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- MoonchildSage
S'agissant d'un IPR ou d'un formateur agréé IUFM/ESPE, je trouve qu'avoir pitié c'est déjà faire preuve d'une empathie déraisonnable. :diable:bernardo a écrit:Tu as honte pour lui ??? T'es vraiment un gars généreux alors !
Moi j'aurais plutôt pitié.
- gauvain31Empereur
Moonchild a écrit:S'agissant d'un IPR ou d'un formateur agréé IUFM/ESPE, je trouve qu'avoir pitié c'est déjà faire preuve d'une empathie déraisonnable. :diable:bernardo a écrit:Tu as honte pour lui ??? T'es vraiment un gars généreux alors !
Moi j'aurais plutôt pitié.
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- bernardoFidèle du forum
On dit beaucoup en ce moment qu'il y a une rupture entre le "peuple" et les "élites". Il y a ça aussi entre les professeurs et les IPR et autres "formateurs". On ne les écoute pas ; on se méfie ; on sait déjà ce qu'ils vont dire et eux pensent savoir ce que les professeurs pensent ; bref : c'est Babel.
Il faudrait dire la vérité, comme on peut dire à un ami : mais monsieur c'est sans doute un peu vrai qu'un cours magistral, ça peut dans certains cas être assommant. Mais ça peut aussi être passionnant, par exemple quand un professeur maîtrise son sujet et a des tas de connaissances à transmettre. Et puis souvent, il y a quelques élèves qui posent des questions, et ça relance le professeur, ça lui permet d'infléchir son exposé, même si c'était un exposé carré avec un plan en béton.
Ce qui est triste, ce n'est pas la démotivation, c'est que ça devient rare un bon cours magistral parce que ça devient rare les professeurs savants.
Et pour la démotivation, il y a aussi le problème du sommeil : quand mes élèves de 3e se couchent tous (ou presque) systématiquement après 23h30 et qu'ils dorment à moitié en cours, même si mon cours magistral est magistral, ils ne s'en rendent pas compte parce qu'ils sont dans la brume. Hein ? Monsieur l'IPR ? Est-ce que vous le savez ça ?
Bon, à part ça, les formations j'y vais pas non plus, je n'ai pas d'heures de cours à perdre depuis qu'on m'a sucré des heures en 6e et en 3e.
Il faudrait dire la vérité, comme on peut dire à un ami : mais monsieur c'est sans doute un peu vrai qu'un cours magistral, ça peut dans certains cas être assommant. Mais ça peut aussi être passionnant, par exemple quand un professeur maîtrise son sujet et a des tas de connaissances à transmettre. Et puis souvent, il y a quelques élèves qui posent des questions, et ça relance le professeur, ça lui permet d'infléchir son exposé, même si c'était un exposé carré avec un plan en béton.
Ce qui est triste, ce n'est pas la démotivation, c'est que ça devient rare un bon cours magistral parce que ça devient rare les professeurs savants.
Et pour la démotivation, il y a aussi le problème du sommeil : quand mes élèves de 3e se couchent tous (ou presque) systématiquement après 23h30 et qu'ils dorment à moitié en cours, même si mon cours magistral est magistral, ils ne s'en rendent pas compte parce qu'ils sont dans la brume. Hein ? Monsieur l'IPR ? Est-ce que vous le savez ça ?
Bon, à part ça, les formations j'y vais pas non plus, je n'ai pas d'heures de cours à perdre depuis qu'on m'a sucré des heures en 6e et en 3e.
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Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
- LemmyKHabitué du forum
C'était fait exprès pour montrer l'inefficacité d'une telle pratique pédagogique!William Foster a écrit:
ce cours en amphi, pendant 2 longues heures d'IUFM, où un gars assis nous a expliqué avec une voix monocorde les méfaits des cours magistraux sur la motivation d'un auditoire.
Honte encore. Et ça m'arrive trop souvent.
Le problème est que lorsque nos formateurs nous parlent des bienfaits de la réforme, ils sont également très ennuyeux.
- gauvain31Empereur
Excellent Bernado Depuis la perte d'heures en SVT (surtout en 2nde et 1ère ES et 1ère S); je ne vais plus du tout aux formations du PAF (je me forme ailleurs); et je l'ai dit à mon IPR lors de ma précédente inspection
- LemmyKHabitué du forum
Oui, il y a rupture entre les IPR(ou les formateurs) et les professeurs.bernardo a écrit:On dit beaucoup en ce moment qu'il y a une rupture entre le "peuple" et les "élites". Il y a ça aussi entre les professeurs et les IPR et autres "formateurs". On ne les écoute pas ; on se méfie ; on sait déjà ce qu'ils vont dire et eux pensent savoir ce que les professeurs pensent.
UN IPR ne l'admettra jamais. Un cours magistral, c'est le mal absolu. C'est le professeur qui se protège, dixit un IPR de maths.bernardo a écrit:Il faudrait dire la vérité, comme on peut dire à un ami : mais monsieur c'est sans doute un peu vrai qu'un cours magistral, ça peut dans certains cas être assommant. Mais ça peut aussi être passionnant,
Essaye d'être innovant pour les sortir de leur torpeur. Si tu les mettais en îlot, la fraîcheur de cette méthode pourrait les sortir de la brume.bernardo a écrit:Et pour la démotivation, il y a aussi le problème du sommeil : quand mes élèves de 3e se couchent tous (ou presque) systématiquement après 23h30 et qu'ils dorment à moitié en cours, même si mon cours magistral est magistral, ils ne s'en rendent pas compte parce qu'ils sont dans la brume. Hein ? Monsieur l'IPR ? Est-ce que vous le savez ça ?
- bernardoFidèle du forum
C'est sûr qu'une île ça peut être pas mal pour la fraîcheur (le matin). En même temps, l'île me fait penser immanquablement à Sa majesté des mouches : les enfants sont entre eux mais ce n'est pas le pied. Aucun rapport logique, of course, mais bon.
Problème de l'îlot : la salle de classe n'est pas une mer (et je ne suis pas leur mère/mer) ou un océan. Et je ne vois pas pourquoi les élèves qui se noient en cours s'y noieraient moins. En gros : les bons font le travail pour les autres, ça bavarde, on perd du temps ; beaucoup de bruit pour rien. Je préfère quand c'est moi qui cause. Je crois plus à l'élève qui travaille seul, en classe et à la maison, qui fait, refait, re-refait, jusqu'à ce que ça rentre. Pédagogie répétition qui s'inscrit dans la durée : il faut du temps (donc des heures) pour apprendre. L'îlot n'est pas une méthode pédagogique, c'est une mode, une illusion, un leurre, une erreur ; ça masque les "difficultés" des élèves au lieu de les prendre à bras le corps. Prendre à bras le corps, c'est répéter, c'est mettre chaque élève au travail, mettre en jeu sa propre conscience face à une difficulté, sa propre autonomie. Le débat est intéressant, mais seulement au moment où la question vient, en son temps. Alors la réponse du professeur (ou pourquoi pas celle d'un camarade bien informé) scelle une étape de l'apprentissage.
Problème de l'îlot : la salle de classe n'est pas une mer (et je ne suis pas leur mère/mer) ou un océan. Et je ne vois pas pourquoi les élèves qui se noient en cours s'y noieraient moins. En gros : les bons font le travail pour les autres, ça bavarde, on perd du temps ; beaucoup de bruit pour rien. Je préfère quand c'est moi qui cause. Je crois plus à l'élève qui travaille seul, en classe et à la maison, qui fait, refait, re-refait, jusqu'à ce que ça rentre. Pédagogie répétition qui s'inscrit dans la durée : il faut du temps (donc des heures) pour apprendre. L'îlot n'est pas une méthode pédagogique, c'est une mode, une illusion, un leurre, une erreur ; ça masque les "difficultés" des élèves au lieu de les prendre à bras le corps. Prendre à bras le corps, c'est répéter, c'est mettre chaque élève au travail, mettre en jeu sa propre conscience face à une difficulté, sa propre autonomie. Le débat est intéressant, mais seulement au moment où la question vient, en son temps. Alors la réponse du professeur (ou pourquoi pas celle d'un camarade bien informé) scelle une étape de l'apprentissage.
- VanGogh59Expert spécialisé
Il y a l'île de battle royale aussi si on veut instaurer un rapport de force plus sanglant :diable:bernardo a écrit:C'est sûr qu'une île ça peut être pas mal pour la fraîcheur (le matin). En même temps, l'île me fait penser immanquablement à Sa majesté des mouches : les enfants sont entre eux mais ce n'est pas le pied. Aucun rapport logique, of course, mais bon.
