- GrypheMédiateur
Libération a écrit:
Las Cazes, fréquenté à 95% par des élèves d’origine marocaine, illustre l’échec d’une carte scolaire largement contournée.
Des élèves d’origine marocaine issus d’un même quartier qui se suivent de la maternelle à la troisième sans être confrontés à la moindre diversité : c’est pour dénoncer ce parcours «sans mélange ni ouverture» que des mères du quartier du Petit Bard, à Montpellier (Hérault), s’étaient mobilisées au printemps (lire Libération du 4 juin) . Au cœur de leur contestation : le fléchage obligatoire des CM2 de leur quartier vers le collège Las Cazes. «Là-bas, il n’y a aucune mixité, dénonçait alors Fatima, l’une de ces mères en colère. Nous, on veut le meilleur pour nos enfants. Alors, Las Cazes, tous les moyens sont bons pour l’éviter.» Et ces moyens fonctionnent : la moitié des familles dont les enfants devraient être inscrits dans ce collège n’y sont pas. Parmi ces «élèves manquants», environ un sur deux a été envoyé dans le privé.
La suite, ici : http://www.liberation.fr/france/2015/10/18/a-montpellier-comment-un-college-mixte-est-devenu-ghetto_1406800
:lecteur:
- LizdarcyFidèle du forum
C'est bien triste tout ça. Au départ, il s'agissait de faits de violence et ainsi, tout s'est dégradé.
Quant aux professeurs qui ne comptent pas leurs heures, c'est bien dommage, c'est un travail, non un sacerdoce.
Quant aux professeurs qui ne comptent pas leurs heures, c'est bien dommage, c'est un travail, non un sacerdoce.
- User5899Demi-dieu
"A l’accueil du collège, un père marocain arrivé récemment en France ne cache pas son inquiétude en inscrivant son fils : «Il pourra bien apprendre le français, ici ? Il n’y a que des Arabes…» Pour Mustapha, prof de maths, "
Quand ça veut pas...
Quand ça veut pas...
- Marie LaetitiaBon génie
Faut-il s'étonner?
Ça, en REP où beaucoup d'enfants sont nés de parents d'origine étrangère, c'est plutôt courant. Qu'ils ne sachent pas leur nationalité ou qu'ils revendiquent celle de leurs parents.
Après, je ne veux pas être bégueule, mais le bonheur d'y enseigner me semble difficilement conciliable avec un temps de présence des enseignants très important et quelques problèmes avec la laïcité. Si les enseignants restent, ce n'est pas forcément pour animer des ateliers théâtres, c'est aussi pour le suivi des élèves en difficulté (extra-scolaire) et la gestion des incidents de la journée...
Mais bon... la réforme va régler tous ces problèmes, hour-ra.
Pire : «Beaucoup d’enfants de sixième et de cinquième ne savent tout simplement pas s’ils sont français»
Ça, en REP où beaucoup d'enfants sont nés de parents d'origine étrangère, c'est plutôt courant. Qu'ils ne sachent pas leur nationalité ou qu'ils revendiquent celle de leurs parents.
Après, je ne veux pas être bégueule, mais le bonheur d'y enseigner me semble difficilement conciliable avec un temps de présence des enseignants très important et quelques problèmes avec la laïcité. Si les enseignants restent, ce n'est pas forcément pour animer des ateliers théâtres, c'est aussi pour le suivi des élèves en difficulté (extra-scolaire) et la gestion des incidents de la journée...
Mais bon... la réforme va régler tous ces problèmes, hour-ra.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Ce collège est tout bonnement le reflet du secteur qu'il concerne. Si le secteur n'est pas "mixte" (je hais ce mot employé ainsi), forcément le collège ne le sera pas. Et le secteur est ainsi pour des raisons que la carte scolaire ne changera pas, loin de là.
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Je ne dirai qu'une chose : stulo plyme.
- OudemiaBon génie
J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
- IphigénieProphète
Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré, ça me pose un sérieux problème de logique. Mais est-on dans la logique, ou soutient-on un affectif qui a pour résultat le contraire de ce qu'il prétend faire: empêcher l'intégration par ce discours omniprésent insupportable de victimisation.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
- CeladonDemi-dieu
C'est la réflexion qu'a faite mon époux. Il n'en rate pas une. Je crois qu'il attirerait les foudres de Tristana en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.Iphigénie a écrit:Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré,ça me pose un sérieux problème de logique.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
- lumeekaExpert spécialisé
Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?Celadon a écrit:C'est la réflexion qu'a faite mon époux. Il n'en rate pas une. Je crois qu'il attirerait les foudres de Tristana en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.Iphigénie a écrit:Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré,ça me pose un sérieux problème de logique.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
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- RosanetteEsprit éclairé
Eh oui, une femme qui porte le voile n'est de facto pas intégrée à la société française, c'est d'une logique absolument imparable.
