- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Cripure a écrit:Bon, l'autre m'avait chauffé, alors j'ai poussé le bouchon.
Je retire par sympathie le mot "ignare"
Mais bon, que je sache, personne ne parle de nathalité ou d'examen prénathal. Il y a des modes assez inexplicables et si on se moque de Djayson vs Jason, il faut aussi se moquer de Nathalie, sauf des bûcheronnes
Alors que, comme chacun sait, il en faut un à Hadrien
- JPhMMDemi-dieu
Quand Shakespeare utilise le "titre" (je suis inculte, je ne sais pas comment on dit cela) pour nommer un personnage, je trouve ça délicieusement classe et suranné : Gloucester, Kent, etc.Nita a écrit:J'avais horreur de ça en tant qu'élève. Je trouvais cela extrêmement impoli, et je continue à le penser.
Tu les interpelles par leur nom de famille seul : c'est une marque de mépris. Tu ne t'adresserais pas à ton principal en l'appelant par son nom seul, tu n'interpelles pas tes collègues par leur nom seul, je suppose.
Ils n'ont rien à objecter si tu fais précéder leur nom de famille par un "monsieur" ou "mademoiselle" : c'est une apostrophe polie.
Quant au fait que tu ne dises pas M. Shakespeare en parlant de lui, ce n'est pas un argument valable : tu ne lui parles pas, tu parles de lui.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
JPhMM a écrit:Quand Shakespeare utilise le "titre" (je suis inculte, je ne sais pas comment on dit cela) pour nommer un personnage, je trouve ça délicieusement classe et suranné : Gloucester, Kent, etc.Nita a écrit:J'avais horreur de ça en tant qu'élève. Je trouvais cela extrêmement impoli, et je continue à le penser.
Tu les interpelles par leur nom de famille seul : c'est une marque de mépris. Tu ne t'adresserais pas à ton principal en l'appelant par son nom seul, tu n'interpelles pas tes collègues par leur nom seul, je suppose.
Ils n'ont rien à objecter si tu fais précéder leur nom de famille par un "monsieur" ou "mademoiselle" : c'est une apostrophe polie.
Quant au fait que tu ne dises pas M. Shakespeare en parlant de lui, ce n'est pas un argument valable : tu ne lui parles pas, tu parles de lui.
J'aime beaucoup aussi! On le retrouve dans toute la littérature francophone aussi.
- JPhMMDemi-dieu
J'imagine que cela porte un nom, cette appellation par le nom du fief.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
J'aurais appelé ça "nom de fief" tout bêtement, mais je me rends compte qu'en fait je n'en suis pas certain
- JPhMMDemi-dieu
Possible, en effet.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
La "maison", peut-être.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Je ne sais pas si ce sont toujours des noms de maisons. Pour prendre un exemple parmi mes sujets d'étude, on appelle "Bourbon" le père du futur Henri IV qui, lui, est souvent appelé "Navarre".
- LaotziSage
Qui diable vous a fait aussi vous aviser,
A quarante et deux ans de vous débaptiser,
Et d'un vieux tronc pourri de votre métairie
Vous faire dans le monde un nom de seigneurie ?
Molière, L'Ecole des femmes, acte I, scène 1.
A quarante et deux ans de vous débaptiser,
Et d'un vieux tronc pourri de votre métairie
Vous faire dans le monde un nom de seigneurie ?
Molière, L'Ecole des femmes, acte I, scène 1.
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"Trouvez donc bon qu'au lieu de vous dire aussi, adieu comme autrefois, je vous dise, adieu comme à présent."
- JPhMMDemi-dieu
Tu as raison.Marcel Khrouchtchev a écrit:Je ne sais pas si ce sont toujours des noms de maisons. Pour prendre un exemple parmi mes sujets d'étude, on appelle "Bourbon" le père du futur Henri IV qui, lui, est souvent appelé "Navarre".
Cependant utiliser le terme fief me semble gênant, car ils peuvent en avoir plusieurs, ce n'est pas cela, me semble-t-il.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Merci Laotzi.
Idée à creuser.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
JPhMM a écrit:
Cependant utiliser le terme fief me semble gênant, car ils peuvent en avoir plusieurs, ce n'est pas cela, me semble-t-il.
C'est la même chose avec seigneurie.
Mais on sous-entend que c'est la seigneurie ou le fief le plus important qui sert à donner le nom qui désignera l'individu.
- JPhMMDemi-dieu
Tu as probablement raison, oui.Marcel Khrouchtchev a écrit:JPhMM a écrit:
Cependant utiliser le terme fief me semble gênant, car ils peuvent en avoir plusieurs, ce n'est pas cela, me semble-t-il.
C'est la même chose avec seigneurie.
Mais on sous-entend que c'est la seigneurie ou le fief le plus important qui sert à donner le nom qui désignera l'individu.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
JPhMM a écrit:Tu as probablement raison, oui.Marcel Khrouchtchev a écrit:JPhMM a écrit:
Cependant utiliser le terme fief me semble gênant, car ils peuvent en avoir plusieurs, ce n'est pas cela, me semble-t-il.
C'est la même chose avec seigneurie.
Mais on sous-entend que c'est la seigneurie ou le fief le plus important qui sert à donner le nom qui désignera l'individu.
Si e-Wanderer, Elaïna, Marie-Laetitia, RogerMartin ou d'autres que j'oublie passaient par là, ce serait sans doute plus solide.
- JPhMMDemi-dieu
Merci pour la réflexion commune, en tout cas. Bonne nuit à toi.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- NitaEmpereur
Marcel Khrouchtchev a écrit:JPhMM a écrit:Tu as probablement raison, oui.Marcel Khrouchtchev a écrit:JPhMM a écrit:
Cependant utiliser le terme fief me semble gênant, car ils peuvent en avoir plusieurs, ce n'est pas cela, me semble-t-il.
C'est la même chose avec seigneurie.
Mais on sous-entend que c'est la seigneurie ou le fief le plus important qui sert à donner le nom qui désignera l'individu.
Si e-Wanderer, Elaïna, Marie-Laetitia, RogerMartin ou d'autres que j'oublie passaient par là, ce serait sans doute plus solide.
Pas forcément le fief le plus important... il y a une attribution en fonction de la position dans la fratrie, si mes souvenirs sont exacts. Et je pense que cla permet aussi de distinguer entre les branches (il n'y a qu'à voir les Rohan, par exemple).
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A clean house is a sign of a broken computer.
- ysabelDevin
Marcel Khrouchtchev a écrit:Quand on m'appelle par "Monsieur" et mon nom de famille, j'ai l'impression qu'on s'adresse à mon père. Je déteste ça.
Moi aussi ! Enfin, à ma mère... j'ai eu bcp de mal à m'y habituer.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- roxanneOracle
L'année dernière, j'ai eu une classe de 6e dont la plupart des élèves m'appelaient comme ça : "Madame Nom de famille", c'était étonnant.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Nita a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:JPhMM a écrit:Tu as probablement raison, oui.Marcel Khrouchtchev a écrit:
C'est la même chose avec seigneurie.
Mais on sous-entend que c'est la seigneurie ou le fief le plus important qui sert à donner le nom qui désignera l'individu.
Si e-Wanderer, Elaïna, Marie-Laetitia, RogerMartin ou d'autres que j'oublie passaient par là, ce serait sans doute plus solide.
Pas forcément le fief le plus important... il y a une attribution en fonction de la position dans la fratrie, si mes souvenirs sont exacts. Et je pense que cla permet aussi de distinguer entre les branches (il n'y a qu'à voir les Rohan, par exemple).
Forcément que cela a un rapport avec la fratrie, puisque seul l'aîné récupère le fief le plus important du père et donc le titre qui y est lié. On le voit aussi avec les fratries Bouillon/Turenne, Coligny/d'Andelot, Montmorency/Damville, etc. Je ne vois pas bien en quoi cela invalide l'idée que c'est le fief le plus important qui détermine le nom de l'individu, puisque précisément le fief le plus important ne peut être le même pour deux individus de la même génération.
