Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Reine MargotDemi-dieu
Et sinon, je me souviens de cours "psychologie de l'adolescent" à l'IUFM, il y en a aussi au PAF.
- IphigénieProphète
Je crois que le plus pernicieux dans l'école aujourd'hui c'est justement de s'être mise au service prétendument,du bonheur de l'enfant- du moins dans sa théorie- de son bien-être physique et mental, de son épanouissement social. Ce faisant elle est devenue tentaculaire tendant à ingurgiter et monopoliser tout l'univers de l'enfant en prenant en charge des loisirs, son alimentation, ses relations à autrui, patents, camarades, société etc Et ainsi elle est devenue un système carcéral puisqu'en quelque sorte il devient impossible d'en sortir. Manque plus que le potager bio.
Elle a oublié finalement la nécessité, pour se construire, de pouvoir se révolter, s'opposer, prendre des chemins de traverse: mais pour cela il faut qu'il y ait un chemin, pas une cour de récréation permanente.
Elle a oublié finalement la nécessité, pour se construire, de pouvoir se révolter, s'opposer, prendre des chemins de traverse: mais pour cela il faut qu'il y ait un chemin, pas une cour de récréation permanente.
- mathmaxExpert spécialisé
the educator a écrit:C'est idiot de dire ça: il suffit de rencontrer des adolescents hors du circuit classique pour se rendre compte que l'ado apathique, c'est une construction (l'école n'est pas seule responsable).Mathmax a écrit:Pour résumer, l'adolescence se déroule dans le cadre scolaire. Accuser ce dernier des maux de l'adolescence est donc facile mais pas forcément pertinent.
Bien sur que ton ennui t'appartenait! c'est ce qu'on appelle la résignation! On doit pouvoir dire la même chose de tout un tas de névrose... QUelle est ton explication, tu portait le gène de l'ennui :lol:
Je ne m'y connais pas trop en génétique, mais ce ne devait pas être un gène, puisque cet ennui a disparu par la suite, sans changement dans l'environnement ! Et non, ennui et résignation n'ont rien à voir, et l'apathie est encore autre chose ! Ces périodes d'ennui ont d'ailleurs été, pour beaucoup, fort fécondes comme tentent de te l'expliquer plusieurs personnes sur ce fil. Mais, à te lire, tu sembles enfermé dans une sorte de ressentiment contre le système scolaire, et peu désireux de confronter tes certitudes à d'autres opinions.
_________________
« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- mathmaxExpert spécialisé
Iphigénie a écrit:Je crois que le plus pernicieux dans l'école aujourd'hui c'est justement de s'être mise au service prétendument,du bonheur de l'enfant- du moins dans sa théorie- de son bien-être physique et mental, de son épanouissement social. Ce faisant elle est devenue tentaculaire tendant à ingurgiter et monopoliser tout l'univers de l'enfant en prenant en charge des loisirs, son alimentation, ses relations à autrui, patents, camarades, société etc Et ainsi elle est devenue un système carcéral puisqu'en quelque sorte il devient impossible d'en sortir. Manque plus que le potager bio.
Elle a oublié finalement la nécessité, pour se construire, de pouvoir se révolter, s'opposer, prendre des chemins de traverse: mais pour cela il faut qu'il y ait un chemin, pas une cour de récréation permanente.
+1, tu exprimes ce que je ressentais sans parvenir à bien le cerner : une éducation parfaite serait "inhumaine", comme des parents parfaits. Et ces plages d'ennui ou de refus que nous avons pu nous octroyer étaient un peu comme un cocon où nous pouvions finir de nous construire à l'abri des regards.
_________________
« Les machines un jour pourront résoudre tous les problèmes, mais jamais aucune d'entre elles ne pourra en poser un ! »
Albert Einstein
- the educatorFidèle du forum
N'avais tu d'autres endroits à l'abri des regards que dans l'ennui?
peut être en prétention, parce que dans les faits, l'école n'occupe réellement aucun de ses espaces. Mais je suis d'accord, cette école du contrôle est envahissante, non pas parce qu'elle se soucie du bonheur des enfants, mais parce qu'elle le fait de manière préscriptive, et terriblement maladroite.reine Margot a écrit:Ce faisant elle est devenue tentaculaire tendant à ingurgiter et monopoliser tout l'univers de l'enfant en prenant en charge des loisirs, son alimentation, ses relations à autrui, patents, camarades, société etc
Bien sur. Mais pour la plupart des gens, pedopsys y compris, un adolescent est scolarisé, se frotte à différents mécanismes de résignations qui lui laissent des moignons à la place des membres (je parlais tout a l'heure de la "paleur" des ados scolarisés à côtés des non sco que je connais). Les pedopsys traitent d'UNE adolescence, occidentale, industrialisée, qui va à l'école depuis ses 3 ans, vit dans un monde ou les gens se dévorent, et voit ses parents quelques heures par jour. Je ne nie pas qu'il y ait des constantes, mais je n'ai jamais lu de psys qui travaillent avec autre chose que CES ados là.Ronin a écrit:Tous les pédopsys de l'adolescence constatent qu'en plus des pathologies "transversales" il y a des thématiques spécifiques à l'adolescence comme la séparation, l'identité sexuelle etc. Dire qu'il n'y a rien de spécifique à l'adolescence c'est complètement faux. Il y a bien une spécificité de cet âge, qui d'ailleurs n'est "reconnu" que depuis peu.
