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- OsmieSage
Ne me dis pas qu'ils n'ont pas le soutien de leur syndicat ! Si ? :shock:
- aigleNiveau 4
Je constate hélas qu'il n'y a aucun encore aucun communiqué du SNES ni du SNEP, que ce soit au niveau national, ou même au niveau local.
Evidemment, rien non plus chez la FSU.
C'est bien la raison pour laquelle il me semble opportun d'aider ces directions syndicales à informer les enseignants du conflit en cours.
FSU --> 01 41 63 27 30
SNES national --> 01 40 63 29 00
SNEP national --> 01 44 62 82 10
Evidemment, rien non plus chez la FSU.
C'est bien la raison pour laquelle il me semble opportun d'aider ces directions syndicales à informer les enseignants du conflit en cours.
FSU --> 01 41 63 27 30
SNES national --> 01 40 63 29 00
SNEP national --> 01 44 62 82 10
- aigleNiveau 4
La multiplication des attaques contre les droits des salariés, du privé comme du public, est désormais incontestable : après le mal-nommé accord national interprofessionnel sur la mal-nommé "sécurisation" de l'emploi, après les "réformes" (en cours ou en projet) de l'inspection du travail, de la médecine du travail, et des prudhommes, le gouvernement de "gauche" s'attaque à l'édifice principal de la protection des salariés : la "réforme" du code du travail dont la "rigidité" serait la ...cause du chômage !
Autant dire, que les salariés du privé, s'ils ne réagissent pas très vite, et si les directions syndicales n'organisent pas la riposte, vont dérouiller, peut-être pendant des décennies ...et constater amèrement que des décennies d'acquis du mouvement ouvrier sont à ranger au rayon nostalgie.
Du côté des fonctionnaires, la volonté de casser le statut est désormais affichée, par le banquier Macron, et par ses amis "de gauche" de Terra Nova. Punis depuis 2010 au porte-monnaie, les fonctionnaires voient la suite arriver : il s'agit désormais pour le pouvoir de pousser son avantage contre ces agents publics qui subissent sans rechigner.
Les enseignants sont en première ligne. Les statuts de 1950 ont déjà volé en éclat par le décret Hamon, accepté par la majorité des directions syndicales, au mépris de l'intérêt des syndiqués : le décret produira bientôt ses fruits pourris, la flexibilité, l'épuisement vain des collègues, la concurrence entre collègues et la caporalisation dans les établissements. Dans le premier degré, le syndicat majoritaire a porté en lien étroit avec le ministère une "réforme" très dangereuse de territorialisation de l'école, au détriment de l'interêt des enseignants comme du public. La "réforme" du collège parachève l'affaissement du service public d'éducation.
Force est de constater que les directions syndicales n'organisent pas les luttes. Les raisons d'une telle passivité en sont politiques.
La succession des "journées d'action" plutôt que les grèves reconductibles, une information qui circule très mal entre différents niveaux des bureaucraties syndicales, la non-constitution des caisses de grèves pour mener les longs conflits qui s'imposent face à un gouvernement déterminé, constituent autant de preuves manifestes de renoncement, à l'heure où l'enjeu est tout simplement le maintien du service public d'éducation.
La résistance est dispersée... jamais coordonnée par ceux dont c'est la mission : défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs.
L'une des armes qui reste à notre disposition est celle de la grève, ce droit qui reste un droit garanti par la Constitution, malgré l'intense propagande néo-"libérale" -portée parfois par quelques zélateurs jusque dans les salles des professeurs.
Dispersée à Bellefontaine (31), dispersée à Gay Lussac, dispersée un peu partout, sans coordination par les directions....donc.
Est-il concevable qu'en France au XXIeme siècle, les risques du conflit social ne soient assumés que par quelques militants, qui se lanceraient dans des grèves de la faim, au péril de leur vie ? Est-il concevable que l'information des luttes menées sorte dans le médias AVANT de paraître sur les sites des syndicats ?
N'avons-nous donc plus à notre disposition des outils de résistance collective ?
Sommes-nous à ce point bornés par cet "indivualisme" a propos duquel les sociologues et les journalistes bavardent sans se lasser ?
