- Roumégueur IerÉrudit
Pascal a écrit:lemigou a écrit:Pascal a écrit:Nuance. Toutes les disciplines peuvent participer à l'EPI LCA qui fait partie des programmes de cycle 3, mais on ne demandera pas forcément aux non spécialistes d'aborder la langue.
Je crois que tu veux parler du cycle 4 ???
L'antiquité n'est au programme d'aucune matière du cycle 4....
mais on ne demandera pas forcément aux non spécialistes d'aborder la langue
Mais on peut le faire et c'est une honte...
De plus, sans vouloir paraître condescendant et sans vouloir froisser personne, faire un EPI LCA sans professeur de lettres classiques est par essence déjà une insulte et une provocation. Est-ce que l'on imagine faire un EPI langues et cultures étrangères sur la langue et la civilisation anglaise, sans prof d'anglais ???
Oui, pardon en cycle 4. Je voulais donc dire que la culture antique est au programme puisqu'elle est un des EPI.
Ni l'EPI ni l'enseignement de complément ne seront obligatoirement proposés par les établissements. Certains les ont déjà passés par perte et profit. Et même s'ils sont proposés, rien n'oblige les élèves à les suivre. Mais ce doit être ça la définition du latin pour tous.
Je le redis encore une fois, nous avons perdu la moitié de nos heures de latin 'grâce' à la réforme. On peut difficilement y voir là un signe de démocratisation, pour autant, on peut effectivement dire que la culture antique (jolie formule ambiguë) est au programme de notre établissement.
- henrietteMédiateur
Il y a un truc très comique dans ton lien de causalité, qui me rappelle un peu ceux de Pangloss.Pascal a écrit:lemigou a écrit:Pascal a écrit:Nuance. Toutes les disciplines peuvent participer à l'EPI LCA qui fait partie des programmes de cycle 3, mais on ne demandera pas forcément aux non spécialistes d'aborder la langue.
Je crois que tu veux parler du cycle 4 ???
L'antiquité n'est au programme d'aucune matière du cycle 4....
mais on ne demandera pas forcément aux non spécialistes d'aborder la langue
Mais on peut le faire et c'est une honte...
De plus, sans vouloir paraître condescendant et sans vouloir froisser personne, faire un EPI LCA sans professeur de lettres classiques est par essence déjà une insulte et une provocation. Est-ce que l'on imagine faire un EPI langues et cultures étrangères sur la langue et la civilisation anglaise, sans prof d'anglais ???
Oui, pardon en cycle 4. Je voulais donc dire que la culture antique est au programme puisqu'elle est un des EPI.
Plus sérieusement, au programme de quelles disciplines ? Tu as regardé les choses de près avant d'écrire ça ? Car c'est vraiment trèèèèèès succinct.
Et au fait, dans LCA, il y a L pour Langues. Tu en fais quoi, du coup ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- Presse-puréeGrand sage
Pascal a toujours eu des soucis avec le réel... Mais bon, il doit certainement se réjouir que ces salauds de profs de latin perdent le plus souvent la moitié de leur service. Bien fait pour leur gueule à ces classiques/classistes de merde!
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- kerangeloNiveau 7
OK, je viens de relire l'arrêté : il y a à la fois un EPI LCA et un enseignement de complément LCA qui vient effectivement en complément de n'importe quel EPI comme le souligne Hermione.kerangelo a écrit:Si je lis bien, il s'agirait d'un enseignement de complément LCA et pas d'un EPI LCA ?Hermione0908 a écrit:Roumégueur Ier a écrit:FO a envoyé un mail disant que les cde auraient reçu des directives dans l'académie de Toulouse : pas obligé de mettre en place l'EPI LCA pour bénéficier de l'enseignement de complément (voir spoiler, à vérifier bien sûr).
D'autre part, il a toujours été très clair que n'importe quel enseignant ou cde ou professeur documentaliste pouvait participer aux EPI, le LCA inclus. Les partenaires de l'établissement et les associations sont aussi bienvenues (lire la circulaire). Sauf semble-t-il à Toulouse, où la contrainte d'intégrer le professeur de LC semble exprimée (mais sur quel texte est-elle basée?)
Cela pourrait d'ailleurs dans certains établissements servir de prétexte pour sauver des postes menacés par la mise en place de la réforme (les EPI en général, et c'est très clairement le cas chez nous).
