- e.mazeNiveau 1
Bonjour à tous,
Je poste ce sujet pour vous parler d'une situation à laquelle je fais en ce moment face.
J'enseigne l'anglais en collège (c'est ma troisième année d'enseignement). Dans une de mes classes de 4ème, il y a deux garçons qui "posent problème" ; jamais dans mes cours cependant, puisqu'ils semblent réserver cela à mes collègues. Avec moi, ils peuvent s'agiter ou bavarder, mais ils me respectent ; et dès que je leur fais une remarque, ils s'excusent et s'arrêtent immédiatement.
L'un d'eux accumule tout particulièrement les problèmes de comportement depuis la rentrée. Dernier dérapage en date, il a attendu un autre élève après les cours et s'est battu avec lui. Rencontre avec la direction hier, conseil de discipline prévu dans une semaine. Il risque l'exclusion définitive.
Cet élève me touche beaucoup. J'ai le sentiment qu'il n'a pas un mauvais fond mais qu'il fait juste les mauvais choix. Je ne cautionne pas ses actes, loin de là, mais reste persuadée qu'il peut changer. Je l'ai croisé après l'incident, et j'ai lu dans ses yeux de la culpabilité, de la détresse et surtout une profonde tristesse.
Je voudrais savoir si vous aussi, vous vous étiez déjà attaché(e) à un élève plus que de raison. Je ne parle évidemment pas d'amitié, et encore moins d'amour, mais d'une dimension affective un peu trop présente. Je ne le montre bien sûr pas, et je reste dans mon rôle d'enseignante. Mais je dois avouer que si son exclusion est prononcée, cela m'affectera beaucoup : que va-t-il devenir ? Ne sera-t-il pas trop tard pour lui pour suivre le bon chemin ? N'aurait-on pas pu l'aider ?
Merci beaucoup pour les réponses que vous pourrez m'apporter.
Je poste ce sujet pour vous parler d'une situation à laquelle je fais en ce moment face.
J'enseigne l'anglais en collège (c'est ma troisième année d'enseignement). Dans une de mes classes de 4ème, il y a deux garçons qui "posent problème" ; jamais dans mes cours cependant, puisqu'ils semblent réserver cela à mes collègues. Avec moi, ils peuvent s'agiter ou bavarder, mais ils me respectent ; et dès que je leur fais une remarque, ils s'excusent et s'arrêtent immédiatement.
L'un d'eux accumule tout particulièrement les problèmes de comportement depuis la rentrée. Dernier dérapage en date, il a attendu un autre élève après les cours et s'est battu avec lui. Rencontre avec la direction hier, conseil de discipline prévu dans une semaine. Il risque l'exclusion définitive.
Cet élève me touche beaucoup. J'ai le sentiment qu'il n'a pas un mauvais fond mais qu'il fait juste les mauvais choix. Je ne cautionne pas ses actes, loin de là, mais reste persuadée qu'il peut changer. Je l'ai croisé après l'incident, et j'ai lu dans ses yeux de la culpabilité, de la détresse et surtout une profonde tristesse.
Je voudrais savoir si vous aussi, vous vous étiez déjà attaché(e) à un élève plus que de raison. Je ne parle évidemment pas d'amitié, et encore moins d'amour, mais d'une dimension affective un peu trop présente. Je ne le montre bien sûr pas, et je reste dans mon rôle d'enseignante. Mais je dois avouer que si son exclusion est prononcée, cela m'affectera beaucoup : que va-t-il devenir ? Ne sera-t-il pas trop tard pour lui pour suivre le bon chemin ? N'aurait-on pas pu l'aider ?
Merci beaucoup pour les réponses que vous pourrez m'apporter.
- DinaaaExpert spécialisé
Je comprends bien ce sentiment, cette envie de "sauver" certains élèves, et surtout ceux qui semblent avoir des parents défaillants... Néanmoins, dans le cas de ton élève, c'est justement en lui posant des limites précises que vous avez une chance de lui apprendre à faire les bons choix à l'avenir. Le laisser penser qu'attendre quelqu'un pour lui casser la gu* est tolérable n'est pas le bon message.
- capucine42Érudit
Oui, parfois ça peut arriver. Mais il faut espérer que ton élève tirera une leçon de son renvoi et fera les bons choix par la suite. J'imagine qu'il y a eu des avertissements, donc que vous avez essayé de l'aider mais qu'il a voulu entraîner l'affaire plus loin. En ne lui donnant pas les limites qu'il cherche lui- même, vous ne l'aideriez pas à mon avis.