Il est clair qu'à Bellefontaine comme à Gay Lussac, c'est le droit de grève qui est la cible du pouvoir.
Les méthodes patronales utilisées, la basse police de l'administration consistant à désigner des "meneurs" pour punir par l'exemple, en observant attentivement nos réactions..
Tout apparaît dans la lumière.
Ceux qui ne supportent pas la véhémence des rapports sociaux détourneront le regard.
Au autres, je ne propose qu'une idée, qu'une action :
RESISTANCE !
Autant dire, que les salariés du privé, s'ils ne réagissent pas très vite, et si les directions syndicales n'organisent pas la riposte, vont dérouiller, peut-être pendant des décennies ...et constater amèrement que des décennies d'acquis du mouvement ouvrier sont à ranger au rayon nostalgie.
Du côté des fonctionnaires, la volonté de casser le statut est désormais affichée, par le banquier Macron, et par ses amis "de gauche" de Terra Nova. Punis depuis 2010 au porte-monnaie, les fonctionnaires voient la suite arriver : il s'agit désormais pour le pouvoir de pousser son avantage contre ces agents publics qui subissent sans rechigner.
Les enseignants sont en première ligne. Les statuts de 1950 ont déjà volé en éclat par le décret Hamon, accepté par la majorité des directions syndicales, au mépris de l'intérêt des syndiqués : le décret produira bientôt ses fruits pourris, la flexibilité, l'épuisement vain des collègues, la concurrence entre collègues et la caporalisation dans les établissements. Dans le premier degré, le syndicat majoritaire a porté en lien étroit avec le ministère une "réforme" très dangereuse de territorialisation de l'école, au détriment de l'interêt des enseignants comme du public. La "réforme" du collège parachève l'affaissement du service public d'éducation.
Force est de constater que les directions syndicales n'organisent pas les luttes. Les raisons d'une telle passivité en sont politiques.
La succession des "journées d'action" plutôt que les grèves reconductibles, une information qui circule très mal entre différents niveaux des bureaucraties syndicales, la non-constitution des caisses de grèves pour mener les longs conflits qui s'imposent face à un gouvernement déterminé, constituent autant de preuves manifestes de renoncement, à l'heure où l'enjeu est tout simplement le maintien du service public d'éducation.
La résistance est dispersée... jamais coordonnée par ceux dont c'est la mission : défendre les intérêts matériels et moraux des travailleurs.
L'une des armes qui reste à notre disposition est celle de la grève, ce droit qui reste un droit garanti par la Constitution, malgré l'intense propagande néo-"libérale" -portée parfois par quelques zélateurs jusque dans les salles des professeurs.
Dispersée à Bellefontaine (31), dispersée à Gay Lussac, dispersée un peu partout, sans coordination par les directions....donc.
Est-il concevable qu'en France au XXIeme siècle, les risques du conflit social ne soient assumés que par quelques militants, qui se lanceraient dans des grèves de la faim, au péril de leur vie ? Est-il concevable que l'information des luttes menées sorte dans le médias AVANT de paraître sur les sites des syndicats ?
N'avons-nous donc plus à notre disposition des outils de résistance collective ?
Sommes-nous à ce point bornés par cet "indivualisme" a propos duquel les sociologues et les journalistes bavardent sans se lasser ?
Il est clair qu'à Bellefontaine comme à Gay Lussac, c'est le droit de grève qui est la cible du pouvoir.
Les méthodes patronales utilisées, la basse police de l'administration consistant à désigner des "meneurs" pour punir par l'exemple, en observant attentivement nos réactions..
Tout apparaît dans la lumière.
Ceux qui ne supportent pas la véhémence des rapports sociaux détourneront le regard.
Au autres, je ne propose qu'une idée, qu'une action :
RESISTANCE !
- MazuzuNiveau 7
Suis-je le seul à ne pas comprendre ce message ?
- may68Expert
moi j'ai bien compris !
- MazuzuNiveau 7
C'est parce que je ne dois pas comprendre le trotskyste
- MazuzuNiveau 7
Plus sérieusement, je ne saisis pas les références à Bellefontaine et Gay-Lussac...