Seule grosse incertitude : mais qui 'finance' cet EPI LCA, car les professeurs de LC par exemple, arrivent avec rien dans leurs poches, aucune heure à mettre dans la balance, à moins de grever leur horaire de français (s'ils interviennent en tant que 'LM' dans la classe).
- Spoiler:
INFO importante concernent les lettres classiques et l'occitan en collège pour la rentrée 2016, ainsi que la DGH
D'après nos informations un courrier du rectorat adressé aux chefs d'établissements indique que le financement pour les lettres classiques est de 3, ensuite deux heures prises sur la part d'autonomie du collège, pas d'indications d'heures pour l'occitan, la répartition se fait par groupe. si le conseil pédagogique décide un épi de lettres classiques ou de langues régionale les professeurs de lettres classiques et d'occitan sont contraints d'y participer.
Mais , et là il y a un petit recul à mettre sans doute au compte de la résistance, : il est précisé que l'enseignement de complément (cad lettres classiques ou occitan) peut se mettre en place sans qu'il y ait forcément un épi.
Par ailleurs il est indiqué également qu'il n'est pas obligatoire que la répartition de la DG soit votée en février. Donc dans plein d'endroit ou on met la pression sur cet aspect il est possible si le vote n'est pas encore intervenu d'obtenir un sursis.
Ça a déjà été évoqué sur le forum, et je l'ai également fait remarquer à ma cde, mais en fait, dans l'arrêté, il n'est pas dit explicitement que c'est l'EPI LCA qui ouvre l'enseignement de complément en latin, mais en réalité, n'importe quel EPI.
L'article 7 stipule que (c'est moi qui mets en gras) :
"Outre la dotation horaire correspondant aux enseignements obligatoires, une dotation horaire est mise à la disposition des établissements afin de favoriser le travail en groupes à effectifs réduits et les interventions conjointes de plusieurs enseignants, conformément à l'article D. 332-5 du code de l'éducation. Son volume pour l'établissement est arrêté par le recteur d'académie, sur la base de deux heures quarante-cinq minutes par semaine et par division pour la rentrée scolaire 2016, puis sur la base de trois heures par semaine et par division à compter de la rentrée scolaire 2017. L'emploi de cette dotation est réparti proportionnellement aux besoins définis dans le projet d'établissement pour chaque niveau d'enseignement conformément à la procédure prévue au premier alinéa du II de l'article D. 332-4 du code de l'éducation et, dans les établissements d'enseignement privés sous contrat, au III du même article.
Cette dotation horaire attribuée à l'établissement lui permet également, dans le cadre de son projet pédagogique, de proposer, pour les élèves volontaires, un enseignement de complément aux enseignements pratiques interdisciplinaires prévus à l'article 3, qui porte sur un enseignement de langues et cultures de l'Antiquité ou sur un enseignement de langue et culture régionales. Cet enseignement peut être suivi au cours des trois années du cycle 4, dans la limite d'une heure hebdomadaire en classe de cinquième et de deux heures hebdomadaires pour les classes de quatrième et de troisième."
et quand on se réfère à l'article 3, on lit ça :
"I. - Les contenus des enseignements complémentaires sont établis en fonction des objectifs de connaissances et de compétences du socle commun de connaissances, de compétences et de culture et des programmes des cycles concernés.
Toutes les disciplines d'enseignement contribuent aux enseignements complémentaires.
II. - Les enseignements complémentaires prennent la forme de temps d'accompagnement personnalisé et d'enseignements pratiques interdisciplinaires :
a) L'accompagnement personnalisé s'adresse à tous les élèves selon leurs besoins ; il est destiné à soutenir leur capacité d'apprendre et de progresser, notamment dans leur travail personnel, à améliorer leurs compétences et à contribuer à la construction de leur autonomie intellectuelle ;
b) Les enseignements pratiques interdisciplinaires permettent de construire et d'approfondir des connaissances et des compétences par une démarche de projet conduisant à une réalisation concrète, individuelle ou collective."
L'EPI LCA n'est donc pas cité comme condition sine qua non si on se réfère à ce texte, en tout cas pas explicitement. Le texte est tellement mal écrit qu'il prête lieu à toutes les interprétations, donc celle qui réfute l'obligation de l'EPI LCA.
