail vient de l'administration et que je sens bien qu'une réponse rapide va arranger l'expéditeur, je réponds. Si ça peut attendre, je laisse couler jusqu'à la rentrée.