Votre avancée en Français : le fil pour déculpabiliser (si c'est possible)

C'est ce qui est prévu dans les nouveaux programmes ? 2 à 4 semaines ?!

Je n'espère pas... Par contre, j'y ai clairement lu le mot séquence.

Moi, comme la plupart d'entre vous, je finis mon 1er chapitre.
Nos 3e partent en stage la semaine qui vient, donc ça a raccourci la période.
J'entamerai le 2e chapitre après les vacances.

J'ai fini mes chapitres 1 pour les deux niveaux=
La lettre en GT pour les 4 e et la poésie pour les 5 e et largement entamé les séquences II ( le CID et Yvain en OI ) mais ce sont deux séquences majeures qui vont durer plus que 4 semaines (.....) avec la grammaire, la dictée, l'écriture longue ( enfin longue, n'exagérons rien).
Pour l'instant, on avance assez bien mais je suis toujours très longue dans les séances de grammaire, je dois presque tout revoir à chaque fois, j'en ai assez ( exemple= en 4 e revoir COD COI Attribut en détail car ils ne les reconnaissent pas) et je ne réussis pas à rendre cela plaisant.
Bref, je suis quasi certaine de voir tous les OE mais je vais batailler pour la prog de grammaire et l'écriture!! L'orthographe, n'en parlons pas, si mes 4 e réussissent à accorder les participes passés à la fin de l'année je sabre le champagne.

Capessou a écrit:Je n'espère pas... Par contre, j'y ai clairement lu le mot séquence.

Moi, comme la plupart d'entre vous, je finis mon 1er chapitre.
Nos 3e partent en stage la semaine qui vient, donc ça a raccourci la période.
J'entamerai le 2e chapitre après les vacances.

Le mot a disparu dans la dernière version, et ce n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat d'un combat de haute lutte pour préserver encore un semblant de liberté pédagogique. Alors soyez à la hauteur de ce combat, les collègues, et ne vous laissez pas enfumer par le premier IPR qui passe.

Bon, je viens de commencer les corrections des écrits de ré-emploi des homophones ...avec le cahier avec eux : entre ceux qui ne les utilisent pas ( consigne) et ceux qui les emploient mal, plus les fautes terribles d'orthographe, je pense que je ne finirai pas le programme : il faut que je fasse quelque chose pour ces fautes.
Dictée hebdomadaire? Journalière? Que faire?

V.Marchais a écrit:

Capessou a écrit:Je n'espère pas... Par contre, j'y ai clairement lu le mot séquence.

Moi, comme la plupart d'entre vous, je finis mon 1er chapitre.
Nos 3e partent en stage la semaine qui vient, donc ça a raccourci la période.
J'entamerai le 2e chapitre après les vacances.

Le mot a disparu dans la dernière version, et ce n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat d'un combat de haute lutte pour préserver encore un semblant de liberté pédagogique. Alors soyez à la hauteur de ce combat, les collègues, et ne vous laissez pas enfumer par le premier IPR qui passe.

Bonjour,

Je cite les programmes : «Le professeur de français veille à articuler les différentes composantes de son enseignement, en organisant les activités et les apprentissages de façon cohérente, autour d’objectifs convergents, par périodes (de deux à quatre semaines environ) et en construisant sur l’année scolaire une progression de son enseignement adaptée aux besoins de ses élèves. Ainsi, le travail mené pour développer les compétences langagières orales et écrites est effectué en lien étroit avec la découverte et l’étude de textes littéraires et d’œuvres artistiques, choisis librement par le professeur en réponse aux questionnements structurant la culture littéraire et artistique au cycle 4.»

Le mot a peut-être disparu, mais l’esprit demeure, malheureusement...

Pas d'accord.
Que nous fassions des liens entre les composantes du Français, c'est une évidence. Même avec des progressions séparées, je n'imagine pas ne pas le faire.