- NamorNiveau 2
Bonjour.
Ben, par exemple, il est curieux de constater que les deux établissement aient commencé leur grève reconductible... le même jour!
Je vous édite le communiqué de presse d'hier.
Communiqué de presse n°1 du 21/09/15
Deux enseignants qui ont participé à la mobilisation nationale contre la réforme de l’éducation prioritaire sont pris pour cibles au collège Gay Lussac de Colombes (92)
Curieusement, la grève débute le 27 novembre 2014, le même jour qu’au collège Bellefontaine de Toulouse… Les similitudes ne s’arrêtent pas là : les deux collèges ont des traditions de lutte ; les deux collèges sont parmi les seuls à avoir fait une grève de longue durée ; dans les deux collèges la grève a été très suivie ; dans les deux collèges c’est une partie réduite et choisie des collègues qu’on a inquiétée.
Gari Pham, professeur d’E.P.S. et Oscar Roman, professeur de mathématiques, sont convoqués à un conseil de discipline. Pourquoi deux parmi 30 ? Pourquoi eux ?
Cette procédure leur a été notifiée le 31 mars. Ils ont assuré leur service sans défaillir depuis cette date malgré la pensante menace et les imprécisions de l’administration, volontaires ou fortuites, qui font qu’ils en sont à leur quatrième et cinquième convocation. Les faits sont jugés assez mineurs par la représentation syndicale et les experts juridiques consultés.
La rentrée se passe idéalement jusqu’à ce qu’Oscar apprenne fortuitement en rencontrant des élus syndicaux que leur conseil de discipline doit se tenir le 23 septembre, pour Oscar et le 30 septembre pour Gari. L’administration considère les enseignants informés puisque leur convocation a été envoyée en recommandé… fin juillet ! Les deux courriers n’ont pas pu être retirés, Gari et Oscar ayant la folle idée de partir en vacances… Aucun appel téléphonique, aucun courriel, aucune information transmise par le chef d’établissement qui aurait pu informer les collègues sur les dates.
Ces méthodes ont indigné les collègues qui se sont mis en grève. Pour Gari et Oscar, la coupe est pleine : ils ont décidé de se mettre en grève de la faim à partir du lundi 21 septembre.
Collectif Gay Lussac 92
Ben, par exemple, il est curieux de constater que les deux établissement aient commencé leur grève reconductible... le même jour!
Je vous édite le communiqué de presse d'hier.
Communiqué de presse n°1 du 21/09/15
Deux enseignants qui ont participé à la mobilisation nationale contre la réforme de l’éducation prioritaire sont pris pour cibles au collège Gay Lussac de Colombes (92)
Curieusement, la grève débute le 27 novembre 2014, le même jour qu’au collège Bellefontaine de Toulouse… Les similitudes ne s’arrêtent pas là : les deux collèges ont des traditions de lutte ; les deux collèges sont parmi les seuls à avoir fait une grève de longue durée ; dans les deux collèges la grève a été très suivie ; dans les deux collèges c’est une partie réduite et choisie des collègues qu’on a inquiétée.
Gari Pham, professeur d’E.P.S. et Oscar Roman, professeur de mathématiques, sont convoqués à un conseil de discipline. Pourquoi deux parmi 30 ? Pourquoi eux ?
Cette procédure leur a été notifiée le 31 mars. Ils ont assuré leur service sans défaillir depuis cette date malgré la pensante menace et les imprécisions de l’administration, volontaires ou fortuites, qui font qu’ils en sont à leur quatrième et cinquième convocation. Les faits sont jugés assez mineurs par la représentation syndicale et les experts juridiques consultés.
La rentrée se passe idéalement jusqu’à ce qu’Oscar apprenne fortuitement en rencontrant des élus syndicaux que leur conseil de discipline doit se tenir le 23 septembre, pour Oscar et le 30 septembre pour Gari. L’administration considère les enseignants informés puisque leur convocation a été envoyée en recommandé… fin juillet ! Les deux courriers n’ont pas pu être retirés, Gari et Oscar ayant la folle idée de partir en vacances… Aucun appel téléphonique, aucun courriel, aucune information transmise par le chef d’établissement qui aurait pu informer les collègues sur les dates.