tu décris très bien les ados avec lesquels on travaille. Mais pour moi si on n'en est là c'est parce qu'on a raté des tas de choses. Quand je lis qu'apprendre la grammaire et l'orthographe sert a plus tard a faire la difference, je me dis qu'on prépare de drôles d'adultes! Comme si l'enfant n'avait pas besoin d'écrire! de raconter, de faire "comme dans les livres"! Et pour ce faire, il faut bien écrire, ne pas se feliciter quand c'est ecrit de traviole, reprendre les premiers mots, les premières lignes, en montrant qu'écrire "faux", c'est ne pas se faire comprendre, c'est maquer son intention. Alors bien sur il faut avoir grandi dans un contexte ou l'importance de l’écrit est rappelée, ou le besoin de lire et d’écrire est tangible, mais ça existe vraiment, tous les enfants ne sont pas comme ceux de nos classes!!Reine Margot a écrit:
Eh oui, un adulte est capable de s'imposer quelque chose qu'il ne trouve pas amusant parce qu'il y trouve du sens et qu'il peut se projeter dans l'avenir. Mais une réfléxion à long terme telle que "faire des gammes à la guitare pour pouvoir en jouer un jour", un adolescent en est rarement capable, et il est très difficile de faire comprendre "à quoi servent" les choses qu'on leur demande d'apprendre. Même quand on répond à la question (du style "tu apprends la grammaire et l'orthographe pour pouvoir t'exprimer en bon français un jour, ce qui fera la différence dans la société plus tard"), c'est trop loin pour eux. Et pourtant on le leur impose, car c'est nécessaire, même s'ils ne le comprendront que plus tard. Et généralement ils comprennent pourquoi c'était important plus tard, et regrettent de ne pas avoir plus travaillé.
- Reine MargotDemi-dieu
"Faire la différence", ie la maîtrise de la langue est capitale maintenant pour être embauché, on ne compte plus les entreprises qqui font de la remise à niveau de leurs cadres en ce domaine. Et sinon oui, la langue c'est aussi le pouvoir. Ca sert aussi à avoir plaisir à écrire des histoires et les écrire bien, mais cette dimension est également importante. Il ne s'agit pas d'en faire des ambitieux en soi, mais dans les milileux défavorisés la langue est un élément pour s'en sortir (cf le fil sur Cécile Ladjali, issue de milieu populaire et agrégée)
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- the educatorFidèle du forum
Cette fois c'est toi qui défend le savoir "utile". Tu as raison sur toute la ligne, mais je crois que penser le langage comme un moyen d'être du bon côté de la ligne (puisque c'est ce que signifie "s'en sortir"), c'est presque une déviance. Et évidemment que ça ne peut pas faire rêver l'enfant ou l'ado! Quand l'auteure parle de réenchanter l'école, quand Stiegler parle de réenchanter le monde, moi j'aimerais bien "réenchanter" le langage auprès de mes enfants, parce qu'avant de rendre service à leurs futurs employeurs, j’espère qu'elles trouveront des tas de moments pour s'exprimer correctement!
- Reine MargotDemi-dieu
Mais le savoir "utile" n'est pas contradictoire avec ses autres fonctions...
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Sophie 37Niveau 8
Au lycée, je me rappelle avoir eu des profs qui m'ont vraiment intéressée à des matières que je n'aimais pas et pour lesquelles je n'étais pas spécialement douée (maths et sciences physiques). Je crois vraiment à l'effet maître ! Le fait est qu'il y a des profs plus intéressants que d'autres. C'est la vie !Reine Margot a écrit:
Mais que serait l'inverse de l'ennui? Etre motivé à apprendre? Mais au collège et au lycée, les profs de maths ou de physique pouvaient être très intéressants, ça ne m'aurait pas convaincue de m'intéresser aux maths. Pour tes exemples d'enfants descolarisés, je veux bien croire qu'on soit plus éveillé et motivé quand on a des parents qui ont les moyens de ne pas travailler et de donner des activités sur mesure pour chaque enfant.
Par contre, je n'opposerais pas l'ennui au ludique. Un cours peut être intéressant sans être ludique. Les profs dont je parlais juste avant n'étaient pas spécialement cools, loin de là d'ailleurs, ils étaient super carrés. Mais ils avaient une forte personnalité.
