- Dr RaynalHabitué du forum
Tu quoque fili mi !Audrey a écrit:Dans mon collège, je ferai un EPI LCA en 5e...
Après tant d'actions, de luttes, de grèves, j'observe tous le monde (ou presque) qui cherche sagement à renter dans la droite ligne de la réforme, vers le nouvel âge pédagogique réminiscent ...
Et si aucun professeur ne s'abaisse à proposer d'EPI, au niveau d'un établissement par exemple, que va t'il se passer ?
- lisette83Érudit
Je ne vois pas de quel droit l'EPI ECLA prendrait sur les heures de latin qui sont un complément. Ce n'est pas une victoire car ce n'est même pas envisageable, il ne faut pas donner le bâton pour se faire battre encore plus fort !
- Isis39Enchanteur
lisette83 a écrit:Je ne vois pas de quel droit l'EPI ECLA prendrait sur les heures de latin qui sont un complément. Ce n'est pas une victoire car ce n'est même pas envisageable, il ne faut pas donner le bâton pour se faire battre encore plus fort !
Mais l'EPI LCA ne doit pas se faire en prenant sur l'enseignement de complément.
- francois75Niveau 5
Si c'est comme sur le fil où un néo avait demandé des vrais arguments solides pro-réforme, on peut attendre longtemps.
Ce n'est pas possible de trouver du positif dans cette réforme. A part si on considère qu'en demander moins aux élèves et les abêtir est une bonne évolution.
Si personne ne propose d'EPI, c'est tout simplement que ce n'est pas possible. C'est une illusion inventée par les pédagogistes pour faire croire à la population qu'ils vont moderniser (enfin !) l'école.
"Regardez comme notre réforme est géniale, grâce à nous les pédagogistes, les élèves font des maquettes d'Ariane 5 après avoir travaillé sur les combustibles en physique-chimie et les vitesse/proportionalité/... en maths".
Problème : avec le temps perdu à faire du bricolage pédagogique, au lycée, ils seront incapables de résoudre une simple équation ou d'effectuer des calculs avec des racines carrés. D'ailleurs, j'avais eu comme réponse à cette inquiétude : "mais pas de soucis, il y aura des arrêtés pour le programme du lycée. Et puis les racines carrés, ce n'est pas ce que les élèves préfèrent au collège.". Youpi !
Enfin, cette illusion des EPI, est semblable à celle de la différenciation proposée en AP. En effet, sur le moment la différenciation permet à "tous les élèves" de faire l'activité (en leur mâchant le travail). Malheureusement, au final ceux qui ont été assistés ne développent pas d'autonomie et restent mauvais en évaluation. Arrêtons avec les artifices ... il faut de vraies exigences.
- lisette83Érudit
Je rebondissais sur un message précédent d'Audrey :Isis39 a écrit:lisette83 a écrit:Je ne vois pas de quel droit l'EPI ECLA prendrait sur les heures de latin qui sont un complément. Ce n'est pas une victoire car ce n'est même pas envisageable, il ne faut pas donner le bâton pour se faire battre encore plus fort !
Mais l'EPI LCA ne doit pas se faire en prenant sur l'enseignement de complément.
"Et oui, on fera un EPI LC/LM sans prendre sur les heures de latin... à l'époque, on avait fait un IDD LM/LC, personne n'avait trouvé à redire... et dans un collège voisin, ils fontionneront aussi en LM/LC."
- lisette83Érudit
+1 et je suis ravie que les jeunes collègues le pensent encore davantage parfois que les plus anciens.francois75 a écrit:Si c'est comme sur le fil où un néo avait demandé des vrais arguments solides pro-réforme, on peut attendre longtemps.
Ce n'est pas possible de trouver du positif dans cette réforme. A part si on considère qu'en demander moins aux élèves et les abêtir est une bonne évolution.
Si personne ne propose d'EPI, c'est tout simplement que ce n'est pas possible. C'est une illusion inventée par les pédagogistes pour faire croire à la population qu'ils vont moderniser (enfin !) l'école.
"Regardez comme notre réforme est géniale, grâce à nous les pédagogistes, les élèves font des maquettes d'Ariane 5 après avoir travaillé sur les combustibles en physique-chimie et les vitesse/proportionalité/... en maths".
Problème : avec le temps perdu à faire du bricolage pédagogique, au lycée, ils seront incapables de résoudre une simple équation ou d'effectuer des calculs avec des racines carrés. D'ailleurs, j'avais eu comme réponse à cette inquiétude : "mais pas de soucis, il y aura des arrêtés pour le programme du lycée. Et puis les racines carrés, ce n'est pas ce que les élèves préfèrent au collège.". Youpi !
Enfin, cette illusion des EPI, est semblable à celle de la différenciation proposée en AP. En effet, sur le moment la différenciation permet à "tous les élèves" de faire l'activité (en leur mâchant le travail). Malheureusement, au final ceux qui ont été assistés ne développent pas d'autonomie et restent mauvais en évaluation. Arrêtons avec les artifices ... il faut de vraies exigences.
- JPhMMDemi-dieu
:lol:William Foster a écrit:Ça, c'est un avis contrasté.Fesseur Pro a écrit:Peu clair.JPhMM a écrit: " le monde est-il écrit en nombre ? »
Pas de quoi foncer là dedans.
Un EPI maths/arts plastiques sur le clair-obscur ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AudreyOracle
lisette83 a écrit:Je rebondissais sur un message précédent d'Audrey :Isis39 a écrit:lisette83 a écrit:Je ne vois pas de quel droit l'EPI ECLA prendrait sur les heures de latin qui sont un complément. Ce n'est pas une victoire car ce n'est même pas envisageable, il ne faut pas donner le bâton pour se faire battre encore plus fort !
Mais l'EPI LCA ne doit pas se faire en prenant sur l'enseignement de complément.
"Et oui, on fera un EPI LC/LM sans prendre sur les heures de latin... à l'époque, on avait fait un IDD LM/LC, personne n'avait trouvé à redire... et dans un collège voisin, ils fontionneront aussi en LM/LC."
Je voulais simplement dire que contrairement à ce qu'imposent les textes définissant les EPI, dans mon collège cet EPI ne prendrait corps que sur des heures de français. On ne respecte donc pas la loi. C'est tout. Étant donné que le latin n'est pas un enseignement obligatoire, de toute façon, je ne vois pas comment on pourrait faire autrement, sauf à vouloir que le prof de LC n'intervienne pas dans l'EPI LCA.
Quant à celui qui me reprochait de rentrer dans le rang en proposant un EPI, me traitant au passage de Brutus et donc de traître, qu'il ait à lutter seul dans un établissement pour sauver sa matière, seul face à la direction, à l'IPR et aux collègues, et on en reparlera. Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Si justement j'en propose un après avoir tant lutté, après m'en être tant pris dans la tronche de la part de quelques collègues, il faut bien se dire que ce n'est ni de gaieté de cœur que je le fais, ni par conviction.
Et qu'il aille se faire voir.
- musaNeoprof expérimenté
Je ne pense pas que quiconque te reproche de faire ce que tu fais Audrey. J'ai juste lu dans les propos de Dr Raynal une tristesse un peu amère de voir que le ministère sera arrivé à ses fins. Et, seule lettres classiques dans mon collège et ayant beaucoup lutté aussi (et continuant encore), je n'arrive pas aux mêmes conclusions que toi sans te reprocher quoi que ce soit bien évidemment. Pour ma part, tout en respectant tes choix (que de précautions spa ?), je refuse de faire de l'or avec leur bouse. Je refuse donc de faire un EPI et si on m'octroie malgré tout l'enseignement de complément, je ferai avec ce qu'on me donnera (et je crois qu'on me donnera car les parents râleront énormément si on retire tout le latin et le CDE craint les parents). Mais d'une certaine manière, je préférerais presque qu'on supprime carrément le latin tant son enseignement avec les bribes qu'on nous laisse, devient incohérent. Incohérence qui se double pour nous profs de lettres classiques, d'inconvénients personnels conséquents (emploi du temps pourri notamment).
Bref, je n'ai plus envie d'être le dindon de la farce en attendant l'extinction complète programmée des Humanités.
Bref, je n'ai plus envie d'être le dindon de la farce en attendant l'extinction complète programmée des Humanités.
- AudreyOracle
Si on supprime le latin et le grec chez nous, ils ne seront jamais remis en place. Voilà tout. Et les parents s'en foutent, chez nous.
- monseigneurHabitué du forum
francois75 a écrit:
Malheureusement, au final ceux qui ont été assistés ne développent pas d'autonomie et restent mauvais en évaluation.
Ça tombe bien, l'évaluation en train d'être sérieusement revue... (cf réforme de l'évaluation et nouveau brevet)
Quand on vous dit qu'ils pensent à tout, au ministère !!!