- CathEnchanteur
Marcel Khrouchtchev a écrit:Il serait évidemment prétentieux de faire des statistiques réelles (même si, apparemment, sur d'autres sujets on se contente d'études biaisées si elles confortent ce qu'"on" "observe" "sur le terrain" de la "réalité"). Il me semble qu'on évoquait "des classes" où on peut atteindre de tels scores.
Un exemple de la seule classe qui a subi mon enseignement en collège, lors de mon année de stage pour quelques heures (peut-être peu représentatif, mais on était dans un collège même pas en REP, en 2006)
24 élèves (je regroupe successivement ce que je trouve "normal" et ensuite "ridicule"): Olivier, Margot, Isabelle, Stéphane, Laetitia, Jérémy, Richard, Ludivine, Nathalie; Djayzon (c'est là que le traumatisme s'est fait chez moi), Dylan (x3!), Dieu-Puissant, Stely, Steevy, Kenzo, Kenza (eh oui, les deux), Djohnny (oui, le "D" devant le "j", ça se fait chez certains), Maxence (mais pour une fille, alors j'ai trouvé ça naze), Jessyca, Briana, Marilyne, Gala.
OK, on arrive à un peu moins de deux tiers.
Bah, et sainte Maxence, alors ?
- DalvaVénérable
Gilbertine a écrit:Le voici :
"Un professeur fait du théâtre quand il arrive dans une classe. Mais il y a différentes manières de s’y prendre. On peut taper sur la table et faire sentir toute la distance qui sépare les élèves du professeur. On peut aussi jouer le jeu inverse, et c’est ce que je faisais quand j’enseignais au lycée : non seulement en tutoyant les élèves, mais en s’efforçant d’abolir, jusque dans sa tenue vestimentaire et son vocabulaire, tout indice d’une autorité conférée par une hiérarchie sociale. Evidemment, le professeur sait bien, quelle que soit la stratégie qu’il adopte, que ce n’est pas la même chose d’être élève et d’être professeur. Celui qui est sur le banc et celui qui est derrière le bureau n’ont pas le même statut. La stratégie de la non-distance peut être très adroite ou, au contraire, amener celui qui l’emploie à la catastrophe. Mais s’il y recourt plutôt qu’à une autre, ce n’est pas par pure stratégie. C’est parce qu’elle correspond à l’idée qu’il se fait du rapport entre maître et élève, de ce qu’est un groupe. Si on entre dans le jeu de l’abolition de la hiérarchie, ce n’est pas simplement de l’habileté, c’est aussi une esthétique, et une éthique de la relation sociale.
Il faut commencer par cesser d’être professeur pour pouvoir l’être. Cela signifie obligatoirement – à mon avis c’est une idée grecque- que toute relation sociale, avec une classe comme avec le groupe dans lequel on s’est engagé dans la Résistance, implique un ciment qui est l’amitié. Cet élément fondamental est le sentiment d’une complicité, d’une communauté essentielle sur les choses les plus importantes. Dans le rapport du professeur avec ses élèves, c’est le fait de partager une certaine idée de ce que doit être quelqu’un, d’avoir en commun une certaine forme de sensibilité, d’accueil à autrui, de s’accorder sur l’idée qu’être autre signifie aussi être semblable."
Ce pourrait être très beau.
Il suffit de s'être vu imposer le tutoiement à l'IUFM (mais certainement pas à double sens) pour comprendre tout ce que cela peut aussi avoir de désagréable. L'impossible distance entre ce que l'on nous assène et nous. Si je te tutoie, tu es "de mon côté", nous sommes si liés que tu ne peux pas penser autrement. Cette complicité n'est pas choisie. Je ne voulais justement pas être semblable aux formateurs de l'IUFM.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Cath a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:Il serait évidemment prétentieux de faire des statistiques réelles (même si, apparemment, sur d'autres sujets on se contente d'études biaisées si elles confortent ce qu'"on" "observe" "sur le terrain" de la "réalité"). Il me semble qu'on évoquait "des classes" où on peut atteindre de tels scores.