- Reine MargotDemi-dieu
C'est ce que je dis, même des profs plutôt intéressants n'ont jamais réussi à m'intéresser longtemps vu que j'avais décidé que je n'aimais pas la matière
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Laura IngallsNiveau 6
Je n'ai jamais rencontré de profs qui m'aient donné envie de m'intéresser aux matières qui ne me plaisaient pas d'emblée ... Résultat, j'étais la chouchoute des profs de français, histoire et philo, matières dans lesquelles j'avais des facilités et que j'aimais. Et je garde un très mauvais souvenir de l'anglais et des maths. La plupart des enseignants que j'ai eu ne s'intéressaient qu'aux bons élèves, et partaient du principe que ceux qui avaient des mauvais résultats étaient des feignants.
Et je ne parle même pas des humiliations quotidiennes, en cours de sport, quand le prof choisissait les meilleurs pour composer les équipes et que les derniers attendaient avec honte, comme à une foire aux bestiaux. Et ceux qui rendaient les copies en cours à voix haute, avec des commentaires, en classant de la meilleure note à la pire... Et après, les profs de fac qui ne m'aimaient pas parce que j'avais l'outrecuidance de travailler en même temps pour financer mes études et que je loupais donc une partie des cours...
Tout cela commence à dater, et j'imagine que depuis 20 ans, les choses ont bien changé. Mais si j'écrivais un bouquin sur mes souvenirs d'école, il ne serait pas tendre. Quand je suis devenue enseignante, je me suis jurée que mes élèves prendraient du plaisir à venir tous les jours à l'école, et j'espère avoir réussi ce pari.
Et je ne parle même pas des humiliations quotidiennes, en cours de sport, quand le prof choisissait les meilleurs pour composer les équipes et que les derniers attendaient avec honte, comme à une foire aux bestiaux. Et ceux qui rendaient les copies en cours à voix haute, avec des commentaires, en classant de la meilleure note à la pire... Et après, les profs de fac qui ne m'aimaient pas parce que j'avais l'outrecuidance de travailler en même temps pour financer mes études et que je loupais donc une partie des cours...
Tout cela commence à dater, et j'imagine que depuis 20 ans, les choses ont bien changé. Mais si j'écrivais un bouquin sur mes souvenirs d'école, il ne serait pas tendre. Quand je suis devenue enseignante, je me suis jurée que mes élèves prendraient du plaisir à venir tous les jours à l'école, et j'espère avoir réussi ce pari.
- User17706Bon génie
« S'ennuyer » est pronominal. C'est un fait de langue particulièrement suggestif.
- philopoussinNiveau 8
PauvreYorick a écrit:« S'ennuyer » est pronominal. C'est un fait de langue particulièrement suggestif.
Puisse cette remarque trouver un autre écho que celui de la page précédente...
- the educatorFidèle du forum
se casser la jambe, c'est aussi une construction pronominale
- IphigénieProphète
Ben oui: c'est pas l'autre qui vous les casse...
- OlympiasProphète
Cet article est consternant
- the educatorFidèle du forum
C'est ça que je ne comprends pas: en quoi ce retour d'experience est consternant? On n'a pas le droit de "subir" sa scolarité et les adultes que l'on nous impose??
- nightowlNiveau 7
Disons que quand on a 27 ans et encore en master, l'école n'est pas si mal que cela...
- RendashBon génie
nightowl a écrit:Disons que quand on a 27 ans et encore en master, l'école n'est pas si mal que cela...
Ouais, enfin, ça arrive même à des gens très bien, hein
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- AudreyOracle
J'avais 26 ans quand j'ai obtenu le Capes...
Les parcours peuvent être très différents, tout le monde ne fait pas un parcours direct du bac vers le Capes... la vie chamboule parfois le chemin tout tracé... parfois aussi on change de voie en cours de route...
Bref, autant je trouve cet article d'une débile insignifiance, autant attaquer l'auteur du livre sur l'âge qu'elle a en master, c'est un peu, même carrément minable.
Les parcours peuvent être très différents, tout le monde ne fait pas un parcours direct du bac vers le Capes... la vie chamboule parfois le chemin tout tracé... parfois aussi on change de voie en cours de route...
Bref, autant je trouve cet article d'une débile insignifiance, autant attaquer l'auteur du livre sur l'âge qu'elle a en master, c'est un peu, même carrément minable.
- nightowlNiveau 7
Ouais, mais tu viens pas te plaindre que l'école t'ennuie. Tu t'en barres avant.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Disons que quand on a 27 ans et encore en master, l'école n'est pas si mal que cela...
Ouais, enfin, ça arrive même à des gens très bien, hein
C'est un peu trop facile de cracher dans une soupe que tu choisis de boire.