Il est dit à plusieurs reprises que la grammaire fait l'objet de séances spécifiques. Je fais partie de ceux qui l'ont fait écrire noir sur blanc, et qui ont passé pour cela des heures à lire, analyser, écrire, se déplacer à Paris, argumenter, batailler : je ne laisserai pas dire que ça n'y est pas.

Certaines petites lignes discrètes mais bien présentes ont un prix que vous n'imaginez pas.

Cycle 3, p. 19 : "[L'étude de la langue] doit permettre un aller-retour entre des activités intégrées à la lecture et à l'écriture et des activités décrochées plus spécifiques, dont l'objectif est de mettre en évidence les régularités et de commencer à construire le système de la langue."

Cycle 4, p. 15 : "Les exercices et entraînement d'orthographe, de grammaire et de vocabulaire, sollicitant mémorisation et réflexion, donnent lieu à des séances spécifiques".
'Pour parvenir à une vision d'ensemble du système de la langue, des séances spécifiques doivent être consacrées à la structuration des connaissances".

Il est aussi écrit : "Les notions concernant la cohérence et la cohésion des textes sont étudiées en contexte", ce qui est du bon sens, tout de même, mais sous-entend aussi que ce qui ne relève pas de la grammaire de texte n'a pas à l'être. Soit 90 % du programme.

V.Marchais a écrit:

Capessou a écrit:Je n'espère pas... Par contre, j'y ai clairement lu le mot séquence.

Moi, comme la plupart d'entre vous, je finis mon 1er chapitre.
Nos 3e partent en stage la semaine qui vient, donc ça a raccourci la période.
J'entamerai le 2e chapitre après les vacances.

Le mot a disparu dans la dernière version, et ce n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat d'un combat de haute lutte pour préserver encore un semblant de liberté pédagogique. Alors soyez à la hauteur de ce combat, les collègues, et ne vous laissez pas enfumer par le premier IPR qui passe.

Je n'ai qu'une classe de 3e en français, tout le reste c'est du latin/grec. Les pauvres sont soumis à un régime très intense, car j'ai vraiment du temps pour corriger des copies.

Voilà ce que j'ai fait en 3e :
- Chapitre 1 sur les souvenirs d'enfance (en axant sur l'autobiographie) : on a étudié 4 textes (Romain Gary, Albert Cohen, Hervé Bazin et Michel Leiris)
- Le DST a déjà été fait : je leur ai donné un extrait pas facile de Driss Chraïbi
- Pour préparer la rédac sur laquelle ils plancheront demain, j'ai fait tout un travail autour du vocabulaire du souvenir, des modalisateurs et de l'analyse critique d'un souvenir (en partant de JJ Rousseau)
- Rédac demain donc : raconter une bêtise en utilisant des modalisateurs et en adoptant un regard critique sur le souvenir
- Une lecture cursive : Le gone du Chaâba
- En grammaire, on n'avance pas... : rappel sur les classes grammaticales (contrôle fait) + fin de la leçon 2 sur le verbe (rappel rapide sur les modes, puis différence temps simples/temps composés et enfin rappel sur les différentes constructions du verbe [intransitif, transitif etc.]). Je veux à tout prix faire le contrôle avant les vacances et il ne me reste que 2H (en incluant la séance du contrôle :-\ )
- Une seule dictée et quelques réécritures en classe mais pas évaluées

Marjolie, on a presque fait la même chose.

Véro, peux-tu mettre le lien où on trouve la toute dernière version des programmes ? Je ne dois pas avoir la bonne. Désolée si ça a déjà été indiqué quelque part, je ne trouve pas.

V.Marchais a écrit:Cycle 3, p. 19 : "[L'étude de la langue] doit permettre un aller-retour entre des activités intégrées à la lecture et à l'écriture et des activités décrochées plus spécifiques, dont l'objectif est de mettre en évidence les régularités et de commencer à construire le système de la langue."

Cycle 4, p. 15 : "Les exercices et entraînement d'orthographe, de grammaire et de vocabulaire, sollicitant mémorisation et réflexion, donnent lieu à des séances spécifiques".
'Pour parvenir à une vision d'ensemble du système de la langue, des séances spécifiques doivent être consacrées à la structuration des connaissances".

Il est aussi écrit : "Les notions concernant la cohérence et la cohésion des textes sont étudiées en contexte", ce qui est du bon sens, tout de même, mais sous-entend aussi que ce qui ne relève pas de la grammaire de texte n'a pas à l'être. Soit 90 % du programme.

Oui, je suis d’accord avec tout ça. Et qu’on s’entende bien, je déteste le mot séquence, il est sans âme. J’essayais seulement de penser du point de vue d’un inspecteur. Les programmes de 2008 étaient, à mon sens, assez clairs : il s’agissait de prendre de la distance avec la séquence. Pourtant, les inspecteurs que j’ai connus ont mis la pression sur les enseignants afin qu’ils continuent à enseigner en séquences. Alors quand je vois une phrase comme celle-ci : «Ainsi, le travail mené pour développer les compétences langagières orales et écrites est effectué en lien étroit avec la découverte et l’étude de textes littéraires et d’œuvres artistiques», je ne peux m’empêcher de penser qu’ils vont s’engouffrer dans la brèche. D’ailleurs, réaffirmer qu’un chapitre doit être conclu entre deux et quatre semaines me paraît confirmer mon inquiétude. Les messages de ce fil le prouvent, il est difficile de conclure un chapitre rapidement, entre lectures analytiques, séances de langue, évaluations, corrections des évaluations, sans oublier la rédaction... Alors, qu’à cela ne tienne : que les inspecteurs, du moins je suppose, vont-ils nous dire ? Qu’il est écrit, dans les programmes officiels, la phrase citée précédemment. Donc, pour gagner du temps, faire peu de séances de langues, et aborder un point de grammaire ou de conjugaison en lecture analytique, cela fera gagner du temps et les élèves ne s’ennuieront pas. Et donc, encore une fois, élaborer une progression grammaticale étroitement liée aux textes. Je le vois gros comme une maison. De toutes façons, à chaque fois qu’un nouveau programme sort, on assiste à un «conflit» entre ce qui disent les textes d’une part et, d’autre part, l’interprétation des textes faite par les inspecteurs. Etant donné la manière dont on cherche à formater et uniformiser nos pratiques, je suis tout de même surpris que le mot séquence ait été abandonné sans contrepartie. Je suis peut-être trop pessimiste, mais pour moi, ça sent le coup fourré.

Sinon, avec mes sixièmes, je vais terminer mon premier chapitre cette semaine. Pour mes troisièmes, je le finirai après les vacances.

doukipudonktan

Les idéologues ne changeront pas, c'est sûr, mais justement, il faut savoir quoi leur répondre et sur quelles phrases s'appuyer pour défendre une liberté préservée de haute lutte.

Il est évident que ces séquences raccourcies à l'extrême sont pensées pour lutter contre l'ennui, source de tous les maux de l'école.
Donc l'idée n'est pas tant de changer de séquence à un rythme effréné que de faire croire qu'on obéit bien au dogme du zapping. ll suffira alors de donner des titres de séquence à à des sous-parties de chapitres. C'est même ce qu'avait préconisé un IPR ( sauf qu'il croyait fermement à la nécessité de donner l'illusion du changement pour combattre l'ennui des élèves).


Par exemple :

séquence 1 : le mythe arthurien et l'univers des chevaliers

Séquence 2 : le merveilleux dans les romans de chevalerie

Séquence 3 : les combats dans la littérature médiévale

Séquence 4 : l'amour courtois

Et en dépit de ce qu'annoncera un titre de séquence, rien ne nous obligera à limiter l'étude des textes à un seul axe d'analyse, ni à n'aborder une notion que lors de la séquence qui lui est officiellement consacrée.

Il faudra se contenter de jouer le jeu de l'EN : de la comm' et des effets d'annonce. Dessous, on mettra bien ce qu'on veut. Enfin, c'est bien ainsi que je compte procéder.

J'avance plutôt lentement mais avec mes 5ème, il faut bien approfondir. D'ailleurs, faire une séquence en 3 semaines me paraît impossible.

J'étudie Vendredi ou la vie sauvage et pour l'instant :
-5 extraits étudiés en classe.
-une séance d'orthographe (des homophones)
-une séance de vocabulaire (récit) et des exercices sur l’œuvre.
-une séance de conjugaison (révision) assez générale.

Beaucoup d'exercices d'écriture (on travaille en équipes pour les collègues de la matière)

Finalement, le devoir bilan va arriver cette semaine.

Avec mes 3e :
-En littérature : groupement de textes sur le théâtre contemporain (3 LA + 1 devoir type brevet + 1 sujet d'invention + 1 sujet de réflexion + atelier jeu et mise en scène + 1 DST sur le théâtre contemporain) puis étude du Dieu du carnage de Yasmina Reza (mise en voix et débat + test de lecture + sujet de réflexion + projet de mise en scène par groupes : note d'intention, lettre à un comédien et croquis de scénographie en lien avec un théâtre parisien) ; enfin, rencontre avec comédiens et metteur en scène de La cantatrice chauve vue au théâtre ;
-En grammaire : types de phrase, figures de style, participe présent/adjectif verbal, 2 dictées, 1 réécriture.
J'ai l'impression que j'ai fait trop peu de grammaire, non ?

Je commence tout juste à travailler le sujet de réflexion et n'ai pas fait beaucoup plus de grammaire que toi, alors... du coup, je ne déculpabilise pas du tout

En 3ème, je galère, grave ! 30 élèves, 23 qui dorment, 3 qui bavardent, 4 qui participent, 5 si D. se réveille... Et c'est pas un effet de style que de le dire, ce sont vraiment 4 élèves...

Du coup : Récits d'enfance :
- 3 Lectures
- 1 devoir type brevet en entrainement
- 2 dictées + correction
- une lecture de l'image pour aborder l'argumentation.

langue :
- les natures grammaticales
- Temps, modes, voix (et là... j'ai découvert qu'ils ignorent ce qu'est un mode...)
- les valeurs du présent

... l'année va être longue, si tout continue de leur glisser dessus comme ça...

Eh bien moi je culpabilise à fond quand je vois vos avancées.

Allons-y.

Avec ma 3ème:
on va terminer le chapitre sur la nouvelle à chute (contrôle à la rentrée).
Lecture: "Happy Meal", Gavalda. Rappel: notion de registre littéraire, statut du narrateur, définition de la nouvelle et de la chute. "Pauvre petit garçon!" de Buzzati, "Cauchemar en gris", Brown.
(Je prévois à la rentrée une séance - plaisir dans laquelle je voudrais leur faire écouter "les fourmis " de Vian, et leur lire "Comment servir l'homme" de Knight et "Comment Wang-Fô fut sauvé" de Yourcenar.)
- le vocabulaire évaluatif
- Les points de vue (interne, externe, omniscient).
- HiDA: "Him", Cattelan
- grammaire: les classes grammaticales
- conjugaison: imparfait, passé simple, plus-que-parfait, passé antérieur
- Deux travaux d'écriture: raconter une même scène de deux points de vue différents, décrire une scène en utilisant le vocabulaire évaluatif.
- Une dictée + un contrôle de grammaire.
- Définition du texte argumentatif et lecture de textes de Rousseau, Victor Hugo, Molière, etc. Distinction du thème, de la thèse, des arguments, des exemples. Distinction des deux procédés: comment convaincre? Comment persuader? > élaboration de micro-débats en cours pour les entraîner à trouver des arguments en faveur de telle ou telle thèse.

Je suis fatiguée, je vous livre ma progression 5e demain!

6e : Je n'ai pas fini ma séquence n°2 sur le théâtre (1re pièce de théâtre). J'en fais deux par an mais l'année prochaine je crois que ce ne sera plus possible. J'ai bien avancé en langue mais cette année c'est plus difficile car les 6e sont encore plus impolis, n'apprennent pas leurs leçons et ne font pas leurs devoirs. Ils sont pleins de défauts mais sans complexe ... Je lutte et je suis épuisé.
En 5e, je n'ai pas fini la séquence 2 sur la poésie (tant pis la suite à la rentrée).
En 4e j'ai fais deux séquences  (Poésie et lettres) bien que j'aie trois élèves perturbateurs et que la classe soit faible. Il a fallu revoir la fonction sujet et ses classes, le présent, le futur. Nous n'avons pas eu le temps de revoir le passé composé. Tant pis la suite à la rentrée.

On a à peine commencé l'année que beaucoup d'heures sautent pour un tas de truc (justice, drogue, harcèlement, sortie et j'en oublie). Et c'est pas fini j'ai reçu des emails cette semaine pour les heures qui sautent en novembre ...

En 6e j'ai fini le conte ; on a revu la conjugaison de l'imparfait, celle du passé simple ; on a travaillé sur le schéma narratif et sur la notion de champ lexical ; ils ont fait deux dictées, trois rédactions (dont une notée).
En 5e on a fait les fabliaux et on est en plein dans les Fourberies. En grammaire on a fait phrases simples/phrases complexes, les types et les formes de phrases ; on a fait des révisions sur les natures de mots, sur les fonctions dans la phrase ; on a également revu la conjugaison du passé simple et de l'imparfait. Ils ont fait deux rédactions (dont une notée), une dictée. Comme on travaille par cycles, je les ai eus 5h par semaine depuis le début de l'année ; à partir de la mi-novembre je ne les aurai plus que 3h : le rythme va drôlement ralentir.

Je vois que nous sommes obligés de faire comme si nos prédécesseurs n'avaient pas posé les pré-réquis et passons un temps fou à faire des révisons en grammaire sans avancer dans notre programme de l'année .
Ça commence vraiment à me peser cette histoire, surtout lorsque je pense que ce que je place devra être refait ( suivant le même principe) l'an prochain...que peut-on faire? Pourquoi n'impriment-ils pas ? Je suis assez effrayée d'avoir été contrainte de refaire le COD en quatrième.

Ils n'impriment pas d'abord parce qu'ils n'apprennent presque plus rien, ou alors de façon beaucoup trop superficielle.
Du coup, si on n'a pas une progression très rigoureuse, et des exercices qui réinvestissent en permanence tout ce qui a été vu, c'est mort : ils oublient au fur et à mesure.
Dans ce contexte, la séquence fait des ravages, parce qu'elle tend à lier les points de langue à un chapitre exclusivement. Quand on change de séquence, on passe à autre chose : les élèves le comprennent bien et s'empressent d'abandonner un bagage jugé inutile.

Les miens non plus, quel que soit le niveau, n'apprennent pas au fur et à mesure. Les mauvaises notes ne les touchent pas. On a l'impression qu'ils se disent que c'est fichu d'avance. Et pourtant, je valorise tout ce qu'ils retiennent, tous les points positifs...
C'est usant à la fin.

Ce qui est usant, aussi, je trouve, c'est quand ils disent : "J'y comprends rien" alors qu'on vient de passer un temps fou sur une notion et qu'on a l'impression de l'avoir expliquée en long, en large et en travers.

En grammaire, je limite les explications théoriques et je les fais très vite plancher sur des exercices. Généralement, c'est en faisant qu'ils comprennent.