Un exemple de la seule classe qui a subi mon enseignement en collège, lors de mon année de stage pour quelques heures (peut-être peu représentatif, mais on était dans un collège même pas en REP, en 2006)
24 élèves (je regroupe successivement ce que je trouve "normal" et ensuite "ridicule"): Olivier, Margot, Isabelle, Stéphane, Laetitia, Jérémy, Richard, Ludivine, Nathalie; Djayzon (c'est là que le traumatisme s'est fait chez moi), Dylan (x3!), Dieu-Puissant, Stely, Steevy, Kenzo, Kenza (eh oui, les deux), Djohnny (oui, le "D" devant le "j", ça se fait chez certains), Maxence (mais pour une fille, alors j'ai trouvé ça naze), Jessyca, Briana, Marilyne, Gala.
OK, on arrive à un peu moins de deux tiers.
Bah, et sainte Maxence, alors ?
On peut aussi appeler les filles Maxime, les garçons Anne, je sais bien. Mais je trouve ça moche.
C'est subjectif, je sais, je l'ai déjà dit.
- leskhalNiveau 9
Depuis le début je vouvoie mes élèves et je les appelle par leur prénom.
Mon soucis est l'homoprénymie hallucinante de certaines classes : 3 Louis et 5 Thomas dans une même classe ! Alors il faut suivre mon regard pour comprendre à qui je parle, ou j'utilise Prénom Nom.
Dans les cas graves je passe au M. ou Mlle suivi du nom, mais je le réserve pour les cas exceptionnels.
J'avais un prof de physique en terminale qui utilisait le nom seul et le tutoiement pour les garçons et le Mlle Nom et le vouvoiement pour les filles. C'était bizarre mais c'était un très bon prof alors on lui pardonnait.
Le nom seul, je trouve cela déplaisant. Je ne pourrais pas l'utiliser sans un Mlle ou M. devant, ou alors il faudrait vraiment m'avoir cherché et ce serait une volonté de rabaissement de l'élève, rien de glorieux pour personne.
Mon soucis est l'homoprénymie hallucinante de certaines classes : 3 Louis et 5 Thomas dans une même classe ! Alors il faut suivre mon regard pour comprendre à qui je parle, ou j'utilise Prénom Nom.
Dans les cas graves je passe au M. ou Mlle suivi du nom, mais je le réserve pour les cas exceptionnels.
J'avais un prof de physique en terminale qui utilisait le nom seul et le tutoiement pour les garçons et le Mlle Nom et le vouvoiement pour les filles. C'était bizarre mais c'était un très bon prof alors on lui pardonnait.
Le nom seul, je trouve cela déplaisant. Je ne pourrais pas l'utiliser sans un Mlle ou M. devant, ou alors il faudrait vraiment m'avoir cherché et ce serait une volonté de rabaissement de l'élève, rien de glorieux pour personne.
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- HocamSage
Cripure a écrit:Bon, l'autre m'avait chauffé, alors j'ai poussé le bouchon.
Hé, ho, on reste courtois. Y a pas marqué Unsa.
Évidemment, que vous poussez le bouchon. Vous le faites souvent et vous devez accepter qu'on vous fasse remarquer les quelques approximations que vous laissez passer. Je préfère quand vous vous en tenez à des critiques bien argumentées et informées, mais enfin, libre à vous de vous emporter ici comme vous le feriez au café du coin.
Vous trouveriez sans doute quelque chose à redire à ma définition de « ridicule » ; mais ce qui importe est que vous n'utiliseriez pas ce mot devant vos élèves ou leurs parents pour parler de leurs prénoms. C'est un jugement de valeur qui me gêne, et je suis moi-même très attaché à l'étymologie et aux prénoms traditionnels. Je ne reviens pas sur ce que vous avez dit à propos des Nathalie, vos messages parlent d'eux-mêmes.
Pour répondre à MK, il y a bien une part de subjectivité dans cette affaire, mais je crois que vous avez bien compris ce que je voulais dire.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Beniamino Massimo a écrit:Pour répondre à MK, il y a bien une part de subjectivité dans cette affaire, mais je crois que vous avez bien compris ce que je voulais dire.
Très honnêtement, je n'ai pas compris ce que tu voulais dire.
Mais je m'en remettrai
Bon dimanche à toi
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