Le débat lancé par les IPR est de l'enfumage qui permet de gagner du temps en faisant jaser les collègues. En attendant, l'heure tourne et n'a rien d'un "tic-tac allègre".
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Sapere aude
- Presse-puréeGrand sage
Eginhardt, c'est pas mal.
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- Quot LibrasNiveau 4
Lalie-Flore a écrit:Bonjour !
Du coup, je dois avoir des 5èmes l'an prochain et je vais devoir enseigner le latin dans l'EPI LCA. Hors, je n'en ai jamais fait de ma vie !!! Je suis professeur de lettres modernes, j'ai des diplômes en sciences du langage.
Quel est donc l'EPI LCA mis en place dans ton collège ?
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Expende Hannibalem : quot libras in duce summo inuenies ?
- CathEnchanteur
Et bien, ce sera l'occasion d'avancer ton cours normal, celui pour lequel tu as été formée. Et celle de démontrer par l'exemple que non, tout le monde ne peut pas enseigner le latin.
- CathEnchanteur
M'enfin, te demanderait-on d'enseigner le russe ou le chinois, comme ça, au débotté ?
Tu culpabiliseras bien plus, à mon humble avis, de faire semblant de maîtriser le latin (surtout que le vernis craquera très vite !) que d'avancer ton cours...
Tu culpabiliseras bien plus, à mon humble avis, de faire semblant de maîtriser le latin (surtout que le vernis craquera très vite !) que d'avancer ton cours...
- User5899Demi-dieu
Et par ailleurs, rappelons que "hors" et "or" ne sont pas interchangeables. Je corrige ça sans cesse dans des copies de lycéens, mais je crois que je commence à avoir une petite idée de la cause du phénomène
Quousque non descendemus
Quousque non descendemus
- JPhMMDemi-dieu
Tous les professeurs peuvent-ils enseigner le français ? mmm ?
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LefterisEsprit sacré
Oui car ils parlent déjà français. C'est ce que n'arrêtent pas de dire nos élèves, dont beaucoup contestent jusqu'à l'enseignement du français. "Pourquoi on fait français, puisqu'on parle déjà français". Quant aux textes : "Ca nous servira à rien dans notre métier".JPhMM a écrit:Tous les professeurs peuvent-ils enseigner le français ? mmm ?
Il faut reconnaître que la réforme a su s'adapter à ces "publics", qui vont être ravis d'avoir moins de cours, pour passer plus de temps à se bousculer et à hurler devant l'établissement.
Les lettres sont mortes. Le discours social est contre les lettres, réputées "inutiles" en période de crise de l'emploi. Notre personnel politique professionnel n'aime pas les lettres (voir leur profil : beaucoup ont fait de la com', du marketing, ..), le discours pédagogiste a carrément la haine de la culture littéraire, les parents sont d'une génération où déjà beaucoup ne lisent plus et sont dans la contestation des oeuvres à lire '"moi je moi personnellement j'ai pas aimé machin..."
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- CathEnchanteur
Toutes tes collègues sont-elles latinistes ? Si oui, c'est légitime, sinon, elles sont des imposteurs.
- HérodouteGrand sage
Je ne vois pas où qu'il est le problème : ENseigner le latin en EPI ça doit être fastoche. Suffit de rajouter des "us", des "i" ou des "ae" et de ranger le verbe à la fin de chaque phrase et c'est bon.
Pour les supports, je propose les docs suivants :
Franchement, à force de voir le mal partout z'allez pas finir vot' carrière tous là...
:labas:
Pour les supports, je propose les docs suivants :
Franchement, à force de voir le mal partout z'allez pas finir vot' carrière tous là...
:labas:
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- Invité ElExpert spécialisé
Voilà. Et c'est ce qui s'appelle "répondre aux demandes sociétales et politiques"...Lefteris a écrit:Oui car ils parlent déjà français. C'est ce que n'arrêtent pas de dire nos élèves, dont beaucoup contestent jusqu'à l'enseignement du français. "Pourquoi on fait français, puisqu'on parle déjà français". Quant aux textes : "Ca nous servira à rien dans notre métier".JPhMM a écrit:Tous les professeurs peuvent-ils enseigner le français ? mmm ?