- IzambardFidèle du forum
Pareil.
La dimension affective est parfois un levier. Mais elle ne doit jamais se substituer aux règles, à la loi.
Dans la vie, ton élève ne pourra pas se contenter de ne respecter que les êtres qu'il apprécie.
C'est le rôle de la communauté des adultes de le lui signifier, même si c'est sévère.
La dimension affective est parfois un levier. Mais elle ne doit jamais se substituer aux règles, à la loi.
Dans la vie, ton élève ne pourra pas se contenter de ne respecter que les êtres qu'il apprécie.
C'est le rôle de la communauté des adultes de le lui signifier, même si c'est sévère.
- CherteaNiveau 9
Je pense qu'il faut montrer que tu t'intéresses aux élèves (que tu ne les détestes pas et que tu les aimes bien) mais en n'hésitant pas à les punir quand il le faut.
- décembreNiveau 8
Conseil de discipline ne veut pas forcément dire exclusion, rien n'est encore décidé.
Si tu veux aider l'élève dont tu parles, et s'il regrette son geste tu peux lui conseiller de préparer des mots d'excuse. S'il est sincère le conseil en tiendra compte.
Si tu veux aider l'élève dont tu parles, et s'il regrette son geste tu peux lui conseiller de préparer des mots d'excuse. S'il est sincère le conseil en tiendra compte.
- sookieGrand sage
décembre a écrit:Conseil de discipline ne veut pas forcément dire exclusion, rien n'est encore décidé.
Si tu veux aider l'élève dont tu parles, et s'il regrette son geste tu peux lui conseiller de préparer des mots d'excuse. S'il est sincère le conseil en tiendra compte.
Et comment on le sait qu'il est sincère ?
Des mots ou des paroles d'excuses des élèves j'en ai vu passer, en général, demandé par un chef/CPE/PP ou autre prof. L'élève s'excuse parce qu'il doit le faire mais que pense-t-il dans sa tête ? (je ne dis pas qu'en cas de dérapage, il ne doit pas y avoir d'excuse mais j'ai toujours un doute sur la sincérité)
J'ai aussi fait beaucoup de conseil de disc, et là aussi j'en ai vu des élèves en larmes, qui s'excusent, qui jurent qu'ils ne se feront plus remarquer, qui supplient de leur laisser une 2e chance (alors que s'ils passent en conseil, ils sont déjà à leur 354e chance !) Parfois, je vois la tête des parents qui se demandent ce qu'un élève si doux, si gentil fait en conseil de disc.
Seulement quand on connait ces élèves, quand on sait de quoi ils sont capables, quand on vient de relire leur dossier et tous les rapports des collègues, on a toujours comme un léger doute sur le "repentir".
Attention, je ne dis pas qu'on ne doit pas s'émouvoir, je suis déjà sortie de conseil de disc quasiment en pleurs tellement les situations étaient dures. J'ai seulement toujours un "malaise" par rapport aux excuses. D'ailleurs ce sont souvent les plus pénibles qui passent leur temps à s'excuser
- lisette83Érudit
Et même s'il y a exclusion il continuera à être scolarisé et pourra peut-être repartir du bon pied sans les inimitiés ni les fréquentations qu'il a pu se créer dans le collège.décembre a écrit:Conseil de discipline ne veut pas forcément dire exclusion, rien n'est encore décidé.
Si tu veux aider l'élève dont tu parles, et s'il regrette son geste tu peux lui conseiller de préparer des mots d'excuse. S'il est sincère le conseil en tiendra compte.
- OntheroadagainNiveau 3
Sans oublier le fameux chantage affectif "Si vous vous acharnez sur moi, c'est que vous ne m'aimez pas !" :|
_________________
On the road again
Ne fais pas aux autres ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse
- marjoDoyen
Je suis spécialiste de ce genre de schéma avec les élèves. J'essaie de me "corriger", si tant est que ce soit possible.
J'ai d'ailleurs récupéré (changement de classe deux jours après la rentrée) un de mes 4e de l'année dernière avec qui j'avais exactement ce type de relation. Je n'ai rien eu à lui dire depuis 10 jours et j'essaie de garder mes distances avec lui, mais manque de chance, il s'est mal tenu en maths vendredi, et en tant que PP, je vais devoir lui passer un savon demain. Je préfère m'en charger moi-même plutôt que de laisser la collègue, néo-tit et en difficulté avec la classe, le faire. Si elle veut le punir, libre à elle, mais pour le côté "engueulade entre quatre yeux", je préfère le faire moi : j'ai trop peur que le gamin lui pète entre les doigts, alors que je sais comment le prendre.