Ces méthodes ont indigné les collègues qui se sont mis en grève. Pour Gari et Oscar, la coupe est pleine : ils ont décidé de se mettre en grève de la faim à partir du lundi 21 septembre.
Collectif Gay Lussac 92
- NamorNiveau 2
J'oublais... Une petite précision: Oscar est bien syndiqué au SNES mais Gari, qui est défendu par le SNEP, n'est pas syndiqué.
- MazuzuNiveau 7
Avec la fusion des deux posts, je comprends mieux. Merci.
- aigleNiveau 4
Mazuzu,
Si tu ne comprends pas, ne fais pas comme nos élèves; pose des questions !
Si tu ne comprends pas, ne fais pas comme nos élèves; pose des questions !
- MazuzuNiveau 7
aigle a écrit: Mazuzu,
Si tu ne comprends pas, ne fais pas comme nos élèves; pose des questions !
Je n'aivais pas compris le premier post isolé mais en fusionnant les deux sujets et en lisant l'histoire, j'ai...saisis
- aigleNiveau 4
aigle a écrit:Tu as raison, bien sur, Osmie.
Simplement, il y a deux choses:
- La FSU reste le syndicat "majoritaire" dans l'EN:
- Oscar est au SNES !
Il nous appartient à tous et toutes d'interpeller et de mettre devant leurs responsabilités TOUS les syndicats qui disent représenter les intérêts de leurs mandants.
- aigleNiveau 4
"grand soir, couteau entre les dents, trotskysme"..
Ainsi que je l'avais annoncée, la sainte trinité est réalisée. C'est mon côté prophète.
Conclusion : même quand l'administration traite les professeurs comme des moins-que-rien, agiter la peur du rouge pour tenter ridiculiser des salariés qui se défendent et qui surtout défendent des droits sociaux, semble rester un mécanisme psychologique opérationnel, vu du côté patronal.
Ainsi que je l'avais annoncée, la sainte trinité est réalisée. C'est mon côté prophète.
Conclusion : même quand l'administration traite les professeurs comme des moins-que-rien, agiter la peur du rouge pour tenter ridiculiser des salariés qui se défendent et qui surtout défendent des droits sociaux, semble rester un mécanisme psychologique opérationnel, vu du côté patronal.
- laMissSage
Je pense qu'aigle n'exagère pas.
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- MazuzuNiveau 7
Il a raison, il s'agit d'un complot
- laMissSage
Mazuzu a écrit:Il a raison, il s'agit d'un complot
Je suis un peu stupide ce soir. Je n'ai pas compris, là. Tu m'expliques?
_________________
Si rien n'est décidé, ce sera à chacun d'entre nous de décider en conscience.
- MazuzuNiveau 7
laMiss a écrit:Mazuzu a écrit:Il a raison, il s'agit d'un complot
Je suis un peu stupide ce soir. Je n'ai pas compris, là. Tu m'expliques?
C'est une boutade...
- BalthamosDoyen
Mazuzu a écrit:Il a raison, il s'agit d'un complot
Les illuminati encore
- Thalia de GMédiateur
Merci de ne pas poster plusieurs messages successifs, ce qui peut être considéré comme du flood. Charte 2.1 K https://www.neoprofs.org/t41977-lire-la-charte-neoprofs
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- kropJe viens de m'inscrire !
Je découvre avec stupeur le conflit du collège Gay Lussac, et l'étonnant management du rectorat...
SOUTIEN SANS RESERVE AUX COLLEGUES EN LUTTE !
ANNULATION DES CONSEILS DE DISCIPLINE !
Cela fait des années que les méthodes de management des grandes entreprises privées inspirent les hauts fonctionnaires.
Ces méthodes impliquent la casse du statut, la mise à l'écart des syndicats qui ne sont pas dans cet esprit présenté comme moderne et compétitif.
Elles impliquent aussi la surveillance de tous les salariés qui osent se rebeller. Dans une telle optique managériale, la grève qui dure, la grève qui sort de la routine, et qui peut servir d'exemple à d'autres salariés dans d'autres sites ou d'autres entreprise, cette grève-là est inacceptable.
Le cas d'école pour l'entreprise est France Telecom, avec la douceur dans les rapports sociaux que les salariés ont pu constater.
il est fort possible, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer quelque théorie du complot que ce soit, que le moment soit venu de passer, pour l'Education Nationale, à la moulinette managériale.
Heureusement, nous disposons de syndicats efficaces et combatifs pour nous défendre, non ?
SOUTIEN SANS RESERVE AUX COLLEGUES EN LUTTE !
ANNULATION DES CONSEILS DE DISCIPLINE !
Cela fait des années que les méthodes de management des grandes entreprises privées inspirent les hauts fonctionnaires.
Ces méthodes impliquent la casse du statut, la mise à l'écart des syndicats qui ne sont pas dans cet esprit présenté comme moderne et compétitif.
Elles impliquent aussi la surveillance de tous les salariés qui osent se rebeller. Dans une telle optique managériale, la grève qui dure, la grève qui sort de la routine, et qui peut servir d'exemple à d'autres salariés dans d'autres sites ou d'autres entreprise, cette grève-là est inacceptable.
Le cas d'école pour l'entreprise est France Telecom, avec la douceur dans les rapports sociaux que les salariés ont pu constater.
il est fort possible, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer quelque théorie du complot que ce soit, que le moment soit venu de passer, pour l'Education Nationale, à la moulinette managériale.
Heureusement, nous disposons de syndicats efficaces et combatifs pour nous défendre, non ?
- MazuzuNiveau 7
Balthamos a écrit:Mazuzu a écrit:Il a raison, il s'agit d'un complot
Les illuminati encore
Ils ont tout infiltré...
- InvitéInvité
krop a écrit:
(...)
Heureusement, nous disposons de syndicats efficaces et combatifs pour nous défendre, non ?
Bien sûr, tous nos syndicats sont irréprochables dans la lutte contre le harcèlement hiérarchique.
Ce sont des modèles du genre.
- BalthamosDoyen
Isabellebelle a écrit:krop a écrit:
(...)
Heureusement, nous disposons de syndicats efficaces et combatifs pour nous défendre, non ?
Bien sûr, tous nos syndicats sont irréprochables dans la lutte contre le harcèlement hiérarchique.
Ce sont des modèles du genre.
Nos syndicats comme tu dis, sont tenus par des bénévoles et militants.
Donc pour faire bouger un syndicat, il faut que les militants bougent avec lui.
Un syndicat est plus proche d'une association que d'une institution dans son fonctionnement.
Les syndicats devraient être combatifs et efficaces mais hélas ils ressemblent à notre salle des profs : des indignés qui aiment faire le dos rond sans s'investir ...
- LeclochardEmpereur
C'est fou, le nombre de participants qui, après un ou deux messages, ont l'idée de poster ici. Ce topic attire les jeunots.
_________________
Quelqu'un s'assoit à l'ombre aujourd'hui parce que quelqu'un d'autre a planté un arbre il y a longtemps. (W.B)
- may68Expert
Balthamos a écrit:Isabellebelle a écrit:krop a écrit:
(...)
Heureusement, nous disposons de syndicats efficaces et combatifs pour nous défendre, non ?
Bien sûr, tous nos syndicats sont irréprochables dans la lutte contre le harcèlement hiérarchique.
Ce sont des modèles du genre.
Nos syndicats comme tu dis, sont tenus par des bénévoles et militants.
Donc pour faire bouger un syndicat, il faut que les militants bougent avec lui.
Un syndicat est plus proche d'une association que d'une institution dans son fonctionnement.
Les syndicats devraient être combatifs et efficaces mais hélas ils ressemblent à notre salle des profs : des indignés qui aiment faire le dos rond sans s'investir ...
Y'en a marre du discours "les syndicats bougent pas " de la part de ceux qui bougent pas pour le syndicat ...
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