- InvitéInvité
Cripure a écrit:
Moi, ça m'allait très bien, l'HG à la Alain Decaux, figurez-vous. Je n'ai connu que ça et je ne m'en suis jamais plaint. Mais, par curiosité, j'aimerais savoir ce qu'il y a d'autre en magasin, mes collègues d'HG (qui sont mes meilleurs amis) ne pratiquant que le récit dans leurs classes.
Vous êtes donc si vieux Cripure ?
- User5899Demi-dieu
Oui, bon, excusez-moi, mais votre beauf, je vous zorcharterai bien ce que je lui dis... Il s'est déjà pris un verre de vin dans la figure pour Noël ?Albert Jarl a écrit:Je regardais un doc sur la pédagogie inversée l'autre jour dans le JT de pujadas avec mon beauf. Et là il m'a sorti un vrai truc de beauf : " déjà que vous êtes tout le temps en vacances, si en plus vous voulez plus rien foutre pendant vos heures de cours...". Le problème c'est que j'ai peine à lui donner tort
- User5899Demi-dieu
J'ai connu la TV en noir et blanc, oui, les postes couleur étaient trop chers pour mes parents.Tamerlan a écrit:Cripure a écrit:
Moi, ça m'allait très bien, l'HG à la Alain Decaux, figurez-vous. Je n'ai connu que ça et je ne m'en suis jamais plaint. Mais, par curiosité, j'aimerais savoir ce qu'il y a d'autre en magasin, mes collègues d'HG (qui sont mes meilleurs amis) ne pratiquant que le récit dans leurs classes.
Vous êtes donc si vieux Cripure ?
Et les profs faisaient cours ainsi. En terminale A, à raison de 4h/sem, je crois que le prof, sur l'année entière, a dû ne pas parler pendant peut-être 40 minutes...
- AndmaExpert spécialisé
J'ai eu un prof d'histoire géographie dans mes années lycée qui me faisait même aimer le chapitre "agriculture au japon".
Il était soit assis à son bureau sur l'estrade, soit debout, de plus physiquement c'était une bombe, il était beau, très beau, très instruit, et on n’entendait même pas la mouche voler tellement nous étions pendus à ses lèvres.
La grande classe, pas besoin d'inverser, il nous renversait.
Il était soit assis à son bureau sur l'estrade, soit debout, de plus physiquement c'était une bombe, il était beau, très beau, très instruit, et on n’entendait même pas la mouche voler tellement nous étions pendus à ses lèvres.
La grande classe, pas besoin d'inverser, il nous renversait.
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Nelson Mandela : « en faisant scintiller notre lumière nous offrons la possibilité aux autres d'en faire autant »
- BoubouleDoyen
Tamerlan a écrit:Albert Jarl a écrit:Je regardais un doc sur la pédagogie inversée l'autre jour dans le JT de pujadas avec mon beauf. Et là il m'a sorti un vrai truc de beauf : " déjà que vous êtes tout le temps en vacances, si en plus vous voulez plus rien foutre pendant vos heures de cours...". Le problème c'est que j'ai peine à lui donner tort Dans tous les cas de figure, la promotion de ce genre de pédagogie sera dévastatrice pour notre image auprès du grand public. Les gens ne sont pas aussi couillons qu'ils en ont l'air.
La réponse est déjà dans la phrase du beauf. Pour lui nous sommes des branleurs et de toute manière nous le resterons quoi que nous fassions. Si un jour tu parviens à le convaincre que tu bosses en dehors de tes heures de cours dis-le nous... Pour le reste pendant le reportage il faisait quoi le prof en présentiel, rien?
J'avoue que parfois quand je n'ai rien envie de faire en TP, j'applique à fond une pédagogie couverte par l'IPR : "laissez-les se débrouiller seuls et faire preuve d'initiatives". Je choisis donc un truc pas trop dangereux, où la casse sera sinon limitée, pas trop coûteuse et j'observe, en me contentant de quelques : "bosse", "réfléchis". C'est souvent à la fois drôle et déprimant.
- DesolationRowEmpereur
Mila Saint Anne a écrit:Rom1ratm a écrit:L'utiliser de temps en temps, pourquoi pas.
