- BoiboiseNiveau 1
bonjour
comme dans plusieurs établissements nous sommes victimes de déclenchements alarmes régulièrement. Aujourd'hui nous avions un élève en conseil de discipline pour cela. A part l'exclusion de l'établissement 3 jours peu d'idées. Auriez vous quelques idées de boulots intelligents à donner à ce genre de fauteur de trouble ???
pierre et le loup.....mais qui faire concrètement ?
merci pour vos idées
comme dans plusieurs établissements nous sommes victimes de déclenchements alarmes régulièrement. Aujourd'hui nous avions un élève en conseil de discipline pour cela. A part l'exclusion de l'établissement 3 jours peu d'idées. Auriez vous quelques idées de boulots intelligents à donner à ce genre de fauteur de trouble ???
pierre et le loup.....mais qui faire concrètement ?
merci pour vos idées
- User14996Niveau 10
Je me souviens d'un cas de ce genre qui à force d'escalades s'était soldé par des travaux d'intérêt général et quelques jours d'observation en caserne.
- BoiboiseNiveau 1
j'ai pensé à proposer de faire venir pompier où d'aller voir caserne effectivement
- amalricuNeoprof expérimenté
Faire une exposé sur les incendies au collège du genre Pailleron...
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75005/il-y-a-40-ans-le-drame-du-college-pailleron-06-02-2013-2543595.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F
Le 6 février 1973, à 19h40, vingt personnes dont seize enfants sont morts dans l'incendie de cet établissement voisin des Buttes-Chaumont.
L'association des familles des victimes commémorera les quarante ans de la catastrophe ce soir à 18h30. La mairie du XIXe projettera un documentaire à 19 heures. A l'origine, il y a une allumette, jetée volontairement par deux élèves turbulents dans une poubelle. Le bâtiment avait été construit à la hâte, comme des dizaines d'autres, sans permis. A l'époque, l'Etat devait faire face à l'afflux des collégiens du baby-boom.
Une très longue bataille s'en était suivie contre l'Etat
Les flammes ont filé dans les faux plafonds. Au bout de quatre minutes, l'électricité a lâché. Les plaques de polystyrène et des matériaux hautement inflammables ont dégagé quantité de fumées noires et toxiques. La structure métallique s'est tordue. En vingt minutes, il ne restait plus rien.
Au troisième étage, 36 élèves et adultes du conservatoire de musique étaient pris au piège. Un professeur a réussi à sauver quelques enfants en cassant une fenêtre avec des chaises. Il est remonté dans l'immeuble en flammes, pour aider ses collègues. Lui, la gardienne, deux enseignantes et 16 enfants ne sont jamais revenus.
Le samedi qui suivait, les bulldozers s'apprêtaient déjà à emporter les vestiges. Les habitants du quartier, révoltés, ont formé une chaîne humaine devant les machines. Ils voulaient empêcher la destruction des preuves. C'était le début d'une très longue bataille contre l'Etat pour faire reconnaître la dangerosité des constructions Pailleron.
« Toute la réglementation est venue de là, note Jean-Marie Schléret, le président de l'Observatoire national de la sécurité et de l'accessibilité des établissements d'enseignement. Ces morts atroces auront au moins servi à améliorer la sécurité. Maintenant, il y a des commissions, des règlements draconiens. Je crois qu'on est sorti de l'ère Pailleron
http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75005/il-y-a-40-ans-le-drame-du-college-pailleron-06-02-2013-2543595.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr%2F
Le 6 février 1973, à 19h40, vingt personnes dont seize enfants sont morts dans l'incendie de cet établissement voisin des Buttes-Chaumont.
L'association des familles des victimes commémorera les quarante ans de la catastrophe ce soir à 18h30. La mairie du XIXe projettera un documentaire à 19 heures. A l'origine, il y a une allumette, jetée volontairement par deux élèves turbulents dans une poubelle. Le bâtiment avait été construit à la hâte, comme des dizaines d'autres, sans permis. A l'époque, l'Etat devait faire face à l'afflux des collégiens du baby-boom.
Une très longue bataille s'en était suivie contre l'Etat
Les flammes ont filé dans les faux plafonds. Au bout de quatre minutes, l'électricité a lâché. Les plaques de polystyrène et des matériaux hautement inflammables ont dégagé quantité de fumées noires et toxiques. La structure métallique s'est tordue. En vingt minutes, il ne restait plus rien.
Au troisième étage, 36 élèves et adultes du conservatoire de musique étaient pris au piège. Un professeur a réussi à sauver quelques enfants en cassant une fenêtre avec des chaises. Il est remonté dans l'immeuble en flammes, pour aider ses collègues. Lui, la gardienne, deux enseignantes et 16 enfants ne sont jamais revenus.
Le samedi qui suivait, les bulldozers s'apprêtaient déjà à emporter les vestiges. Les habitants du quartier, révoltés, ont formé une chaîne humaine devant les machines. Ils voulaient empêcher la destruction des preuves. C'était le début d'une très longue bataille contre l'Etat pour faire reconnaître la dangerosité des constructions Pailleron.
« Toute la réglementation est venue de là, note Jean-Marie Schléret, le président de l'Observatoire national de la sécurité et de l'accessibilité des établissements d'enseignement. Ces morts atroces auront au moins servi à améliorer la sécurité. Maintenant, il y a des commissions, des règlements draconiens. Je crois qu'on est sorti de l'ère Pailleron
- DalvaVénérable
Je pencherai plutôt pour un exposé sur ce à quoi on s'expose dans la "vraie vie" pour fausse alarme : peines et amendes encourues. Puis un rappel du fait que les règles qui s'appliquent partout en France s'appliquent aussi à l'intérieur des établissements scolaires, et que les parents sont responsables pénalement des co**eries de leurs enfants tant que ceux-ci n'ont pas atteint l'âge d'être eux-mêmes responsables.
Et enfin, en complément des punitions pédagogiques ou des sanctions internes à l'établissement, annoncer que plainte sera déposée systématiquement.
Et enfin, en complément des punitions pédagogiques ou des sanctions internes à l'établissement, annoncer que plainte sera déposée systématiquement.
- DalvaVénérable
A titre de comparaison, nous avons au collège un gamin pas méchant mais foufou qui passe son temps à imaginer de petites bêtises pas graves qui se contentent de faire perdre du temps à tout le monde. Mais les bêtises ont un peu monté en intensité, et il a fini par dépiauter un écran quasi-neuf pendant un cours de techno ("Je m'ennuyais.")
Les parents ont reçu la facture après rendez-vous explicatif. Sauf que ces parents-là savent pertinemment ce qu'il en est, et ils ont refusé de payer eux-mêmes : c'est gugusse qui s'y est collé, avec paiement en plusieurs fois (accord avec le collège), je pense que tout son argent de Noël y est passé en plus de l'argent de poche qu'il avait auparavant. Étrangement, il s'est sensiblement calmé, gugusse. Plus une seule dégradation depuis.
Les parents ont reçu la facture après rendez-vous explicatif. Sauf que ces parents-là savent pertinemment ce qu'il en est, et ils ont refusé de payer eux-mêmes : c'est gugusse qui s'y est collé, avec paiement en plusieurs fois (accord avec le collège), je pense que tout son argent de Noël y est passé en plus de l'argent de poche qu'il avait auparavant. Étrangement, il s'est sensiblement calmé, gugusse. Plus une seule dégradation depuis.
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