Une collègue convoquée par un rectorat pour ses activités sur twitter?

Rendash a écrit:En tout cas elle occupe une place importante dans votre esprit, sinon dans votre cœur

Je ne comprends même pas les gens qui veulent encore "communiquer" avec ce genre de personne, ça ne vaut pas la peine de se fatiguer et nerveusement c'est pas bon, ça amène à des débordements sous le coup de la colère, comme ces tweets insultants.

Il vaut mieux lutter contre ceux qui tirent les ficelles.
Tiens justement, j'ai eu une pensée pour Tang il y a 1h quand j'ai mis la tite enveloppe dans la grande boîte

[modéré]

[Merci aux modérateurs pour m'avoir autorisé ce droit de réponse]

Juste une petite précision, histoire que vous n'entendiez pas qu'un seul son de cloche.
J'ai publié le tweet de MB (en masquant le nom de la personne qu'elle insultait) parce que beaucoup de personnes s'émeuvaient à la suite de l'annonce qu'elle venait de faire de sa convocation au rectorat.
L'avis général était que cette convocation était liée à son opposition à la réforme du collège, et que c'était honteux mais pas étonnant de la part du ministère.... avec de nombreuses allusions à la France de Vichy, ou autres état dictatoriaux.
J'ai donc tenu à expliquer à ces personnes ce que je pensais être la véritable raison de cette convocation. Il m'a semblé que c’était important, pour que tous ceux qui lui apportaient leur soutien le fasse en connaissance de cause.

On m'a par la suite, à de nombreuses reprises, accusée d'être responsable de cette convocation, que j'aurais dénoncée cette collègue auprès du rectorat. L'argument était que j'avais en ma possession une copie d'écran de son tweet alors qu'elle l'avait supprimé.
Effectivement, j'ai une copie de ce tweet sur mon disque dur. Parce que je suis le hashtag #College2016 sur lequel elle publie (publiait ?) régulièrement (avec la mention des comptes de la ministre, de la Dgesco ou du SNES) et qu'elle a mis 24 heures à effacer sa bourde. Je l'avais copié et montré à des collègues en privé parce que je n'avais pas envie de lui faire de la publicité, ni de véhiculer ses insultes mais que son comportement m'avait choqué.
Elle n'a donc pas eu besoin d'une dénonciation pour se faire repérer. Que croyez vous ? Notre institution n'est pas tombée de la dernière pluie et lit tous les tweets avec cette balise et est abonnée à tous les comptes syndicaux.

Quant à tous ceux qui voudraient m'adresser des messages d'insulte, je vous en prie, ne vous gênez pas, mon adresse mail est très facilement trouvable sur internet.