Mais constamment, je me sentirai déposséder de mon rôle central, celui pour lequel j'aime être devant mes classes...Mila Saint Anne a écrit:C'est là que notre vision du métier diverge. Je ne suis pas dans ma classe pour être "devant" les élèves mais pour les faire progresser...
J'ai écris trop vite, désolée, mais je devais partir de chez moi.
Ce que je voulais dire, c'est que j'en ai assez d'être "devant les élèves", je préfère être "à côté".
Je ne peux rien apprendre aux élèves. Apprendre c'est quelque chose de personnel, mais on le fait avec les autres. Je suis là pour créer une situation pédagogique (et plus elles sont variées, mieux c'est) qui leur permette, à eux, d'apprendre. Ce n'est pas parce que je leur déverserai mon savoir dans un beau cours bien ficelé qu'ils apprendront mieux et ça j'en suis intimement persuadée.
Je ne juge pas les collègues qui font différemment. Chacun fait bien ce qu'il veut et je ne doute pas que nous ayons tous le même but.
Mais au bout de trente ans de carrière, j'avoue que le fait de faire "le spectacle" pendant plus de 20h par semaine ne m'intéresse plus. De temps en temps, je fais des récits d'histoire ou de géographie, quand je pense que ça peut leur être utile. La clé c'est la variété pour entretenir la motivation.
Vous voyez qu'on peut tomber d'accord.
- DesolationRowEmpereur
Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
- OlympiasProphète
J'ai encore mes cahiers du lycée : que du cours entièrement dicté. Et quelques documents uniquement en terminale. C'est sûr que cela n'a plus rien à voir avec les cours actuels. Nous devions savoir faire la dissert à la fin de la seconde...avec des sujets qu'on donnerait en prépa aujourd'hui.
- InvitéInvité
Cripure a écrit:
J'ai connu la TV en noir et blanc, oui, les postes couleur étaient trop chers pour mes parents.
Et les profs faisaient cours ainsi. En terminale A, à raison de 4h/sem, je crois que le prof, sur l'année entière, a dû ne pas parler pendant peut-être 40 minutes...
Sans aller jusque là en terminale avec la nécessité de nourrir les compositions ça reste souvent très magistral.
Pour le noir et blanc j'ai encore aussi des souvenirs à Menpenti, avec celui très clair de la mire de l'ORTF. Et le générique de l'Eurovision. Bon sang je vais aller me saouler ou me noyer dans mon smartphone en regardant You Tube !
- ElyasEsprit sacré
DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Tu estimes avoir bien digéré Platon et Augustin
- kamasolouHabitué du forum
Bouboule a écrit:
J'avoue que parfois quand je n'ai rien envie de faire en TP, j'applique à fond une pédagogie couverte par l'IPR : "laissez-les se débrouiller seuls et faire preuve d'initiatives". Je choisis donc un truc pas trop dangereux, où la casse sera sinon limitée, pas trop coûteuse et j'observe, en me contentant de quelques : "bosse", "réfléchis". C'est souvent à la fois drôle et déprimant.
Tout pareil. C'est beau la démarche d'investigation :aaf:
- DesolationRowEmpereur
Elyas a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Tu estimes avoir bien digéré Platon et Augustin
Platon, je suis sûr que non
Mais cela ne m'empêche pas de voir que d'autres l'ont mal compris, visiblement.
Edit : par ailleurs, je fais le malin, mais je ne sais visiblement pas accorder un verbe avec son sujet.
- DesolationRowEmpereur
Quant à Augustin opera omnia, certes non. Mais le de magistro, à peu près, oui.
- ElyasEsprit sacré
DesolationRow a écrit:Elyas a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Tu estimes avoir bien digéré Platon et Augustin
Platon, je suis sûr que non
Mais cela ne m'empêche pas de voir que d'autres l'ont mal compris, visiblement.
Euh... tu as donc laissé des morceaux de Platon Mais quelle horreur ! Tu as des pratiques alimentaires absolument détestables
- Mila Saint AnneNiveau 9
DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Parce qu'apprendre c'est un processus personnel. Je peux offrir les conditions de l'apprentissage, je peux enseigner, mais personne ne peut apprendre quelque chose à quelqu'un d'autre. C'est au pire un abus de langage que de le dire.
(décidément, Larousse est mon ami ce soir)
"Acquérir par l'étude, par la pratique, par l'expérience une connaissance, un savoir-faire, quelque chose d'utile"
- DesolationRowEmpereur
Elyas a écrit:DesolationRow a écrit:Elyas a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Tu estimes avoir bien digéré Platon et Augustin
Platon, je suis sûr que non
Mais cela ne m'empêche pas de voir que d'autres l'ont mal compris, visiblement.
Euh... tu as donc laissé des morceaux de Platon Mais quelle horreur ! Tu as des pratiques alimentaires absolument détestables
Des tas de petits morceaux, mais c'est parce que mon grec ancien n'est plus ce qu'il était
- InvitéInvité
DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Avez-vous bien lu le message de Mila ? C'est un autre facteur d'incompréhension. On est aussi dans un emploi différent des mots :
- vous employez "apprendre" dans le sens de "j'apprends quelque chose à quelqu'un" c'est à dire je montre ou je dit quelque chose dans l'espoir que la personne s'en imprègne.
- Mila utilise le mot apprendre du côté de la personne qui est en apprentissage. Et pour elle, l'élève, le fait d'apprendre c'est à dire d'intégrer des savoirs est effectivement une construction personnelle. Elle retient ce qu'elle peut, ce qu'elle veut, dans le cadre d'une construction qui est personnelle.
Les deux usages du mot sont légitimes. Mais ici leur utilisation simultanée n'est pas terrible pour rapprocher les points de vue.
- DesolationRowEmpereur
Mila Saint Anne a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Parce qu'apprendre c'est un processus personnel. Je peux offrir les conditions de l'apprentissage, je peux enseigner, mais personne ne peut apprendre quelque chose à quelqu'un d'autre. C'est au pire un abus de langage que de le dire.
(décidément, Larousse est mon ami ce soir)
"Acquérir par l'étude, par la pratique, par l'expérience une connaissance, un savoir-faire, quelque chose d'utile"
Il n'aura pas échappé à votre sagacité lexicale qu'on peut également, toujours selon Larousse, "apprendre qqch à qqun". C'est au pire un abus de langage que de prétendre le contraire.
Si la réforme du collège ne sonnait pas le glas du latin, vous trouveriez cependant un argument autrement plus convaincant dans cette langue élitiste, ségrégative et dépassée.
- InvitéInvité
kamasolou a écrit:Bouboule a écrit:
J'avoue que parfois quand je n'ai rien envie de faire en TP, j'applique à fond une pédagogie couverte par l'IPR : "laissez-les se débrouiller seuls et faire preuve d'initiatives". Je choisis donc un truc pas trop dangereux, où la casse sera sinon limitée, pas trop coûteuse et j'observe, en me contentant de quelques : "bosse", "réfléchis". C'est souvent à la fois drôle et déprimant.
Tout pareil. C'est beau la démarche d'investigation :aaf:
Je ne suis pas sûr que dans l'esprit de l'IPR cela devait être tout à fait cela
- DesolationRowEmpereur
Tamerlan a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Avez-vous bien lu le message de Mila ? C'est un autre facteur d'incompréhension. On est aussi dans un emploi différent des mots :
- vous employez "apprendre" dans le sens de "j'apprends quelque chose à quelqu'un" c'est à dire je montre ou je dit quelque chose dans l'espoir que la personne s'en imprègne.
- Mila utilise le mot apprendre du côté de la personne qui est en apprentissage. Et pour elle, l'élève, le fait d'apprendre c'est à dire d'intégrer des savoirs est effectivement une construction personnelle. Elle retient ce qu'elle peut, ce qu'elle veut, dans le cadre d'une construction qui est personnelle.
Les deux usages du mot sont légitimes. Mais ici leur utilisation simultanée n'est pas terrible pour rapprocher les points de vue.
Ben c'est à dire que Mila a écrit : "Je ne peux rien apprendre aux élèves". Je commente la phrase ainsi formulée. Je ne vois pas trop en quoi je joue de la confusion :gratte:
- Mila Saint AnneNiveau 9
DesolationRow a écrit:Mila Saint Anne a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Parce qu'apprendre c'est un processus personnel. Je peux offrir les conditions de l'apprentissage, je peux enseigner, mais personne ne peut apprendre quelque chose à quelqu'un d'autre. C'est au pire un abus de langage que de le dire.
(décidément, Larousse est mon ami ce soir)
"Acquérir par l'étude, par la pratique, par l'expérience une connaissance, un savoir-faire, quelque chose d'utile"
Il n'aura pas échappé à votre sagacité lexicale qu'on peut également, toujours selon Larousse, "apprendre qqch à qqun". C'est au pire un abus de langage que de prétendre le contraire.
Si la réforme du collège ne sonnait pas le glas du latin, vous trouveriez cependant un argument autrement plus convaincant dans cette langue élitiste, ségrégative et dépassée.
Désolée, mais mes 15 ans de latin et ma préparation de l'agreg de grammaire ont plus de 25 ans. Je pratique rarement au quotidien.
- DesolationRowEmpereur
Avec quinze ans de latin et l'agrégation de grammaire, vous devez être déjà fort compétente
- Mila Saint AnneNiveau 9
Tamerlan a écrit: (...)
Les deux usages du mot sont légitimes. Mais ici leur utilisation simultanée n'est pas terrible pour rapprocher les points de vue.
Je ne pense pas que le rapprochement des points de vue soient le but ici recherché. A mon grand regret, d'ailleurs.
- InvitéInvité
DesolationRow a écrit:Tamerlan a écrit:DesolationRow a écrit:Blague à part, je suis sidéré par le mal que la mauvaise digestion de Platon et d'Augustin ont fait à la pédagogie. Comment un enseignant dont je ne doute ni de la bonne volonté, ni du niveau disciplinaire (parce que je suis quelqu'un de naturellement aimable) peut en arriver à écrire qu'il 'ne peut rien apprendre aux élèves', cela me dépasse.
Avez-vous bien lu le message de Mila ? C'est un autre facteur d'incompréhension. On est aussi dans un emploi différent des mots :
- vous employez "apprendre" dans le sens de "j'apprends quelque chose à quelqu'un" c'est à dire je montre ou je dit quelque chose dans l'espoir que la personne s'en imprègne.
- Mila utilise le mot apprendre du côté de la personne qui est en apprentissage. Et pour elle, l'élève, le fait d'apprendre c'est à dire d'intégrer des savoirs est effectivement une construction personnelle. Elle retient ce qu'elle peut, ce qu'elle veut, dans le cadre d'une construction qui est personnelle.
Les deux usages du mot sont légitimes. Mais ici leur utilisation simultanée n'est pas terrible pour rapprocher les points de vue.
Ben c'est à dire que Mila a écrit : "Je ne peux rien apprendre aux élèves". Je commente la phrase ainsi formulée. Je ne vois pas trop en quoi je joue de la confusion :gratte:
Je ne dis pas que vous jouez, je dis que tous les deux vous vous prenez la tête sans véritable raison parce que vous ne mettez pas les mêmes choses sur les mêmes mots, c'est tout.
- ElyasEsprit sacré
Sur la classe inversée, outre l'apport technologique, on est que dans le retour d'une pédagogie traditionnelle très ancienne et très pratiquée encore outre-Atlantique.
On demande aux élèves de lire le chapitre avant l'arrivée en classe et pendant la classe, on interroge et on fait réfléchir à l'oral ou à l'écrit les élèves sur ledit chapitre.
Maintenant, on fait des capsules-vidéos. Mais on peut aussi le faire avec des textes.
Personnellement, je ne pratique pas.
On demande aux élèves de lire le chapitre avant l'arrivée en classe et pendant la classe, on interroge et on fait réfléchir à l'oral ou à l'écrit les élèves sur ledit chapitre.
Maintenant, on fait des capsules-vidéos. Mais on peut aussi le faire avec des textes.
Personnellement, je ne pratique pas.
- Mila Saint AnneNiveau 9
Elyas a écrit:Sur la classe inversée, outre l'apport technologique, on est que dans le retour d'une pédagogie traditionnelle très ancienne et très pratiquée encore outre-Atlantique.
On demande aux élèves de lire le chapitre avant l'arrivée en classe et pendant la classe, on interroge et on fait réfléchir à l'oral ou à l'écrit les élèves sur ledit chapitre.
Maintenant, on fait des capsules-vidéos. Mais on peut aussi le faire avec des textes.
Personnellement, je ne pratique pas.
Je ne crois pas, justement. Voir la conférence de Marcel Lebrun que je citais plus haut.
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