J'ai d'ailleurs récupéré (changement de classe deux jours après la rentrée) un de mes 4e de l'année dernière avec qui j'avais exactement ce type de relation. Je n'ai rien eu à lui dire depuis 10 jours et j'essaie de garder mes distances avec lui, mais manque de chance, il s'est mal tenu en maths vendredi, et en tant que PP, je vais devoir lui passer un savon demain. Je préfère m'en charger moi-même plutôt que de laisser la collègue, néo-tit et en difficulté avec la classe, le faire. Si elle veut le punir, libre à elle, mais pour le côté "engueulade entre quatre yeux", je préfère le faire moi : j'ai trop peur que le gamin lui pète entre les doigts, alors que je sais comment le prendre.
- e.mazeNiveau 1
Izambard a écrit:Pareil.
La dimension affective est parfois un levier. Mais elle ne doit jamais se substituer aux règles, à la loi.
Dans la vie, ton élève ne pourra pas se contenter de ne respecter que les êtres qu'il apprécie.
C'est le rôle de la communauté des adultes de le lui signifier, même si c'est sévère.
Merci à tous pour vos messages.
Conseil passé, verdict : deux avertissements pour les violences physiques envers deux autres élèves. Il a également été exclu une semaine et est revenu ce matin. J'ai profité de la sonnerie pour lui toucher deux mots ; je lui ai dit que je comptais sur lui pour avoir un comportement irréprochable et que j'étais contente qu'il soit revenu. Lui aussi l'était et m'a dit que oui, il allait être irréprochable. Je pense que c'est important. Je vais profiter du fait qu'il m'apprécie pour avoir une bonne influence sur lui et faire en sorte qu'il ait la même attitude envers tous les adultes et élèves.
- User5899Demi-dieu
Quand je déteste un élève, je fais de gros efforts pour prendre sur moi. Quand j'éprouve de la sympathie, j'en fais moins. Ca ne change rien aux notes, mais je ne suis pas une machine et j'assume cette faiblesse humaine.
- e.mazeNiveau 1
Cripure a écrit:Quand je déteste un élève, je fais de gros efforts pour prendre sur moi. Quand j'éprouve de la sympathie, j'en fais moins. Ca ne change rien aux notes, mais je ne suis pas une machine et j'assume cette faiblesse humaine.
Je me retrouve tout à fait dans ce que tu dis.
En faire moins, c'est facile. Il y a les moments en fin de cours où je sors de mon rôle de prof pour être dans un simple rôle d'adulte. Une fois la sonnerie retentie, les élèves savent qu'ils peuvent venir me parler de leurs soucis ou d'autres choses. Je fais aussi beaucoup d'humour (même s'il ne le comprennent pas toujours ).
Par contre... Ceux avec qui le feeling ne passent pas... Je me rends compte que je perds plus rapidement patience ou que j'ai moins envie de m'investir. Je ne pense pas que les élèves s'en rendent compte, vu que je ne montre pas mes préférences et je suis toujours juste dans ce que je fais. Mais on a parfois de bonnes surprises : il y a deux ans, le courant ne passait pas avec une élève de 3ème. J'allais en cours la boule au ventre et je savais que les clashs n'étaient jamais loin. Et puis je me suis occupée de l'aide aux devoirs et elle était présente. On s'est vues dans un autre contexte et on a appris à se connaître. En fin d'année, j'ai eu droit à un "We love you" de la part de ses camarades et elle, et elle a mis une photo de la classe et moi en fond d'écran. Aujourd'hui encore on s'envoie régulièrement des mails.
- ditaNeoprof expérimenté
J'ai des étudiants à tendance wesh wesh ex-ZEP, ils engagent volontiers un rapport affectif. Je fais attention, car cela ne doit pas phagocyter le cours ! Ce sont des élèves du parfait type "attachiants"
D'autres élèves qui, pour aller vite, ont ce qu'il faut chez eux pour le rapport affectif, ne recherchent aucune relation de ce genre. on peut avoir un peu l'impression d'être un distributeur de cours, avec eux.
Je caricature un peu, hein !
Il est difficile de ne pas avoir ses agacements ou ses élèves chouchous. Cette année, j'ai un petit monsieur-je-sais-tout assez irritant, on voit que c'est un monchérimoncoeur chez lui. Je prends sur moi pour ne pas le montrer.