Il faut reconnaître que la réforme a su s'adapter à ces "publics", qui vont être ravis d'avoir moins de cours, pour passer plus de temps à se bousculer et à hurler devant l'établissement.
- lemigouNiveau 6
Lefteris a écrit:Oui car ils parlent déjà français. C'est ce que n'arrêtent pas de dire nos élèves, dont beaucoup contestent jusqu'à l'enseignement du français. "Pourquoi on fait français, puisqu'on parle déjà français". Quant aux textes : "Ca nous servira à rien dans notre métier".JPhMM a écrit:Tous les professeurs peuvent-ils enseigner le français ? mmm ?
Il faut reconnaître que la réforme a su s'adapter à ces "publics", qui vont être ravis d'avoir moins de cours, pour passer plus de temps à se bousculer et à hurler devant l'établissement.
Lors d'une conversation cette année, mon CDE m'a dit que les professeurs de maths pouvaient très bien enseigner le français... puisqu'ils parlaient en français...
Je ne suis pas sûr qu'ils parlent de métaphores avec leurs élèves, qu'ils leur expliquent ce qu'est une épithète ou une proposition subordonnée relative, qu'ils étudient des poèmes de V Hugo...
On est au fond du trou et on continue à creuser...
- Quot LibrasNiveau 4
Lalie-Flore a écrit:Oui Cath, je suis bien d'accord avec toi. Mais je me sens mise en échec car, alors que j'avais l'impression de (plutôt) bien faire mon boulot et de faire progresser les élèves, voilà que je vais devoir (si je veux suivre les directives) faire semblant de maîtriser un sujet. J'ai l'impression que je vais devenir une actrice, un savant fou, une imposture personnifiée... et je vais, bien sûr, culpabilisée si j'avance mon cours "normal". En plus, les IPR risquent de me le reprocher, non?
Quot Libras : Les profs de lettres classiques ont mis cette EPI pour pouvoir y intégrer leurs cours de latin.
D'accord, mais si tu ne dis rien du contenu de cet EPI (masculin, car E = Enseignement), difficile de répondre à ta question initiale : « Dois-je apprendre le latin pendant les vacances ? »
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Expende Hannibalem : quot libras in duce summo inuenies ?
- Quot LibrasNiveau 4
Cripure a écrit:Et par ailleurs, rappelons que "hors" et "or" ne sont pas interchangeables. Je corrige ça sans cesse dans des copies de lycéens, mais je crois que je commence à avoir une petite idée de la cause du phénomène
Quousque non descendemus
Oui. À tout hasard, une citation qui peut servir de moyen mnémotechnique...
- Spoiler:
- « Si le ciel t'eût, dit-il, donné par excellence,
Autant de jugement que de barbe au menton,
Tu n'aurais pas, à la légère,
Descendu dans ce puits. Or, adieu, j'en suis hors ;
Tâche de t'en tirer et fais tous tes efforts. »
La Fontaine, Le renard et le bouc
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- JPhMMDemi-dieu
Note, on subit bien des formations aux EPI animées par des formateurs qui n'ont jamais fait d'EPI.Cath a écrit:Toutes tes collègues sont-elles latinistes ? Si oui, c'est légitime, sinon, elles sont des imposteurs.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Quot LibrasNiveau 4
En théorie, il est impossible de traiter le programme de Latin dans un EPI LCA 5e.
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Expende Hannibalem : quot libras in duce summo inuenies ?
- CathEnchanteur
C'est vrai.JPhMM a écrit:Note, on subit bien des formations aux EPI animées par des formateurs qui n'ont jamais fait d'EPI.Cath a écrit:Toutes tes collègues sont-elles latinistes ? Si oui, c'est légitime, sinon, elles sont des imposteurs.
Et ça me frappe à chaque formation de type "nouveau programme/réforme" : comment les formateurs peuvent-ils former à quelque chose qui n’existe pas encore concrètement et dont ils n'ont même pas inventé la théorie ?
- Quot LibrasNiveau 4
Lalie-Flore a écrit:Oui, Cath, il y a deux profs de lettres classiques et une autre de lettres modernes qui a fait du latin tout au long de ses études...
Et les deux postes de Lettres classiques seraient donc conservés malgré la réforme ?
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