- RendashBon génie
Audrey a écrit:
Les parcours peuvent être très différents, tout le monde ne fait pas un parcours direct du bac vers le Capes... la vie chamboule parfois le chemin tout tracé... parfois aussi on change de voie en cours de route...
Bref, autant je trouve cet article d'une débile insignifiance, autant attaquer l'auteur du livre sur l'âge qu'elle a en master, c'est un peu, même carrément minable.
_________________
"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- AudreyOracle
nightowl a écrit:Ouais, mais tu vient pas te plaindre que l'école t'ennuie. Tu t'en barres avant.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Disons que quand on a 27 ans et encore en master, l'école n'est pas si mal que cela...
Ouais, enfin, ça arrive même à des gens très bien, hein
Je tiens quand même à préciser un truc.
Là, vous ne dissertez pas sur le livre lui-même, mais vous extrapolez sur le compte-rendu qu'en fait une journaliste.
Le point de vue sur l'école de la jeune femme semble un tantinet plus nuancé que " L'école, on s'y ennuie à mourir!", non? La journaliste, même si son travail n'est pas d'une profondeur étourdissante, évoque tout de même des souvenirs très positifs laissés à l'auteur du livre par certains professeurs.
Que vous teniez pour certains à parler de l'idée que l'école doit être réformée parce que les élèves s'y ennuient, et sur la nature même de l'ennui, sa nécessité, ce qui naît de positif de l'ennui éprouvé, c'est une chose, que vous preniez cet article bien creux pour accabler de tous les reproches la jeune femme me paraît excessif, et même, ridicule, pour tout vous dire.
- nightowlNiveau 7
Audrey a écrit:nightowl a écrit:Ouais, mais tu vient pas te plaindre que l'école t'ennuie. Tu t'en barres avant.Rendash a écrit:nightowl a écrit:Disons que quand on a 27 ans et encore en master, l'école n'est pas si mal que cela...
Ouais, enfin, ça arrive même à des gens très bien, hein
Je tiens quand même à préciser un truc.
Là, vous ne dissertez pas sur le livre lui-même, mais vous extrapolez sur le compte-rendu qu'en fait une journaliste.
Le point de vue sur l'école de la jeune femme semble un tantinet plus nuancé que " L'école, on s'y ennuie à mourir!", non? La journaliste, même si son travail n'est pas d'une profondeur étourdissante, évoque tout de même des souvenirs très positifs laissés à l'auteur du livre par certains professeurs.
Que vous teniez pour certains à parler de l'idée que l'école doit être réformée parce que les élèves s'y ennuient, et sur la nature même de l'ennui, sa nécessité, ce qui naît de positif de l'ennui éprouvé, c'est une chose, que vous preniez cet article bien creux pour accabler de tous les reproches la jeune femme me paraît excessif, et même, ridicule, pour tout vous dire.
Non non un seul.
Je commence juste à souper de voir tout un tas de gens se plaindre de l'école et de ceux qui la font alors qu'ils en ont tiré partie.
Si vous préférez prendre des gants et faire des différences entre le livre et son auteur (qui a un droit de réponse aux articles), bien à vous. Il ne faut pas par contre se plaindre de prendre cher quand on tend constamment l'autre joue.
- the educatorFidèle du forum
C'est vrai, elle avait sans doute choisi les profs ennuyeux, imbus d'eux même, les cours superficiels, le fatalisme ambiant, les "têtes de défaite", comme dirait l'autre... Nan mais franchement?Ouais, mais tu viens pas te plaindre que l'école t'ennuie. Tu t'en barres avant.
C'est un peu trop facile de cracher dans une soupe que tu choisis de boire.
- nightowlNiveau 7
the educator a écrit:C'est vrai, elle avait sans doute choisi les profs ennuyeux, imbus d'eux même, les cours superficiels, le fatalisme ambiant, les "têtes de défaite", comme dirait l'autre... Nan mais franchement?Ouais, mais tu viens pas te plaindre que l'école t'ennuie. Tu t'en barres avant.
C'est un peu trop facile de cracher dans une soupe que tu choisis de boire.
A la lire, cela a été une punition pendant 25 ans. Forcée en plus...
On a tous eu des mauvais profs et des mauvais collègues y compris dans le privé. On n'a pas eu que cela non plus !
Comme disait un des premiers commentaires "une ado attardée et égocentrée"
Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Je suis enseignante : les élèves sont intenables, leur niveau est accablant. C'est l'enfer
- Collègue stagiaire ennuyée par le CDE et un parent...
- Je suis Asperger: ni singe savant, ni "débile mental", je m'en suis sorti. Et j'en ai bavé.
- amusant
- Je suis intervenu chez une collègue dans une classe dont je suis P.P...help
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum