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- stanleymilgramNiveau 9
En revanche, les professeurs tuteurs seront lapidés par le rectorat.
Honteux , blague à part...
Honteux , blague à part...
- thrasybuleDevin
Ma mère a été durant plus d'un an en maison de retraite pour recouvrer ses forces après une opération au cerveau. Je pourrai dire des choses très intéressantes sur les bénévoles qui, sous couvert de bénévolat, instaure une relation de pouvoir perverse avec les malades. Une infantilisation dégradante. Ma mère, qui, miraculeusement, a retrouvé ses facultés cognitives, m'a raconté des trucs dégueu. Elle ne s'est pas laissé faire: "Madame, je vous méprise".
- DaphnéDemi-dieu
Elaïna a écrit:agc a écrit:Chez nous de plus en plus d'élèves en ASSP n'ont pas le profil pour ce genre de travail. Bon, je ne pense pas qu'elles iraient jusqu'à faire ce genre de chose.....
malheureusement, quand je vois certain(e)s ST2S à grosse tête mais à tout petits moyens, je ne suis pas du tout étonnée. Leur bêtise, leur méchanceté (il faut les voir se harceler mutuellement), sont à frémir. Quand on pense que ce sont ces gens qu'on retrouve à l'hôpital, en maison de retraite ou dans le secteur de la petite enfance, bah ça donne pas envie...
Ça fait même peur !
- RendashBon génie
Hermiony a écrit:
J'espère qu'elles seront lourdement sanctionnées, mais j'aimerais aussi qu'on ne s'arrête pas à cette petite partie de l'iceberg qu'est la maltraitance en maison de retraite, parce qu'il n'y a pas que ces jeunes filles qui s'y livrent, malheureusement...
C'est ce que je me suis dit.
Et même réflexion que Jacq également : ravi de constater que leurs camarades de classe ont un peu plus de plomb dans la tête et de coeur.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- RendashBon génie
Cela étant, je nuance absolument les avis émis ci-dessus. Il y a des choses scandaleuses, il y a aussi des choses admirables. Et, peut-être ai-je eu de la chance, mais en huit ans dans ce domaine, j'ai bien plus d'exemples qui ressortissent à la seconde partie qu'à la première.
par ailleurs, certains actes relèvent de la maltraitance, mais sont dus à des conditions de travail épouvantables. C'est le quotidien du personnel soignant dans beaucoup d'établissements, qui fait ce qu'il peut comme il peut avec ce qu'il a.
par ailleurs, certains actes relèvent de la maltraitance, mais sont dus à des conditions de travail épouvantables. C'est le quotidien du personnel soignant dans beaucoup d'établissements, qui fait ce qu'il peut comme il peut avec ce qu'il a.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- dandelionVénérable
Oui, il y a une maltraitance institutionnelle, que l'on retrouve à l'hôpital, ou dans l'EN. Il y a aussi le problème de l'usure de l'empathie, on 's'endurcit', ça permet de survivre, mais c'est assez connu maintenant. Là, le problème c'est l'absence d'empathie dès le départ, qui n'augure évidemment rien de bon pour l'avenir.
- JacqGuide spirituel
Remarque de mes collègues, et sans rien excuser des élèves : combien d'élèves en stage sur le même lieu ? Simplement en bac pro commerce, ou l'honneur et l'intégrité de personnes fragiles ne sont pas en cause comme ici, on remarque que les incidents se multiplient dès que plusieurs élèves sont sur un même lieu de stage, s'entraînent dans la connerie, parfois avec moins de surveillance par les ou LE tuteur. Cela n'excuse rien, mais cela peut aggraver les choses. En Commerce nous avons tous les ans des incidents, mais ils n'ont pas la même charge émotionnelle que nous avons tous ressentie dans le cadre de cette affaire. Je ne minimise rien.
Le pire, pour nuancer un peu, c'est qu'ici nous avons des camarades de classe qui ont dénoncé ces faits, mais par les adultes, ces faits existent aussi, sont ils dénoncés systématiquement ?
J'ai été surpris de n'entendre dans les médias aucune interrogation du LP en question, des enseignants, qui n'ont rien à répondre officiellement, ce n'est pas leur rôle, mais les médias auraient pu aller les voir, les questionner, ce qui est peut-être fait, mais pas relaté, ou alors je n'ai pas écouté les bons médias.
Je veux retenir du positif : ce sont les camarades de classes qui, eux, sensibles, ont dénoncé leurs camarades. Pas de langue de bois à ce sujet de leur part alors que dans le monde des adultes où ces pratiques existent, combien de temps faut-il pour que ce genre d'affaire n'éclate ? Et puis quel était l'encadrement ? Où était-il ?
Là encore je n'excuse rien, mais condamner sous le coup de l'émotion n'apporte rien de plus.
Reste aussi à savoir ce que sera la sanction de l'EN pour les élèves ? Nous avons viré des élèves de commerce pour des faits aussi débiles mais qui n'attentaient pas (au moins) à la personne...
Attente donc, mais j'ai peur que nos médias, fixés dans l'émotion, ne restent que dans l'annonce et le spectacle, et sans rien de plus.
Le pire, pour nuancer un peu, c'est qu'ici nous avons des camarades de classe qui ont dénoncé ces faits, mais par les adultes, ces faits existent aussi, sont ils dénoncés systématiquement ?
J'ai été surpris de n'entendre dans les médias aucune interrogation du LP en question, des enseignants, qui n'ont rien à répondre officiellement, ce n'est pas leur rôle, mais les médias auraient pu aller les voir, les questionner, ce qui est peut-être fait, mais pas relaté, ou alors je n'ai pas écouté les bons médias.
Je veux retenir du positif : ce sont les camarades de classes qui, eux, sensibles, ont dénoncé leurs camarades. Pas de langue de bois à ce sujet de leur part alors que dans le monde des adultes où ces pratiques existent, combien de temps faut-il pour que ce genre d'affaire n'éclate ? Et puis quel était l'encadrement ? Où était-il ?
Là encore je n'excuse rien, mais condamner sous le coup de l'émotion n'apporte rien de plus.
Reste aussi à savoir ce que sera la sanction de l'EN pour les élèves ? Nous avons viré des élèves de commerce pour des faits aussi débiles mais qui n'attentaient pas (au moins) à la personne...
Attente donc, mais j'ai peur que nos médias, fixés dans l'émotion, ne restent que dans l'annonce et le spectacle, et sans rien de plus.
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