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- archebocEsprit éclairé
Félicité75 a écrit:Bonsoir,
Je vous épargnerai le récit détaillé d'un récent stage de formation en lettres, qui aurait pu servir de "détour pédagogique" pour introduire la thématique de l'absurde. Le discours de l'IPR était tellement abscons que, sans rire, aucun de nous, pauvres participants, n'avons compris le sens de ses paroles : abstractions, phrases inachevées, jargon didactisant, pas un exemple concret sur la manière de procéder en classe. J'étais venue pour comprendre, enfin, ce que nous sommes supposés faire pour faire cours sans faire de cours magistral, pour construire l'interprétation d'un texte sans utiliser de questionnaire, pour appréhender des notions grammaticales et acquérir une orthographe décente sans faire de "leçon" de grammaire ni d'exercices "débilitants" d'application. Bref, pour comprendre ce qui est désormais attendu d'un prof de lettres. Nous avons été mis en "ateliers", comme cela semble être le cas dans toutes les formations désormais ; et comme personne n'a compris la "consigne" donnée par les formateurs / IPR, les collègues les plus courageuses ont développé oralement leurs "impressions de lecture" sur des corpus plus ou moins riches. Je ne m'étends pas davantage sur cette aberration qu'est devenue la formation en lettres. Ce que je me demande, c'est : QUE FAIT-ON ? Il me semble que le problème dépasse largement la réforme. Allons-nous encore longtemps faire le dos rond et accepter que l'on nous dise qu'enseigner, c'est cela ? Je m'inquiète fort pour mes enfants en âge scolaire, qui, s'ils restent dans un tel système, ne pourront se nourrir intellectuellement que de cette pauvre bouillie qu'on prétend leur donner. Et moi, je refuse d''enseigner ainsi. Alors, quoi ? Quand nous révolterons-nous ?
L'IPR, manifestement, s'est révolté. Dans la limite des libertés que lui accorde l'institution, il a fait ce qu'il pouvait pour montrer l'absurdité de la réforme : il a saboté cette formation. Bravo à lui.
- JaneMonarque
bernardo a écrit:C'est sûr qu'une île ça peut être pas mal pour la fraîcheur (le matin). En même temps, l'île me fait penser immanquablement à Sa majesté des mouches : les enfants sont entre eux mais ce n'est pas le pied. Aucun rapport logique, of course, mais bon.
Problème de l'îlot : la salle de classe n'est pas une mer (et je ne suis pas leur mère/mer) ou un océan. Et je ne vois pas pourquoi les élèves qui se noient en cours s'y noieraient moins. En gros : les bons font le travail pour les autres, ça bavarde, on perd du temps ; beaucoup de bruit pour rien. Je préfère quand c'est moi qui cause. Je crois plus à l'élève qui travaille seul, en classe et à la maison, qui fait, refait, re-refait, jusqu'à ce que ça rentre. Pédagogie répétition qui s'inscrit dans la durée : il faut du temps (donc des heures) pour apprendre. L'îlot n'est pas une méthode pédagogique, c'est une mode, une illusion, un leurre, une erreur ; ça masque les "difficultés" des élèves au lieu de les prendre à bras le corps. Prendre à bras le corps, c'est répéter, c'est mettre chaque élève au travail, mettre en jeu sa propre conscience face à une difficulté, sa propre autonomie. Le débat est intéressant, mais seulement au moment où la question vient, en son temps. Alors la réponse du professeur (ou pourquoi pas celle d'un camarade bien informé) scelle une étape de l'apprentissage.
Ah! qu'en termes galants ces choses-là sont mises!
Merci Bernardo
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- JaneMonarque
Vous avez eu des exemples de bulletins "idéaux" ? On vous a mis en ateliers ? Nous, rien. On nous a juste imprimé le bulletin du 2e trimestre d'un de nos élèves au format nouveau bulletin après avoir passé 2h45 à nous montrer combien nous étions des vilains-méchants-pabo-qui-traumatisent-légentizélèves avec nos notes.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- ThalieGrand sage
Pas d'ateliers ! Ô joie !
Elle a confronté des disciplines dans des bulletins, c'était fallacieux. Un collègue de Maths qui met 4 alors que le gamin a 15 en Techno. Genre il y a un problème. Puis, cela a été comparé à quelques appréciations dans un collège qui a déjà appliqué la novlangue avec des appréciations à rallonge comme on en a vu sur Néo les semaines précédentes. Ils veulent des appréciations qui collent aux éléments du programme travaillés notés dans la case à côté.
Elle a confronté des disciplines dans des bulletins, c'était fallacieux. Un collègue de Maths qui met 4 alors que le gamin a 15 en Techno. Genre il y a un problème. Puis, cela a été comparé à quelques appréciations dans un collège qui a déjà appliqué la novlangue avec des appréciations à rallonge comme on en a vu sur Néo les semaines précédentes. Ils veulent des appréciations qui collent aux éléments du programme travaillés notés dans la case à côté.
- JaneMonarque
En effet, il y a de quoi être content de ne pas avoir été mis en atelier... Tout cela augure des chouettes parties de plaisir pour le T3. :decu:
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- zouzFidèle du forum
Mais c'est pour quand ces livrets LSU ?
- PointàlaligneExpert
Oui, merci Bernardo.
Un collègue qui vient d'être inspecté a écopé de reproches pour ses élèves rangés "comme des oignons" et pour leur avoir transmis des connaissances "inutiles"... puisqu'ils n'en avaient pas besoin dans l'immédiat. Ce qu'il fallait faire apparemment, c'est les mettre en îlots et les laisser ramer.
Toute la salle des profs a déprimé avec le collègue.
Un collègue qui vient d'être inspecté a écopé de reproches pour ses élèves rangés "comme des oignons" et pour leur avoir transmis des connaissances "inutiles"... puisqu'ils n'en avaient pas besoin dans l'immédiat. Ce qu'il fallait faire apparemment, c'est les mettre en îlots et les laisser ramer.
Toute la salle des profs a déprimé avec le collègue.
- V.MarchaisEmpereur
Et il n'a rien répondu ?
- JaneMonarque
3e trimestre 2017 ... obligatoires pour le DNB d'après la formation que nous avons eue...
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- William FosterExpert
Pointàlaligne a écrit:Un collègue qui vient d'être inspecté a écopé de reproches pour ses élèves rangés "comme des oignons" et pour leur avoir transmis des connaissances "inutiles"... puisqu'ils n'en avaient pas besoin dans l'immédiat. Ce qu'il fallait faire apparemment, c'est les mettre en îlots et les laisser ramer.
Et l'IPR lui a-t-il dit ça frontalement ? Ou a-t-il mis ton collègue en îlot de 1 pour le laisser préalablement ramer ?
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Tout le monde me dit que je ne peux pas faire l'unanimité.
"Opinions are like orgasms : mine matters most and I really don't care if you have one." Sylvia Plath
Vérificateur de miroir est un métier que je me verrais bien faire, un jour.
- SphinxProphète
Ça fait deux fois, rien que depuis hier soir, que je suis obligée d'enlever de l'autre fil des séries de messages qui ne sont pas des témoignages à proprement parler. Et je dois faire ça pour ainsi dire à chaque fois que quelqu'un poste un témoignage (ce n'est pas comme si c'était écrit en vert et gras dans tous les messages de Luigi, hein ) Encore pour la discussion d'aujourd'hui, il y avait un petit peu d'infos dedans, donc je la mets ici, mais les simples commentaires, je ne m'embête plus, je les supprime.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- zouzFidèle du forum
Jane a écrit:3e trimestre 2017 ... obligatoires pour le DNB d'après la formation que nous avons eue...
Merci Jane. Une réunion chez nous à la fin du 1er trimestre. On nous a réunis pour nous dire qu'on ne savait rien (la réunion a duré une heure, je me suis déplacée exprès :| ). Depuis, je ne m'en préoccupe plus.
- V.MarchaisEmpereur
En même temps, c'est normal qu'on réagisse aux témoignages dans la foulée, non ? Cette scission est très artificielle et ne peut que générer ce que tu déplores, Sphinx.
- SphinxProphète
Sauf que c'était en concertation avec Luigi pour garder le fil des témoignages lisible et utilisable (par la presse par exemple), ce n'est pas juste pour embêter le monde ! Là il suffit de copier pour réagir dans le fil d'à côté, ça ne me semble tout de même pas bien difficile.
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An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- V.MarchaisEmpereur
Ce n'est pas une question de difficulté, mais d'usage spontané de la discussion.
Enfin, bon courage, parce qu'avec la meilleure volonté du monde, je pense que tu n'es pas au bout de tes peines.
Enfin, bon courage, parce qu'avec la meilleure volonté du monde, je pense que tu n'es pas au bout de tes peines.
- archebocEsprit éclairé
Il faudrait ajouter "réservé aux témoignages - ne pas répondre" dans le titre du fil de recension. Le titre, c'est la seule chose qui reste quand on fait "répondre".
- FantômetteHabitué du forum
Formation lettres aujourd'hui dans l'académie de Versailles, sur la langue et l'évaluation.
La dictée : non une évaluation mais une dévaluation, un contre-exemple à ne pas suivre.
En étude de textes : si on demande une réponse rédigée, on n'évalue pas la lecture mais l'écriture.
En expression écrite, ne pas chercher à faire d'évaluation exhaustive. Si on a travaillé les constructions syntaxiques, on n'évalue que celles-ci, pas l'orthographe par exemple.
La dictée : non une évaluation mais une dévaluation, un contre-exemple à ne pas suivre.
En étude de textes : si on demande une réponse rédigée, on n'évalue pas la lecture mais l'écriture.
En expression écrite, ne pas chercher à faire d'évaluation exhaustive. Si on a travaillé les constructions syntaxiques, on n'évalue que celles-ci, pas l'orthographe par exemple.
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
- FantômetteHabitué du forum
Je rapporte: il faut éviter de faire trop de contrôles de connaissance car ils gonflent les moyennes de Français. Après, cela fausse les affectations sur Affelnet et surtout, les élèves perdent 3 à 4 points quand ils arrivent en Seconde.
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"La dictature s'épanouit sur le terreau de l'ignorance." G.Orwell
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- Réforme du collège - Mathématiques : retour des formations disciplinaires
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