- gelsomina31Grand Maître
Jul a écrit:Volubilys a écrit:Ahlala, l'éducation donnée par les parents...Olympias a écrit:Article mal écrit, mal informé. On a de plus en plus de jeunes enfants qui ignorent ce que sont la politesse, la frustration parce que chez eux, on leur permet tout. Certains parents ne mettent pas de limites et ça explose dès la petite section quand l'enfant est confronté au mot NON.
Rapporté par une collègue :
Mère (vindicative) : Hier vous avez puni mon fils! Pourquoi?
Collègue : Euh, je ne vois pas, je ne ma souviens pas avoir puni votre fils.
Mère : Si, vous l'avez puni, vous lui avez dit "non".
Vécu perso, vers janvier, PS :
Mère (furieuse) : Vous ne lui avez pas appris à se moucher?!
Vécu perso, MS, vers mai, à l'accueil du matin :
Père (furieux, levant la main) : Vous n'avez pas à exiger que ma fille dise bonjour. Elle n'a pas envie.
Vécu perso, MS, avril, à 9h20, après le début de la classe.
Mère (furieuse, 20 min de retard, qui a forcé l'entrée de la classe, et s'est plantée au beau milieu du regroupement avec les élèves) : Vous n'avez pas à fermer la porte ni a commencé la classe tant que mon fils n'est pas arrivé! Vous vous rendez compte que ça le traumatise d'arriver et de voir tout le monde déjà assis et qu'il n'a pas le temps de jouer!
vécu perso, MS, 2 septembre, à l'accueil:
Mère (hurlant devant tous les parents d'élève présents) : Vous maltraitez les enfants, ma fille n'a pas envie de faire de dessin, C'est cruel de le lui demander!
Volubilys, ton témoignage est très instructif. Cette situation et cet état d'esprit sont purement scandaleux! Des PE n'ont pas à subir cela.
J'aurais aimé lire tout ça il y a deux ans... avec mes yeux et mon cerveau d'aujourd'hui. Cela m'aurait évité bien des déboires l'an dernier...
Finalement, ces exemples très réels et effrayants me rassurent. Je n'étais pas folle ou trop fragile l'an dernier.
- CeladonDemi-dieu
Vraiment ? Tu ne trouves pas préoccupant qu'un enfant UNIQUE de trois ans parle de sexe ? Les parents regardent des video devant lui ou bien ?Laura Ingalls a écrit:the educator a écrit:Il manque il me semble le signalement aux services sociaux ou au procureur. Chez nous la première étape se nomme "l'information préoccupante" (je crois que ça varie selon les regions). C'est le seul service qui peut travailler avec les parents. Dans le secondaire en général c'est le cpe ou l'assistante sociale qui se les tapent, mais selon la loi c'est accessible à tout citoyen qui constate une situation qui relève de la protection de l'enfance, et donc aux PE. au besoin en avertissant bien sur la hierarchie.En sortie, court partout, part très loin hors de ma vue, je dois lui tenir la main tout le temps. Met mal à l'aise les autres enfants parce qu'il dit "des trucs sexuels" gênants pendant les jeux en récré. Intervient constamment, en parlant fort, en se levant. N'obéit jamais à l'adulte. Etc...
Evidemment, on sent bien qu'il y a un truc là dessous. Perso, je repère des troubles autistiques évidents. Evidemment j'ai fait tout ce qu'il fallait (contact avec l'ancienne école, signalement au psy, rencontre avec la mère (qui pour résumer laisse tout passer à ce fils unique et pense qu'on n'écoute pas assez les enfants... Suspect ), équipe éducative en vue.En commission éducative, il n'y a pas de quorum, et les élus de la collectivité ou les membres de la société civile ne siègent pas (enfin pas de base, mais la composition de la commission éducative est determinée par le CA).arth75 a écrit:Cela ressemble à peu près à la composition d'une commission éducative dans le secondaire... dans l'idéal. Les élus, les membres de la société civile en général ne se déplacent pas, peu importe si le quorum est atteint.
Le problème dans mon cas c'est que ça ne rentre pas dans le cadre d'une information préoccupante. On ne va pas signaler un enfant au procureur juste parce qu'il est extrêmement pénible, et même parce qu'il parle de sexe. Il n'y a pas de carences éducatives (il est nourri, logé soigné, aimé...).
- gelsomina31Grand Maître
Laura Ingalls a écrit:(...)
Le problème dans mon cas c'est que ça ne rentre pas dans le cadre d'une information préoccupante. On ne va pas signaler un enfant au procureur juste parce qu'il est extrêmement pénible, et même parce qu'il parle de sexe. Il n'y a pas de carences éducatives (il est nourri, logé soigné, aimé...).
Là, il faut voir dans le contexte réel. Je ferai une information préoccupante sans hésiter si toutes les tentatives de dialogues précédentes avec la famille avaient échoué. Parce qu'entre ceque veut bien dire la famille et la réalité objective, il y a souvent un fossé rempli de mensonges.
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Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- BritLétyHabitué du forum
D'après ce que dit Laura Ingalls, j'ai envie de dire qu'on est quand même pas loin de la carence éducative. Un enfant qui parle constamment de sexe? Un enfant qui d'après toi présente des troubles autistiques et qui ne semble pas être pris en charge? Et surtout, la mère qui va toujours dans le sens de son fils et avec qui une collaboration semble donc difficile?
Enfin je ne suis pas dans le primaire, donc je ne peux pas dire, mais il y a des signes qui me font sérieusement tiquer dans ce que raconte Laura.
Enfin je ne suis pas dans le primaire, donc je ne peux pas dire, mais il y a des signes qui me font sérieusement tiquer dans ce que raconte Laura.
- Laura IngallsNiveau 6
BritLéty a écrit:D'après ce que dit Laura Ingalls, j'ai envie de dire qu'on est quand même pas loin de la carence éducative. Un enfant qui parle constamment de sexe? Un enfant qui d'après toi présente des troubles autistiques et qui ne semble pas être pris en charge? Et surtout, la mère qui va toujours dans le sens de son fils et avec qui une collaboration semble donc difficile?
Enfin je ne suis pas dans le primaire, donc je ne peux pas dire, mais il y a des signes qui me font sérieusement tiquer dans ce que raconte Laura.
Je suis entièrement d'accord avec toi en théorie, mais en pratique c'est loin d'être suffisant pour ouvrir ce genre de dossier.
Les parents ont accepté qu'il soit vu par la psy scolaire.
Hélas, la psy ne peut pas faire grand chose, à part conseiller aux parents un suivi extérieur.
Pour les troubles, j'en parle car j'ai été dans le spécialisé longtemps et il me fait penser à d'autres élèves avec qui j'ai bossé, mais je ne suis pas médecin, ma parole n'a pas de valeur.
Pour les histoires de sexe, il n'est pas le seul ce ne sont pas quelques phrases dans une cour de récré qui aboutissent à un signalement (même si je trouve ces phrases inquiétantes).
Bon je ne peux pas trop m'étendre sur le sujet, on est sur un forum public, mais cet exemple montre clairement les limites de ce que l'on peut faire... et supporter !
- User5899Demi-dieu
Volubilys a écrit:Ahlala, l'éducation donnée par les parents...Olympias a écrit:Article mal écrit, mal informé. On a de plus en plus de jeunes enfants qui ignorent ce que sont la politesse, la frustration parce que chez eux, on leur permet tout. Certains parents ne mettent pas de limites et ça explose dès la petite section quand l'enfant est confronté au mot NON.
Rapporté par une collègue :
Mère (vindicative) : Hier vous avez puni mon fils! Pourquoi?
Collègue : Euh, je ne vois pas, je ne ma souviens pas avoir puni votre fils.
Mère : Si, vous l'avez puni, vous lui avez dit "non".
Vécu perso, vers janvier, PS :
Mère (furieuse) : Vous ne lui avez pas appris à se moucher?!
Vécu perso, MS, vers mai, à l'accueil du matin :
Père (furieux, levant la main) : Vous n'avez pas à exiger que ma fille dise bonjour. Elle n'a pas envie.
Vécu perso, MS, avril, à 9h20, après le début de la classe.
Mère (furieuse, 20 min de retard, qui a forcé l'entrée de la classe, et s'est plantée au beau milieu du regroupement avec les élèves) : Vous n'avez pas à fermer la porte ni a commencé la classe tant que mon fils n'est pas arrivé! Vous vous rendez compte que ça le traumatise d'arriver et de voir tout le monde déjà assis et qu'il n'a pas le temps de jouer!
vécu perso, MS, 2 septembre, à l'accueil:
Mère (hurlant devant tous les parents d'élève présents) : Vous maltraitez les enfants, ma fille n'a pas envie de faire de dessin, C'est cruel de le lui demander!
Et je suppose que vous n'avez aucune assistance psychiatrique pour ces fous à lier ?
- CeladonDemi-dieu
Euh... il montre clairement les limites de ce qu'on peut faire (elles sont vite atteintes) mais pas de ce qu'on peut supporter car là il ne semble pas y en avoir.Laura Ingalls a écrit:BritLéty a écrit:D'après ce que dit Laura Ingalls, j'ai envie de dire qu'on est quand même pas loin de la carence éducative. Un enfant qui parle constamment de sexe? Un enfant qui d'après toi présente des troubles autistiques et qui ne semble pas être pris en charge? Et surtout, la mère qui va toujours dans le sens de son fils et avec qui une collaboration semble donc difficile?
Enfin je ne suis pas dans le primaire, donc je ne peux pas dire, mais il y a des signes qui me font sérieusement tiquer dans ce que raconte Laura.
Je suis entièrement d'accord avec toi en théorie, mais en pratique c'est loin d'être suffisant pour ouvrir ce genre de dossier.
Les parents ont accepté qu'il soit vu par la psy scolaire (leur ancienne école leur reprochait -entre autres - de n'avoir jamais fait de démarches en ce sens, du coup ils font ce qu'il faut pour être, d'une certaine manière irréprochable.)
Hélas, la psy ne peut pas faire grand chose, à part conseiller aux parents un suivi extérieur.
Pour les troubles, j'en parle car j'ai été dans le spécialisé longtemps et il me fait penser à d'autres élèves avec qui j'ai bossé, mais je ne suis pas médecin, ma parole n'a pas de valeur.
Pour les histoires de sexe, il n'est pas le seul ce ne sont pas quelques phrases dans une cour de récré qui aboutissent à un signalement (même si je trouve ces phrases inquiétantes).
Bon je ne peux pas trop m'étendre sur le sujet, on est sur un forum public, mais cet exemple montre clairement les limites de ce que l'on peut faire... et supporter !
- User5899Demi-dieu
Oui, voilà : pourquoi accepter ? Je me rappelle, lors de ma première année de titulaire, sur le poste où je suis encore donc, avoir viré deux parents lors de ma première réunion parents-profs. Pour l'une, avant même qu'elle se soit assise (elle récriminait déjà parce que j'exige que les élèves aient un livre pour suivre). je les ai virés. Fermement. Et s'ils n'étaient pas sortis, je serais parti moi-même. Il ne faut pas accepter, nous ne sommes pas des paillassons. Et je parle sous le contrôle de mon PE de mari, qui opine du chef. Maior e longinquo reuerentia, "le respect croît avec la distance" : les ministres successifs ont été des clientélistes fous d'avoir permis l'accès aux classes. Un bon point pour l'état d'urgence : ouste !Jul a écrit:C'est purement révoltant! On commence à s'habituer à cela, à tolérer l'intolérable.Olympias a écrit:Sœur institutrice qui me raconte que des parents ne cessent de faire des histoires pour tout et n'importe quoi et ont une façon de s'adresser aux instituteurs et PE....
- User5899Demi-dieu
Et quelle sanction ?Volubilys a écrit:Si tu réagis mal, (bref, si tu te rebiffes), le parent contactera l'IEN, et tu seras sanctionné.
- CeladonDemi-dieu
Ouste, mais rémunéré.
- OlympiasProphète
C'est bien la preuve que les fusibles (élèves) disjonctent parce que le tableau général (parents ) est cassé !Cripure a écrit:Volubilys a écrit:Ahlala, l'éducation donnée par les parents...Olympias a écrit:Article mal écrit, mal informé. On a de plus en plus de jeunes enfants qui ignorent ce que sont la politesse, la frustration parce que chez eux, on leur permet tout. Certains parents ne mettent pas de limites et ça explose dès la petite section quand l'enfant est confronté au mot NON.
Rapporté par une collègue :
Mère (vindicative) : Hier vous avez puni mon fils! Pourquoi?
Collègue : Euh, je ne vois pas, je ne ma souviens pas avoir puni votre fils.
Mère : Si, vous l'avez puni, vous lui avez dit "non".
Vécu perso, vers janvier, PS :
Mère (furieuse) : Vous ne lui avez pas appris à se moucher?!
Vécu perso, MS, vers mai, à l'accueil du matin :
Père (furieux, levant la main) : Vous n'avez pas à exiger que ma fille dise bonjour. Elle n'a pas envie.
Vécu perso, MS, avril, à 9h20, après le début de la classe.
Mère (furieuse, 20 min de retard, qui a forcé l'entrée de la classe, et s'est plantée au beau milieu du regroupement avec les élèves) : Vous n'avez pas à fermer la porte ni a commencé la classe tant que mon fils n'est pas arrivé! Vous vous rendez compte que ça le traumatise d'arriver et de voir tout le monde déjà assis et qu'il n'a pas le temps de jouer!
vécu perso, MS, 2 septembre, à l'accueil:
Mère (hurlant devant tous les parents d'élève présents) : Vous maltraitez les enfants, ma fille n'a pas envie de faire de dessin, C'est cruel de le lui demander!
Et je suppose que vous n'avez aucune assistance psychiatrique pour ces fous à lier ?
- VolubilysGrand sage
visite/surveillance de CPC, convocation à l'inspection, harcèlement, retrait de la classe, blame...Cripure a écrit:Et quelle sanction ?Volubilys a écrit:Si tu réagis mal, (bref, si tu te rebiffes), le parent contactera l'IEN, et tu seras sanctionné.
_________________
Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- VolubilysGrand sage
On n'a pas vraiment le choix.Jul a écrit:
Je te souhaite donc de n'avoir que des GS alors!
Je n'ai passé que deux ans en CM2 et j'ai passé quasiment tous le reste de ma carrière en maternelle. Cette année j'ai une classe TPS-PS-MS-GS. Les parents chiants n'hésitent pas à entrer et à aller t'enquiquiner dans ta classe.ycombe a écrit:
Tu es en maternelle maintenant ? Au primaire, les parents restent au portail si j'en crois mon expérience.
certaine de ces anecdotes date de cette année.gelsomina31 a écrit:
J'aurais aimé lire tout ça il y a deux ans... avec mes yeux et mon cerveau d'aujourd'hui. Cela m'aurait évité bien des déboires l'an dernier...
Finalement, ces exemples très réels et effrayants me rassurent. Je n'étais pas folle ou trop fragile l'an dernier.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- User5899Demi-dieu
Jé en a bien eu un qui a rapporté en classe un des sex toys du coupleCeladon a écrit:Vraiment ? Tu ne trouves pas préoccupant qu'un enfant UNIQUE de trois ans parle de sexe ? Les parents regardent des video devant lui ou bien ?Laura Ingalls a écrit:Le problème dans mon cas c'est que ça ne rentre pas dans le cadre d'une information préoccupante. On ne va pas signaler un enfant au procureur juste parce qu'il est extrêmement pénible, et même parce qu'il parle de sexe. Il n'y a pas de carences éducatives (il est nourri, logé soigné, aimé...).
Ben ils ont fait un signalement; quand même...
Volubilys, beaucoup de ces sanctions me semblent très supportables en face du fait de devoir se laisser insulter. Et toute sanction doit être soumise au principe du contradictoire, à peine d'être déférée au TA.
- VolubilysGrand sage
Ok, je te souhaite, à toi et/ou à ton mari, d'être cible de la vengeance d'un inspecteur, tu comprendras en quoi ce que tu viens d'écrire est insultant...Cripure a écrit:Jé en a bien eu un qui a rapporté en classe un des sex toys du coupleCeladon a écrit:Vraiment ? Tu ne trouves pas préoccupant qu'un enfant UNIQUE de trois ans parle de sexe ? Les parents regardent des video devant lui ou bien ?Laura Ingalls a écrit:Le problème dans mon cas c'est que ça ne rentre pas dans le cadre d'une information préoccupante. On ne va pas signaler un enfant au procureur juste parce qu'il est extrêmement pénible, et même parce qu'il parle de sexe. Il n'y a pas de carences éducatives (il est nourri, logé soigné, aimé...).
Ben ils ont fait un signalement; quand même...
Volubilys, beaucoup de ces sanctions me semblent très supportables en face du fait de devoir se laisser insulter. Et toute sanction doit être soumise au principe du contradictoire, à peine d'être déférée au TA.
Sur ce j'arrête de répondre, visiblement, les profs du secondaires savent mieux que moi comment ça se passe en maternelle.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- User5899Demi-dieu
Ah ça y est, je suis insultant. Bon, ben bonjour chez vous et n'oubliez pas vos cachets.Volubilys a écrit:Ok, je te souhaite, à toi et/ou à ton mari, d'être cible de la vengeance d'un inspecteur, tu comprendras en quoi ce que tu viens d'écrire est insultant...Cripure a écrit:Jé en a bien eu un qui a rapporté en classe un des sex toys du coupleCeladon a écrit:Vraiment ? Tu ne trouves pas préoccupant qu'un enfant UNIQUE de trois ans parle de sexe ? Les parents regardent des video devant lui ou bien ?Laura Ingalls a écrit:Le problème dans mon cas c'est que ça ne rentre pas dans le cadre d'une information préoccupante. On ne va pas signaler un enfant au procureur juste parce qu'il est extrêmement pénible, et même parce qu'il parle de sexe. Il n'y a pas de carences éducatives (il est nourri, logé soigné, aimé...).
Ben ils ont fait un signalement; quand même...
Volubilys, beaucoup de ces sanctions me semblent très supportables en face du fait de devoir se laisser insulter. Et toute sanction doit être soumise au principe du contradictoire, à peine d'être déférée au TA.
- RoninMonarque
Il est vrai que chez nous les inspecteurs sont de vrais harceleurs. Il suffit de voir l'affaire Risso.
_________________
- CeladonDemi-dieu
Pour avoir suivi les difficultés rencontrées par Volubilys dans l'exercice de ses fonctions réprimées par un IEN, j'avoue que c'est terrifiant et que les collègues du secondaire peuvent difficilement imaginer l'acharnement quotidien auquel peut être soumis le PE sans compter la "solidarité" sans faille de ses collègues sur laquelle il peut compter.
- palomitaNeoprof expérimenté
Je pense qu'au primaire, la hiérarchie peut vraiment faire vivre un enfer aux PE ; le poids des parents y est pour beaucoup .Et puis, au secondaire, on se partage à plusieurs les cas pénibles, on ne les a que quelques heures par semaine . Cela change la donne.
_________________
"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- OsmieSage
Ronin a écrit:Il est vrai que chez nous les inspecteurs sont de vrais harceleurs. Il suffit de voir l'affaire Risso.
Je connais du primaire ce que m'en disent les PE de mon secteur, secteur où sévit un IEN plutôt gratiné, qui leur interdit notamment l'usage du dictionnaire car l'objet en question briderait l'imagination des enfants... Comme les PE ne sont pas cons, ils passent outre, mais tout de même, voilà ce qu'ils entendent. J'ai croisé un jour cet IEN en faisant des courses, et il se faisait traiter comme un chien par son fiston de 4 ou 5 ans.
- OlympiasProphète
Ça c'est indéniable. Avoir un pénible toutes les heures de classe de la semaine...plus des parents archi-pénibles ou qui ne font rien pour atténuer les défauts de leur enfant....plus des conseillers péda et/ou des IEN qui croient tout savoir (mais n'enseignent plus )...palomita a écrit:Je pense qu'au primaire, la hiérarchie peut vraiment faire vivre un enfer aux PE ; le poids des parents y est pour beaucoup .Et puis, au secondaire, on se partage à plusieurs les cas pénibles, on ne les a que quelques heures par semaine . Cela change la donne.
A propos, les parents ont-ils le droit d'entrer comme ils veulent dans les salles de classe ???
- OsmieSage
Olympias a écrit:Ça c'est indéniable. Avoir un pénible toutes les heures de classe de la semaine...plus des parents archi-pénibles ou qui ne font rien pour atténuer les défauts de leur enfant....plus des conseillers péda et/ou des IEN qui croient tout savoir (mais n'enseignent plus )...palomita a écrit:Je pense qu'au primaire, la hiérarchie peut vraiment faire vivre un enfer aux PE ; le poids des parents y est pour beaucoup .Et puis, au secondaire, on se partage à plusieurs les cas pénibles, on ne les a que quelques heures par semaine . Cela change la donne.
A propos, les parents ont-ils le droit d'entrer comme ils veulent dans les salles de classe ???
Je le crois aussi ; des micro-tyrans sévissent ici et là.
- OlympiasProphète
L'affaire rebondit dans le Parisien ICI. Mais on n'en apprend guère plus.
- CathEnchanteur
Euh tu es sûre du lien ?
- VolubilysGrand sage
Vi, j'avais dit que je partais... promis je m'en vais.
En théorie, les parents n'ont pas le droit d'entrer dans les classes quand bon leur semble, mais ça les parents chiants s'en foutent, si la porte n'est pas fermé à clé, ils entreront.
Les IEN sont d'ancien prof du secondaire n"ayant souvent jamais enseigné dans le primaire et encore moins en maternelle, Bref, les IEN sont des gens comme Cripure.Olympias a écrit:Ça c'est indéniable. Avoir un pénible toutes les heures de classe de la semaine...plus des parents archi-pénibles ou qui ne font rien pour atténuer les défauts de leur enfant....plus des conseillers péda et/ou des IEN qui croient tout savoir (mais n'enseignent plus )...palomita a écrit:Je pense qu'au primaire, la hiérarchie peut vraiment faire vivre un enfer aux PE ; le poids des parents y est pour beaucoup .Et puis, au secondaire, on se partage à plusieurs les cas pénibles, on ne les a que quelques heures par semaine . Cela change la donne.
A propos, les parents ont-ils le droit d'entrer comme ils veulent dans les salles de classe ???
En théorie, les parents n'ont pas le droit d'entrer dans les classes quand bon leur semble, mais ça les parents chiants s'en foutent, si la porte n'est pas fermé à clé, ils entreront.
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- OsmieSage
Volubilys a écrit:Vi, j'avais dit que je partais... promis je m'en vais.Les IEN sont d'ancien prof du secondaire n"ayant souvent jamais enseigné dans le primaire et encore moins en maternelle, Bref, les IEN sont des gens comme Cripure.Olympias a écrit:Ça c'est indéniable. Avoir un pénible toutes les heures de classe de la semaine...plus des parents archi-pénibles ou qui ne font rien pour atténuer les défauts de leur enfant....plus des conseillers péda et/ou des IEN qui croient tout savoir (mais n'enseignent plus )...palomita a écrit:Je pense qu'au primaire, la hiérarchie peut vraiment faire vivre un enfer aux PE ; le poids des parents y est pour beaucoup .Et puis, au secondaire, on se partage à plusieurs les cas pénibles, on ne les a que quelques heures par semaine . Cela change la donne.
A propos, les parents ont-ils le droit d'entrer comme ils veulent dans les salles de classe ???
En théorie, les parents n'ont pas le droit d'entrer dans les classes quand bon leur semble, mais ça les parents chiants s'en foutent, si la porte n'est pas fermé à clé, ils entreront.
Ah bon ? Ce ne sont pas d'anciens PE ?
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