Il y en a une que j'aime vraiment bien, en seconde. Là, comme Cripure, j'aurais tendance à être moins faire d'efforts pour le cacher. Elle semble bien m'aimer - traduction : elle adore le français, lit énormément ... Là où je ne sais pas comment agir, c'est que cette jeune fille est handicapée. Je ne veux surtout pas qu'elle pense que j'ai 'pitié" d'elle, ce qui n'est pas du tout le cas !
D'autres élèves qui, pour aller vite, ont ce qu'il faut chez eux pour le rapport affectif, ne recherchent aucune relation de ce genre. on peut avoir un peu l'impression d'être un distributeur de cours, avec eux.
Je caricature un peu, hein !
Il est difficile de ne pas avoir ses agacements ou ses élèves chouchous. Cette année, j'ai un petit monsieur-je-sais-tout assez irritant, on voit que c'est un monchérimoncoeur chez lui. Je prends sur moi pour ne pas le montrer.
Il y en a une que j'aime vraiment bien, en seconde. Là, comme Cripure, j'aurais tendance à être moins faire d'efforts pour le cacher. Elle semble bien m'aimer - traduction : elle adore le français, lit énormément ... Là où je ne sais pas comment agir, c'est que cette jeune fille est handicapée. Je ne veux surtout pas qu'elle pense que j'ai 'pitié" d'elle, ce qui n'est pas du tout le cas !
- RendashBon génie
dita a écrit:Là où je ne sais pas comment agir, c'est que cette jeune fille est handicapée. Je ne veux surtout pas qu'elle pense que j'ai 'pitié" d'elle, ce qui n'est pas du tout le cas !
Alors ne te pose pas la question, tout simplement ^^
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- scot69Modérateur
Je suis énormément dans l'affectif, et je joue même beaucoup dessus pour avoir le calme en classe...
- MacQuackNiveau 2
Tout pareil que toi. Je n'arrive pas à être "autoritaire", ce n'est pas en moi, je ne sais pas faire. Alors je joue beaucoup sur l'affectif pour m'imposer et ça marche pas trop mal. Après, la frontière peut être floue entre jouer sur l'affectif et être laxiste... J'ai parfois du mal....
_________________
Keep calm and Corgi on...
- ditaNeoprof expérimenté
Rendash a écrit:dita a écrit:Là où je ne sais pas comment agir, c'est que cette jeune fille est handicapée. Je ne veux surtout pas qu'elle pense que j'ai 'pitié" d'elle, ce qui n'est pas du tout le cas !
Alors ne te pose pas la question, tout simplement ^^
Tu as raison, c'est ce que je vais faire !
- marjoDoyen
MacQuack a écrit:Tout pareil que toi. Je n'arrive pas à être "autoritaire", ce n'est pas en moi, je ne sais pas faire. Alors je joue beaucoup sur l'affectif pour m'imposer et ça marche pas trop mal. Après, la frontière peut être floue entre jouer sur l'affectif et être laxiste... J'ai parfois du mal....
J'essaie de jouer sur les deux registres. En tout cas, je n'hésite pas à utiliser le levier de l'affect pour parvenir à mes fins quand je sens que ça va fonctionner.
- RendashBon génie
marjolie.june a écrit:
J'essaie de jouer sur les deux registres. En tout cas, je n'hésite pas à utiliser le levier de l'affect pour parvenir à mes fins quand je sens que ça va fonctionner.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- roxanneOracle
Enfin, attention aussi, j'ai trop entendu en collège " ah oui Machin, il marche à l'affectif , il faut savoir le prendre, avec moi ça passe bien."
Du coup, Machin joue à fond sur les deux tableaux, sachant bien faire le gentil tout en se montrant odieux avec certains. Judsqu'à d'ailleurs que ça finisse par deconner avec le prof avec "qui se passait bien". C'est d,ailleurs un peu l'histoire d'Entre les murs.
Du coup, Machin joue à fond sur les deux tableaux, sachant bien faire le gentil tout en se montrant odieux avec certains. Judsqu'à d'ailleurs que ça finisse par deconner avec le prof avec "qui se passait bien". C'est d,ailleurs un peu l'histoire d'Entre les murs.
- palomitaNeoprof expérimenté
Cripure a écrit:Quand je déteste un élève, je fais de gros efforts pour prendre sur moi. Quand j'éprouve de la sympathie, j'en fais moins. Ca ne change rien aux notes, mais je ne suis pas une machine et j'assume cette faiblesse humaine.
Même chose ; c'est venu avec l'expérience . En début de carrière, je me laissais souvent prendre au piège de l'affectif , jamais par rapport aux notes mais par rapport à mon attitude vis à vis des élèves concernés .
_________________
"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
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