- InvitéInvité
Je ne sais pas si ce sujet a déjà été abordé. J'ai fait une petite recherche et je n'ai rien trouvé.
Je suis stagiaire dans une autre académie que celle où j'ai grandi et je dois avouer qu'en dehors de mon compagnon, du boulot, de l'espe et du bénévolat (j'offre quelques heures par semaine), je suis plutôt seule. Parfois je me sens assez mal quand je réalise que je n'ai personne avec qui boire un verre au troquet du coin.
Si je suis titularisée, je vais être parachutée encore autre part, je ne sais pas où mais c'est presque certain qu'on ne me laissera pas dans mon académie de stage qui coûte apparemment beaucoup de points.
Les liens avec les gens que j'ai connus plus jeune se distendent (distance géographique, chemins qui se séparent, flemme de certains d'entretenir un lien, etc). Je suis admirative quand les gens arrivent à garder des amis de 20 ans. Perso, même ma famille ne fait pas spécialement l'effort de venir me voir (ils sont sédentaires à un point inimaginable).
Du coup, est-ce que le métier de prof isole ? Je redoute l'année prochaine si on m'envoie dans un coin reculé de la France. Je crains de mal supporter cette solitude.
Vous faites comment, vous ? Vous vous êtes construit un réseau là où on vous a envoyé ?
Je suis stagiaire dans une autre académie que celle où j'ai grandi et je dois avouer qu'en dehors de mon compagnon, du boulot, de l'espe et du bénévolat (j'offre quelques heures par semaine), je suis plutôt seule. Parfois je me sens assez mal quand je réalise que je n'ai personne avec qui boire un verre au troquet du coin.
Si je suis titularisée, je vais être parachutée encore autre part, je ne sais pas où mais c'est presque certain qu'on ne me laissera pas dans mon académie de stage qui coûte apparemment beaucoup de points.
Les liens avec les gens que j'ai connus plus jeune se distendent (distance géographique, chemins qui se séparent, flemme de certains d'entretenir un lien, etc). Je suis admirative quand les gens arrivent à garder des amis de 20 ans. Perso, même ma famille ne fait pas spécialement l'effort de venir me voir (ils sont sédentaires à un point inimaginable).
Du coup, est-ce que le métier de prof isole ? Je redoute l'année prochaine si on m'envoie dans un coin reculé de la France. Je crains de mal supporter cette solitude.
Vous faites comment, vous ? Vous vous êtes construit un réseau là où on vous a envoyé ?
- Reine MargotDemi-dieu
J'ai un peu connu ça quand j'ai été parachutée à l'autre bout de la France à mon année de stage il y a 10 ans. Il existe maintenant des sites "on va sortir" qui te permettent de faire des sorties, de voir des gens et éventuellement de te faire des amis.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
novabulma a écrit:Du coup, est-ce que le métier de prof isole ? Je redoute l'année prochaine si on m'envoie dans un coin reculé de la France. Je crains de mal supporter cette solitude.
Demande une académie d’Île-de-France ? Elles sont accessibles (sauf Paris), et les opportunités de rencontrer des gens y sont nombreuses. Rien que le fait de pouvoir très facilement aller au cinéma, au théâtre ou à une expo permet de se sentir moins seul, je trouve.
- InvitéInvité
J'ai déjà donné il y a quelques années avec les rencontres sur internet et franchement c'est pas hyper concluant. Enfin, de mon côté.Reine Margot a écrit: J'ai un peu connu ça quand j'ai été parachutée à l'autre bout de la France à mon année de stage il y a 10 ans. Il existe maintenant des sites "on va sortir" qui te permettent de faire des sorties, de voir des gens et éventuellement de te faire des amis.
J'ai beaucoup de nostalgie des amitiés que l'on se crée sur les bancs de la fac. Je reste peut-être bloquée psychologiquement sur mes années fac où j'avais plein de potes (j'ai le début de la trentaine).
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:novabulma a écrit:Du coup, est-ce que le métier de prof isole ? Je redoute l'année prochaine si on m'envoie dans un coin reculé de la France. Je crains de mal supporter cette solitude.
Demande une académie d’Île-de-France ? Elles sont accessibles (sauf Paris), et les opportunités de rencontrer des gens y sont nombreuses. Rien que le fait de pouvoir très facilement aller au cinéma, au théâtre ou à une expo permet de se sentir moins seul, je trouve.
En fait, j'ai passé quasiment toute ma vie à Paris et je l'ai quittée pour vivre avec mon compagnon. Je n'ai pas mis Paris (et sa région) comme voeux pour l'inter car je n'ai plus envie de me saigner à payer mon loyer. Le confort matériel en province est quand même un point non négligeable pour moi. De plus, devoir reprendre quotidiennement le métro et le RER ne m'enchante pas. Je suis un peu difficile
- menerveOracle
Pour ma part je suis toujours restée dans la même académie mais je me suis éloignée de ma famille quand j'ai connu le père de ma fille. Puis nous avons déménagé à 2h de route des contacts créés quand nous vivions ensemble. On est parti dans un coin où je ne connaissais personne. Très dur au début. J'ai eu la chance de rester dans le même collège et certains collègues sont devenus des amis sincères et qui m'ont vraiment soutenue lors de moments difficiles. J'ai fini par me séparer du père de ma fille et j'ai acheté une maison il y a 6 ans...mes voisins des deux côtés sont devenus des amis également. Et pourtant je suis dans un coin reculé, en bout d'académie, à la campagne!
Forcément l'offre culturelle est moins importante mais dans les petites villes et villages il y a aussi des multiples petits projets qui voient le jour: club rando, club tricot, théâtre amateur.... L'avantage c'est aussi qu'à force on connaît plus ou moins tout le monde. On est loin de l'anonymat des grandes villes. Bref on peut aussi être moins seul "dans un coin reculé de la France".
Forcément l'offre culturelle est moins importante mais dans les petites villes et villages il y a aussi des multiples petits projets qui voient le jour: club rando, club tricot, théâtre amateur.... L'avantage c'est aussi qu'à force on connaît plus ou moins tout le monde. On est loin de l'anonymat des grandes villes. Bref on peut aussi être moins seul "dans un coin reculé de la France".
- InvitéInvité
menerve a écrit:L'avantage c'est aussi qu'à force on connaît plus ou moins tout le monde. On est loin de l'anonymat des grandes villes. Bref on peut aussi être moins seul "dans un coin reculé de la France".
Effectivement, cet aspect-là de la campagne m'attire beaucoup. Mais malheureusement ce n'est pas toujours aussi idyllique partout. Il y a des campagnes où les gens se connaissent à peine aussi
- colombaneFidèle du forum
Il faut faire partie des clubs, associations de la commune où tu habites.. c'est petit à petit que l'on se crée des liens.. quand on fait des activités ensemble. Rien de mieux que le comité des fêtes, par exemple, quand tu tiens la buvette ou la caisse d'un spectacle...
Arrivée de Paris il y a une vingtaine d'années, maintenant, en terre complètement inconnue, dans un village très rural, pas une fois où je ne vais au supermarché du canton sans faire la bise à quelqu'un !
On peut rencontrer des élèves, mais face à la solitude ? Ils grandissent... et leurs parents peuvent devenir "les" amis...
Après, entre des connaissances et des vrais amis, il faut laisser faire le hasard et le temps..
Arrivée de Paris il y a une vingtaine d'années, maintenant, en terre complètement inconnue, dans un village très rural, pas une fois où je ne vais au supermarché du canton sans faire la bise à quelqu'un !
On peut rencontrer des élèves, mais face à la solitude ? Ils grandissent... et leurs parents peuvent devenir "les" amis...
Après, entre des connaissances et des vrais amis, il faut laisser faire le hasard et le temps..
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N'allez pas là où le chemin peut mener. Allez là où il n'y a pas de chemin et laissez une trace (R. W. Emerson)
- jésusFidèle du forum
Bonjour,
J'ai envie de dire que cette situation n'est pas propre au métier d'enseignant. Toute personne un peu déracinée pour raison professionnelle vit quelque chose de comparable.
On peut même dire que la trentaine est aussi un cap dans la vie sociale. Les relations des années étudiantes et post-études s'estompent. On attend de vous que vous soyez casés, si possible avec enfants et de fréquenter si possible des couples avec enfants, et de passer son temps libre chez beaux-papas et belles-mamans de l'un et de l'autre.
Pour prendre des gros apéros en terrasse et entre-amis, ça devient compliqué.
Si on n'est pas tout à fait dans ce schéma, on le paye cher en terme de relations sociales.
Sans compter que le cercle d'amis ne comprend pas toujours les difficultés du métier et le vague à l'âme qui va avec. ( c'est là, je pense la vraie différence avec les autres métiers et que la profession peut jouer sur la vie sociale) Beaucoup s'imagine que c'est une planque avec des vacances, et que c'est le plus métier du monde...
Et par-là, beaucoup ne comprennent plus trop vos difficultés...
Autant donc réussir à se faire de vrais amis enseignants pour partager ça.
J'ai envie de dire que cette situation n'est pas propre au métier d'enseignant. Toute personne un peu déracinée pour raison professionnelle vit quelque chose de comparable.
On peut même dire que la trentaine est aussi un cap dans la vie sociale. Les relations des années étudiantes et post-études s'estompent. On attend de vous que vous soyez casés, si possible avec enfants et de fréquenter si possible des couples avec enfants, et de passer son temps libre chez beaux-papas et belles-mamans de l'un et de l'autre.
Pour prendre des gros apéros en terrasse et entre-amis, ça devient compliqué.
Si on n'est pas tout à fait dans ce schéma, on le paye cher en terme de relations sociales.
Sans compter que le cercle d'amis ne comprend pas toujours les difficultés du métier et le vague à l'âme qui va avec. ( c'est là, je pense la vraie différence avec les autres métiers et que la profession peut jouer sur la vie sociale) Beaucoup s'imagine que c'est une planque avec des vacances, et que c'est le plus métier du monde...
Et par-là, beaucoup ne comprennent plus trop vos difficultés...
Autant donc réussir à se faire de vrais amis enseignants pour partager ça.
- stratus31Niveau 5
jésus a écrit:Bonjour,
J'ai envie de dire que cette situation n'est pas propre au métier d'enseignant. Toute personne un peu déracinée pour raison professionnelle vit quelque chose de comparable.
On peut même dire que la trentaine est aussi un cap dans la vie sociale. Les relations des années étudiantes et post-études s'estompent. On attend de vous que vous soyez casés, si possible avec enfants et de fréquenter si possible des couples avec enfants, et de passer son temps libre chez beaux-papas et belles-mamans de l'un et de l'autre.
Pour prendre des gros apéros en terrasse et entre-amis, ça devient compliqué.
Si on n'est pas tout à fait dans ce schéma, on le paye cher en terme de relations sociales.
Sans compter que le cercle d'amis ne comprend pas toujours les difficultés du métier et le vague à l'âme qui va avec. ( c'est là, je pense la vraie différence avec les autres métiers et que la profession peut jouer sur la vie sociale) Beaucoup s'imagine que c'est une planque avec des vacances, et que c'est le plus métier du monde...
Et par-là, beaucoup ne comprennent plus trop vos difficultés...
Autant donc réussir à se faire de vrais amis enseignants pour partager ça.
- Reine MargotDemi-dieu
+1
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La famille Bélier
- User5899Demi-dieu
Oui. Un réseau de copains, d'amants, de collègues et j'y ai même trouvé l'amour de ma vienovabulma a écrit:Je ne sais pas si ce sujet a déjà été abordé. J'ai fait une petite recherche et je n'ai rien trouvé.
Je suis stagiaire dans une autre académie que celle où j'ai grandi et je dois avouer qu'en dehors de mon compagnon, du boulot, de l'espe et du bénévolat (j'offre quelques heures par semaine), je suis plutôt seule. Parfois je me sens assez mal quand je réalise que je n'ai personne avec qui boire un verre au troquet du coin.
Si je suis titularisée, je vais être parachutée encore autre part, je ne sais pas où mais c'est presque certain qu'on ne me laissera pas dans mon académie de stage qui coûte apparemment beaucoup de points.
Les liens avec les gens que j'ai connus plus jeune se distendent (distance géographique, chemins qui se séparent, flemme de certains d'entretenir un lien, etc). Je suis admirative quand les gens arrivent à garder des amis de 20 ans. Perso, même ma famille ne fait pas spécialement l'effort de venir me voir (ils sont sédentaires à un point inimaginable).
Du coup, est-ce que le métier de prof isole ? Je redoute l'année prochaine si on m'envoie dans un coin reculé de la France. Je crains de mal supporter cette solitude.
Vous faites comment, vous ? Vous vous êtes construit un réseau là où on vous a envoyé ?
Bon, je trouve que cette région, la Franche-Comté (que je ne connaissais pas), abrite des gens qui, pour peu qu'on ne les snobe pas, aiment le contact humain et sont volontiers accueillants (plus que les méridionaux, dont je fais partie). Et ça fait du bien de boire des coups aussi avec des non-profs.
Par ailleurs, je lis que vous avez un compagnon : c'est déjà bien, en fait de solitude
Ne vous laissez pas bouffer tout votre temps, quand vous serez titulaire, par l'aspect fiche de ceci, fiche de cela dans le boulot et vous verrez, le champ des possibles est vaste.
- GilbertineNeoprof expérimenté
La solitude est davantage un sentiment qu'une situation objective. Le passage de l'université à la fonction publique est une rupture qui implique une accommodation, surtout en raison des mutations. Il faut retrouver ses repères, se reconstituer progressivement un réseau, cela prend du temps. Le hasard des affinités joue beaucoup, vous passerez par des établissements a sein desquels vous nouerez des relations intéressantes (il n'y a pas que des profs dans les établissements ), d'autres que vous traverserez sans vous attacher à personne. Les villages sont intéressants pour nouer des liens, mais il faut parfois éviter les banlieues dortoirs constituées de petits pavillons et préférer les villages sans mur de 3 mètres de haut en guise de grillage... la solidarité y règne un peu plus.
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"votre mystère étant resté là où est mort mon silence"
- ForsterÉrudit
Comme dit plus haut, je pense que ça ne vient pas du métier d'enseignant. Beaucoup d'autres métiers amènent à bouger. Moi aussi j'avais peur d'aller en Picardie, étant un citadin à 200%. Finalement, peu importe le lieu, c'est les efforts qu'on est prêt à faire qui comptent.
Pour ma part, tous mes proches vivent dans un autre pays et je dois avouer que les progrès technologiques permettent de garder contact avec les gens qui sont loin. On peut vivre à 1000 km et se parler tous les jours maintenant. Mon meilleur ami vit en Ecosse, on s'appelle beaucoup, on skype, on facetime, bref on partage nos vies.
Sur place, je me suis inscrit dans des clubs de sport, j'ai accepté toutes les demandes pour accompagner des sorties la première année et j'ai essayé de m'intégrer au maximum en acceptant toutes les invitations des collègues hors cadre professionnel (soirées, sorties au resto, etc...). Je trouve justement que professeur permet de rencontrer plein de gens: des professeurs, des AED, des administratifs... pour peu qu'on aille à la rencontre des gens (cantine, récrés, etc... il ne faut pas rester dans sa salle) alors que si on bosse dans une boite où il y a 3 employés, ça limite les possibilités.
Et il faut s'autoriser le petit coup de blues de temps en temps quand on a le mal du pays. (moi je le soigne par un bon repas 100% de chez moi !!)
Pour ma part, tous mes proches vivent dans un autre pays et je dois avouer que les progrès technologiques permettent de garder contact avec les gens qui sont loin. On peut vivre à 1000 km et se parler tous les jours maintenant. Mon meilleur ami vit en Ecosse, on s'appelle beaucoup, on skype, on facetime, bref on partage nos vies.
Sur place, je me suis inscrit dans des clubs de sport, j'ai accepté toutes les demandes pour accompagner des sorties la première année et j'ai essayé de m'intégrer au maximum en acceptant toutes les invitations des collègues hors cadre professionnel (soirées, sorties au resto, etc...). Je trouve justement que professeur permet de rencontrer plein de gens: des professeurs, des AED, des administratifs... pour peu qu'on aille à la rencontre des gens (cantine, récrés, etc... il ne faut pas rester dans sa salle) alors que si on bosse dans une boite où il y a 3 employés, ça limite les possibilités.
Et il faut s'autoriser le petit coup de blues de temps en temps quand on a le mal du pays. (moi je le soigne par un bon repas 100% de chez moi !!)
- jésusFidèle du forum
Oui, le passage de la vie étudiante à la vie professionnelle n'est pas évidente non plus. ( On compare souvent cela au passage de la vie professionnelle à la retraite). Et un entourage solide permet de faciliter le passage.
Passer d'une vie de groupe et d'étudiant où tout est quadrillé, avec pour objectif les examens et concours à une vie où on doit tout décider seul représente une rupture.
Passer d'une vie urbaine où tous les loisirs et commerces sont à portée de 5 minutes de marche à une vie plus réduite et prendre sa voiture pour tout faire n'est pas simple non plus.
J'ai envie de dire que c'est un passage un peu obligée de la vie et qu'on ne peut rester ad vitam un ex-étudiant vivant en centre-ville ( certains cherchent à le faire et y arrivent mais ça ne peut pas durer).
Passer d'une vie de groupe et d'étudiant où tout est quadrillé, avec pour objectif les examens et concours à une vie où on doit tout décider seul représente une rupture.
Passer d'une vie urbaine où tous les loisirs et commerces sont à portée de 5 minutes de marche à une vie plus réduite et prendre sa voiture pour tout faire n'est pas simple non plus.
J'ai envie de dire que c'est un passage un peu obligée de la vie et qu'on ne peut rester ad vitam un ex-étudiant vivant en centre-ville ( certains cherchent à le faire et y arrivent mais ça ne peut pas durer).
- PuckVénérable
J'ai déboulé de Marseille dans un bled à côté de Calais au début de ma carrière. J'étais seule avec mon chien. Au collège, j'ai été très bien accueillie et on était plein d'exilés. On a fait de belles bringues en Belgique et en Angleterre. Et les lycées et collèges où j'ai exercé ont permis de belles rencontres (c'est au lycée de Montreuil/mer que j'ai rencontré mon marseillais d'ex-mari !!!!). Les ferries coûtaient 12F a-r pour Douvres en hiver,pas d'Eurostar. Et j'ai beaucoup ri et bringué.
Puis retour au bercail et de belles relations nouvelles dans les bahuts et puis à l'extérieur. Il faut ne pas trop se replier sur soi. La vie offre plein d'opportunités et les relations changent, c'est un fait. Mais c'est bien aussi.
Puis retour au bercail et de belles relations nouvelles dans les bahuts et puis à l'extérieur. Il faut ne pas trop se replier sur soi. La vie offre plein d'opportunités et les relations changent, c'est un fait. Mais c'est bien aussi.
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"Ce que nous avons fait, aucune bête au monde ne l'aurait fait.
Mais nous nous en sommes sortis. Et nous voici confrontés à l'ingratitude de la nation. Pourtant, c'était pas ma guerre. C'était pas ma guerre, oh non !"Cripure
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