- Marie LaetitiaBon génie
Elyas a écrit:elpenor a écrit:Simplement parce que, comme il est dit plus haut, lorsqu'il aura été décidé de supprimer l'AP (avec son statut de dispositif, ce serait simple), nous nous retrouverons avec des heures disciplinaires de moins. C'est ce qui se passe depuis bien longtemps. Petit à petit.Elyas a écrit:elpenor a écrit:Tiens, je n'avais jamais pensé à faire un travail spécifique pour renforcer/avancer l'acquisition des compétences disciplinaires pendant mes cours...
Ce n'est donc pas difficile à faire :lol: Je ne vois donc pas pourquoi cela crispe tant.
Effectivement, l'AP 2016 n'est pas l'AP avant 2016. Je ne comprends pas pourquoi ils ont mis le même acronyme pour des dispositifs différents.
L'AP avant 2016 était un dispositif pouvant servir à tout : remédiation, approfondissement culturel, groupes de besoin... etc. Il disparaît.
L'AP 2016 est maudit dès la naissance à cause de son nom et du fait qu'on considère donc que c'est une arnaque car, ayant le même nom que les heures en plus, on pense que c'est le même but.
L'AP 2016 vise à travailler les compétences disciplinaires (je note que tu n'as pas été choqué par le mot compétence, voire même que c'était évident pour toi) pour les faire acquérir à tous. Les marges permettent de créer des organisations allégées soit par la création de groupe par des dispositifs plus de professeurs que de classe, soit par du demi-groupe ou encore par du co-enseignement. On peut aussi le faire en classe entière. On peut dès lors utiliser des démarches explicites, heuristiques, coopératives ou par projet tout en faisant de la différenciation pédagogique (qui ne consiste pas nécessairement à créer des exercices différents avec des objectifs différents).
Le souci est que ceux qui ont créé l'AP 2016 voulaient imposer des démarches qui, dans leur tête, n'étaient pas très répandues sur le terrain. En faisant ainsi, ils attaquaient la liberté pédagogique. Voilà pourquoi personne ne veut vraiment définir l'AP 2016. C'est trop explosif. Donc, tout le monde botte en touche.
Précisément, pour faire passer cette arnaque... La naïveté tue.
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- VanGogh59Expert spécialisé
thenastywizard a écrit:Je doute sérieusement que la réforme ne se fasse pas... et qu'un futur ministre revienne sur les EPI, vraiment.
Cette réforme est faite dans beaucoup d'établissements et se fera, quoiqu'en disent les syndicats les plus virulents et quelle que soient leurs actions à venir.
Je ne suis pas pro-réforme à 100% mais vois, dans une partie des mesures prises, de bonnes choses (AP, entre autres)
Ah oui, elle se fera mais elle ne tiendra pas très longtemps. D'abord parce qu'on a une ministre entêtée et complètement stupide qui préfère insulter de "pseudo zintellectuel" ou de réactionnaires les personnes qui ne pensent pas comme elle mais qui ont une légitime préoccupation sur la future génération que nous allons engendrer avec tous ces dispositifs aussi débiles les uns que les autres (et j'inclue plus que jamais l'évaluation que l'on compte aussi nous imposer). Maintenant, la majorité des profs vont faire semblant de l'appliquer soit par fainéantise soit parce qu'ils sont moralement opposés à cette réforme et les syndicats continueront à réclamer que cette réforme soit abrogée. On peut donc imaginer avec réalisme que le prochain gouvernement abroge cette réforme.
_________________
"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- kamasolouHabitué du forum
Isis39 a écrit:kamasolou a écrit:Sophie38 a écrit:Attention à ce que nous ne partions pas vers d'autres discussions que sur des idées simples et faisables d'EPI ...
Si c'est comme sur le fil où un néo avait demandé des vrais arguments solides pro-réforme, on peut attendre longtemps.
C'est sympa pour Elyas et d'autres... Il faudrait lire le fil avant d'écrire des choses pareilles.
J'ai bien lu, merci. Et je ne ferai plus de commentaires sur les grands discours pédago d'Elyas (entre autres) tentant d'expliquer que AP n'est pas AP... Bref.
- musaNeoprof expérimenté
Oui je comprends le cas de conscience. Je crois qu'au point où j'en suis je me serais dit tant pis (au risque même de perdre mon poste, je suis la dernière arrivée). Mais encore une fois, je comprends parfaitement qu'on ne raisonne pas comme moi et qu'on ne se résolve pas à abandonner ses élèves (parce que c'est le seul truc qui me rend vraiment malade)Audrey a écrit:Si on supprime le latin et le grec chez nous, ils ne seront jamais remis en place. Voilà tout. Et les parents s'en foutent, chez nous.