- SimgajulNeoprof expérimenté
Marie Laetitia a écrit:
Ça, en REP où beaucoup d'enfants sont nés de parents d'origine étrangère, c'est plutôt courant. Qu'ils ne sachent pas leur nationalité ou qu'ils revendiquent celle de leurs parents.
Ce n'est pas qu'en REP, au moment de l'adolescence quand on cherche à se forger sa propre identité et qu'on a tendance à rejeter l'autorité, on préfère mettre en avant ce qui nous distingue de la masse... Et quand on a pas d'origines auxquelles s'accrocher on a tendance à être gothique ou encore rappeur.
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When you doubt your power, you give power to your doubt.
- OlympiasProphète
Voilà voilà ...Iphigénie a écrit:Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré, ça me pose un sérieux problème de logique. Mais est-on dans la logique, ou soutient-on un affectif qui a pour résultat le contraire de ce qu'il prétend faire: empêcher l'intégration par ce discours omniprésent insupportable de victimisation.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
- GrypheMédiateur
Excellent exemple.lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
Ceci dit, je comprends aussi les difficultés soulevées par les autres posts, c'est une question délicate...
- Fires of PompeiiGuide spirituel
Gryphe a écrit:Excellent exemple.lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
Ceci dit, je comprends aussi les difficultés soulevées par les autres posts, c'est une question délicate...
Difficile de répondre à cela; mais si je ne le faisais pas, je ne serais pas non plus étonnée de ne pas être vraiment intégrée. Je déplorerais certainement ce fait mais je n'en serais pas foncièrement étonnée.
Cependant, je suis comme Gryphe, je trouve ces questions délicates.
Pour en revenir à la ghettoisation du collège montpelliérain, elle reflète malheureusement la situation de non-mixité sociale du quartier d'où viennent ces enfants.
- BoubouleDoyen
lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?Celadon a écrit:C'est la réflexion qu'a faite mon époux. Il n'en rate pas une. Je crois qu'il attirerait les foudres de Tristana en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.Iphigénie a écrit:Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré,ça me pose un sérieux problème de logique.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
En Ecosse, je mets le kilt sans rien dessous, moi.
- PabloPEExpert
A l'étranger je me suis toujours couverte lorsque la situation l'exigeait je ne vois pas le problème. Si je vivais en Inde et que tout le monde là bas porte encore des saris (ce dont je doute un peu) alors j'en porterais. Et mon fils éviterait de commander des steacks hachés au resto.lumeeka a écrit:
Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- PabloPEExpert
Ah non alors, pas de kilt sans avoir ses propres couleursBouboule a écrit:lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?Celadon a écrit:C'est la réflexion qu'a faite mon époux. Il n'en rate pas une. Je crois qu'il attirerait les foudres de Tristana en moins de temps qu'il ne faut pour le dire.Iphigénie a écrit:
Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré,ça me pose un sérieux problème de logique.
En Ecosse, je mets le kilt sans rien dessous, moi.
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"Et moi qui
me croyais tranquille pour un bout de temps avec mon chat brun."
- Fires of PompeiiGuide spirituel
PabloPE a écrit:A l'étranger je me suis toujours couverte lorsque la situation l'exigeait je ne vois pas le problème. Si je vivais en Inde et que tout le monde là bas porte encore des saris (ce dont je doute un peu) alors j'en porterais. Et mon fils éviterait de commander des steacks hachés au resto.lumeeka a écrit:
Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
+1
- User5899Demi-dieu
Ce n'est peut-être pas logique, mais c'est un constat que je fais chaque jour, et ça se durcit. Nettement.Rosanette a écrit:Eh oui, une femme qui porte le voile n'est de facto pas intégrée à la société française, c'est d'une logique absolument imparable.
- SimgajulNeoprof expérimenté
Donc tu estimes qu'en France, la "situation" exige de se découvrir?
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- User5899Demi-dieu
Certainement pas, je pense. Mais je ne m'attendrais pas à me voir intégré puisque, de fait, je ne ferais pas ce qu'il faut pour.lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
Et je vais même vous dire que, homosexuel, si je me promène dans la rue en tenant mon mec par la main, la loi m'y autorise et me garantit la sécurité, mais je sais que je cesserai d'être intégré au sens où je le suis aujourd'hui : on ne me "calcule pas". L'intégration, c'est un mot poli pour désigner le fait de ne pas heurter les habitudes, non ?
C'est marrant. On comprend que les punks aient voulu heurter, mais pas que des femmes voilées, des hommes en jupe, des gamines en p**utes puissent heurter aussi... Bizarre. La loi ne règlera jamais ça.
- User17706Bon génie
Je dois dire, en toute sincérité, que cette réaction m'étonne vraiment beaucoup: pour y voir un problème de logique ou de cohérence, il faut quand même avoir admis un bon quintal de prémisses dont le moins qu'on puisse dire est qu'elles n'ont rien d'évident...Iphigénie a écrit:Oudémia, c'est pile ce que j'ai dit à mon mari en la voyant: une mère voilée qui s'indigne que son gamin ne soit pas intégré, ça me pose un sérieux problème de logique.Oudemia a écrit:J'ai vu à la télévision une de ces mères (je crois, mais si ce n'est pas de ce collège, l'exemple est quand même bon) : elle se désolait que les enfants restent entre eux et ne sachent pas qu'ils sont en France.
Et si elle-même commençait par s'habiller d'une façon plus traditionnelle ici que dans son pays d'origine ?
Je dirais personnellement que ce que ça choque, ce n'est pas la logique ni la cohérence, mais plus banalement, pour reprendre le mot d'Oudemia, certaines traditions (voire certaines interprétations de certaines traditions). Certes, ces interprétations donnent de plus en plus de la voix, ce constat-là est inévitable.
- RosanetteEsprit éclairé
Cripure a écrit:Certainement pas, je pense. Mais je ne m'attendrais pas à me voir intégré puisque, de fait, je ne ferais pas ce qu'il faut pour.lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
Et je vais même vous dire que, homosexuel, si je me promène dans la rue en tenant mon mec par la main, la loi m'y autorise et me garantit la sécurité, mais je sais que je cesserai d'être intégré au sens où je le suis aujourd'hui : on ne me "calcule pas". L'intégration, c'est un mot poli pour désigner le fait de ne pas heurter les habitudes, non ?
C'est marrant. On comprend que les punks aient voulu heurter, mais pas que des femmes voilées, des hommes en jupe, des gamines en p**utes puissent heurter aussi... Bizarre. La loi ne règlera jamais ça.
J'allais prendre l'exemple en France d'un papa ouvertement efféminé au sein d'un couple homo qui se plaindrait que son fils ne soit pas intégré/victime de brimades, avec des bonshommes derrière leur télé "hé bah que le père commence à se comporter normalement, ma foi on n'a rien contre les homos mais un peu de discrétion quand même".
Et je trouve révélateur que vous mélangiez des tenues avec volonté de provoquer et le voile, qui reste traditionnellement associé à une religion (même s'il n'en est pas l'unique expression), religion qui a tout à fait droit de cité (!) dans notre pays.
Que des gens se retournent sur une femme simplement voilée me paraît très étrange.
- RosanetteEsprit éclairé
Fires of Pompeii a écrit:Gryphe a écrit:Excellent exemple.lumeeka a écrit:Imaginons que nous décidions de vivre et d'installer toute notre famille en Inde. Vous porteriez toutes des saris ? Vraiment ?
Ceci dit, je comprends aussi les difficultés soulevées par les autres posts, c'est une question délicate...
Difficile de répondre à cela; mais si je ne le faisais pas, je ne serais pas non plus étonnée de ne pas être vraiment intégrée. Je déplorerais certainement ce fait mais je n'en serais pas foncièrement étonnée.
Cependant, je suis comme Gryphe, je trouve ces questions délicates.
Pour en revenir à la ghettoisation du collège montpelliérain, elle reflète malheureusement la situation de non-mixité sociale du quartier d'où viennent ces enfants.
Pardon mais justement : vous déploreriez de ne pas être intégrée pour un bout de tissu, j'ose espérer que les autres également ne trouveraient pas normal de ne pas être intégrées pour si peu.
En France l'intégration n'est pas associée à des choses si bassement traditionnelles que l'habit pour qu'on puisse se permettre de juger une femme sur un voile. Vous ne savez rien d'elle, de son travail, de la langue qu'elle parle à la maison, de qu'elle lit/regarde, des valeurs qu'elle transmet à ses enfants.
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