- BalthamosDoyen
musa a écrit:Oui je comprends le cas de conscience. Je crois qu'au point où j'en suis je me serais dit tant pis (au risque même de perdre mon poste, je suis la dernière arrivée). Mais encore une fois, je comprends parfaitement qu'on ne raisonne pas comme moi et qu'on ne se résolve pas à abandonner ses élèves (parce que c'est le seul truc qui me rend vraiment malade)Audrey a écrit:Si on supprime le latin et le grec chez nous, ils ne seront jamais remis en place. Voilà tout. Et les parents s'en foutent, chez nous.
Pourquoi pas un EPI avc l'EMC, et en faire un dilemme moral ?
- kamasolouHabitué du forum
Dans mon collège, on maintient le latin mais sans EPI LCA.
- AudreyOracle
Chez moi, l'IPR n'a pas trop laissé le choix...
- Isis39Enchanteur
kamasolou a écrit:Isis39 a écrit:kamasolou a écrit:Sophie38 a écrit:Attention à ce que nous ne partions pas vers d'autres discussions que sur des idées simples et faisables d'EPI ...
Si c'est comme sur le fil où un néo avait demandé des vrais arguments solides pro-réforme, on peut attendre longtemps.
C'est sympa pour Elyas et d'autres... Il faudrait lire le fil avant d'écrire des choses pareilles.
J'ai bien lu, merci. Et je ne ferai plus de commentaires sur les grands discours pédago d'Elyas (entre autres) tentant d'expliquer que AP n'est pas AP... Bref.
On parle EPI ici.
- blancheExpert
Chez nous, il y aura toujours du latin en enseignement de complément, j'aurai donc neuf heures à assurer (ou dix heures s'il y a deux groupes en 5e). Les chefs ont décidé par ailleurs de mettre en place un EPI LCA en 5e, mais pour l'instant, la plupart de mes collègues et moi-même avons refusé de proposer quoi que ce soit. Lors de la demi-journée de formation consacrée aux EPI (juste avant les vacances de février), nous avons préféré nous réunir par matière et avons discuté des programmes.
- JPhMMDemi-dieu
:lol:Isis39 a écrit:kamasolou a écrit:Isis39 a écrit:kamasolou a écrit:
Si c'est comme sur le fil où un néo avait demandé des vrais arguments solides pro-réforme, on peut attendre longtemps.
C'est sympa pour Elyas et d'autres... Il faudrait lire le fil avant d'écrire des choses pareilles.
J'ai bien lu, merci. Et je ne ferai plus de commentaires sur les grands discours pédago d'Elyas (entre autres) tentant d'expliquer que AP n'est pas AP... Bref.
On parle EPI ici.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéTNWNiveau 5
kamasolou a écrit:Dans mon collège, on maintient le latin mais sans EPI LCA.
Hors textes.
- AudreyOracle
Thenastywizard, justement, si, le texte l'autorise. Il dit que l'EC peut être fait dès lors qu'EPI (de n'importe quelle thématique) est mis en place. Le texte a été rédigé avec les pieds, et voilà ce qu'il dit. Pour une fois, on n'a même pas à contourner la loi.
- InvitéTNWNiveau 5
Audrey a écrit:Thenastywizard, justement, si, le texte l'autorise. Il dit que l'EC peut être fait dès lors qu'EPI (de n'importe quelle thématique) est mis en place. Le texte a été rédigé avec les pieds, et voilà ce qu'il dit. Pour une fois, on n'a même pas à contourner la loi.
Non, l'EC ne peut être mis en place que si un EPI LCA est proposé sur le cycle 4. Cf. décret.
- Isis39Enchanteur
thenastywizard a écrit:Audrey a écrit:Thenastywizard, justement, si, le texte l'autorise. Il dit que l'EC peut être fait dès lors qu'EPI (de n'importe quelle thématique) est mis en place. Le texte a été rédigé avec les pieds, et voilà ce qu'il dit. Pour une fois, on n'a même pas à contourner la loi.
Non, l'EC ne peut être mis en place que si un EPI LCA est proposé sur le cycle 4. Cf. décret.
C'est ce que j'ai compris aussi.
- AudreyOracle
Thenastywizard, je me répète, encore, et on en a déjà longuement parlé sur ce forum, mais voici de quoi appuyer mon propos:
http://avenirlatingrec.fr/analyses/516-l-enseignement-de-complement-n-est-pas-conditionne-a-l-epi-lca
http://avenirlatingrec.fr/analyses/516-l-enseignement-de-complement-n-est-pas-conditionne-a-l-epi-lca
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum